Sujet: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Jeu 3 Mar - 2:28
Bacchus Groh
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Titre : La pucelle mais pas d'Orléans, bien du zgeg Crédit : Moi-même Feuille de personnage Maîtrise Magique: (23460/35000) Mérite: (920/1400)
Quand on s'attaque à un cerbère
Orihime
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Ven 4 Mar - 15:56
Orihime Katsura
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Titre : Attaque bébéfaceporte ! Crédit : Yuukiël Feuille de personnage Maîtrise Magique: (4400/35000) Mérite: (150/160)
Fuck you, idiots
with Bacchus & Orihime
Durant tout un voyage, tu avais été avec lui. Il te tenait, par les menottes, et tu n’avais pas pu t’échapper, même pas par téléportation, à cause d’un simple fait : si tu te téléportais, il se téléportait avec toi… Malheureusement, c’était la triste réalité, alors qu’il y avait un contact physique entre toi et lui. Tu aurais pu essayer. Tu aurais pu réapparaître à une altitude si élevée qu’il allait en mourir, mais tu n’étais sûre de rien. Tu aurais peut être succombée aussi. Tu aurais peut être échoué. Tu n’aurais peut être fait que t’attirer plus d’ennuis. Et puis… Désormais, tu ne voulais plus être traquée, et tant que tes comptes n’auraient pas été réglés avec ce connard, tu n’aurais jamais été tranquille. Et puis il y avait un petit quelque chose d’amusant. Il te ramenait là où toute cette foutue histoire avait commencé. Il te ramenait à Quatro Cerberus. Tu avais vu Aoko vous suivre, mais tu savais que même Aoko ne pourrait t’aider. Ce n’était qu’une prévention inutile.
Tu n’avais pas parlé de tout le voyage, tu n’avais rien à dire de constructif. Peut être des insultes, peut être la vérité sur lui, mais qui t’aurait crue ? Tu étais menottée, et il était un maître de guilde. Lorsque vous arrivâtes, il te lâcha, et tu sus alors qu’il avait fait sa plus grosse erreur ; Tu pouvais t’enfuir désormais. Mais pour aller où ? Loin ? Tu fermas les yeux, et tu tentas de t’enfuir, mais ses paroles, et leur paroles te ramenèrent sur Earthland, tandis que tes pensées divaguaient. Alors c’était TA faute ? Ce type était un salopard, et c’était à cause de toi ? Non… Tu ne pouvais pas le supporter.
Il y a des tas de choses que je veux vous dire, bande d’incapables. Mais ce serait trop beau pour toi Bacchus…
Tu le défiais du regard, oubliant les autres. Dans ta position actuelle, tu ne pouvais t’enfuir qu’en passant par le toit, et tu ne savais pas à quelle hauteur il fallait te téléporter pour cela. Si tu allais trop bas, tu allais finir encastrée dans le plafond et l’architecture de la bâtisse. Si tu allais trop haut, le temps que tu puisses reprendre tes esprits te serait fatal. Il fallait que tu aies une autre position pour espérer t’en tirer. Une position allongée par exemple. Mais il était hors de question de leur laisser ce champ d’accès, d’autant que tu n’étais même pas sûre de réussir. Il valait mieux rester tranquille pour l’instant.
Tu ne savais pas quoi faire. Tu tentas de bouger, pour voir si tu pouvais atteindre un mur pour t’enfuir, mais c’était impossible, ils t’entouraient. Tu te demandas alors ce qui allait se passer quand tu en aurais terminé ici. Pour enlever tes menottes, tu allais devoir avoir la clef, ou aller voir Silver Sword. Tu pouvais aussi demander à Aoko de te briser les chaines, mais tu risquais de ne plus avoir de poignet pendant un mois, vu sa maitrise incroyable de la magie. Donc tu avais un nouveau problème : si tu parvenais à t’enfuir, il te fallait le faire avec la clef de Bacchus. A cet instant, tu maudis Robin. Pourquoi ? Pourquoi avait il fallu que ce soit Bacchus qui hérite des menottes. Tu soupiras. Tu n’avais pas vraiment beaucoup de choix. Et si tu tentais de te téléporter malgré tout, c’était désormais impossible, deux de ses gars t’avaient attrapée chacun par un bras. Tu ne pourrais même pas te téléporter, vu que tu étais incapable d’emmener plus d’une personne à la fois avec toi. Tu te rendis alors compte que ton sort surprenant, celui du chevalier, ne valait rien si deux personnes ou plus te touchaient.
Amusant… C’était dans une pareille situation que tu te rendais compte de cette faiblesse. Tu passas en revue tes différentes techniques, et possibilités, mais tu ne pouvais faire face qu’avec au plus deux membres adverses. Ou Bacchus seul. Et encore, là, c’était une probabilité trop faible, car il pouvait te terrasser avant même que tu ne t’enfuis pour de bon. Il fallait que tu trouves autre chose. Il fallait que tu parviennes à casser cette suprématie qu’ils avaient sur toi. Tu te demandas alors comment ils éraient si tu te mettais à appeler au secours. Aoko t’entendrait peut être, mais face à Bacchus, même avec son aide, tu n’y parviendrais pas. Et si tu tentais de frapper pour te libérer au moins d’une emprise, tu allais probablement n’avoir que quelques centièmes de secondes pour lancer la téléportation. Tu allais alors devoir prier pour que la distance que tu venais d’estimer entre le plafond et la fin du toit soit la bonne. Et si tout dérapait, tu allais te mettre une nouvelle accusation sur le dos. D’autant que tu ne connaissais pas leurs magies respectives, et qu’avec un peu de malchance – et tu étais devenue super douée dans le domaine de la malchance, espèce de catastrophe ambulante -, il était possible qu’un membre soit plus rapide, plus réactif, et sûrement capable de te bloquer. Tu devais estimer les risques, et ta colère envers le maître infâme t’empêchait de résonner correctement.
Vous voulez quoi ? Des excuses ? Je peux en faire à votre guilde, à vos membres, mais tu t’attends vraiment à ce que je t’en fasse à toi Bacchus ?
Pour toi, Bacchus c’était comme un Jabba le Hutt : pire qu’ignoble. Tu ne pouvais même pas te pardonner d’avoir dû lui présenter des excuses sur la plage. Tu aurais tellement aimé le défoncer… Tu aurais tellement voulu avoir la puissance nécessaire. Mais là… Tu avais envie de vomir en le regardant, et tu n’allais certainement pas t’excuser… Pas à lui.
Ok… Donc je vous demande pardon pour ce que j’ai fait. Mais pas à toi Bacchus… Plutôt mourir que de te présenter mes excuses… Même de fausses excuses, j’en serais incapable. C’est comme regarder de la merde de cheval, et vouloir l’embrasser : c’est écœurant !
Génial… Tu soignais tellement ton tact que tu ne serais pas surprise s’il en venait à te frapper violemment. Tu aurais dû la jouer plus fine, mais tu n’y arrivais pas. Tu venais sans doute de signer ton arrêt de mort avec cette phrase. Mais tu n’allais pas t’excuser.
Jamais.
electric bird.
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Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Sam 5 Mar - 0:11
Bacchus Groh
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Titre : La pucelle mais pas d'Orléans, bien du zgeg Crédit : Moi-même Feuille de personnage Maîtrise Magique: (23460/35000) Mérite: (920/1400)
Quand on s'attaque à un cerbère
Orihime
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Sam 5 Mar - 1:03
Ethan Faun
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Titre : Bouche à queues Crédit : Bourrina Factory Feuille de personnage Maîtrise Magique: (5647/35000) Mérite: (82/160)
Humanité
AVEC — Quatro Puppy
La seule journée où t’as réussis à refourguer les gosses sous la garde de Celestia et en bas, ils crient. Tu sais pas trop de quoi ils parlent mais t’as l’impression que ça a des airs d’apocalypse. Tu les entends vaguement, la tête coincée dans les oreilles comme une tomate prise par deux bouts de pains. Adieu grâce matinée de rêve. Adieu rêve délicat. Adieu sommeil profond. Alors tu décides de te lever, les cheveux en bataille, la bave collée le long de tes lèvres, tu décides d’aller voir, te baladant en caleçon dans toute la guilde.
« - Yo Rupert ! Il se passe quoi en bas ? - Bacchus a ramené une nana mon gars ! Bouge-toi viens voir ça ! - Une nana ? - Ouais mais pas du genre bonne…Du genre gamine. Tu sais, elle est connue, c’est celle qui traîne souvent dans le coin. »
Des filles qui traînent dans le coin, y’en a pas tellement…D’ailleurs tu te demandes si jamais y’en a eu une…Puis, soudainement, tu te souviens bien d’une fille, le style paumé, versatile, gueulante. Le style énervante. Tu te souviens d’elle mais tu ne pensais pas qu’elle reviendrait. C’est pas comme si tu l’avais mise en garde. Maintenant qu’elle est de retour à la guilde, Bacchus la mangera tout cru si personne ne s’interpose entre eux.
« - Charles…Vient. On va voir. »
Sans prendre la peine de t’habiller, tu descends les escaliers en bois brutes de la guilde et t’arrives parmi la foule et les cris te cassent déjà les oreilles. Putain, un peu de silence bande de sauvage…Je vous jure.
T’entends ses excuses mais ton regard se perds sur l’expression de Bacchus. Cette expression de bête sauvage que t’as rarement eu l’occasion de voir, celle qui te donne envie de fuir à toute jambe, celle qui te dis de fuir pour ta vie…Mais comment fuir. Elle n’est qu’encerclée que par tout ce troupeau hormonale et bestiale.
« - Charles. Vas y. Sépare-les. »
Le lion surgit et se met entre la foule en délire et Bacchus et la fille. Les gars reculent. Ils savent qu’il ne faut pas rire avec Charles, il a tendance à manger certains indésirables par moment.
« - Bacchus ! T’as pas bientôt finit tes conneries ? C’est quoi « ça » ? Et toi…T’es pas la fille un peu attardée à qui j’avais dit de ne jamais revenir et de ne jamais recroiser le chemin de Bacchus ? T’es débile ou tu cherches juste les emmerdes ? Pourquoi y’a une meuf à moitié à poil dans le salon ? Tu veux la violer, tu le fais loin d’ici…C’est pas une guilde de sauvages. Putain, je vous jure, tant de bruit pour ça. Aller dans la forêt merde. Et ma grâce matinée alors ? Vous faites chier, vraiment ! »
Il fut un temps, t’aurais certainement accouru au secours de la demoiselle, c’est ce que ta mère t’avais toujours dis de faire…Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui tu regardes un spectacle dégradant de ce qui se fait appeler « l’humanité ». Le maître viol non pas l’honneur de la fille, mais les principes même de la guilde. Ceux qu’il a mis en place. Une guilde de sauvages …Tu t’y étais habitué et ça te plaisait bien mais ce que tu voyais, dépassait même l’entendement. Jamais encore tu ne pensais voir ça…
« - On se croirait à Bosco. Aller ailleurs putain, y’a des gosses ici ! »
(c) MEI
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Sam 5 Mar - 1:29
Hyun Ki Gan
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Titre : Trempe-ton-biscuit.com Crédit : Moé Feuille de personnage Maîtrise Magique: (6256/35000) Mérite: (280/400)
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Quand on s'attaque à un cerbère
On va descendre aussi bas?
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Sam 5 Mar - 1:38
Orihime Katsura
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Titre : Attaque bébéfaceporte ! Crédit : Yuukiël Feuille de personnage Maîtrise Magique: (4400/35000) Mérite: (150/160)
Fuck you, idiots
with Quatro & Orihime
Abject… Oui… C’était le bon terme pour un être comme lui. Il était vicieux, il était horrible, il était un porc. Comment avais tu pu accepter que ce soit lui qui parle à la Reine ? De toutes façons, il pouvait parler… Tu étais toujours vue comme une criminelle de la part de certains. Et tu étais devenue une criminelle pour d’autres. Mais ce n’était pas cette menace que tu redoutais le plus. Lorsque les gars de Bacchus, qui, loin d’être aussi idiot que leur maître, avaient compris qu’ils ne devaient pas te lâcher, te frappèrent le ventre, tu te courbas, de douleur. Tu ne pouvais rien faire hein… Tu ne pouvais plus te téléporter, et si tu tentais un coup de la Reine, tu ne serais même pas capable de bouger à cause de ces poids à tes bras. Mais tu le défiais du regard, ce maître stupide et arrogant. En vrai, tu ignorais tout ce qu’il avait fait. Tu ignorais qu’il avait été là pour aider les autres femmes. Toi, tu ne le voyais que comme ce macho que l’on décrivait. Toi, tu ne le voyais que comme un homme qui avait décidé d’attaquer Robin… Toi, tu ne le voyais que comme un salop.
Il confirma tes pensées d’ailleurs. Il t’arracha ton haut, et tu ne rougis même pas, trop énervée. Ton soutien gorge était là de toutes façons… Tu n’étais pas seins nus devant eux, tu allais bien réussir à passer cette « humiliation ». Et puis… Il avait beau être un porc, il n’en restait pas moins un maître d’une guilde légale, et le viol étant illégal… tu ne risquais sûrement rien. Puis il te fit boire de la vodka. Wow… Tu te demandais ce qu’il voulait réellement te faire. C’était pas si horrible, tu buvais de la bonne eau de vie.
Pardon petit...
Tu le regardais, en souriant, d’une façon tout à fait perverse et provocatrice. Tu ne devais pas savoir ce qu’il allait faire. Pour toi, il n’en avait pas les couilles. Il ne te ferait rien, ce n’était que de la terreur qu’il voulait t’inspirer.
Je veux dire… Pardon petit crachat… Je ne voulais pas te jeter sur un moins que rien, tu méritais mieux.
Et tu tentas de lui donner un coup de pied entre les jambes. Malheureusement, tout ce que tu réussis à faire fut de te faire enlever de force le pantalon. Tu étais en culotte, et celle ci, noire, était assez fine. Tu rougis instantanément, mais tu ne cédas pas. Ce n’était que de la provocation, n’est ce pas. Il ne pouvait pas se permettre de te faire cela, tu allais le rendre illégal. Et il n’allait sûrement pas tout risquer pour toi.
Si tu t’attendais à des excuses, merdeux, c’est pas comme ça que tu les auras…
Tu serras les jambes, tout en le regardant. Il n’avait pas les couilles. Il n’avait rien. Il n’allait rien te faire. Tu en restais persuadée. Cet homme, ce n’était que l’expression et l’essence même d’un machiste, d’un macho se croyant au dessus des règles. Il ne faisait rien de plus. Il marquait son territoire en présence de ses potes, mais tu étais tellement en colère que tu ne te rendais même pas compte de ce qu’il se passait. Tu finis par rire. Un rire nerveux. Un rire sarcastique. Un rire sale. Un rictus. Qu’est ce que tu vas faire, hein ? Tu penses vraiment m’intimider ? T’as aucune couille Bacchus. La vérité, c’est juste que tu es incapable de demander à tes gars de me lâcher, car tu as peur que je me fasse la malle, n’est ce pas ? Si on était rien que toi et moi, tu ne serais bon qu’à me voir partir. Tu es lent, et incompétent Bacchus. Tu n’es qu’une merde à décoller de sa chaussure. Je me trompe ? Pourtant, chaque femme que tu abordes doit vouloir te gifler non ? Chaque femme doit te voir juste tel que tu es… Et elles te fuient. Mon pauvre… Tu vas être obligé de devenir homosexuel. Ca te fait quoi, à toi, Bacchus le macho, Bacchus le « viril », de devenir un homme féminin ? Hein ?
Oui, tu le provoquais. Parce que tu étais aveuglée par une haine que tu ne pensais même pas avoir. Et tu fis l’erreur de lancer un Hyun, il avait des couilles lui au moins.
Tu souris. Il n’avait donc rien trouvé de mieux ? Si tu avais été la toi d’avant, sans doute te serais tu mise à pleurer, mais depuis Seth, tu avais exploré une part de toi beaucoup plus sombre que tu voulais l’admettre. Et tu étais aussi en colère contre Robin. Il aurait pu faire semblant… au moins.
Et après tu te demandes pourquoi Quatro Puppy est une guilde de batards ? Faut pas chercher plus loin mon vieux.
Tu ne te retenais pas. La vodka devait aider. Tes paroles… Ton flot deparole semblait ne plus pouvoir s’arrêter.
Tu es abject… Juste dégoûtant. On a envie de vomir rien qu’en te rebiffant.
Tu ne voyais pas comment être plus gentille que ça. Tu étais trop gentille pour lui, là… Beaucoup trop.
Et alors que tu t’apprêtais à retenter un coup de pied en traître, voilà que le blond – en caleçon ? – arrive. Ah, lui aussi tu le reconnaissais, mais lui, tu l’aimais bien. Et le lion, tu l’aimais bien aussi – pour l’instant -. S’en suivit un petit discours, et lorsqu’il te réprimanda, tu crachas ton Ouais ben j’aurais bien aimé mais ce salopard a attaqué un de mes amis à la plage. Donc en récompense de l’avoir aidé, je me suis retrouvée menottée et trainée de force ici…
Et voilà Hyun… Putain. Tu avais honte désormais. Parce que tu avais pratiquement gueulé lorsque tu avais dit qu’il avait des couilles, lui. Et en t’aidant, tu l’avais vu, il t’avait reconnue. Mais tu ne pleurais pas. Mais tu ne le remerciais pas. Mais tu restais, noire. Tu avais changé, et ils avaient beau tous dire le contraire, tu n’étais plus la petite fille criarde. Non… Tu étais toi. Tu étais plus sombre, et en colère. S’ils te libéraient, tu te sentais de sauter à la gorge de Bacchus, culotte ou pas culotte. Tu n’avais plus que de la fureur dans les yeux… pas une seule trace de larme… Juste de la fureur. Mais tu n’étais pas un monstre. Merci. Tu avais ce regard… Tu avais cette haine… Tu avais cette honte… Mais tu ne te l’avouais pas.
Bien… c’est quoi la suite du programme ? Parce que le monde, c'était bien joli, mais t'étais toujours sa prisonnière.
Tu avais envie de le démolir. En fait, il y avait le lion, Ethan, Hyun, mais tu ne voyais que Bacchus. Tu ne voyais que lui… Car tu ne voyais que le gros lard…
electric bird.
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Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Sam 5 Mar - 2:02
Bacchus Groh
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Quand on s'attaque à un cerbère
Orihime
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Lun 7 Mar - 8:29
Ethan Faun
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Humanité
AVEC — Quatro Puppy
Elle est juste conne. Mais du genre vraiment atteinte. C’est plus que génétique. Tu t’en doutais déjà dès l’instant où ton regard s’est posé sur elle. Pourtant, à ce moment-là, cette soirée-là, tu eus une lueur d’espoir. Tu aurais espéré que sa bêtise se soigne avec le temps mais ce ne fut pas le cas.
Et son speech ridicule et son attitude provocatrice et insultante le confirme.
Tu sais que Bacchus est un connard provocateur mais jamais il n’outrepasserait ses droits. Lui ? Attaquer quelqu’un ? On dirait une blague. Bacchus se bats avec les mots en attendant de recevoir le premier poing mais jamais il n’attaquerait une personne sans défense sur un coup de tête. Tu le sais. Tu as beau lui trouver une liste de défaut impressionnante, il n’en reste pas moins le maître de Quatro et voir que la guilde se fait insulter, te rebutes au plus haut point.
« - Ecoute, que t’insultes Bacchus, c’est votre souci…Mais là, t’insultes la guilde, les gars et moi par occasion et ça, ça me plait pas. Je m’en fou de ta vie, de ton pote mais quand t’es en présence de gars qu’essayent de sauver ta peau de connasse ingrate, tu les remercies et tu fermes ta putain de gueule. »
Hyun le premier. Tu t’en fou si on t’insultes, t’as qu’à lui pisser à la raie pour lui faire fermer sa bouche insolente mais Hyun…Hyun, lui, il mérite pas de se faire insulter. Il est gentil, il lui sauve son petit cul enflammé et s’en prends pleins la gueule, toi-même, tu te dis en voyant la salope que t’aurais jamais dû intervenir. Tu t’étais déjà dit ça la dernière fois en la voyant.
« - Charles….Allons-y. Ça me saoul d’être en présence d’animaux. Yo Bacchus ! Je retourne me coucher ! On se voit plus tard ! »
Tu salues Hyun et repars avec Charles dans le couloir. Même si le lion en a effrayé plus d’un, maintenant que vous repartez, il n’y aura rien de moins qu’un homme pour servir de dernier rempart à cette fille et ça tu t’en fou. T’es pas responsable de ce qui lui arrivera. Tant qu’elle crève vite et sans bruits. T’aimerais dormir putain.
(c) MEI
HRP : Je repars comme je suis arrivé ~ ♫
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Lun 7 Mar - 15:20
Hyun Ki Gan
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Quand on s'attaque à un cerbère
On va descendre aussi bas?
Sujet: Re: Quand on s'attaque à un cerbère [Ori] Lun 7 Mar - 16:14
Orihime Katsura
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Fuck you, idiots
with Quatro & Orihime
Il était désormais effrayant. Plus simplement écœurant, mais réellement effrayant. Tu n'avais pas réalisé cette puissance, ou, si tu l'avais fait, tu n'avais pas pensé que ton coeur S' affolerait devant la démonstration de cette dernière. Il était un monstre, à tes yeux. Un monstre tant par sa nature que tu haïssais que par sa magie qui tremblait dans l'air. Il était effrayant. Vraiment. En le regardant, parce que tu ne voyais que lui, tu ne savais plus quoi faire. Tu n'avais pas arrêté tes provocations, tu avais pousse le bouchon le plus loin possible, espérant t'en sortir vainqueur. Parce que tu étais devenue une garce Orihime. Tu avais voulu avancer, tu avais voulu grandir, tu avais voulu le rendre fier... Et lorsque tu avais fait une n-ième bêtise, tu l'avais vu te tourner le dos. Et tes ressentis c'étaient aggravés. Tu étais devenue une garce, parce que tu n'avais grandi que physiquement et en partie mentalement. Tu n'étais plus pure, tu étais rattrapée par ton passé. Tu n'étais plus gentille, tu étais juste... une garce. Tu aimais certaines personnes, et tu n'hésiterais pas à te jeter dans le feu pour les sauver, mais les autres pouvaient bien crever. Tu étais une garce. Une peste. Mais tu ne t'en souciais guère. Pour toi, c'était juste. Mais tu les vexais, les innocents. Ethan, Hyun. Ils étaient venus à ta rescousse, l'un plus que l'autre, et ton merci était retombé froid. Ils t'avaient donc laissée à ton sort, et, comble de l'ironie, c'était en les voyant partir que tu commenças à avoir peur et à les regretter.
Mais tu n'avais pas le temps pour les regrets. Tu t'étais enfoncée seule, tu allais ressortir seule. Tu n'avais pas besoin d'aide... Tu l'espérais. Tu avais juste besoin de réfléchir... Mais il fallait te rendre à l'évidence... Réfléchir, tu savais le faire, mais agir sans réfléchir, tu le faisais tout le temps, malgré tes intentions. En fait, tu avais su réfléchir, mais tu ne savais plus. Tu savais analyser, tu savais envisager, tu savais émettre des hypothèses, tu savais planifier, mais les comportements humains t'échappaient tellement que tu repoussais ces derniers. Ainsi, seule contre tous, tu finis par déglutir. Pourtant tu ne voulais pas t'avouer vaincue.
Woow... Tu as de la chance, plus personne pour t'empêcher d'agir comme le lâche que tu es... Et après quoi ? On t'appellera juste Bacchus le couard, où tu comptes ajouter d'autres qualificatifs déplaisants à ton pedigree ?
Mais tais toi bon sang ! Et pourtant, non. Et pourtant, tu ne voulais pas te taire. Et pourtant, tu allais subir Bacchus. Bravo. Tu éloignais t'es sauveurs et tu attisais les foudres de ton hôte malsain... Tu étais irrécupérable. Aoko devait t'attendre depuis que vous étiez entrés, mais tu commençais à avoir honte. Tu n'allais pas la retrouver ensuite. Tu allais juste partir. Tu allais la laisser. Tu étais une garce.
Tu étais après tout à la merci d'un grand maitre mage, bien que tu ne le voyais que grand dans ce sens là. Tu étais sans doute vouée à te faire tabasser avec de la chance. Ou autres sévices... Tu avais poussé le bouchon trop loin, et le volcan avait explosé en face de toi. Les gars te tenaient toujours, et ils te serraient les bras. Quoi de plus normal, tu les avais insulté.
Tu es au courant que tes actes sont l'image de ta guilde ? Je dis ça... j'dis rien...
Parce que Hyun t'avais aidé plus qu'il ne le pensait. Parce que Hyun avait parlé de la honte potentielle d'appartenir à Quatro si son maitre faisait quelque chose de trop. Il fallait que tu joues là dessus, en attendant la possibilité d'échapper à ceux qui te tenaient pour ensuite disparaître de cet endroit. A jamais. Tu avais honte de toi, évidemment, et tu ne reviendrais sûrement plus jamais ici. Tu espérais. Ou alors uniquement par nécessité... et encore...
Et comment veux tu que l'on te prenne au sérieux, Macho ? Tu traites les femmes comme des animaux, on te traite comme un porc en retour... Si tu y mettais un peu du tien...
Tu exagérais. Beaucoup. Tu étais tout aussi responsable que lui désormais, si ce n'était plus. Et pourtant ton moulin à parole ne se fermait pas pour autant, et tu restais aussi infecte avec lui, alors que tu aurais dû lui montrer l'exemple... Parce que Bacchus et toi agissiez comme des gamins, tu aurais dû commencer à réagir en adulte pour lui faire comprendre par les mots ce que tu n'arrivais pas et que tu n'arriverais pas par la force. Tu étais bête Orihime. Tu étais en colère. Tu te maudissais. Tu le maudissais.