Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Ven 8 Aoû - 6:26
Ethan Faun Bloody Hell Rp Libre ~
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♣ Tu avais pourtant suivit les gouttes d'eau au sol. Tu avais pourtant suivit les traces que tu avais estimé être celles d'Uriel et pourtant, tu avais pénétré le territoire de l'hydre à deux têtes..enfin à deux mentons, ou à trois tu ne savais compter le nombre de mentons que cette bonbonnière rose fluo comptait et tandis qu'elle te balanças sa trousse de toilette et ses produits de beauté sur la tronche, tu tentas une esquive. Son cris perçant, te força à baisser les oreilles et t'immobiliser pendant qu'elle te comparait à une sorte de rat. Un rat....Là encore ta fierté en pris un coup. Soudain la chose lança son chien à ta poursuite...enfin son CHIEN, c'était plutôt comparable à une saucisse sur patte mais après l'aubergiste te voilà poursuivit par un teckel. Quelle honte sur ton honneur. « - Coucher ! Sale bête !! Coucher ! » Tu balanças alors le poudrier d'un coup de patte sur ton poursuivant pour qu'il te laisse tranquille avant d'attraper le flacon de parfum et de lui en pishter dans la figure. « - Psht ! Psht ! Hmm odeur eau de toilette de chez Yvette Sainte Laurena. Hmm excellant choix ! » Puis la porte s'ouvrit et tu reconnus alors la silhouette de l'armoire à glace. Lui par contre, il était familier et sa présence en ces lieux n'était en rien rassurant jusqu'à ce qu'il t'indique la sortie comme si tu allais lui obéir. « - Et puis encore ? Je vais pas t'obéir ! » Mais tu le fis quand même et tu pris la porte. Il semblait changer et tout propre ce qui n'était guère ton cas entre les poils mouillés, pleins de terre et recouvert de produit en tout genre. Tant de substance illicite sur ton poil. Ça va prendre des heures pour laver tout ça. Tu entras alors dans la chambre où le calme plat régnait et tu partis en direction de la salle de bain. Doit bien y avoir une baignoire dans cette chambre non ? « - Puisque c'est comme ça.... » Tu remplis la baignoire avant d'attraper une serviette avec tes dents et de la posée à côté des toilettes, à ta hauteur. Une fois ta piscine personnelle remplie tu eus une petite idée et n'ayant pas Uriel dans les pattes pour t'embêter..Tu allais pouvoir en profiter. « - A la une....a la deux....a la trois....BANZAAAIIIIIII » Tu pris de l'élan et sauta dans la baignoire manquant de transformer la salle de bain en piscine naturelle, voyant le niveau de l'eau augmenter et déborder sous ton poids. Pourtant tu n'étais pas bien gros. Profitant d'un peu d'intimité, l'eau vira de toutes les couleurs mais ce qui te manquait vraiment c'était...Le luxe d'avant « - Jacuzzi personnel...Et un pet un ! Y'a pas à dire..On se sentirait presque chez soi » Eh oui parce que quand on pète dans l'eau, ça fait des bulles et c'est rigolo. Il en fallait vraiment peu pour t'amuser et soudain tu entendis des bruits de pas, l'ogre et propriétaire de la chambre revenait de la chambre de la bonbonnière à trois têtes et tu en profitas pour faire une petite brasse le long de la baignoire. Une fois que tu fus tout propre, tu pris te frotta contre la serviette pour faire mine de te sécher avant d'allumer le séche cheveux et voilà un poil touffu et brillant même si tu ressemblait plus à un mouton à oreilles pointues qu'à un renard. Après la toilette, la sieste....Parce que le dodo c'est important. Tu iras le bouchon de la baignoire et dans la chambre tu repéras ce qui semblait être le lit de monsieur avec ses affaires dessus. « - Seconde idée de la soirée.... » Parce que les lits chez les hommes c'est comme les trampolines. Tu grimpas dessus et te mis à sauter comme un autiste tandis que tu le fixais, lui qui te regardais sur le seuil de la porte. « - Oupps.... » Tu finiras la nuit dehors si tu continues comme ça mais en même temps, comment résister. Les draps étaient totalement défaits, il y avait de l'eau partout et tu égouttais encore. Tu sentais aussi bien l'horrible parfum pour bonne femme que la fleur et autre odeur désagréable. Ce n'était pas journée.
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Sam 9 Aoû - 3:06
Uriel Rudraksha VIDEOÀ LA BROCHE, SAUCE BÉCHAMEL
« CHAQUE ACTE À SA CONSÉQUENCE. CONTRÔLER LES ACTES DU PRÉSENT, C'EST CONTRÔLER LES CONSÉQUENCES DU FUTUR. »
« I l ne put s'empêcher de parer sa dignité d'une allure de défi tandis que, faisant fi de ses paroles, il prit néanmoins le chemin de la sortie que je lui indiquais. En fait, c'était comme un enfant, il fallait être autoritaire sinon il se croyait tout permis. Foutu poilu pourri gâté, mais tu vas voir, je vais t'en faire goûter de toutes les couleurs si tu penses pouvoir mettre le boxon comme ça sans en subir les conséquences. Il fila droit pour disparaître, la fourrure souillée de tout plein de substances diverses et variées, en mettant au passage partout, avant de disparaître dans l'embrasure de la porte. Quant à moi, je portais de nouveau mon attention sur la grosse dame en rose et ses allures de bibendum. Son teckel me regardait d'un air farouche, mais ce n'était pas une saucisse sur pattes qui allait m'impressionner, et il suffit d'un regard pour lui faire comprendre qui dominait l'autre ici, et il partit sous le lit pour observer la suite de la scène. La dame en rose continuait de me regarder sans trop savoir où se placer, confuse, d'autant plus qu'elle était en nuisette, ce qui était fort peu convenant. je lui demandais alors, d'un air désintéressé et automatique, sans désir aucun de plonger plus avant dans ses problèmes._ Tout va bien ? » Incertaine, elle finit tout de même par agiter cette masse bloblotante de gras de haut en bas, n'osant pas l'ouvrir de nouveau et me donnant ainsi tout le loisir de voir que, oui, les vagues, c'est dans la graisse aussi._ Parfait. Dans ce cas, je vous souhaite une bonne soirée. Au plaisir. » Refermant la porte avec - presque - délicatesse, voilà qui était clos. Cela dit, en bas, j'entendais les exclamations frustrées d'un aubergiste en train de se défaire de sa mauvaise situation et qui comptait bien pendre haut et court la bestiole qui venait de saccager littéralement et proprement son établissement. Outré, et il y avait de quoi, il proférait déjà des menaces, qui, au mieux, promettait l'exil forcé après une année complète d'esclavage pour rembourser les frais, et qui, au pire, impliquait un nouveau plat du jour unique. La situation risquait de devenir problématique, et clairement si l'autre autiste attardé n'était pas capable de se maîtriser, j'allais en faire mon affaire vite fait bien fait. Revenant sur mes pas, je passe l'embrasure de la porte et je trouve un renard tout mouillé sautillant sur des draps propres. Il me regarde, se rend compte de sa bêtise et émet un oups de circonstance. La porte, derrière moi, se referme avec un léger clac de circonstance. Tournant la clef dans la serrure, le loquet vint bloquer le pan de bois. Désormais, nous voilà isolés du reste du monde. Exécutant ces gestes avec une lenteur pesante, je glissais alors la clef dans ma poche, ne le quittant toujours pas des yeux. Je le regardais un moment, avec l'allure pas si sévère que ça du gars qui fait pourtant sentir toute la solitude de la chose par le silence. Non, au contraire, ce qui devait le faire flipper s'il avait un tant soit peu de jugeote, c'était ce calme paradoxal qui se dépeignait sur mes traits. J'étais relativement patient, et me mettre en colère était extrêmement difficile - et accessoirement exagérément dangereux - et je ne pensais d'ailleurs pas qu'Ethan en soit capable. Cela dit, je n'avais qu'une parole et pas du genre à se laisser casser les pieds. S'il fallait le jeter du haut de la fenêtre du premier étage pour qu'il comprenne, il n'y aurait nulle hésitation dans mes actes. Cela dit, la pointe d'un sourire naissait presque sur le bord de mes lèvres. Mais pas d'un sourire agréable à contempler, non. Plutôt le sourire de celui qui sait sa proie entre ses griffes, et qui se fait un plaisir d'exposer la chose. _ La situation est très simple, deux choix s'offrent à toi. Le premier : tu ôtes tes pattes trempées de ces draps, et tu pars prendre un bain pour te défaire des effluves nauséabondes que tu traînes encore malgré tout et que je peux sentir jusqu'ici. Auquel cas, en sortant, la salle de bain sera propre et rangée, il y aura à manger pour deux et même du thé chaud. » Une fraction de silence, pause pour voir l'effet qu'avait sur lui l'évocation de la nourriture. Néanmoins, ce n'était pas cette baguette que je voulais le mener._ Ce choix aura pour conséquence la garantie de ta tranquillité en ces lieux et pour cette nuit avant que nous ne repartions demain, et j'opposerais alors une totale ignorance quant à savoir si je t'ai vu dans les parages ou non. » Enfin, ma partie préférée._ Le second : tu continues à provoquer l'apocalypse autour de toi, à saccager, détruire et compromettre notre droit à résider ici et à attirer l'attention de tout le quartier sur notre existence commune, chose passablement dangereuse et indésirable s'il en est. Auquel cas, lorsque l'aubergiste viendra, furieux, s'enquérir de ma potentielle responsabilité dans ton introduction dans cette auberge, je te livrerais à lui sans la moindre once de scrupule et, à l'entendre pester jusqu'ici, il semble que tu lui serviras de souffre douleur, d'esclave pour l'année à venir et, enfin, tu finiras rôti en méchoui en tant que plat du jour pour rembourser la somme astronomique des dégâts à réparer et essuyer sa fierté. Après tout, je suis certain qu'il saura exploiter à sa juste mesure un renard doué de parole. » Non, ce n'était aucunement des menaces, jamais je ne me serais permis. Simplement le constat de la situation actuelle et de la merde dans laquelle il venait de nous mettre. Dieu merci, demain, c'est un blondinet dégénéré qui sera vu en train de quitter l'auberge et non un renard. Quant à la présence d'une personne de plus dans l'établissement, si l'aubergiste venait à demander qui était cet individu qui n'avait pas payé sa nuit, j'avais déjà une réponse toute faite et qui, je l'espère, plaira à Ethan si le cas de figure surgit. »
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Sam 9 Aoû - 4:03
Ethan Faun Bloody Hell Rp Libre ~
♣ Ce qui était merveilleux dans le monde des humains c'est qu'il y avait toujours un panel de choix qui s'offrait à nous. A cet instant précis, tandis qu'Uriel refermait la porte à clé derrière lui, il te suggéra vivement de retourner prendre un bain mais avant cela, il te fis part de quelques autres remarques. Le fameux panel de choix et voilà ce qui se présentait à toi en cette belle soirée : devenir une fourrure pour mémé ménopausée, finir en méchoui de renard ou en esclave à quatre pattes et le dernier, lui obéir à lui. Qu'est-ce qui était le plus favorable à ta condition ou plutôt quel était le moins pire ? Lui obéir ou finir en pantoufle d'hiver ? Tu avais le choix. Tu penchas alors pour la première proposition même si tu n'écoutais guère ses arguments. Tu n'en avais que faire, tu voulais courir partout et faire ce qu'il te plaisait comme tu avais l'habitude de le faire. Auparavant, tu aurais bien pu sauter par cette fenêtre du premier étage et glisser sur les tuiles du toit avant de t'écraser au sol mais bizarrement, cette idée ne t'as même pas encore traverser l'esprit, tu préférais soupirais et baissais les oreilles comme si tu venais de te faire engueuler. Car au fond...C'était le cas. C'était cacher entre les lignes de ce beau discours mais tu n'étais pas stupide...Même si tu étais blond. Descendant du lit, tu remontas sur le rebord de la fenêtre, en agitant la queue d'un air songeur. As-tu eu raison de le suivre ? As-tu eu raison d'être là où tu es ce soir ? Qu'est-ce qu'un repas chaud et des années d'amitié contre la liberté de la nature ? Parfois il y a des soirs où tu remerciais Célestia de t'avoir donner ce choix entre deux vies, entre deux mondes. Etre renard était plus qu'une chance et grâce à ta forme de renard nain....Tu avais pu t'en sortir vivant aujourd'hui. Mais pour combien de temps ? Cet homme n'était vraisemblablement pas disposer à t'aider plus que ça et il semblait plus tenir à sa propre personne qu'au genre humain en lui même. Il te considérait ni comme un homme...Ni comme un animal car sinon il ne t'aurait pas fait cette proposition. Qu'est-ce qu'il attendait de toi ? Tu te posais continuellement cette question en le regardant tandis que ta queue foutait la vitre derrière toi alors que tu le regardais dans le blanc des yeux. Tu gardas le silence même si mentalement, on pouvait presque voir ton cerveau fumé à force de réfléchir. Cela n'a jamais été ton fort mais peut-être que se poser les bonnes questions maintenant, t'éviteras de faire les mauvais choix et il n'était pas trop tard pour partir. Il n'était pas trop tard pour ouvrir cette fenêtre et partir. Il n'était pas trop tard pour reprendre ta vie en main car après tout qu'est-ce qu'il pouvait bien t'offrir mise à part cette pitié et cette charité misérable qu'il t'offrait déjà ? Peut-être que ta condition lui était utile mais cela n'était pas réciproque et il était hors de question de suivre un homme qui ne pouvait rien t'apporter. Il était hors de question de suivre le genre humain dans sa folie de conquête du monde ou d'autres choses. Tu étais un être libre avant tout et cela demeureras ainsi pour le reste de ta vie. Personne ne pouvait comprendre. Tu voulus dire quelques choses mais tu t'abstenus par respect mais aussi car en te repassant tes propres paroles dix secondes dans la tête, tu trouvais cela ridicule et tu finis par te retourner et par ouvrir la fenêtre pour sentir le vent glacial et la pluie sur ta fourrure à peine sécher. Il faut croire qu'il y a des signes qui ne trompent pas. « - Je te décharge de ta potentielle responsabilité de mon comportement et je ne prendrais pas de bain...J'en ai déjà pris un. En attendant puisque tu es assez courtois pour m'offrir le choix, je le saisis de ce pas, sans me faire désirer plus que cela. Tu comprendras que je n'aime pas que l'on m'impose des conditions à ma propre ligne de conduite. » Et tu passas par la fenêtre avant d'aller te caler contre le mur plus loin sous la gouttière. Ainsi tu sentais à peine les gouttes d'eau ce qui n'était pas si désagréable que ça. Voilà, tu le prends ton bain. Qu'on arrête de chipoter sur les détails voyons. Tu t'attendais à ce qu'il en ai rien à faire de ta conduite et à ce qu'il te laisse ici et ça serait vraiment le mieux pour vous deux. Il se comportait comme une mère poule étouffante en te disant « Ne fais pas çi », « Ne fais pas ça. » mais à quoi avais-tu le droit sincèrement ? Quels seraient tes privilèges dans ce monde d’ingrats et de lois ? Peut-être qu'en fin de compte, il était préférable que tu restes sous cette forme pour le reste de ta vie...Peut-être qu'il était préférable que personne ne sache réellement qui tu es....Peut-être qu'il était préférable de reprendre la route en cette soirée de tempête pour retrouver celle qui t'as mis dans cette situation. Un éclair surgit pour fendre le ciel en deux part égales quand tu eus l'impression de retourner quelques années dans le passé. C'était exactement le même genre de météo que ce soir là. C'était exactement le même genre de soirée. Tu étais en colère contre le monde, contre la vie ainsi faite, contre les hommes pour leur comportement mais le pire était que la personne contre laquelle tu étais le plus en colère et contre laquelle tu avais gardé toute cette haine....C'était certainement toi-même. Tu t'en voulais toujours d'être un idiot fini, gâchant tout sur tout, ne sachant pas apprécier ni se contenter du peu de chance qu'on pouvait lui offrir. Tu t'en voulais d'être ainsi envieux et de désirer toujours plus, toujours mieux. Tu t'en voulais de ne savoir quoi faire avec cette magie, cette malédiction ou peu importe comment elle était perçue par les autres. Tu t'en voulais seulement d'exister. Et ça...Est-ce que quelqu'un pourrait un jour le comprendre ?
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Mer 13 Aoû - 0:30
Dans ta chambre d'hôtel sordide, mais populaire, tu noircis ton bloc de tes impressions. Tu figes l'hypocrisie ambiante dans le temps. Chaque seconde écoulée donne naissance à une montagne de détails alarmants. Cette provinciale n'est plus vierge depuis longtemps. Sa tête comme son corps est gangrenée par mal dont seule une ablation permettra de venir à bout. La corrompue laisse libre cours à la fantaisie et au chaos. Personne ne s'indigne de voir ces maisons s'embrasser avec une promiscuité telle que leurs crépis suintent, que les portes et les fenêtres bavent, que leurs toits mouillent comme une fontaine. Chaque quartier est l'apologie d'un gang bang. Des combinaisons, des duos ou des trios, voire plus, tout aussi monstrueux et indigestes. Le tout s'étale et fornique sur la place publique. Les artistes, les rêveurs et les idéologistes gauchards la vénère comme une déesse durant les beaux jours, mais... Depuis que tu es arrivé, tu as eu le droit à toutes ses larmes. Elles tombent encore et encore, un cycle sans fin. Son visage est pluie. Tu as eu le droit à toutes ses formes. Elle a été tantôt fine, tantôt torrentielle, tantôt diluvienne, tantôt battante, tantôt acide. Bien qu'équipé, tu as senti sa force. Comme le fouet, elle a été cinglante. Comme un bourreau, elle a su s'arrêter, marquer des pauses avant de reprendre de plus belle pour tomber en continue. Elle était cette perverse qui te battait, te fouettait, te frappait, te cinglait, te flagellait, te giflait, te caressait. Elle t'a transpercé jusqu'à atteindre tes os. Elle t'a mouillé, t'a trempé. Au détour de certaines gouttes, elle t'a saisi. Plus d'une fois, tu as senti son baiser froid, glacial et humide. Plus d'une fois, tu l'as sent s'immiscer au plus profond de ton être. Tu as eu cette impression qu'elle dégoulinait de chacun de tes pores tellement elle gonflait chacun de tes canaux. Tu as très vite compris pourquoi. La ville pleure de tout son corps. Elle pleure sa honte, son indignité, sa souillure éternelle par les joyeuses. Ces perverses ont fait d'elle la complice forcée d'une mascarade partie en fumée il y a six ans. Tu as décidé. Tu vas la violer, pénétrer dans la moindre fente. Tu vas marquer chaque centimètre carré de Clover pour la purger de la déchéance et la permissivité héritées de la déchéance des guildes officielles. Les garces ont fait de cette ville le symbole de leur union incestueuse et funeste. L'une féerique et allumeuse se veut la mère des autres. Ici, elle partageait son lit et plus avec l'égérie droguée de le mode, l'envoutante et fumiste sirène et la gardienne en chaleur de l'enfer. Son cœur, son âme, ses habitants se sont vendus au diable pour un prestige éphémère. Demain, tu agiras. Tu commenceras par raser le bâtiment qui accueillait ces moribondes. Tu assainiras la tête quitte à la couper. Après tout, c'est le genre qui repousse facilement. Sauf que tu ne vas pas attendre demain. Une veine se manifeste de temps à autre depuis quelques minutes. Une pointe d'agacement s'engouffre dans ta plume. Ton inspiration coupée, tu te lèves. Tu tournes et vires comme un fauve en cage. Une attente intrusive, inquisitrice et avide allume ton regard. C'est paré d'une simple serviette de coton blanc que tu ouvres ta porte. Tu la refermes calmement et silencieusement. Lentement, sûrement, sournoisement et inévitablement, tu montes à l'étage. Tu arrives devant l'autre porte. Ta main gauche se lève. La magicienne appelle un shaken. Excité par sa maîtresse, il s'empresse de passer à travers le plancher. Il remonte le long de la fente pour couper pour forcer discrètement et innocemment, la ceinture de chasteté. Docilement, l'étoile retourne se coucher. La porte s'ouvre. Tu entres. La lumière du couleur enveloppe et dessine ton robuste.
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Mar 19 Aoû - 2:20
Uriel Rudraksha VIDEOSERVICE DU SOIR
« JE NE COMPRENDS PAS, POURTANT, J'AI PAS COMMANDÉ DE CALL-GIRL ? »
« J e vois dans ses yeux l'hésitation, cette oscillation imperceptible qui accompagne la réflexion qui suit mes paroles. Je me contre fiche de qui il est, de son passé, de ce qu'il fait et tout le reste. Je ne suis pas sa mère, ni son père, et loin de moi l'idée de prendre ce rôle ou d'en faire mon animal de compagnie. Mais si nous devons marcher ensemble, qui plus est avec Altiel, j'ai autre chose à faire que de tenter de juguler l'enthousiasme intarissable de cette mini tornade apocalyptique et de courir après ses bêtises. Il assume ses conneries et, tant qu'il ne nous met pas en danger, le reste je m'en moque. Il descend du lit et saute sur le rebord de la fenêtre. Un instant, je me demande s'il va s'en aller, mais il se retourne et me fixe, comme s'il jaugeait la situation. Il n'y a rien d'hostile dans mes propos, mais j'ai déjà du mal avec Altiel, parfois, et même moi-même, alors je ne peux pas me permettre d'embarquer une personne au comportement hasardeux. Et puis, finalement, il choisit. Je m'abstiens de lui répondre qu'il en va de même pour moi, mais au fond ça ne sert à rien, puisqu'il s'en va. Je suis un peu déçu, de voir le peu de temps qu'il aura fallu pour qu'il claque la porte une deuxième fois. Mais c'était la fin la plus prévisible, embarquer un inconnu presque au hasard dans une aventure random, il n'y avait que dans les films que cela marchait. Rien ne me liait à lui plus que ça, de toutes façons, et le regret de le voir partir était estompé par l'éphémère de la chose et la pointe de cynisme dans son ton. Je n'ai pas envie d'argumenter._ C'est ton choix. » Et il disparut, s'engouffrant au dehors sous la pluie et la tempête, dans le froid de Clover. Je restais quelques instants à fixer cette fenêtre et à méditer sur la chose, avant de balayer le tout d'un soupir. Le bruit de l'eau qui commençait à bouillir me rappela à la réalité, brisant le soudain silence, et je fis les quelques pas qui me séparaient du mur pour fermer la fenêtre. A la réflexion, c'était mieux ainsi. Il ne paraissait pas très stable à changer toujours d'idée, et j'étais plutôt content d'avoir refusé on serment tantôt. Ça lui aura au moins évité de le trahir. Même si, au fond, j'avais eu l'espoir de trouver enfin quelqu'un collant à ce projet que je m'étais mis en tête. Je regarde le début de capharnaüm qu'il a mis en si peu de temps. Pas grand chose, au final, un peu de terre et d'eau, mais autant éviter cet inconfort à mes pieds nus. J'essuie rapidement la chose avant de retourner mettre des feuilles dans la petite bouilloire. Voilà ce que j'aurais du faire, le droguer à la camomille tranquillisante. Le mettre en permanence sous drogue pour avoir une bestiole docile et calme. Soudain, le bruit caractéristique de la clenche qui se soulève me rappelle à la réalité des choses. Un instant, la possibilité que ce soit Ethan me traverse l'esprit, mais elle semble peu probable. Je me relève, la porte s'ouvre. Et, là où je m'attendais à voir, dans le pire des cas, l'aubergiste, se tient un homme à demi-nu avec pour seul habit une serviette. Un instant, je reste sceptique. Qu'est-ce que c'est encore que cet énergumène. Il n'a pas la figure du type qui est spécialement heureux d'être ici, d'ailleurs, il semblerait qu'il tienne plus du taureau que de l'humain. Je m'approche de lui, pour me mettre dans son passage. Je n'ai pas l'air spécialement hostile, mais pas particulièrement heureux de voir un étranger débarquer sans vergogne comme ça dans ce qui est, rappelons le à la base à tous ces trolls qui prennent ça pour un moulin, ma chambre d'auberge. _ Je n'ai pas le souvenir de vous avoir permis d'entrer. » Façon subtile et un peu plus élégante qu'un « T'es qui ? » pour lui signifier que sa présence n'était pas spécialement désirée. _ Si vous cherchez les douches, c'est au fond du couloir première porte à droite. » Évidemment, j'étais toujours ravi de rendre service. En particulier lorsqu'il s'agissait de se débarrasser d'importuns. »
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Sam 23 Aoû - 10:47
Ethan Faun Bloody Hell Rp Libre ~
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♣ Et te voilà dehors, grelottant sous une gouttière qui fait également office de douche tandis que tu es trempé de la tête aux pieds...aux pattes plutôt. Ironie du sort tandis que tout se passer bien mais tu ne comprenais pas pourquoi il mettait autant de limite dans cette « relation » qui n'en était pas une. Vous ne partagiez rien. Vous ne ressentez pas la même chose l'un vis à vis de l'autre et apparemment, il ne semblait pas près à faire des concessions pour le reste des 45 jours imposés. D'ailleurs pourquoi 45 ? Est-ce là un chiffre satanique ? Un porte-malheur ? Après tout ce type n'avait pas l'air de porter chance ni d'être très joyeux, c'est à peine si il s'amuse de la situation par moment, il est là, te fixant et tout lasse de tout ce qui se passe autour de lui et tout ce qu'il sait faire c'est en profiter à son avantage, refusant catégoriquement de t'aider. Puis ton oreille se redresse comme si tu entendais sa voix. Il parle...Tout seul ? Il était fous, tu l'avais sentis. Pourtant à l'odeur, il y avait une autre personne..Un mélange de rose et de jasmin...Oooh le scélérat ! Il reçoit une damoiselle dans sa chambre ! Voilà pourquoi il t'as viré, c'est pour avoir la paix. Tu te redresses, déterminé à bousiller son plan cul ou qu'importe ce que c'était pour la soirée et tandis que tu t'approches en courant de la fenêtre, tu te la pris en plein dans le museau et tu retombas en arrière, glissant sur le toit. Les gouttes d'eau t'empêchèrent de voir grand chose dans la pièce et tu ne vis qu'une silhouette qui semblait être en serviette sur le seuil de la porte. « - JE LE SAVAIS !!!! » La fenêtre étant fermée tu te résolus à passer chez le voisin qui était sous sa douche, tu aurais pu prendre celle de la voisine rose bonbon mais son chien te voulait en tant qu'amuse-gueule pour la soirée... Tu passas comme un ninja sous la table avant de faire une roulade direction la porte et une fois avoir réussis ton dérapage dans le couloir où tu mis de l'eau partout, tu te précipitas jusqu'à la chambre d'Uriel. « - A nous deux ma grande !!! Je te laisserais pas te perdre avec ce goujat !! » Puis en courant tu vis que la « femme » pris soudainement une autre carrure et une taille différente...un homme ? Enfin...D'accord...tout les goûts sont dans la nature mais personne ne viendra déranger l'entre du goujat comme cela ! Touche pas ça ! « - SUSSSSS A L'ENNEMI !!! CHARGER !!!!!!! » Et tu fis un ultime saut, qui au ralentis serait passer pour la scène la plus épique de tout le théâtre de Fiore, le tout dans un contrôle acrobatique dés plus parfait et tu te retrouvas la bouche grande ouverte avec les crocs de sortis pour mordre ce qui était en suspension sous la serviette blanche. C'était comme sonner des cloches à l'église...Pareil, fallait seulement tirer un peu plus fort sur la corde pour que le son puisse se faire entendre. Arrière le poilu, ici c'est un terrain privé.
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Sam 10 Jan - 6:21
Uriel Rudraksha VIDEOLE BRUIT DU SILENCE
« DANS LES OMBRES, LA NUIT, QUI PEUT DIRE A QUOI TU RESSEMBLES ? TU N'ES QU'UNE SILHOUETTE PARMI D'AUTRES, QU'ANIMENT L'IMAGINATION, TES PEURS ET MES FANTASMES. »
« I l y avait quelque chose de dérangeant chez cet homme, dans sa posture, la certitude insolente dans ses yeux et l'intrusion qu'il avait faite. Quelque chose de hérissant. Dans mon esprit, mon instinct ne me disait qu'une seule chose : mâle. Ce type puait la testostérone à plein nez et il affichait là sa masse de muscle avec autant d'assurance qu'un beauf une paire de couilles sous le nez d'une pauvre jeune femme pour une tentative de drague subtile. La domination était une affaire d'instinct, de phéromones et de force, et là tout de suite, mon côté animal se sentait agressé par sa présence, et il m'avait fallu d'un seul regard pour comprendre que ça n'allait pas se régler simplement. _ Faites moins de bruit... » La phrase reste en suspend dans l'air, menace sourde sur laquelle il est inutile de poser des mots. Je plisse les yeux dans un mouvement indiscernable, l'autorité m'est aussi agréable qu'une lame dans le ventre, qu'elle provienne des officiels ou d'un gorille qui veut jouer à qui a la plus grosse dans une tentative d'intimidation. Et là, c'est le drame, pour au moins la douzième fois de la soirée, quand un gambadement intempestif surgit du néant pour faire une pirouette rousse de ninja, passer sous la serviette et... QUOI ? J'écarquille les yeux de surprise en même temps que celui de mon interlocuteur - mais lui, de douleur - et, intérieurement, je compatis l'espace d'une seconde à l'influx nerveux douloureux en route pour son cerveau. Une seconde seulement, et ensuite, une satisfaction importante se répand en moi, et l'envie de lui dire « Alors, c'est qui le mâle qui a la plus grosse maintenant hein ? ». Il ouvre la bouche pour laisser échapper un cri puissant de douleur, commençant à se tenir l'entre jambe, mais je réagis avec rapidité et je lui fais une clef de bras, à la fois pour l'attirer du couloir jusque dans ma chambre, à la fois pour poser ma main sur sa bouche et le forcer à la fermer. Je ferme vaguement la porte du bout du pied et, déjà, afflux en moi une force spirituelle qui fait gronder l'air comme une présence invisible. De nouveau, il y a quelque chose. Ce n'est pas dur de maîtrise le gars, le pauvre est recroquevillé sur lui-même contre le mur, mais je lis aussi une rage brûlante dans ses yeux. A mon encontre principalement, vu que je suis juste devant lui, mais ça ne devrait pas tarder à tomber sur Ethan. Il me fixe, son regard dans le mien, mes yeux d'un bleu céruléen vrillant son esprit avec l'impact d'un coup de poing. Quelque secondes passent, où il oscille tant bien que mal entre une tentative de se défaire de mon emprise et celle d'atténuer la douleur de ses gonades, mais il n'arrive à rien. D'une voix calme, je m'adresse alors à lui. _ La douleur est passagère, elle disparait. Tu ne sentiras plus rien d'ici quelques secondes, crois-moi. » Malgré tout, il a encore mal, mais la chose semble rapidement s'atténuer jusqu'à revenir à un niveau normal. Il me fixe comme s'il lui manquait une case ou s'il se demandait ce qu'il faisait là. D'une voix calme, presque blasée, je lui assène un ordre._ Retourne dans ta chambre, dors, et oublie nous. » Un bug. L'espace d'un instant, il hésite, mais finit par se relever doucement. Je l'aide, un peu à s'appuyer et, déjà, il prend la porte, quittant la pièce pour retourner dans le couloir. Doucement, la situation s'apaise et la sensation étrange disparaît. Je devrais être furieux, ne serait-ce que parce que ces dérangements intempestifs commencent à me faire perdre patience, mais je reprends mon souffle et évacue toute cette frustration. Je m'adresse alors au renard. Il semble fier de lui. Étrangement, ça ne m'étonne pas._ La jalousie est très mauvaise pour la santé, tu le sais ça ? » C'est une tentative d'humour, mais au fond, il est difficile de savoir si je suis sérieux ou pas. Quelques instants de silence indécis passent, et parfois j'ai vraiment l'impression de me retrouver devant un enfant. Ça me rappelle Altiel, et ses égarements. La chose ne vient pas sans une certaine amertume, d'ailleurs. Je ferme la porte et verrouille de nouveau le loquet, et déplace mon arme du mur à côté de l'entrée jusqu'à côté du lit. C'est plus sûr._ Merci, en quelque sorte. » Je sais faire preuve de reconnaissance quand il le faut, même si en l'occurrence, il venait encore de semer la zizanie partout. d'un air blasé, je désigne vaguement la pièce et le bordel qui y règne, comme pour dire que j'abandonnais la raison et la dignité._ Fais ce que tu veux. » »
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Sam 10 Jan - 10:59
Ethan Faun Bloody Hell Rp Libre ~
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♣ Ce geste était mémorable. Ce geste était épique. Ce gesté était d'une beauté comparable à celle de l'actuelle Miss Fiore. Toi-même tu en fus fier et si un jour on t'avais dis que tu te retrouverais suspendu dans les airs, accroché aux bijoux de famille d'un inconnu...Tu ne l'aurais pas crû. Pourtant ce fut le cas, ne supportant pas être déranger, tu t'étais donné la peine de chasser cet intrus jusqu'à l'intervention du rouquin. Il y avait une différence entre vos deux interventions d'ailleurs et la sienne semblait plus..Musclé. Comme lui. Ni une, ni deux il chassa le cafard du seuil de la porte et se retournant vers toi, te regardant presque avec cet air blasé qu'il semble avoir adopté depuis que tu as franchis le seuil de sa porte. Jalousie? "- Jaloux ? De quoi ? De ces cacahuètes? Rien à foutre, j'ai des pistaches moi! Regarde!!!! " Tu t’assois au milieu de la pièce, lui montrant ta paire également avec un grand et fier sourire car les hommes évalués souvent leurs virilités par la taille de leur zizi. Voilà que tu lui as entièrement dévoiler ton corps à présent que ce soit en long, en large ou en travers. Puis un malaise te gagne quand il murmure quelque chose ressemblant à un remerciement. La bête semblait savoir ce qu'était la gratitude et savait même en faire preuve. Lui te remercier? Tu aurais eu envie de prendre en photo cet instant mémorable rien pour voir à quel point ces mots semblaient lui arraché le cœur. Avec un peu plus de conviction et de passion, tu aurais presque pu le croire. Tu montes sur le lit, t'affales dessus, te roules dans les draps alors qu'il semble s'abandonner à ta loi. Tu gagnes du terrain. Il semble abandonner le combat contre toi. Alors que ton museau sort à peine des draps blancs, tu le cherches à l'odeur et balance dans la pièce un vague sujet de conversation car le calme était devenu pesant. "- Hey dis rouquin, tu ronfles la nuit? Non parce que j'aime pas les gens qui ronflent... " Descendant de ta nouvelle conquête d'un soir, tu te mets à ses pieds et le regarde avec ce même air que les petits chiots, tu les avaient vue faire ces enfoirés..Dés qu'ils abordent ce petit regard de malheureux, on leur donne tout. Absolument TOUT. Tu tentes alors ta chance. "- Pssstt...T'aurais pas un truc à bouffer? Toute cette aventure m'a creuser l'appétit et je dors mal le ventre vide. Tu veux pas appeler le service d'étage? Ou un truc du genre. J'ai vraiment faim...Je repense encore à ce poulet de ce midi..Hmm un régal pour les babines. " Le poulet. Les crabes. La marchande de poisson. L'aubergiste. La femme bonbon. Le chien. Et les mages osent encore se plaindre de la vie? Tu venais de franchir et de réussir épreuve après épreuve auprès de ce type...T'as alors ce sentiment que rien ne peut t'arrêter. D'être invinsible.
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Lun 26 Jan - 4:11
Uriel Rudraksha VIDEOLE BRUIT DU SILENCE
« DANS LES OMBRES, LA NUIT, QUI PEUT DIRE A QUOI TU RESSEMBLES ? TU N'ES QU'UNE SILHOUETTE PARMI D'AUTRES, QU'ANIMENT L'IMAGINATION, TES PEURS ET MES FANTASMES. »
« D e toutes façons, il n'y avait qu'un seul lit, et si Ethan ne voulait pas dormir par terre, dans son propre bordel fait d'eau, de poudre de maquillage et de feuilles de thé, il n'aura qu'à faire le nécessaire. J'avais souvent l'habitude de dormir avec mon petit campement et mon frère, avec pour seules compagnes la solitude et la nuit, là dans la nature. Alors du bordel, ça n'était pas ça qui m'empêcherait de dormir, et dans tous les cas l'aubergiste était payé pour s'en occuper. Néanmoins, j'avais horreur du bazar quand celui-ci était injustifié, et je tenais à mon calme. Pire que ça, ça m'était une composante vitale. En fait, si je ne pouvais pas méditer chaque jour un peu, je pouvais très vite passer berserk pour la moindre des choses, en apparence pourtant futile, alors tu étais prévenu, Ethan, mets encore ton bordel et tu seras propulsé sur la Lune avec un coup de pied au cul, aller simple pour l'espace. Je me dirigeais vers la bouilloire pour continuer à y préparer du thé, jetant dans l'eau bouillante les précieuses feuilles et, après un instant d'hésitation, j'y plongeais quelques unes des ces feuilles normalement destinées à la relaxation, y forçant un peu la dose. Rien que les vapeurs fruitées de la chose appelaient à la détente de l'esprit. De la drogue ? Non, simplement un usage médicinal des dons de la nature. Parfois, ça servait de s'y connaître, en herboristerie. Je ne prends même pas la peine de répondre à sa question et je l'ignore. En fait, c'est à peine si je l'entends, concentré sur ma tâche, et trop de péripéties m'ont agité ce soir pour porter de la considération à une telle remarque. Si je ronfle la nuit ? Est-ce que je te demande, moi, si tu as les ongles incarnés ? Il se mets alors devant moi, s'incruste, et prend cet air de chien battu en réclamant à manger. Si ç'a n'avait été si improbable, j'aurais juré que tout ceci n'était en réalité un sketch. _ Tu penses vraiment pouvoir m'avoir avec ta ruse ? Il va falloir trouver autre chose, le poilu. » Je m'accroupis devant lui et le prends alors par la peau du cou, pour le soulever devant moi et le mettre à hauteur des yeux._ Je n'ai absolument rien à manger, tu as complètement ruiné nos possibilités de sortir en bas dans la salle commune commander quelque chose et, en plus de ça, tu me dois toujours un poulet. Oui, un poulet. Le pari, ce midi, ça te rappelle quelque chose ? Donc jusqu'à preuve du contraire, ce soir ça sera jeûn. » Un silence. Très court, avant que je ne le mette au-dessus de la bouilloire qui crache ses vapeurs de tisane tranquillisante._ En fait, je pourrais simplement te manger... Tu en penses quoi ? Donne moi une seule bonne raison de ne pas le faire. » »
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha] Lun 26 Jan - 4:31
Ethan Faun Bloody Hell Rp Libre ~
♣ Il était là, accroupit devant sa cheminée. Il était là et semblait t'ignorer totalement. Qu'une femme puisses te mettre un vent, tu peux le tolérer mais ce type venait de t'envoyer un ouragan sans que tu n'eus le temps de le voir arriver et de façon magistral. Puis soudain, il se retourne et t'attrapes comme on attrape un de ces chiots dans la rue, il t'attrape et te regarde droit dans les yeux. Ce type était limite flippant par moment surtout avec une telle distance entre vos deux têtes. Il te rappel le pari de ce midi, le fameux poulet puis finalement il te dans la cheminée sans aucun scrupules en te demandant de bonnes raisons de ne pas te manger. C'est alors qu'il te rappel ce compte pour enfant...Cette vieille sorcière mangeant les enfants c'était comment le titre déjà? Hansel et Gretel non? "- Ahaha t'oseras pas me manger mon gars! Je serais pas pas bon pour ta ligne de mannequin...Tu risquerais de grossir genre d'un coup. Pouf! " Tu fais travailler tes abdos pour relever ton postérieur changeant de couleur et passant au rouge vif. En effet, il faisait un peu chaud ici. Légèrement d'ailleurs mais au moins, ça te permettais de sécher vite fait et de faire fondre les quelques calories que tu aurais pu prendre avec le repas de ce midi. "- Tu sais franchement t'es un type bien...Je voudrais pas te faire de mal si tu me reposes pas de suite....Eh bien...Eh bien..Je ne réponds plus de rien et je te ferrais vraiment mal. Genre méchamment, t'auras une cicatrice et tout. Ca sera moche. Tu voudrais pas abîmer ton corps de body guard quand même? Aller soit choux et mignon et repose moi rouquin! " T'as l'impression que tes abdos sont entrain de t'abandonner et tu viens à regretter d'avoir sécher les cours de gym quand tu étais plus petit. Si t'avais écouter ton prof plus souvent, tu pourrais au moins compter sur eux mais même pas. Bande de lâches! En te balançant dans le vide, t'arrives à t'accrocher à son bras en croisant tes jambes autour de son poignet, tel un petit cochon suspendu au dessus du feu. "- Je vais sentir le fumé. Je te préviens, je vais vraiment sentir le renard fumé...Repose moi par terre où je cris au viol. Oui, oui, oui je cris au viol même si actuellement je suis entrain de m'accoupler avec ton bras tout poilu et tout muscler...Ouuuh t'es musclé quand même! dis-tu en te frottant contre" Tu le regardes, baissant les oreilles et lui tirant la langue, ultime menace de ton répertoire. Maintenant s'il voulait vraiment te faire rôtir, il allait devoir y laisser un bras. Alors Rouquin, tu fais comment maintenant? Tu t'attendais pas à celle là hein?
Sujet: Re: Bloody Hell [Pv : Uriel Rudraksha]
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