Vous êtes sûrement en train de vous dire : c'est quoi ce délire? Un sujet libre? C'est pas de l'impro pourtant? Eh bah si! Ce qu'on écrit et ce qu'on dit dans mon histoire, c'est de l'impro de A à Z, il n'y a jamais rien de prévu, rien de discuté. Tout ça, ça sort d'une petite cervelle dans l'espoir que ça plaise à quelqu'un. Voyez-vous, dans mon cas, on en a rien à foutre que ça plaise ou non, on fait juste décrire ce qui se passe dans le seul et unique but de s'éclater et de faire de votre séjour, un séjour mémorable (et des vacances ensoleillées). Et toi tu te pointes comme ça comme une agente de bord qui essaie de vendre son truc c'est ça? (Non, je fais seulement continuer la petite merde que t'es en train de leur dire. Après tout, on sait tous où ça allait mener) Nah nah, impossible! Je suis imprévisible moi. (Ouais ouais... on verra ça dans une autre vie peut-être!)
Bon, où est-ce que j'en étais avec moi-même? (Tu te touchais entre deux brindilles de foin.) NON! PAS CETTE PARTIE-LÀ. (Bon alors arrête de me poser des questions sur ce que tu fais si tu ne veux pas que je réponde à ta place grosse tache!) Je ne t'ai jamais demandé ton avis D'ABORD! Alors t'as aucune excuse de pointer ta sale tronche dans MON histoire! Ahem... Me voici me voilà dans le sud du pays. On dit que y'a pas mal de chaudasses par ici, Les filles sont en chaleur, elles portent des bikinis. Les hommes jouent le jeu et se mettent torse nu juste pour montrer à quel point ils ont développé leur muscle sous leur mamelon. " Look comme c'est mâle! Touche comme c'est dur. " Mec, t'as autant de seins que la fille là-bas et ON TOUCHERA CERTAINEMENT PAS À TON TRUC HUILÉ TROP DÉGUEUX!
En fait, je ne suis même pas dans cette région du Sud. Je suis sur une sorte de sommet désertique, proche d'un désert. Quand Jay m'a dit qu'on devait partir à l'aventure, alors c'est ce que j'ai fait et j'ai décidé d'emprunter les pires sentiers et de passer par les lieux les plus dangereux. Heureusement que les dragons ont disparu sinon je serais clairement mal barré! Donc pour revenir à nos brebis, c'est un village d'indigènes. Donc en quelques sortes, je ne vous ai pas trop menti sur l'habillement des gens... sauf que les filles font du monokini depuis leur naissance alors leur poitrine traîne presque jusqu'à leurs genoux. Les gars sont habillés juste d'un pagne et leurs maisons sont un tas de paille qui ne prend bizarrement jamais feu.
Je m'avance, je m'incruste dans leur village de merdeux et je m'invite moi-même autour du feu où ils font cuire du poisson durement pêché. Quand je juge qu'il est bien cuit, je prends la brochette et mange le poisson sous les airs indignés du pêcheur qui tente de m'enlever ma bouffe comme un sauvage. Je lui crie : " HEY! " Il sursaute, mais me tient toujours les bras pour que je relâche la brochette. " LÂCHE! C'EST À MOÉ! " Il me répond dans une langue que j'ai jamais entendue de ma vie. Ma bouche vient arracher le poisson de la brochette avant que je me donne un élan et que j'enfonce la broche sous son menton, la faisant traverser sa langue jusqu'à son nez. " Oups... "
Je ne peux pas laisser ça comme ça... les autres sauvages vont bien débarquer d'une seconde à l'autre! Je retire la brochette d'un coup sec avant de forcer ma main à passer par le trou pour aller chercher le plus de sang possible et me le foutre dans la bouche en riant comme un débile. Chose faite, je quitte la scène de crime et me cache dans une hutte. Quelques secondes plus tard, un cri retentit. La panique se crée. Le vrai spectacle commence.
Je les entends s'agiter comme des fourmis cette bande de tous nus. Je suis caché, personne ne me voit et vu que je ne fais pas de bruit, personne ne m'entend non plus. Il n'y a que mon oeil qui soit visible de l'extérieur et ça, c'est juste si on s'y attarde. L'oeil dans la fente, je les vois courir, protéger les enfants qu'un autre crime pourrait se faire. Oui, ça aura lieu, seulement si on m'empêche de bouffer... ou si j'ai vraiment une soif de sang ou de m'amuser. Au loin, je vois des mèches blondes. Dites-moi bien ce qu'un top modèle peut bien faire ici? Nah mais vous avez vu sa tronche? Il doit sûrement faire les couvertures des magazines de cul. Je grimace, je me retiens de vomir. Aller, c'est pas le temps de penser à un magazine de cul pour les indigènes...
Et puis là, je ris (la main sur la bouche bien évidemment). Le Fiore's Next Top Model se fait arrêter par les tous nus avec leurs fourches et leurs haches... Leurs fourches... LEURS FOURCHES! ILS SONT TOUS NUS CES GROS DÉGUEULASSES SANS PUDEUR! Ça sent le viol à plein nez. Je suis plié en deux sauf que quand je les vois aboutir dans MA hutte, je me dis que c'est le temps de me bouger le petit cul... sauf que Ken m'a déjà vu et il le dit à voix haut. Mais oui... MAIS OUI! ABRUTI! DIS-LE PLUS FORT UN COUP PARTI! Je lui fais un clin d'oeil avant de disparaître derrière un autre truc de la hutte. Une chance que les indigènes ne comprennent pas le français sinon je serais vraiment mal barré. Puis là il est tout seul avec deux gardes pour avoir son procès... mais moi j'ai une de ces envies de pisser alors rester-là, non merci.
Je sors de ma cachette en dégainant une épée et j'en transperce un devant les yeux traumatisés de son meilleur ami et Ken (tiens je vais garder ce nom, ça sonne bien). Mon épée bouge et tourne en rond avec force dans son torse avant de se retirer brutalement. Le coeur encerclé de sang, je fais entrer ma main pour retirer son coeur et le lancer dans les airs comme s'il s'agissait d'une balle. L'indigène s'écroule, l'autre me menace avec sa fourche son arme. Je rigole avant de lancer le coeur sur le front de Ken. Voyant qu'il n'a pas eu le réflexe de l'attraper, je le pointe du doigt et ris: « PUTAIN MEC TU MANQUES GRAVE DE RÉFLEXES! » Je secoue mon bras ensanglanté en direction de l'autre indigène avant de faire usage de ma magie pour me déplacer à toute vitesse et changer de hutte. Cette fois Ken est libéré, ils ont vu mon visage alors la prochaine étape c'est de tuer tous les témoins...
« AH! BABA BOUBOU! »
« Fuck... je suis entré dans une tente habitée... »
La grosse tient son gosse contre elle (oui j'ai dit grosse parce qu'elle est enceinte. PARCE QUE OUI LES FEMMES ENCEINTES SONT GROSSES!). Je mets mes poings sur mes hanches et secoue la tête comme pour lui signaler qu'elle devrait rien faire de plus... mais la débile se met à crier pour alerter les autres... bon... ça sent le massacre. Je dégaine et je tranche deux fois... deux têtes roulent. Mais plus je regarde le ventre, plus il m'intrigue. Je m'accroupis à côté et me mets à le frotter comme une boule de cristal. « Ô grande boule de cristal, raconte-moi mon avenir! » Je prends une voix plus aïgu pour me répondre à moi-même : « Tu seras... PAPA! » Je me mets à taper dans mes mains de joie avant de répondre: « Merci boule de cristal... merci! » Je prends ensuite mon épée à deux mains et j'ouvre le ventre de la femme enceinte pour lui faire une césarienne improvisée et un peu trop avancée aussi. Le bébé suffoque parce que je l'étrangle avec son cordon. Les indigènes arrivent, je leur tire la langue avant de prendre la tête de l'enfant décapité sous un de mes bras, puis le foetus sous l'autre.
Sujet: Re: It's my party [Libre] [-16] Jeu 30 Juin - 10:20
Maël Selesta
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Titre : LimoTeubé Crédit : moé. Feuille de personnage Maîtrise Magique: (13800/35000) Mérite: (430/800)
it's your party.
Sujet: Re: It's my party [Libre] [-16] Jeu 30 Juin - 17:27
[PNJ] Tarot
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Crédit : Bibiiii
Ivan Dreyar
Sur invitation seulement
C'est un carnage qui s'offre à lui. Une fête à laquelle il n'a pas été invité. Des indigènes, des tentes, du sang. Beaucoup de sang. La peur qui les fige sur place et pourtant, le soleil brille de tous ses rayons. Une belle journée pour faire ce que l'on veut, n'est-ce pas? Il ferme les yeux, il sourit. C'est parfait. Ils sont parfaits. Leur caractère est parfait. Quant à celui qu'il connait déjà, ça ne fait que lui faire plaisir de le revoir... en vie. Phénomène particulier, et pourtant tellement utile. Même si en cet instant il ne fait rien, il sait que sa haine pour les Fées est équivalente à la sienne. Il sait aussi qu'il a eu des fréquentations des plus étranges ces derniers temps, mais il ne lui en veut pas. Il sait au fond de lui, que son appartenance est à Raven Tail.
Alors il s'avance, reniflé de loin par le blond qui se retourne quand il arrive. Le blond provoque le maitre, ce qui lui fait arquer un sourcil. Perdre des kilos? Pour qui il se prend? Il se prend pour lui-même, c'est Maël. Il n'y a pas d'explications mis à part celles-là. Et s'il a une limonade? Il sourit. Maël le voit fouiller dans sa manche dans sa manche et lui tendre une canette de limonade bien fraiche. Certainement, connaissant Ivan, on sait qu'il s'est passé tout autre et qu'en réalité, il s'est penché pour ramasser un vieux gobelet rempli de sable... Si Maël croit dur comme fer que c'est vraiment une canette de limonade, c'est lorsque le contenu aura atteint le fond de sa bouche que l'illusion se perdra.
" J'aurais pu perdre du poids au même titre que tu aurais pu tuer cette blonde de Fairy Tail... Tu te ramollies jeunot. "
Puis il lève les yeux vers le sacrificateur et d'une expression intriguée, il demande :
" Tu le connais? "
Ivan regarde la scène sans détourner les yeux. Jamais il n'a vu cet homme, et ce ne sera guère la dernière fois qu'ils se croiseront. Il a des plans pour Raven Tail et il compte bien l'y intégrer.
Sujet: Re: It's my party [Libre] [-16] Mar 26 Juil - 20:03
La foule se rassemble et m'acclame. Ils m'encouragent, ils crient, ils pleurent de joie. Quand je lève mes bras ensanglantés vers les cieux, ils crient encore plus fort, quelqu'un perd patience. Une perche est lancée vers moi. Comme un pro- comme Batman - je lance la tête et le foetus en direction de la perche pour faire une brochette que j'attrape ensuite au vol. Vous devez sûrement vous demander comment c'est possible? C'est simple, c'est grâce à la magie de Disney! Vous connaissez Disney, non? Les chansons, les princesses et les princes à deux balles... bein moi je suis une princesse, sûrement Elsa en plus de ça - et pas parce que ça ressemble à Erza... Elle a du style, elle fait de la magie, exactement comme moi. À partir de maintenant, vous pourrez m'appeler la Reine du sang! (Parce que y'a pas de neige, on est dans le Sud!)
Je fais tourner le bâton autour de moi comme un ninja qui s'apprête à se débarrasser de ses ennemis à coups de perche... mais personne vient. Tout le monde est indigné et décide de se tourner vers les autres étrangers qui regardent la scène au loin. Ils parlent dans leur babouchka avant de s'incliner et de les implorer comme des dieux. Et moi? ET MOI ALORS? C'EST MOI LE DIEU! C'EST MOI LE ROI DE LA MONTAGNE! En quoi se donnent-ils le droit de changer de divinité en l'espace de quelques instants? " HÉ! LES CHARBONNEUX! " Ils ne se retournent pas. Leur peine est tellement grande, l'insulte leur sort par les oreilles et contre le moment d'attention que j'essaie d'obtenir en leur criant dessus. Je prends la perche à deux mains et la brise en deux sur ma cuisse en écrabouillant par mégarde le foetus qui y était empalé. Je me dis qu'il ne reste qu'une chose à faire pour avoir ce que je veux, une chose à faire pour que la fête se termine en beauté.
" Ça va chauffer dans vos culs les tous nus! "
Je contourne, je descends pour rejoindre mes faux extrémistes et j'abuse de leur cul avec la perche. Ils ne m'ont pas vu venir, mais en entendant les premiers crier que leur cul leur fait mal, ils se retournent et reculent vers les autres dieux de la place dans l'espoir qu'ils les protègent. Je les empale les uns après les autres jusqu'à ce que les hommes se laissent emporter par leur instinct de babouin pour me sauter dessus pour mettre fin à mon règne. Je suis à sec au niveau de ma magie et mes conneries m'ont amené dans ce cul-de-sac. Je les regarde en souriant avant de pouffer de rire. Les bras plein de sang, c'est là que mon génie se fait aller. Avant de me faire transpercer à mon tour et de les voir me faire justice sans me laisser la chance de m'expliquer, c'est d'un coup sec que je me dégage de mes bras glissants, me penche, dégaine et tranche leurs bras, leur torse, leur tête jusqu'à ce qu'autour de moi forme un cercle de cadavres. Les gens restants se contentent de reculer, se cacher, s'enfuir, me laissant faire face aux deux hommes qui me regardent comme des vautours affamés.
" On dit que le cannibale est mort, vous êtes ses disciples, les baveux? "
Un coup dans le vide de mes sabres pour les dégager du sang qui coulait jusqu'au manche, j'attends de voir s'ils sont aussi affamés qu'ils en ont l'air.
Sujet: Re: It's my party [Libre] [-16] Mar 20 Sep - 20:11
[PNJ] Tarot
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Crédit : Bibiiii
Ivan Dreyar
Sur invitation seulement
La réponse des deux hommes satisfait le maître de la guilde noire. Il sourit. Quelques mots échangés plus tard, la situation tourne comme il l'avait prévu. Maël n'est plus intéressé par sa "nouvelle guilde". Celle-ci ne l'encourage en aucun point dans sa quête de faire payer Fairy Tail. D'ailleurs, il révèle au maître qu'il n'a jamais vu le sien, comme tout le monde... c'est comme si la présence d'un maître dans cette guilde était inexistante. Qu'est-ce qui peut bien pousser des mages illégaux à collaborer ensemble s'il n'y a personne pour les guider dans un but précis? Ivan trouve cela bien étrange, mais il ne cherche pas de réponse bien plus loin.
Quant à l'autre personne qu'il vient à peine de rencontrer, son caractère chaotique l'a intéressé dès ses premiers déplacements. Imprévisible et complètement cinglé, c'est certainement dangereux de l'intégrer à sa propre guilde, mais ça peut aussi être un atout. Si le gars aux cheveux verts est amoureux du sang, il se fera un plaisir de le guider vers ses prochaines victimes. Tous les trois quittent le village effrayé des indigènes. Et c'est à ce moment qu'il leur révèle alors l'emplacement discret du bâtiment.