x Opposant.

10h15 tadam

Leonhart a assez joué. La forme démoniaque vient d’arriver à son terme. Il regarde les deux chemins se former devant lui, cependant, il ne regarde même pas. Son pouvoir s’amorce et sa magie se déchaîne. Il l’avait dit, la magie était terminée. L’annihilation, ne pouvait créer des choses, elle détruisait juste des choses. Aujourd’hui c’était la répétition. En effet, lorsqu’il devenait démon, il possédait une forme plus puissante, plus de pouvoir magique, mais il maîtrisait des techniques plus dévastatrices. Cette magie était simple, toute techniques qui avait déjà été utiliser une fois. Allait se voir disparaître, l’illusion, les loups, les démons. Toutes choses qui ont déjà été ressentis par la magie de Leonhart allait être annihiler. Bon qu’on soit bien d’accord. On peut les réinvoquer, mais autant dire que pour une simple attaque. De plus, la technique qui de base ne pouvait cibler qu’une technique va se sentir amplifier par l’onde de l’œuf avant qu’il ne s’explose au même instant que la technique se propage.  Le démon vint apparaître dans une pluie de paillettes bleus de stigmates de l’œuf qui vint de se détruire. Les loups ont disparu, la musique également, seuls quelques démons persistent. La faux vint de redevenir dans sa main.

Cependant, Enya veut tenter quelque chose, mais elle n’a pas pris en compte le temps de lancée de son sort qui les a transportés dans les enfers qui est normalement de 20 secondes. Tout redevint à la normal, mais les démons qui ont apparu aux côtés d’Enya viennent de disparaître de nouveau. L’aveugle semblait abasourdi et Zeref venait d’apparaître au loin dans la ville. La puissance et les yeux deviennent noirs chez le démon. Une aura de fureur de se créer autour de lui et un hurlement se dresse. Alors que ses ailes se déploient dans l’air et d’une vitesse hallucinante il apparaît aux côtés du chiot qui aboyait. La faux s’abattait d’une vitesse folle. Un flot de sang se mit à gicler et le corps de Bacchus vint s’empaler sur la faux. La lame transperçait le corps du maître de Quatro au niveau des poumons. Il tenait empaler dedans et en même temps que le rire sardonique du démon se créait, il projetait contre un mur le corps du chien qui allait mourir en peu de temps. Pauvre chose qu'il était abattu, par le chasseur.

La faux qui s’approchait de la langue du démon qui léchait délicatement : « Même votre sang n’est pas bon, vils humains. Si, vous pouviez vous dépêchez. Mon père m'attend, pour l'heure de son exécution."

Il vous contemple, il vous sourit. Il se déchaîne.  

Ordre de passage :

Misto-Bacchus-Enya-PNJ

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