La neige qui recouvrait mes bottes noires, mon manteau que j’avais troqué pour un manteau épais contraire à celui que je portais habituellement. La poudreuse était énorme, elle entravait mes pas et je me demandais constamment quelle mouche m’avait piqué de vouloir aller m’entraîner contre des hommes des neiges qui ressemblait au mythe du Yéti. Tout ça, parce que j’avais besoin d’être plus fort, car c’était bien beau d’avoir un esprit qui pouvait jouer aux échecs partout, mais si je ne pouvais même pas me battre convenablement et augmenter mon pouvoir magique c’était assez inutile. En attendant, je me retrouvais dans cette situation assez grotesque. Heureusement que personne ne me voyait essayer de garder un peu de contenance en marchant dans cette neige qui contrastait tellement avec ma personne. En effet, le blanc immaculée d’un endroit qui paraissait si vierge de toute ténèbres et moi tout vêtu de noir et mes cheveux bleu nuit qui dénotaient avec le paysage. Je n’étais rien que ce mauvais canard dans cette histoire. Cette chose ou animal qui avait ce pelage si différent de ses confrères. Cependant, j’étais là et j’avançais dans un milieu qui ne me ressemblait tellement pas à la recherche d’une chose qui aurait dû exister que dans les mythes. Cependant, comme le crédule devant son histoire, je n’étais qu’en recherche d’une chose. Ne plus être ce petit crédule et comprendre que ces choses existaient vraiment.
En attendant j’avais amené avec moi dans mon sac, mon livre de conte, visant un conte particulier pour l’acquérir dans la collection de mon pouvoir. Un conte qui mettait en scène des personnages que je trouvais plus qu’intéressant. Au final dans ce conte je visais deux personnages, mais j’avais fait une fixette pour le moment que sur un des personnages et celui-ci serait j’espère en adéquation avec moi. Un pouvoir qui pourrait me servir dans l’espionnage. Puis, j’entendis un drôle de bruit, comme l’écho d’un vent lointain qui venait de s’engouffrer dans mon oreille comme pour m’apporter un simple message délicat et attentionné. Cependant, je vis cette silhouette qui dégringolait un des versants de la montagne. Elle semblait être comme un de ces pantins désarticuler qui rentrait en choc avec toutes parties de la montagne. J’avais réussi à me mouvoir de manière à me trouver sur sa route et faire un blocage de son corps. Je ne savais pas, pourquoi j’avais fait ça. Sûrement, parce qu’elle était une femme et que ses longs cheveux m’avaient attiré. Puis, elle serait morte si, je ne l’avais pas aidé. Je la contemplais un instant, elle avait des yeux d’une couleur particulièrement étrange. Ils étaient d’un blanc pur, un blanc qui ressemblait à la neige qui avait amortie notre chute. Elle me souriait et se mit à me remercier. Il était rare que quelqu’un d’autre que mon roi, ne me remercie pour quelque chose. Je la déposais et me relevait tout en lui demandant comme si cela venait de moi : « Avez-vous quelque chose de casser ? » Mon ton avait été assez neutre et d’un seul ton. Puis, je sortais mon écharpe du tout de mon cou et lui tendit : « Essayer d’essuyer votre visage avec elle. Puis, frictionnez le bien rapidement, sinon vous allez finir par avoir des engelures qui pourraient être très regrettable. »
Puis, j’attendais mon regard plongé dans ses yeux qui me perturbaient, mais je ne savais pas vraiment pourquoi. Puis, maintenant que mes yeux s’étaient habitués à la lumière et au décor, je remarquais que leurs couleurs n’étaient pas réellement blancs, mais d’un violet très pale qui pouvait dans ce décor porter à confusion avec le blanc. Je me demandais, si un balkan n’était pas très loin, ce serait le pire moment pour qu’il attaque.
Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Lun 7 Mar - 14:22
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Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Lun 7 Mar - 22:31
Mon regard se clignait d’un mouvement irréfléchi, je ne savais pas vraiment si le temps s’était arrêté ou alors si le temps s’écoulait toujours de la sorte ici, mais cet instant j’avais l’impression qu’il durait une éternité. Puis, elle me sourit tout en époussetant son manteau, elle était d’une grande beauté. Pour une fois que je trouvais une femme particulièrement belle, parce que d’habitude c’était plutôt l’inverse. Les femmes trouvaient que j’étais un plaisir pour leurs yeux, mais je n’aimais pas m’encombrer de distractions futiles à part de temps en temps quand je rencontrais une femme qui me donnait envie de m’approcher d’elle. De m’imaginer portant des gants de velours et m’approchant de la plus douce des roses pour la cueillir et la sentir, la toucher délicatement évitant ses épines et ne faisant que l’observer d’une lumière fluide dans mon esprit. Un simple regard plein de respect, pourtant je me détournais de son regard, je ne pouvais pas me permettre d’être faible devant une femme. Puis, elle me répondait de sa voix singulière, mais douce. Je lui rétorquais sans aucune émotion : « En effet, vu la trajectoire de votre chute, plus vitesse de la chute, il y a de forte chance que vous termineriez votre course dans le ravin un peu plus bas. En cet instant, vous auriez finit comme une simple crêpe. Le cerveau et votre sang servant d’agrément pour la crêpe. » La simple vision était assez répugnante, mais c’était la manière la plus simple de décrire la chose.
Je la vois réfléchir à utiliser mon écharpe, je la tendais un peu plus. Puis, elle la prit et s’essuyait frénétiquement avant de me regarder en me remerciant. Puis, elle m’interloquait sur le fait que j’avais le cou chaud et je réfléchis un instant : « Comme toute personne possédant le sang chaud, dans un environnement de ce climat, il y a de forte chance que n’importe quel objet avec une hausse de température vous paraissent chaud. De plus, vu que notre corps était à 37 degré Celsius, l’écharpe doit vous paraître en effet très chaude. » Puis, elle me la retournait et lui souriant tout en fermant mon manteau tout en haut de mon cou et fourrant mon menton dans celui-ci : « Gardez-là elle vous sera plus utile qu’à moi ! » Par la suite, elle me demandait la raison de ma venue en ces lieux. Je posais mes regards sur l’horizon qui s’offrait à nous, ma voix répondit par elle-même : « Je suis venu m’entraîner avec l’aide des bonhommes des neiges de cette contrée et vous ? »
Ensuite, elle semblait un peu décontenancée et me dit après s’être excusé qu’elle s’appelait Sybilia. Mon regard fut décontenancé. Je la connaissais, j’avais lu des articles sur elle, elle faisait partie autrefois du haut conseil de la magie. Elle avait par contre, subit une terrible déchéance après l’événement de la destruction de beaucoup de ville par Ajatar Virke. Je tendis ma main et lui dit d’un ton neutre : « Je suis Edan, enchantée Sybilia ! » Ce n’était pas mes oignons, son passé, mais elle paraissait tellement plus fragile que l’idée que je m’étais faite d’elle auparavant.
Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Mar 8 Mar - 1:48
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Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Mer 9 Mar - 18:01
Elle venait de rétorquer à mon analyse scientifique d’une façon encore plus gore et trash que la mienne, j’eu un instant de divagation où mes paupières ont simplement battu dans le vide. Elle était étonnante, car pour me prendre au dépourvu, il fallait le faire. J’avais d’habitude toujours un coup d’avance sur tout le monde, mais dans ce cas elle avait eu un coup d’avance sur moi. Je ne rétorquais rien, serrais juste les dents tout en me mordant la lèvre inférieure. Puis, elle restait quand même un brun stoïque face à ma longue tirade scientifique, parfois je pouvais être barbant quand j’étais un petit peu décontenancé, mais au final je n’aimais pas parler. Je le faisais simplement pour plaire à la société et ne pas paraître suspect, je ne pouvais pas me permettre d’être fiché pour le moment, surtout qu’elle avait un ancien passé qui pouvait être intéressant. Cependant, je voulais la considérer comme un pion, mais j’avais un peu de mal dans ma tête à la considérer comme tel. C’était la première fois que cela m’arriverait, je me trompe la deuxième fois, parce qu’auparavant il n’y avait qu’Adrien que j’avais considéré autre qu’un pion. Il n’y avait qu’Adrien que j’avais réussi à estimer auparavant ce qui était pour moi un grand mot. Il était très rare de pouvoir égailler chez moi un simple sentiment d’intérêt pour provoquer de l’estime il fallait se surpasser. Je n’aimais pas me fier à mes sentiments, ils m’avaient fait trop souffrir auparavant, je m’étais éteins le jour où mes parents m’avaient remplacé.
Elle me disait qu’elle allait me rendre un jour mon écharpe, ce que je souriais, c’était bien les humains pour croire que les choses pouvaient avoir un intérêt. Je m’en contrefichais en quelque sorte de revoir cette écharpe, mais instinctivement je répondis d’un air assez bête : « Si ça me permet de vous revoir, je ne pourrais dire non. » En même temps, j’avais déjà dragué et en ce moment c’était une parfaite scène, cependant au fond de moi j’étais perdu. Est-ce que je jouais un jeu ou pas ? Est-ce que j’étais l’acteur d’une fausse vie, où en cet instant j’étais l’acteur de ma propre vie ? Je n’avais pas vraiment de réponse, mais j’essaierai de le savoir tôt ou tard.
Puis, elle me sortit une blague sur les bonshommes de neige comme quoi précédemment elle ressemblait à un bonhomme de neige c’était vrai qu’en quelque sorte, elle aurait pu être considéré comme un bonhomme de neige auparavant. Cependant, je voulais parler d’abominable homme des neiges, rien du tout avec le gentil bonhomme de neige comme Olaf dans la reine des neiges. Puis, elle rigolait, je restais assez perplexe, je n’avais pas vraiment d’humour et ne savait que très rarement quand rire, ce n’était pas quelque chose que je faisais naturellement et un de mes rire ressemblait plus à un simple rire silencieux comme si j’étais muet. C’était assez banal et sans intérêt à mon sens. Puis, elle m’expliquait qu’elle était venue pour les balkans et qu’elle avait trouvé leurs cavernes un peu plus haut et si je voulais l’accompagner et je souriais, un simple sourire de courtoisie : « Pourquoi pas, un entraînement à deux est toujours plus intéressant qu’un entraînement seul ! » C’était bien la première fois que je disais ça, car d’habitude pour c’était plutôt l’inverse. Plus j’étais seul. Plus je me sentais bien, mais cette fois-ci. Il semblait que ma raison était ravagée par mon cœur qui devait se sentir seul pour dicter à ma parole des mots aussi inutile. Je commençais à monter la suivant, restant derrière au cas où si elle glissait de nouveau pour éviter qu’elle ne meurt cette fois-ci.
Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Jeu 10 Mar - 0:02
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Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Ven 11 Mar - 21:27
Elle avait l’air de se moquer de moi. Mon visage se renfermait de suite, un air assombri comme le corbeau qui se rend compte d’une peur inavouée. Je me sentais con, je me sentais bizarre de draguer, il m’arrivait rarement, mais au fond j’avais besoin comme tout homme de plaire même si j’avais cette impression de n’être qu’une coquille vide qui ne souhaitait que la puissance pour pouvoir écraser le monde devant mon pouvoir. Pour une fois, je me sentais faible et cela ne me dérangeait que peu. Mon cerveau était en train de créer tellement de paradoxe que je ne savais même plus quelle était la vérité dans ma tête. J’étais contant, je ne l’étais pas. Tout ça pour dire que mon cerveau est un peu comme Era en ce moment sujette à une bombe d’ampleur monumentale.
Puis, nous montâmes tout deux vers le haut de la montagne. Je remarquais une trace de la chute précédente de la jeune femme proche de la grotte : « On n’aurait pas dit que vous aviez un si gros fessier ! » Chasser le naturel, il revient au galop. Mon sens observateur avait l’impression de faire des constats constamment et quand j’avais fait une fausse note, il fallait que je la dénote. Ce n’était pas très galant, ce n’était pas très accrocheur, mais c’était toi. Tu étais ce garçon qui parfois n’avait pas de notion de bien et de mal, mais qui constatait chaque chose comme si c’était quelque chose de vitale. Elle exprimait un allons-y. Je la suivais dans la noirceur de la grotte, puis elle créait un papillon qui illuminait la grotte. J’aimais bien le noir, j’aimais bien pouvoir me fondre dans les ténèbres c’était tellement quelque chose de particulier et de génial quand on aimait le noir. Je restais donc dans ce drap de noir qui me recouvrait pendant que la jeune femme avançait dans le drap de lumière provoquer par le papillon qu’elle avait créé. Elle me dit que c’était magnifique ma voix répondit par politesse : « Personnellement, je préfère ce qui est un peu plus terne ! » Surtout que je détestais la lumière qui se reflétait dans mes cheveux qui faisait quelque chose de très brillant et qui ressemblait à la nuit couverte d’étoile. Je la suivais vers les balkans qui dormaient, mais elle fit un bruit qui réveillait quasiment un, mais il se rendormait vite. Elle me demandait par la suite, ce que nous devrions faire, les réveiller ou attaquer par surprise. Mon sourcil s’arquait : « De base, j’aurais répondu. L’attaque par surprise reste la meilleure option, cependant sachant que nous sommes là pour s’entraîner. Une confrontation de face, nous aiderait à posséder plus de force qu’une attaque surprise. Enfin, ce n’est que mon avis. Je n’oblige personne. » C’était des chuchotements qui ne pouvait pas être percevais par les balkans.
Je sortais deux couteaux dans mes mains pour me préparer à me battre. Avant de tenter la nouvelle technique je devais renforcer ma condition physique. J’avais hâte de voir, si la réputation de cette femme était réelle. Puis, j’attrapais un petit bout de bois et l’accrochait à un couteau. C’était au cas où si la jeune femme choisissait l’option surprise. Je détournerais leur attention de l’autre côté de la pièce avec ce couteau. Plus qu’à attendre le choix de Sybilia.
Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Ven 11 Mar - 22:02
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Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan] Sam 26 Mar - 15:54
Habiller des ténèbres nous étions dans le noir le plus mortel, cependant cette noirceur, cette candeur n’allait pas durer longtemps. Quand l’énorme voix que je ne pensais pas sortir de cette femme apparut, le contraste était remarquable. Un peu comme sa nouvelle tenue de cuir et son immense épée qui était apparu dans un faisceau de lumière. Une magie de rééquipement, plutôt impressionnante, mais elle restait un peu trop grosse pour moi. Son épée n’était clairement pas la plus efficace quand on est adepte du combat rapide. J’empoignais mes petites lames et je vis les animaux ou primates se réveiller dans un sursaut quasi-humain. Ils furent pris au dépourvue et se mirent à regarder vers nous et les primates semblaient totalement enjoués de voir Sybilia. Ils se précipitèrent vers elle, seuls quatre prirent la peine de venir vers moi. Je me souvenais que ces animaux étaient très pervers, mais à ce point-là. Le premier commençait par bondir vers moi d’un bond furieux qu’on l’est réveillé de son sommeil. J’esquivait en sautant sur le côté visant en même temps d’un de mes couteaux en plein milieu de son front juste entre les deux yeux. Il s’écroulait sur le sol, mort sur le coup. Il suffisait toujours de viser les points vitaux pour ne pas faire durer un combat. Un second énerver de voir son camarade dans cet état tentait de m’asséner un coup de poing, je me servis de la différence de poids pour attraper son poing et utiliser un système de levier et le faire tomber. Puis, je sautais sur le torse du singe pour faire effet de trampoline et arriver au niveau du coup du troisième pour lequel je lui fis une prise enserrant mes jambes autour de son cou et mes mains s’agrippèrent à sa tête pour lui briser la nuque d’un coup vif et brusque. Celui qui se relevait m’attrapait par la jambe et me fit voler contre un mur, je me relevais avec une forte douleur au dos, mais ce n’était rien. Puis, alors que les deux s’approchèrent de moi à toute vitesse. Je sortis un de mes livres et Hook apparut dans un éclair de noir et les tranchèrent de son fleuret. Il me fixait et je lui fis une révérence respectueuse et il disparut aussi rapidement qu’il était arrivé.
Sybilia semblait avoir terminé, j’époussetais mon manteau et m’approchait d’elle. Puis, je dis d’un sourire enfantin ce qui m’arrivait rarement : « Je ne savais pas que tu aimais le cuir, toi aussi ! » J’explosais de rire. Je me demandais ce qu’il m’arrivait, je ne rigolais jamais, enfin cela m’arrivait, mais c’était plus souvent en tant qu’acteur que réel. Cependant, en cet instant c’était tout à fait réel et cela me faisait bizarre. Puis, un bruit retentit. Des singes commençaient à revenir, mais pas tout seul : « Bon, t’es prête pour le second round ? » Je sortais mon nouveau livre, Alice aux pays des merveilles, c’était le moment de réussir à l’invoquer. C’était le moment de comprendre ce qu’était l’art de la discrétion. Je touchais d’un geste fin la couverture et l’ouvrit, ma magie s’infiltrait dedans et l’esprit d’un chat tordu apparut. Il me souriait d’un immense sourire : « Les ténèbres, ne me siéent aucunement, pourtant dans les ténèbres je me revêts de ma parfaite enveloppe. Qui suis-je ? » Une énigme qui peut paraître compliqué, mais au final voulait-il que je dise son nom : « Cheshire ! Dans les ténèbres tu te fondes et devient invisible n’est-ce pas ? Pourtant ton sourire déteint avec ces ténèbres. » Le chat me regarde et pose sa tête sur son bras : « Ennuyant, tu es ! Cependant, je vais te prêter mon pouvoir. Sers-t’en bien ! » Il apparaissait derrière moi et s’enroulait autour de mon cou. Soudain, je disparaissais complètement : « Sache simplement, que l’invisibilité peut parfois être la pire des choses. Ne l’oublie pas ! »
Mon corps se mit à disparaître totalement. J’étais devenu invisible avec un chat autour de mon cou. Je m’approchais de Sybilia : « Je te couvre ! »
Sujet: Re: Le chasseur sachant chasser sans son chien [Edan]