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A cælo usque ad centrum [Groupe I]
 MessageSujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I]   A cælo usque ad centrum [Groupe I] - Page 3 EmptySam 16 Aoû - 13:45

[PNJ] Gorgones
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♠ Event d'Ajatar Virke ♠
Groupe I


A cælo usque ad centrum [Groupe I] - Page 3 1402342510-pnj-zulria

C'est avec brio que vous esquissez l'assaut, et alors qu'il recule c'est une certaine satisfaction qui s'empare de votre ennemi, celle que rien ne serait trop facile contrairement à la première impression. Celle que contre tout attente un combat honorable et magistrale pouvait sortir de tout ceci. Et c'est pourtant presque de la tristesse qui peut se lire dans son regard alors qu'il recule, cette tristesse issue d'un seul fait, dans votre détermination, votre refus de l'abandon c'était la mort qui viendrait frapper et par votre nature même cela le peinait. Mais soit, il devait faire ce qui doit être fait.

Et alors qu'il se recule désarmé, un sourire laisse place à cette tristesse affichée l'espace de quelques instants. Et alors qu'il tend la main dans le vide l'épée brisée puis disparue vient à nouveau réapparaître dans sa main, entière, comme si rien ne l'avait jamais frôlée, froissée. Intacte et luisante. Et alors que l'attaque dévastatrice fait jaillir les lames de la terre en sa direction il ne scille pas, bouge pas, reste droit. Les lames explosent la terre jusqu'à toi, explosent la terre pour finalement se figer devant toi alors que la dernière émerge, se figeant à quelques centimètres de te transpercer. Le signe flagrant qu'ils n'avaient pas encore compris que tenter de les retourner contre toi était totalement inefficace, voir même dangereux pour le survie.

La salve arrive dans l'instant suivant l'arrêt des lames. Une explosion alors que les lames se sont extirpées de terre pour la barrée avant de devenir poussière. Un instant alors que la surprise s'empare de Zulria pour la première fois, que le brun ailé est là, décochant son bras pour tenter de le frapper au visage. Et c'est dans un mouvement d'une agilité stupéfiante que son corps se courbe en arrière en un instant, que le poing vient le frôler par le dessus et qu'alors que ses mains retombent souplement au sol, son pied droit s'en décroche pour venir te frapper en plein visage Kota avant que souplement son corps ne continue totalement sa rotation en suivant le mouvement, une roue exercée en un instant alors qu'il est déjà debout devant vous.

Et alors que la fée devient fauve et que la gamine envoie sa chose protéger les pégases c'est comme si la terre grondait. Grondait depuis le château, que ce dernier tremblait de la libération rapide et brutales de plusieurs magies. Et c'est un sourire qui vient se dessiner sur tes lèvres, ils sortent déjà le grand jeu ? On peut dire qu'ils n'auront pas mis longtemps, il semble qu'ils aient tous sous-estimé leurs adversaires, mais la victoire n'en sera que plus belle.

Et vous le sentez ce déchainement des puissances au sein du château vous entourant. Comme si dans l'aile à côté du jardin la terre se bousculait et tremblait, que là bas, plus loin vous pouvez apercevoir une voute de pierre trembler pour commencer à s'écrouler.

Un sourire alors qu'il recentre son attention sur vous.

" Il semble que vos amis ont quelques problèmes. "

Déjà son visage et son corps recommence à changer sans qu'il ne prononce un mot et que l'épée dans ses mains disparait. Sa crinière d'argent devenant d'un brun profond, sa peau basanée se couvrant sur ton son corps de tatouages runiques aux couleurs dorées, ses yeux devenant entièrement blanc, immaculé alors que dans sa main le cor de guerre ouvragé se matérialise, cerclé d'or et de motifs macabres gravés dans le bois.

" J'aimerai simplement savoir une chose. Pourquoi donc vous battre alors que tout ceci ne vous concerne pas ? "

Et c'est le bruit de milliers d'ailes qui vient répondre à la question alors que des milliers de papillons violet apparaissent de l'intérieur du palais pour obstruer les immenses baies vitrées explosées. Et c'est comme en réponse à leur explosion soudaine qu'il porte le cor de guerre à ses lèvres et que dans un souffle le bruit puissant et guerrier retentit provoquant une onde de choc venant vous percuter de pleins de fouet pour vous propulser plusieurs mètres en arrière. Et lentement il s'avance vers vous de sa stature presque divine.

" A quoi bon poursuivre un combat que vous ne pouvez gagner ? "

Le cor vient trouver à nouveau ses lèvres alors qu'il souffle dans le cor, mais vers le haut cette fois et que c'est une véritable déflagration sonore qui se répand dans le jardin, faisant trembler les arbres et la pierre alors que vos corps se trouvent à nouveau projetés avec violences sur plusieurs mètres par la puissance de l'onde de choc.

" Il n'est pas encore trop tard pour vous sauver. "

Spoiler:

♦ ♠ ♦ ♠
 MessageSujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I]   A cælo usque ad centrum [Groupe I] - Page 3 EmptyMer 20 Aoû - 0:24

Lisanna Strauss
Lisanna Strauss

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Lisanna


« Dites leurs de ne jamais abandonner!»



La vie c’est une chose à laquelle je n’ai jamais tenue. Depuis que mon histoire a commencée j’ai toujours voulu hurler qu’elle s’arrête. Mais je n’ai jamais été capable de l’arrêter par moi-même. C’est la faiblesse de ce qui demeure en moi. Je suis cette personne qui adorerait se mettre à genou et ouvrir les bras pour qu’on lui planter le poignard entre les deux poumons ou lui trancher la gorge de part en part. Je suis cette personne qui aimerait un jour m’inférioriser encore plus que ce que je ne le suis déjà. Je suis ce genre qui acceptera qu’on le tue vite et correctement. Non… Je suis le genre de personne qui le demandera aussi facilement qu’il est tombé à terre.
Je ne me suis jamais arraché la vie. J’ai voulu cacher cette horrible chose et j’en paye des conséquences heureuses. Quand j’ai ouvert ma gueule à cette femme je me suis encore détruit plus que je ne l’étais déjà. Daryan Chris Illunar a toujours été un salopard blasé qui n’aimait rien. Quand il a ouvert sa grande bouche pour crier à la souffrance et au monde qui s’abat sur lui, il est devenu d’un ridicule redoutable. Aujourd’hui Daryan ne possède que deux options : être honnête ou cette magnifique, douce et heureuse deuxième option : le couteau sous le manteau.


Ça fait quelques secondes que rien ne me touche alors que je suis planté-là au milieu de tout et de tous. On aurait carrément pu m’assainir le coup de grâce que je ne l’aurais pas remarqué. Quoi que peut-être je le demande en ce moment-même. Non pas encore. Je n’ai pas encore assez ouvert ma bouche pour le demander. Je vais décoller mes lèvres maintenant. Un seul instant après.
Aucun signe. Rien. C’est l’autre idiot qui s’en occupe. Le mec trop joyeux que j’ai toujours eu en travers de la gorge. Sa stupide naïveté me bouffera jusqu’à l’intérieur de mon cercueil – si seulement on trouve encore des morceaux de moi. Ce n’est pas de la jalousie, en aucun cas. C’est parce que je connais trop bien tout ça pour comprendre pourquoi. Pourquoi le monde autorise des personnes à vivre la vie comme ça. Moi on ne m’a pas sauvé de la vie. Alors ma vie je vais la reprendre moi-même.

Des pas graves et pourtant sans bruit pendant les entrechoquements d’attaques. Le talon se décolle en premier du sol pendant que les avants de mes pieds se détachent pour la dernière fois que le sang y circulera en boucle. Oh je le sens bouillir ce liquide. Oh ce liquide qui s’échauffe encore plus pendant que ma respiration viole tout l’air qui m’entoure. J’avale les particules dans l’air et ne les rejette plus. Elles bouffent les parois de mes poumons comme l’interdit tout acte magique. Je n’en ai plus rien à foutre. Non t’en as carrément plus rien à foutre ça c’est clair. Parce que t’en as fini avec tout.

La sensation d’énergie qui s’émane vers l’inférieur, la naïveté d’en bas m’envoie ce dont j’ai besoin comme l’infériorité-même. Mes pores se fissurent, ma peau a envie de déraper, mon bras pourrait très bien se déchirer du reste de mon corps maintenant que je ne sentirais rien. Mes nerfs sont tous en train de lâcher. Mon poing gauche doit-être la seule chose qui réussit encore à se fermer et se serrer si fort que je le sens.
Le bras se tend et le torse se bombe. La glace clinque et bientôt l’aveuglement me prend les yeux. Cette douce lumière blanche qui bouffe chaque visage aux alentours. L’arc dans mes mains grandit de plus en plus. La flèche qui naît de mes mains me brûle la peau. Littéralement. Tout être humain aurait envie de la lâcher. De la jeter. Mais je n’en ai rien à foutre en fait. Que dalle. J’ai décidé de prendre ma vie maintenant. T’as décidé de laisser tout ce qui bouge ici. Elle devrait être blanche. D’un blanc pur comme la lumière que je manquerai dans quelques instants. Elle le devait mais passe au bleu encore plus pur que le cristal lui-même, que la larme qui coule. L’arc-en-ciel le plus beau au monde aurait envie de se rhabiller maintenant. Le mélange des couleurs me fait penser à une chose que j’ai déjà vue. Quelque chose que tout le monde ici a déjà dû voir. Que les membres du Conseil ont déjà pu fouler de leurs iris. Le Canon à compulsion.
Il naît de mes mains. La terre s’efface et agrippe ma main. L’énergie est bouffée par l’arc lui-même. A tout moment ça pourrait exploser dans mes mains. A tout moment ça pourrait me déchirer la tête. Mais ça continue de s’embellir. C’est tellement beau.


La tornade aussi prend de l’ampleur Daryan. Mais toi ce que tu ne sais pas c’est que cette guilde a compris ce qu’il se tramait dans tes mains. Mais c’est trop tard pour arrêter. Tu as soif. Soif de vengeance. Tu as sentie toute la magie dans cette terre. Tu récupères petit à petit ce qui se délecte d’elle en même temps qu’Ajatar Virke qui récupère une grande partie de ce qu’ils avaient caché. Ce que t’arrives à comprendre c’est que le sable tourne encore. Ce que tu arrives à écouter ce sont les personnes qui foulaient la terre du château qui se téléportent toutes. Mais c’est bien trop tard. Tu as envie de détruire le peu de choses qu’ont laissées les monstres sur cette île. Tu ne les laisseras pas repartir avec leur butin complet. Donc tu pompes complètement l’énergie du Naïf. Tu pompes en bataille l’énergie de ces six ans. C’est une guerre qui commence : tu désires la récupérer à toi tout seul mais sous terre ils sont cinq à la prendre dans leurs corps pour s’enfuir avec.
Finalement il n’y a plus une trace de vie dans ce château à part Ajatar Virke et toi. Ils sont tous sur les bateaux. Ces bateaux flottants qui se sont élevés de la mer. Ils mirent tous ton corps volant au-dessus de tout qui se désagrège. Ils mirent tous l’Aetherion qui s’élance de tes mains à la terre.

Ils n’arrivent à regarder qu’une explosion qui déchire ton corps et tout ce qui se trouve aux alentours.
Parce que le Juge Céleste a frappé. Et qu’il a réussi à tout bouffer…


Tout


© Fawks
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