Un regard presque stupéfait alors que la dague pourfend le vide laissé par le garçon. Un sourire, satisfait alors que ce n'est pas si facile que ce qu'il croyait, si décevant que cela semblait, ses yeux d'azur semblant luire d'un intérêt certain après cette action anodine. Et c'est comme si tu frappais un mirage Lisanna, un simple mirage alors que ton coup traverse son corps en une traînée de brouillard. Et le cri traverse la brume, traverse le néant alors qu'il n'est déjà plus là, plus là et pourtant présent, vous pouvez le sentir tout autour de vous, sur votre peau, dans vos os. Le brouillard se désépaissit sous l'assaut des ailes pour laisse paraître le jardin à quelques mètres de vous.
Disparait alors que tu ne peux plus le discerner Ohatsu, que ton esprit est bien incapable de le trouver dans la brume sans qu'elle ne puisse comprendre pourquoi. Un frisson pour vous figer la nuque alors que sa voix retentit dans votre dos.
" Je vois que tu as récupéré tes clefs. "
Il est là, au dessous de vous, mortel, létal alors que l'étrange dague entame sa course fatale pour se figer dans la nuque de ton esprit. Trop tard alors qu'une poussée vous exclue. Un bruit léger, celui de la terre heurté alors que la lame se fige en son sein. Lentement, il se relève alors que la brume se dissipe autour de lui, vous toisant un à un avec un étrange sourire, comme excité, satisfait que vous ayez survécu à ce premier assaut destiné à vous tester. Et son regard d'azur se braque sur toi Chris. Une pause presque nonchalante alors qu'il incline lentement la tête avec un sourire.
" Vrai que y'a un air. Après tout rien de plus normal, n'est-ce pas Illunar ? "
Son regard se pose sur ta lame avec un air pensif.
" Ouh. Tu cherches à la mettre en colère c'est ça ? Les êtres divins aiment rarement que l'on s'approprie leur création. "
La dague ouvragée s'évapore en une légère brume entre ses mains alors qu'il sourit légèrement.
" Je suppose qu'avec votre réussite je ne peux faire autrement que me présenter. Mon nom est Zulria et je suis ici pour vous faire une simple proposition. Vous pouvez faire demi-tour et repartir vivant, ou bien choisir de rester, mais dans ce cas je me verrais dans l'obligation de vous envoyer au Valhalla. La fuite, ou la libération, votre choix. Ajatar Virke n'a rien de spécial contre vous, mais vous comprendrez que nous ne pouvons nous permettre que vous interfériez avec notre grand projet.
D'ailleurs à ce propos, je suis désolé ma petite Ohatsu, mais vois ça du côté positif, tu as gagné six ans, comme moi d'ailleurs, même si je ne dormais pas, et six ans à ne rien faire c'est très long. "
Il disparait, son corps se dissipe en un filet de brume s'évaporant aux quatre vents. Un souffle chaud pour caresser ta nuque Lisanna alors que l'espace d'un instant il est derrière toi pour murmurer. " Votre choix..." Disparait alors que déjà tu le sens dans ton dos Kota. " Vivre..." Tel un mirage alors que son souffle vient caresser ton oreille Ohatsu avant de disparaître. " Ou périr. " Un instant à peine alors que la brume se constitue dans ton dos Chris, qu'il est là, derrière toi en chaire et en os pour murmurer à ton oreille. " A ton avis elle préfère quoi Illunar ? " Il n'est déjà plus là alors que son corps se reconstitue au centre du jardin.
" Mais ne vous inquiétez pas, je suis certain que vous êtes assez digne pour rejoindre le Vallhala, alors toutes vos souffrances disparaitront comme si elles n'avaient jamais excitées. Entre la terre et le centre heureux pour l'éternité. "
Spoiler:
Ordre de poste : Lisanna Strauss - Hirata Kôta – Ohatsu Takumi – Daryan Illunar – Zulria
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Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Mar 24 Juin - 22:26
Lisanna Strauss
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Titre : Jesersàrienmaisjaimebien Crédit : Lucy Feuille de personnage Maîtrise Magique: (14435/35000) Mérite: (820/800)
Lisanna & Zulria
« Make war, not peace!»
Mon corps traversait un épais nuage de fumée. Il n'était plus là, l'ennemi avait disparu. Il n'avait pas simplement produit le brouillard, il était devenu lui-même le brouillard. Une entité volatile qui était à un endroit et partout à la fois. Il était devenu sa magie, son corps avait d'abord pris cette teinte blanchâtre, on aurait dit quelqu'un de différent comme possédé. Il n'était pas lui-même, il semblait différent quasiment divin. La puissance de la magie qui émanait de lui était somptueuse, elle était puissante et lourde, mais elle gardait ce style divin. Le brouillard avait commencé à se désépaissir suite à l'assaut de Kôta. Je n'avais pas vraiment compris ce qu'il s'était passé, mais Kôta ressemblait à un aigle, un take over partiel. Sous ma forme féline, j'avais entraperçu la disparition de l'esprit d'Ohatsu. Il avait eu le droit au destin qui avait failli frapper l'aigle précédemment. J'étais spectatrice au décor qui se déroulait devant mes propres yeux. Soudain, la brume s'était dissoute, l'homme s'était reformé devant nous. J'inspectais les autres, tout le monde semblait vivant.
L'ennemi se mit à rentrer dans un monologue aux allures monacales. On aurait dit un prêtre qui nous donnait la messe. Il ne possédait qu'un ton de voix et c'était fortement angoissant. L'homme s'adressait à l'homme qu'on appelait Chris. Il parlait de divin, de choses assez flou. Je ne comprenais guère tout, mais d'un côté, je ne devais pas être loin au niveau de sa magie, il devait y avoir un truc quasiment divin. Par contre, quelles divinités, c'était une autre paire de manche. Dans notre monde, il y avait tellement de religions et de coutumes différentes. La seule que je prônais était le respect des animaux, mais je n'avais pas réellement la foi dans un type de religion bien au contraire, j'étais plus à vivre au jour le jour, de toute façon depuis que j'avais vu Edoras. Plus rien ne m'étonnait, il était envisageable qu'il y ait des dieux. Cependant, son charabia m'était franchement inconnu et je le trouvais presque ennuyant. Il nous laissait un ultimatum, soit nous devions quitter le palais, soit nous mourrions. Il en a de belle, nous n'étions pas venus jusqu'ici pour repartir la fleur au fusil comme si de rien n'était. Soudain, alors qu'il avait terminé par un dialecte pour la demoiselle aux cheveux rouges. Il disparut pour réapparaître derrière moi, sa voix me glaça le sang. J'étais comme pétrifiée. J'eus à peine le temps de me retourner qu'il avait déjà disparu en une fraction de seconde pour réapparaître. Il ressemblait à un fantôme, il semblait tellement irréel et réel à la fois. J'avais tellement l'impression d'être dans un cauchemar dont l'emprise me prenait de plus en plus. Je ne savais pas comment agir. Ce qu'il fallait faire, puis alors qu'il était revenu à sa phrase après avoir fini sa phrase qui sonnait comme une menace de vie ou de mort. Il reprit la parole, il était définitivement enclin à parler. Zulria de son petit nom, comme il avait eut la décence de nous le dire plus tôt. Je ne sais pas pourquoi, mais j'envisageais qu'il pourrait y avoir une once d'humanité en lui. Son discours se valait plus direct et parlait de l'hypothèse que l'on rejette son ultimatum. Il parlait de nous expédier au Valhala, endroit où nous serions libres de tout. « Valhala », terme que je ne connaissais pas, mais selon ce que j'avais compris de son dialecte cela devait être un endroit que nous rejoignions lorsque nous mourrions. Un endroit de liberté et de merveilles, cela me rappelait le paradis avec les anges. De toute façon, il était hors de question que nous mourrions ici. Je m'approchais de l'homme les deux bras en l'air. Puis, je lui adressais un sourire amical :
« - Zulria ou l'entité qui te possède peu m'importe. Ne serait-il pas possible pour tout le monde ici présent de faire la paix et de s'asseoir autour d'un thé et de parler de ce qui se passe dans ce Palais ? Cependant, il n'est plus vraiment le moment de faire la bisounours. Le problème, c'est ce que vous avez fait à nos amis en les privant d'années de bonheur auprès de leurs familles. Nous ne pouvons pas laisser passez ça ! »
Je plantais mon regard plein de déterminations, j'étais convaincu de devoir faire ceci. Je repensais au corps de la fée dans un état critique, au fait de devoir combattre nos amis de Fairy Tail. Les inquiétudes du poney gentil par rapport à son ami. Ils étaient tous tellement perdus et avaient tellement souffert. Ceci était tout simplement impardonnable, si Natsu ou Erza étaient là. Ils auraient dit ce que j'allais dire. Je levais tout en prononçant ses paroles. Mon bras formant un « L » avec mon pouce et mon index :
«- Leurs larmes, leurs blessures, leurs années perdues ne seront pas vaines. Nos liens seront notre force et l'amour la clé de notre victoire. Nous ne sommes pas seuls, chaque personne qui a perdu quelque chose ici ou qui a souffert nous accompagne. Je sens leurs regards sur nous, leurs encouragements, leurs cris, leurs magies qu'ils ont utilisés. C'est ce qu'on appelle l'amour, mais tu ne pourras sûrement jamais comprendre ça ! »
Je baissais mon bras, regardais mes camarades et je m'excusais. J'étais prête à me sacrifier s'il le fallait, mais je ne pouvais pas laisser la souffrance des gens sans rien faire. Je souris et me changeais en une forme totale d'oiseau. J'étais devenue cet oiseau vert qui amusait les gens de sa couleur si particulière. S'il utilisait son pouvoir de brume, je pourrais disperser celle-ci facilement. J'étais décidée à me battre, je ne savais pas ce que feraient mes autres camarades, mais j'attaquerais une fois qu'ils auraient pris leurs décisions eux aussi. Je me reculais légèrement et me positionnais aux côtés de l'homme dont je cramponnais le bras précédemment. Je n'attendais que leurs réponses, pour attaquer...
lumos maxima
Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Ven 27 Juin - 13:05
Les jardins déchus de Mercurius accueillaient la danse scintillante des quatre êtres perdus dans l’opaque brume, lynchés par l’énigmatique ennemi qui les avait accueillis avec une fureur latente. La jeune femme aux cheveux rosés se révélait être une mage stellaire et invoqua un premier esprit humanoïde, affinant ses sens pour guider sa maitresse. Chris déploya sa magie pour être prêt à intervenir et contrer leur adversaire commun. La brume se dissipa subitement, leur laissant distinguer impeccablement les arbres ternis par le manque d’entretien, et une dague vrilla en direction de l’esprit, qui heureusement évita l’attaque. Tous se concentrèrent sur leur adversaire, finalement visible face à eux, tandis qu’il s’adressait à l’un ou l’autre. Malgré la fraicheur de l’endroit, le corps dévêtu du mystérieux personnage ne tremblait pas face aux quatre mages légaux. Avec un calme confinant une certaine arrogance il parla.
« Je suppose qu'avec votre réussite je ne peux faire autrement que me présenter. Mon nom est Zulria et je suis ici pour vous faire une simple proposition. Vous pouvez faire demi-tour et repartir vivant, ou bien choisir de rester, mais dans ce cas je me verrais dans l'obligation de vous envoyer au Valhalla. La fuite, ou la libération, votre choix. Ajatar Virke n'a rien de spécial contre vous, mais vous comprendrez que nous ne pouvons-nous permettre que vous interfériez avec notre grand projet. D'ailleurs à ce propos, je suis désolé ma petite Ohatsu, mais vois ça du côté positif, tu as gagné six ans, comme moi d'ailleurs, même si je ne dormais pas, et six ans à ne rien faire c'est très long. » Une réussite il nous teste c’est ça Zulria jamais entendu parlé de lui une proposition qui semble sincère partir et vivre ou rester et mourir c’est ça le Valhalla presque mythologique une magie sacrée il nous laisse le choix il n’est pas très aggressif c’est déjà ça il faudrait partir je serais parti seulement si seulement Damaz était de notre côté je ne peux pas faire demi-tour pas avant de l’avoir retrouvé il connait même cette fille Ohatsu il semble tout connaître même Chris mais qui sont-ils leur but ce palais les endormis tout ça est trop mystérieux incapable à déchiffrer et il veut qu’on parte impossible on ne part pas sans réponses on ne peut pas
Puis dans un mouvement d’air transcendant l’espace il disparut pour leur souffler leur dilemme dans leur nuque. Il était rapide, illusoire, menaçant, et Kôta n’aurait pas pu se protéger intégralement face à la vitesse alarmante que leur offrait Zulria, mais il avait déjà pris son choix personnellement. Si les autres voulaient s’en aller, fuir, il l’accepterait. Mais il ne partirait pas sans Damaz. « Mais ne vous inquiétez pas, je suis certain que vous êtes assez digne pour rejoindre le Vallhala, alors toutes vos souffrances disparaitront comme si elles n'avaient jamais excitées. Entre la terre et le centre heureux pour l'éternité. » Instable mentalement.
Lisanna prit la parole en première, tentant de trouver un terrain d’entente avec l’homme qui avait reparu au centre du jardin. Elle jouait avec ses sentiments, les alliant à la raison, et évoqua l’amour. Puis elle se métamorphosa en oiseau, se plaçant aux côtés du jeune Kôta. Celui-ci s’éclaircit la gorge pour s’exprimer à son tour : « Pourquoi enfermer ces personnes six années ? Pourquoi pomper leur énergie pendant aussi longtemps ? Parce que c’est de ça qu’il est question, hein, toutes les machineries que vous avez placés dans le palais royal le prouvent bien. Vous réapparaissez après tout ce temps et vous acceptez qu’on reparte avec les endormis libérés mais à condition qu’on ferme les yeux sur vous et qu’on ne pose aucune question ? Peut-être que j’aurais pu accepter de le faire, vu l’état de tout le monde, s’acharner n’est pas nécessaire. Mais dans le palais est resté un de mes amis. Damaz. Si tu me le ramènes vivant je veux bien quitter ce fichu endroit. »
Implosion. Kôta laissa se libérer toute son aura, toute son énergie décuplée grâce à Devil’s Gift, pour appuyer ses propos presque menaçants à l’égard de Zulria, mais aussi pour tenter de se faire ressentir, dans d’autres pièces du palais. Damaz s’il te plait Damaz ressens-moi ressens mon aura vient nous rejoindre on rentre à la maison après ça avec tout le monde
tous ensembles
Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Mer 2 Juil - 1:04
Ohatsu Takumi
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Titre : Prettiest Queen Feuille de personnage Maîtrise Magique: (7310/35000) Mérite: (300/400)
Une fée, un poney, une bouboule
S
erpens regardait Ohatsu, entourée par la brume. La jeune mage était a l’affut du moindre mouvement suspect, du moindre bruit étrange…
« Que vois-tu ? »
« Ohatsssssu … Je ne ressssens plussss rien … »
Ohatsu fronçait les sourcils, les sens reptiliens se sont esprits étaient eux-même tromper. Qu’allait-elle faire ? Elle ne savait pas ce qu’il se passait, son corps tremblait, dans l’inconnu, elle n’était pas rassurée.
" Je vois que tu as récupéré tes clefs. "dit-il, alors que peu à peu la brume devient moins dense
La constellationniste se crispait. Était-ce lui qui avait osé la séparer de ses amies, de ses précieuses clefs ?! Elle serrait les dents, tandis qu’elle écarquillait les yeux en constatant sa présence environnante. Trop tard, sous le regard abasourdi de son invocatrice, Serpens tombait au sol.
« S… Serpens !!! »
Dans un halo blanchâtre, un portail s’ouvrit, laissant l’Esprit du Serpent retrouvé son antre. Des larmes apparus au coin de l’œil de la demoiselle … D’autres paroles, d’autres dialogues, sa voix horripilait la jeune femme qui le regardait d’un regard haineux. Finalement, dans un sourire, il se présentait, un monologue du quel, Ohatsu ne retenu qu’une seule et unique chose, son nom : Zulria …
Elle remarquait toute de fois, qu’il connaissait son nom, comment ? Le connaissait-elle ? Son visage, cette tête d’ange, renfermant un démon, ne lui disait rien. Elle le regardait d’un air neutre, ne répondant pas à sa provocation
Dans un murmure à peine audible, immobile, elle rajoutait cet homme à sa liste, une liste qu’elle avait construite, une sorte de tableau de chasse des personnes qu’elle désirait voir mourir…
« La Mort Noire … Zulria … »
Un frisson lui remontait le long de sa colonne vertébrale, alors que le dilemme venait lui être soufflé à l’oreille. « Vivre ou fuir … ». Fuir ? Ohatsu n’y songeait même pas … Elle voulait lui faire mordre la poussière…
La fée entreprit un discours qui touchait énormément la constellationniste. Elle l’observait parler, sans l’interrompre, ses paroles étaient vraies et déterminantes. Elle trouvait cette femme courageuse et forte, elle en était admirative. Puis viens le tour du poney, qui posait des questions pertinentes … Pourquoi ? Ohatsu voulait tout autant que lui les réponses. Lentement, elle vient se placer derrière eux, eux qui étaient prêt à combattre et elle allait les aider … On ne pouvait pas le toucher ? Il ne pourra pas les toucher non plus.
« Ouvre-toi, Porte de l’Ecu Sobieki… Bouboule ! »
Petite chose rose qui sortait du portail, qui exclamait avec enthousiasme son nom. Ohatsu n’avait aucune envie de sourire, de rire. Elle regardait son adversaire d’un air déterminé. Elle regardait le corps de ses deux compagnons, qui semblait endommagés par de précédent combat… Elle avait invoqué l’esprit approprié.
« Bouboule … Protèges-les, tous les deux… Je te fais confiance »
« Boule ? »
La chose rose grandit et enveloppait les deux membres ciblés. Ils pouvaient attaquer, mais ne pouvait l’être tant que le bouclier rosée les recouvrait. L’Esprit comptait bien les suivre comme leur ombre. Ohatsu, hors de la protection, prenait ses deux Kunai pour se protéger.
Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Sam 12 Juil - 14:03
Daryan C. Illunar
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Titre : Discount De Gaulle Crédit : Zulria (avatar), apache (journal), okinnel (sign) Feuille de personnage Maîtrise Magique: (15900/35000) Mérite: (620/800)
A caelo usque ad centrum ajatar Virke
« A ton avis elle préfère quoi Illunar ? »
Une oreille attentive et un visage blasé, un visage sérieux, tout en une seule chaire et des yeux mi-clos mirant le paysage de la mer étendue à la perte de nos vues. Des iris qui frôlent le bas droit du globe oculaire. Un murmure silencieux sur un nom qui n’aurait pas dû finir d’être dit. Tout à l’heure, l’Hippogriffe l’avait cité. Une brève citation qui aurait pu disparaître de la conversation à peine quelques secondes plus tard. L’on pourrait croire que l’apparemment aurait pu parvenir aux oreilles d’un ennemi commun ; mais aucunement. Il aurait été impossible de pouvoir procéder à cet échange d’information. Un regard noir sur le côté et l’esprit intelligent se demande comment le nom d’Illunar aurait pu venir à la connaissance de l’homme invocateur de brume. Le discours de la fée était idiot. Elle semble faire apercevoir ses ailes, les faire paraître à tous, mais ses ailes ne sont que consumées. Des sentiments trop idiots pour être montrés, elle devrait avoir honte. D’un simple regard, d’une simple écoute, tout Homme aurait pu comprendre que l’adversaire ne rigole en rien à la situation. On ne pourra pas le résonner, pas après six ans d’attente. Kôta, ton discours semble encore plus idiot encore. Le Miracle Lens de mes yeux s’écrase au fond de mes pupilles. Un regard vers le château, les pores du corps qui s’ouvrent en douceur, le vent qui se charge d’aethernano, et la réponse de l’analyse revient. Kôta, c’est bien trop tard, l’aura de la personne que tu as connue, celle que tu veux retrouver, ce qui l’entoure a complètement changé. Un regard culpabilisé vers le bas, un déterminé vers le haut, alors que la tête baissée se relève, j’échange un regard avec l’Hippogriffe qui fait imploser son énergie. Tu te bats pour quelqu’un qui est mort depuis longtemps, Hirata Kôta.
Je m’avance doucement, je pose ma main sur le frère auquel je ne parle que peu, auquel je tiens pour autant. Je souris doucement. Sa magie n’est plus la seule à imploser. La mienne hurle. Mais sa particularité est que celle des Illunar reste cachée. La pression augmente. L’air s’écrase sur nos joues, il les irrite. Le Vallhala ? Sérieusement ? Aujourd’hui je trouve beaucoup trop de personnes comme moi. D’abord le blond de tout à l’heure, maintenant cet étrange individu.
« Ajatar Virke ne compte-elle que des envoyés des dieux ? Les magies célestes ne sont pourtant que peu communes. Zulria, c’est ça ? J’imagine que je n’ai pas besoin de me présenter puisqu’ici, j’ai l’impression que vous me connaissez tous beaucoup mieux que moi-même. »
S’il contrôle la brume, ce combat se vite fini. Un simple claquement de doigts… pour qu’il explose entièrement. Que ce claquement soit. Maintenant.
Il reste là, stoïque, cet étrange sourire triste s'esquissant sur ses lèvres bleutés. Calme, impériale alors que les mots flottent sur lui sans même le toucher. De beaux parleurs s'il en est, de beaux parleurs incapables de percer ce qui pourrait le faire dévier, car la vérité était que rien ne pourrait y arriver. Ses pupilles brillantes de cet azur opaques viennent alors se poser sur les deux pipelettes sorties de leur léthargie. Son visage se ferme, son sourire disparait alors que contre toute attente il prend la peine de vous répondre.
" De simples dommages collatéraux. Après tous nous sommes tous le dommage collatéral de quelqu'un n'est-ce pas ? Tout est une question de choix, j'ai fais les miens, ton ami a fait le siens. Vous avez fait le votre, c'est bien regrettable, mais au moins serez-vous heureux pour l'éternité. "
L'esprit stellaire apparait, son apparence étrangement grotesque lui tirant un regard quelque peu écarquillé avant que son attention se détourne vers toi Chris, te connaître mieux que toi-même ? Surement pas.
Ses lèvres s'ouvrent, s'apprêtent à répondre quand le silence implose dans une cacophonie de verre explosant vers le palais. Un nouveau sourire pour émerger sur les lèvres de votre ennemi. Une simple phrase vous étant adressé.
" On peut voir les choses comme ça, enfin en partie, mais de là à te connaître je ne dirai pas ça, après tout sinon elle n'en serait pas là, tu ne crois pas Illunar ? Et puisque les choses sérieuses ont commencé, il est temps de mettre fin à ce petit test, et si on passait à la vitesse supérieure ? "
Et sur ses mots son visage se durcie, raidie totalement alors qu'il entame l'étrange litanie, comme un appel alors que lentement ses yeux se closent.
" Dans le sang les lames murmures son nom, Face aux traîtrises implorant à l'unisson, Brunehilde pour son incarnation. "
Sa magie éclate en une décharge dans l'air alors que la brume disparait, ses yeux s'ouvrent alors que l'azur devient couleur de l'or, que sa peau fonce légèrement pour devenir couleur de miel, qu'un étrange tatouage couleur d'argent se forment autour de son œil droit, son corps s'affine et sa beauté resplendit sous l'incarnation divine alors que la chevelure blanche s'allonge en une crinière d'argent. L'agilité pour imprégner toutes les parcelles de son corps incarné.
Son regard d'or pour te transpercer Chris alors que nonchalamment il lève sa main dans ta direction. Sa magie implose alors que l'épée que tu as crées échappe a ton contrôle, que la lame entre en mouvement pour s'échapper et rejoindre Zulria, dansante dans l'air alors qu'elle gravite autour de lui dans une étrange ronde. Il entre en mouvement, marchant lentement dans ta direction alors que dans une nouvelle implosion de magie alors qu'autour du poney, de la fée et de l'invocatrice, treize épées émergent du néant pour les encercler, suspendues dans l'air et commençant à tourner en une ronde fatale, augmentant leur vitesse de fait qu'il devienne presque impossible de suivre leur mouvement.
Puis tout éclate, implose alors que la ronde s'abat, que les treize épée fondent sur vous en une attaque dévastatrice pour vous embrocher, qu'exactement au même instant l'épée gravitant autour de lui vient pourfendre l'air à toute vitesse en direction de Chris pour tenter de leur transpercer.
Une nouvelle implosion de magie alors qu'il commence à courir dans la suite de l'épée, que dans sa course l'arme apparait entre ses mains, une épée à la lame resplendissante de plus d'un mètre de long, le pommeau ouvragé d'or et d'argent sur lequel lui le symbole des géants. Assaut final alors que dans la suite de l'épée fondant sur son créateur il se détourne pour te prendre à revers, un mouvement ample et fluet alors qu'il tourne sur lui-même dans un mouvement martial parfaitement orchestré et que dans ton dos Chris, la lame forgée dans le sang des géant ne s'abatte pour tenter de te trancher.
Spoiler:
Désolé du temps d'attente et de la piètre qualité du poste.
Ordre de poste : Chris Illunar - Lisana Strauss - Hirata Kôta – Ohatsu Takumi – Zulria
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Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Ven 1 Aoû - 16:39
Daryan C. Illunar
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Titre : Discount De Gaulle Crédit : Zulria (avatar), apache (journal), okinnel (sign) Feuille de personnage Maîtrise Magique: (15900/35000) Mérite: (620/800)
A caelo usque ad centrum ajatar virke
Du verre qui explosent, des vitraux qui implosent, une magie qui se fait durement ressentir, la déesse environnante qui brille de douleur. Elle sent l’angoisse, elle sent l’excitation, l’adrénaline, ce qui émane du château. Elle rit intérieurement, tous les êtres aux alentours peuvent le sentir, la divinité hurle au fou rire. La compréhension de cette scène, de ce ressenti, elle n’est pas de mise. Rien n’est le moment. Le groupe sauveur se divise en deux, une excellente idée pour inviter le ciel à rire de nous. La magie céleste de la fille des enfers s’expose à nos yeux. Du premier groupe se retrouve trois personnes ; la constellationniste, la fée, et le plumé. Du deuxième, moi et moi-seul. Alors que les autres se font attaquer par une ronde d’épées, je suis à plusieurs mètres, debout, droit, à attendre ; serein, déterminé. Aujourd’hui vont s’entrechoquer deux magies céleste devant les yeux d’individus cherchant à la défense de leur peau.
Une précédente épée créée par la brume est renvoyée vers ma personne. Entre les deux yeux. Un envoi magnifique dont il faudrait se prosterner pour la précision. Aucun mouvement. Aucune articulation qui se manifeste. Seulement un clignement d’yeux d’une petite seconde, déterminé, qui mesure l’explosion de cet objet tranchant à quelques centimètres de mon nez. La poussière vol sur ma tête. Un pied qui se pose en arrière, une pulsion pour obtenir un équilibre parfait, une esquive de front, un dos qui se courbe et un avant-bras prêt à contrer au sang si besoin, l’attaque physique de Zulria passe aux millimètres près de mon cou, et un soufflet de ma bouche qui s’extirpe de mes poumons. Apparaît au même moment une nouvelle arme à ma main qui fauche d’un seul mouvement l’acier d’Ajatar Virke. L’homme ennemi se remet en position plus loin alors que je fais découvrir la nouvelle lame invoquée.
« Celle-ci, je l’ai piquée au Conseil. Une magnifique épée. De base, elle a la capacité d’annihiler tout type de magie… »
En effet, Lugia est une arme magnifique. Longue, légère, forte ; elle permet un mouvement rapide et sur une distance longue pour un effet de corps à corps. Mais ce qui a brisé cette lame voisine n’est en aucun cas une annihilation de magie. Le bluff n’est qu’un essai à l’idiotie de cette personne. Ce qui a cassé l’acier, c’est bien autre chose. Un combat d’épée contre moi est bien plus impossible que m’insulter violemment équipé de la puissance de l’eau.
La tête balance le regard de l’autre côté. Kôta n’est qu’un objet à destruction dans cet état. Un idiot que je n’arrive pas à cerner au plus loin, un enfant décrédibilisé parmi son rang, mais un idiot heureux. Un idiot heureux qui apparaît de sa puissance quand lui en porte l’envie. Ait envie, Kôta. Bouffe autant l’envie que ce connard a bouffé de sang pour ses démons. Bouffe la haine qui émane de tous, Hypogriffe, sois le cheval, le pégase, et l’aigle en même temps. Sois le lion qui va porter ses crocs. Mort à pleine dent ceux qui veulent faire couler la réputation de Blue Pegasus. Deux gardiens sont sur ces lieux. L’un défend, l’autre attaque. Néanmoins, une fois découverte, une fois que l’adversaire s’extirpe de sa position offensive, Lugia ne sert plus à rien. Sacrifions-la pour le moment. Une force poignée qui plante l’épée dans le sol et un tremblement de terre qui gronde.
« Sword Birth. »
La modulation de l’énergie qui passe du cœur aux poumons. Des poumons aux muscles de l’avant-bras. Jusqu’à la paume d’une main qui transfère le tout parmi la garde. Garde qui expulse les particules dans la terre. De mes pieds à ceux de Zulria, une nuée de lame s’extirpe du sol telle la vague qui viendra faucher la peau de l’homme bientôt en lambeaux. Pour le déchirer simplement.
Rien. Absolument rien. Malgré le déploiement de son aura, malgré l’explosion de son âme, Kôta n’eut aucun retour de la part du pégase disparu. Rien à part le dédaigneux Zulria qui restait planté face à eux avec son impertinence. Kôta souffla sa rage, il expiait sa colère qu’il accumulait depuis trop longtemps. Pourquoi fallait-il qu’ils se confrontent sans cesse face à des abrutis ? Zulria était l’incarnation même de ce qu’il haïssait – l’arrogance cumulée à un pseudo-mystère destructeur qui aurait façonné son ridicule être. Que souhaitaient les mages d’Ajatar Virke réellement ? Il ne pourrait obtenir la réponse aujourd’hui, il l’avait compris, car eux-mêmes n’avaient de réponse à leur fournir. Il serra des poings, craquant ses propres phalanges sans même s’en rendre compte, en imaginant son fichu ami Damaz côtoyé de si présomptueux personnages. Et à part Lisanna, voilà que les autres se mettaient sur leurs gardes, entrant dans le jeu ridicule et attendu de leur adversaire. Ils acceptaient le combat sans poser de questions, sans exiger de réponses. Impitoyable logique et réflexion dérisoire.
Kôta sentit un baume recouvrir son corps, c’était l’autre femme qui activait un sort de protection sur les deux artistes de take-over. Il lui balança un rapide regard, comme pour la remercier, mais le cœur n’y était pas – il n’avait absolument plus envie de se battre à nouveau contre un tel personnage, pas après avoir dû se battre contre Uriel ou alors que Damaz était encore à portée de main. Il y avait des grondements partout dans le château, partout autour d’eux, comme s’il allait s’écrouler d’un instant à l’autre. Il se murmura à lui-même « Il est meilleur que vous il est peut-être seul mais il est quand même meilleur que vous tous. » Zulria annonça la future offensive et bondit sur Chris après leur aparté au moment même où plus d’une dizaine d’épées se matérialisèrent pour former un cercle autour des trois autres à l’écart de l’affrontement pour les embrocher tous dans un raclement sec. Lisanna et Kôta disposaient de la protection de l’autre femme, qui se retrouvait démunie contre cette attaque surprise, alors le garçon sauta à ses côtés et l’enveloppa de ses bras pour la protéger. Quand quelques lames s’apprêtaient à les transpercer, il utilisa l’énergie qu’il avait emprunté à Uriel quelques instants plus tôt pour utiliser le même sort défensif que sur l’île d’Yselin : « Implosion ! » Une onde de choc jaillit de son corps, vrillant toutes les épées qui éclatèrent littéralement, et finissant sa course supersonique sur les murs du château tout autour d’eux. Il s’écarta de la femme qui, lovée derrière ses bras, avait ainsi été protégée. « Nous sommes quittes, désormais. Fais attention. Maintenant on s'occupe rapidement de cette enflure et on rentre tous à la maison. »
L’onde de choc avait brisé une porte, non-loin d’eux, qui pourraient leur permettre de fuir. Kôta la regarda avec un drôle d’air, attiré par elle. Mais il finit par lui tourner le dos pour se concentrer sur Zulria et Chris qui se démenaient au combat. Il fallait qu'ils s'occupent de Zulria avant de partir car il ne les laisserait pas passer l’entrebâillement de la porte librement. Chris planta son épée dans le sol pour faire émerger une salve de lames qui jaillirent en direction de leur adversaire. Kôta leva les bras et tira une pluie de salves magiques pour les faire exploser sur le métamorphe. Puis le mage se souvint de la vitesse utilisée par ce dernier pour tous les narguer en atterrissant dans leurs dos à chacun à murmurer ses conneries. Une vitesse clairement surhumaine – à laquelle il répondait par Flow, le sort qui décuplait sa vitesse et sa force. Une demi-seconde plus tard, il se retrouvait nez-à-nez avec Zulria. Toute son énergie dans son poing, il l’abattit sur le nez adversaire pour l’envoyer s’écraser à ses pieds.
Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Sam 9 Aoû - 23:49
Lisanna Strauss
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Titre : Jesersàrienmaisjaimebien Crédit : Lucy Feuille de personnage Maîtrise Magique: (14435/35000) Mérite: (820/800)
Lisanna
« Mia... RRRR!»
lumos maxima
Sujet: Re: A cælo usque ad centrum [Groupe I] Sam 16 Aoû - 10:34
Ohatsu Takumi
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Titre : Prettiest Queen Feuille de personnage Maîtrise Magique: (7310/35000) Mérite: (300/400)
Je vous soutiens!
★ Palais D’Ajatar Virke
Feat
Event RP ~
...
Un jour, la brume se disspera et laissera place au soleil.
Ils avaient combattus, ils étaient blessés, physiquement et très certainement moralement … Elle n’avait fait que dormir, attendre qu’on vienne la délivrée, la libérée de ce sommeil qui semblait sans fin… Elle n’avait fait que cela pendant six longues années. Ils devaient être protégés, cette fois, c’était à son tour de prendre les coups.
Comme prévu, une attaque offensive et puissante. L’Esprit lui, protégeait les deux alliés, tandis que son invocatrice se préparait à recevoir l’attaque de front. Elle fermait les yeux, serrait les dents, prête à ressentir la douleur et la souffrance de cette attaque inévitable. Soudain, des bras protecteurs l’enveloppait, non pas une douleur s’emparait d’elle, mais bien une douce chaleur humaine. La constellationniste écarquillait les yeux soudainement et regardait le jeune homme qui plongeait son regard dans le sien, alors qu’il avait fait le nécessaire pour les lames qui s’apprêtait à leurs infliger leur courroux.
« Nous sommes quittes, désormais. Fais attention. Maintenant on s'occupe rapidement de cette enflure et on rentre tous à la maison. »
Elle détournait son regard, tandis que ses joues prirent une teinte écarlate. Elle acquiesçait timidement à ses paroles… « On rentre tous à la maison » … Mais elle… Elle n’avait pas de maison. Cette pensée lui fit assombrir son regard. Tandis qu’elle remerciait d’une toute petite voix le Poney de sa protection. Ce dernier se retournait pour faire face à Zulria et son collègue.
La femme aux cheveux roses regardait la fée, qui avait été protégée par Bouboule. L’esprit avait absorbé tous les coups reçus. D’une lumière rosée, il les avait convertit en soin pour la belle jeune femme qu’il tenait en sa protection. Ses blessures, pour les moins profondes de ses précédents combats avaient disparut, tandis que les plus sérieuses étaient devenues mineures. Non, elle était pas totalement guérie de ses maux, mais devait se sentir bien mieux. L’Esprit de L’Ecu Sobieki était bien plus utile qu’on pourrait le croire.
Ok ! Une des trois personnes était prête à combattre ! D’ailleurs, celle-ci semblait comprendre qu’à part ses Kunai, Ohatsu était sans défense. Prenant une forme de félin, imposante et intimidante, elle vient se placer à ses côtés.
La jeune femme réfléchissait, quel était le mieux à faire ? Elle analysait au mieux la situation pour la tourner à leur avantage. Deux étaient occupé à combattre. Elle avait d’ailleurs pu voir une partie de leur potentiel magique qui était vraiment impressionnant. Elle n’arrivait à la cheville d’aucun d’entre eux, sans compter que Serpens était déjà hors d’état de combattre et qu’elle était son atout le plus puissant… Triangulum pourrait être intéressante… Mais la brume étant d’origine magique, bien qu’elle soit composée d’eau uniquement, elle n’était pas sûre qu’elles puissent la contrôlée… Bouboule restait sa meilleure solution. Tous ici n’avaient aucune envie de combattre, mais Ohatsu avait bien compris que depuis le début, depuis que cet homme était apparu devant eux: ils n’avaient pas le choix.
La constellationniste tentait de prévoir les futurs mouvements de l’ennemi. Il semblait logique qu’il attaque les personnes non protégée … Mais avait-il une once de logique ? Elle devait compter sur le fait que les deux membres de Blue Pegasus le tiennent occupé et pour cela, elle devait tout mettre en œuvre pour qu’ils puissent en venir à bout.
▬ Bouboule!
Elle brandissait un bras vers les deux garçons et l’Esprit les enveloppait, les rendant insensibles aux attaques physiques. Une petite bulle rosée et pailletée les entourait et les suivaient à la trace sans les gêner.
Elle ne savait pas quoi faire d’autre, elle était vraiment impuissante contre ce Zulria … Tout se reposait sur les épaules des deux poneys …