" Te lier c'est accepter le pire comme le meilleur, te perdre et te noyer, t'oublier toi et tes pensées, tes idéaux et tes rêves. Tu n'es jamais seul Altiel, nous sommes là et il est là, veux-tu prendre le risque que quelqu'un d'autre puisse pénétrer dans cet intimité ? Que quelqu'un puisse nous séparer, briser ça ? Puisse te faire oublier que seule compte la nature et sa beauté ?"
Un souffle résonnant entre les écorces solitaires. Un murmure au vent alors que la lune émerge au dessus de la cime de la forêt où le silence règne comme une ode muette adressée à la mort. Ici et là, une branche craque sous le pas furtif d'un prédateur à l'affut d'une proie à l'esprit vif.
Le voile de la nuit pour bercer la forêt dont les légendes relatent la présence de la mort, parlent de ceux qui y entrent et n'en reviennent jamais, happés par cette entité qui hanterait la forêt depuis des temps oubliés.
Le souffle du vent vient faire se lever les feuilles mortes dans la faveur de l'automne, virevolter comme animées d'une vie passée, les branches ploient légèrement sous son souffle alors qu'il s'enfonce au coeur de la forêt, ce coeur d'où l'ont dit que nul ne revient jamais... Mais il est le vent, inaltérable dans son ascension, implacable dans sa course entre les troncs bercés par la lueur d'une lune claire croissant sur l'horizon.
Les feuilles dansent, porteuses millénaires des messages les plus secrets, une paupière de lierre s'ouvrant paisiblement pour révéler une pupille opaque constituée de feuilles de menthes. La silhouette se lève légèrement sous le message secret du vent, un faible sourire se dessinant sur ses lèvres de fougère alors qu'elle sent la présence s’immiscer dans son sanctuaire sacré, des humains venus seuls à la nuit tombée. L'excitation naissante dans le corps de feuillages endoloris par les années d'inertie, l'excitation et le plaisir alors qu'enfin après six ans l'opportunité d'un jeu malsain vient frapper dans son antre aux tréfonds de la forêt, cette antre où presque personne ne vient jamais. La silhouette féminine se lève délicatement du cadavre d'un arbre que la foudre a détruit où elle était allongée depuis un temps qu'elle ne serait compter. Le vent vient bercer sa chevelure de feuillages endiablés, la silhouette éclate en un millier de feuilles aux mile couleurs des saisons pour se laisser porter, l'excitation à son apogée.
***
La quiétude de la forêt les berce depuis qu'ils y sont entrés une heure plus tôt. L'excitation et l'angoisse de la rencontrer à nouveau, l’espérance secrète qu'elle viendrait à leur rencontre dans son incapacité à la contacter par ce lien qui jadis les unissait...
Lien psychique que les six années écoulées dans un sommeil létal avaient pompé jusqu'à presque le briser dans le vol constant de la magie le nourrissant. Puis lentement, doucement il s'était reconstitué avec celle qui avait de tout temps était sa plus fidèle alliée, la mortelle mort glacée. L’espérance et le courage renaissant, renaissant dans l'esprit du dément aux airs d'innocent. La décision prise dans un accès de folie caractérisé de retourner sur le lieu où tout avait commencé avec la funeste entérée. La soirée passée à convaincre sa moitié de le laisser y aller, soirée défilant pour s'achever sur les sanglots qui triomphèrent sur la volonté et la raison du jumeau incapable de résister à son petit frère aux airs naïfs d'enfant attardé malgré leurs traits identiques en tout aspect. Une seule condition, celle de l'accompagner, condition accepté alors que déjà l'aliéné avait pris la direction de la forêt maudite d'Honatha.
Le vent se lève sur la forêt, sensiblement et il peut le sentir au plus profond de lui, son énergie terrestre s'animant alors qu'ils pénètrent le coeur de l'immense forêt porteuse des mythes les plus fous sur la présence d'une entité qui volerait la vie de ceux violant cet endroit sacré... Pas très loin de la réalité. Le sourire naissant sur ses lèvres rosées alors qu'il se tourne vers son frère pour murmurer avec une excitation d'enfant.
" Elle est là... Je le sens. "
Mais c'était sans compter sur cette ombre rampante émergente, celle d'un intrus au coeur plus noir que de raison et dont la présence en ces lieux ne pouvait présager qu'un funeste dénouement.
Spoiler:
Voilà, voilà en espérant que ça vous convient, je pense que le mieux serait que Yoite réponde avant Uriel, mais vous qui voyez.
Bebebe FTRPG
Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Sam 22 Mar - 2:51
Logan S. Crow
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Titre : Yoite la-plume-au-cul Noire Crédit : Dadou Feuille de personnage Maîtrise Magique: (16990/35000) Mérite: (792/800)
La Mort Noire et la femme de la forêt ...
Feat. Altiel et Uriel Rudraksha
La forêt noire de LanthaKô, aussi appelée la forêt d'Honatha. On dit que dans cette forêt réside une créature, prête à tuer n'importe qui entrant, et s'aventurant au plus profond de ce cœur de végétation noire.
...Narrateur externe...
Devant la sombre forêt de LanthaKô, se tient un jeune homme, la chevelure bleu, nuancée de mauve et de violet, au vent. La main droite sur la poignée de son sabre, il s'apprête à franchir l'orée de la forêt. Son but ? Tuer la femme forêt, afin d'annexer celle-ci à la guilde noire, dont on dit qu'elle est invisible, Purple Bugloss.
Alors qu'il s'apprête à entrer, il se retourne soudainement : Un couple de mages, il le sent, aux apparences identiques se rapprochent. Yoite se cache, et les observe. Si l'un semble en retrait, et peu sûr de lui, le premier est confiant.
Ils entrent. Sont-ils là pour la même raison que lui ? Sont-ils présent pour chasser la créature des bois ? Quoi qu'il en soit, la Mort Noire décide de les suivre discrètement. Mieux vaut que ce soit eux, et non lui, qui se fassent attaquer par le monstre.
Quelques minutes après être entrés, le premier se retourne vers le deuxième, un sourire au visage.
"Elle est là ... je le sens."
Le ton de sa voix, le sourire sur sa tête... Tout indique clairement à Yoite que les deux jumeaux ne sont pas là pour affronter la démone des bois...
Soudain, l'atmosphère s'alourdit. Elle est là. Elle les observe. Il ne sert donc plus à rien pour l'assassin de rester caché; tout ce qui est dans ce lieu est dominé par cette divinité forestière. Alors Il sort, noircissant l'atmosphère déjà pesante.
...Retour à la première personne...
Au moment où j'apparais devant eux, les jumeaux ne semblent pas surpris. Ils m'avaient donc déjà repéré. Ils ne sont pas ordinaires. Du moins, le premier ne l'est pas. La façon dont il a parlé laisse penser qu'il a un lien avec la femme de ces bois. De plus, avant que je sorte, il a regardé dans ma direction. Pourtant, me trouver, et me débusquer ne sont pas une mince affaire. Il est spécial.
Je ne dois pas les laissé en vie, mais je sais qu'Elle est là. Si Elle est avec eux, je vais avoir du mal à gagner... Je dois m'en débarrasser rapidement, ou alors, les liguer contre la démone. Je m'avance vers celui qui a parlé.
"Je me nomme Aishō (Ce qui veut dire "Pseudo")". Aidez moi, aidez moi à tuer la créature des bois, la démone de la forêt ! S'il vous plait.
Je joue évidemment la comédie. Ce petit jeu est destiné à les convaincre de m'aider à affronter la divinité de ces bois.
S'ils ne m'aident pas, je devrais les tuer rapidement. S'ils m'aident, je les attaquerais lorsque la créature sera morte...
La Mort vous attend quelque soit votre choix ... alors faîtes le plus héroïque, que vous puissiez mourir en "héros"...
Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Sam 22 Mar - 8:00
Uriel Rudraksha
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Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Sam 22 Mar - 15:38
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Uriel Rudraksha, Yoite Kyumizu & Altiel Rudraksha
" Te lier c'est accepter le pire comme le meilleur, te perdre et te noyer, t'oublier toi et tes pensées, tes idéaux et tes rêves. Tu n'es jamais seul Altiel, nous sommes là et il est là, veux-tu prendre le risque que quelqu'un d'autre puisse pénétrer dans cet intimité ? Que quelqu'un puisse nous séparer, briser ça ? Puisse te faire oublier que seule compte la nature et sa beauté ?"
Figé dans la nuit, le vent caresse la peau de miel alors que son regard se perd dans le vague des fourrés. Esprit se reculant pour tenter de rétablir dans la présence approchant la connexion, rétablir le lien presque éteint par les six années écoulés. Une voix le tirant de sa rêverie alors qu'il revient à lui, ne comprend pas vraiment quand devant ses yeux écarlates un homme est soudainement apparut, pourtant il n'y avait personne quelques secondes plus tôt. Ne comprends pas alors qu'il balbutie pour dire des choses étranges, des choses qu'il ne comprend pas, une démone de la forêt ? Où ça ? Et il n'est déjà plus là alors que son frère a pris le relais, s'interposant sans vraiment qu'il n'en prenne conscience car aux fin fonds de son esprit il est déjà retourné pour lancer ses appels muets. Sans résultat alors qu'elle n'est toujours pas là malgré qu'il sente sa magie dans l'air ambiant, son énergie imprégnée de ces lieux, le renvoyant six ans plus tôt quand il l'avait rencontrée, quand dans son esprit sa voix avait résonné, un rêve pour le conduire dans son antre reculée au fond de la forêt.
Et il frappe insidieusement alors qu'il a perdu tout contact avec la réalité, le flash d'un corps de végétation constitué, qu'il voit à travers ses yeux de menthe opaque, qu'il se voit alors qu'il sent son corps s'être figé, lien réémergeant soudainement, frappant tel un coup pour vous enfoncer alors que dans un instant, dans une explosion fulgurante de magie il reprend en force et vitalité dans le partage des sens et des émotions, des ressenties et des corps dans un esprit.
Sensation enivrante et suffocante qui ne procure que la joie dans son corps aliéné et dans son esprit aux frontières du rêve et de la réalité alors que insidieusement, comme un symbole les mots jaillissent de sa bouche en un réflexe qu'il ne peut refouler, comme le ciment pour receler leur union brisée, que jaillie portée par le vent avec une voix d'enfant l'incantation oubliée de l'entérée. Totalement coupé de la réalité dans le rétablissement puissance de leur connexion, que l'Anima Natura semble s'éveiller après un sommeil de cent années. « Ô Coeur des sols, racines millénaires, le vent se lève sous l'impulsion des mots alors que les feuilles se laissent entraînées en un tourbillon, Soeur d’ombre et de lumière., elles se rassemblent sous l'impulsion de ce vent étrange, s'unissant comme pour scintiller alors que déjà l'ont peut discerner la silhouette féminine qu'elles sont en train de former. Viens à moi Syla, enfant de la terre.» Le vent tombe brutalement alors qu'elle est là, incarnée et faite chaire par le tourbillon végétale. Son regard de menthe balayant les trois silhouette d'un étrange regard.
Se fixant un long moment, la femme végétale sourit faiblement alors que sa voix mélodieuse retentit dans son esprit avec une certaine nostalgie. Je ne pensais pas que l'on se retrouverai un jour. Seule phrase retentissant alors que dans le ruisseau les lèvres aux reflets bleutés sourient faiblement après avoir ressentie la connexion se re-créer à des milliers de kilomètres, que renait l'accès direct à travers l'esprit aliéné avec l'entérée. Elle reste silencieuse et pourtant bien là, comme apaisée au coeur de sa vallée.
Lentement, la silhouette constituée de végétation tourne la tête pour toiser les deux autres intrus en son domaine, un quelle reconnait et auquel elle n'apporte pas une très grande attention, l'autre inconnu faisant naître sa plus fatale lubie alors qu'elle le pénètre de ses pupilles de menthe, qu'elle parle avec une voix où la mélodie se mêle à la folie.
" Que dis-tu d'un jeu ? Une énigme pour te permettre de te sauver, perds et ton énergie nourrira la terre pour l'éternité, un grand hommage que je te fais.
Dans un souffle je fais frisonner même les plus méchants, si l'on me voit arriver c'est qu'il est déjà trop tard car je m'apprête à frapper, mais le plus souvent l'on ne me voit qu'à l'ultime instant avant le néant obsédant. Car de toutes choses je suis la fin et le commencement...
Que suis-je ? "
Le sourire étrange se dessinant sur les lèvres couleur de lierre, ne prêtant aucune attention au monde l'entourant à l'exception de l'intrus auquel elle venait d'imposer son jeu le plus prisé. Et c'est dans un élan d'amusement malsain qu'elle rit avant d’entamer en une étrange litanie le décompte du temps dans un murmure de "tic tac" incessant.
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Enigme ...
Feat. Altiel et Uriel
♠
Alors que je feins l'innocence, et prétends vouloir de l'aide, pour éradiquer un Mal, le jumeau le plus en arrière prend la parole, devançant l'autre.
"Ton ignorance n'a d'égal que ta folie..."
L'insulte, et la sous estime... erreur fatale en face de quelqu'un comme moi... Il surenchérit
"Fuis, pauvre fou."
Fuir ? Ai-je bien entendu ? Il me dit de fuir ? Est-ce de l'idiotie ou de l'inconscience qui brille dans son regard ? La poigne de ma main autour de mon sabre devient plus forte, et je suis prêt à dégainer, lorsque Elle arrive devant moi, souriant de ses dents étonnamment blanches. Elle me parle, tandis que je jette un coup d’œil à l'autre jumeau, plus calme, comme perdu dans ses pensées. Je suis tiré des miennes par la voix infecte de la créature des Bois
" Que dis-tu d'un jeu ? Une énigme pour te permettre de te sauver, perds et ton énergie nourrira la terre pour l'éternité, un grand hommage que je te fais."
Elle me menace...mais ne perd rien pour attendre... Si seulement elle avait été seule...j'aurais pu en finir rapidement. J'attends donc sa question, patientant, attendant le bon moment pour frapper.
" Dans un souffle je fais frisonner même les plus méchants, si l'on me voit arriver c'est qu'il est déjà trop tard car je m'apprête à frapper, mais le plus souvent l'on ne me voit qu'à l'ultime instant avant le néant obsédant. Car de toutes choses je suis la fin et le commencement...
Que suis-je ? "
Dans un souffle je fais frissonner les même les plus méchants...
Serait ce...le vent ? Non... La tempête ? Non...la souffrance ? Je ne pense pas... La...Mort ? C'est possible...
...si l'on me voit arriver c'est qu'il est déjà trop tard car je m'apprête à frapper...
La Mort correspondrait... Les flammes aussi... Et pourquoi pas le Destin ? Le Destin correspond aussi à la première phrase...
Je ne bouge pas, et réfléchis. Son "tic tac" ne me dérange pas du tout, et, au contraire, me pousse à réfléchir plus encore, mon esprit de compétition entrant en jeu...
...mais le plus souvent l'on ne me voit qu'à l'ultime instant avant le néant obsédant...
Le Destin ne correspond plus... Alors seule la Mort me semble être la réponse...
Car de toutes choses je suis la fin et le commencement...
La Mort... Finalement, c'est bien la Mort. La fin de la vie, le commencement de la libération. Tuer pour Libérer, telle est ma philosophie en ce monde. Le commencement d'une nouvelle vie, exempt de toute forme d'esclavage.
J'ouvre la bouche, afin de répondre. Je décide cependant de personnaliser cette réponse, et de provoquer la Dame, et d'insuffler la terreur à mes ennemis...
"La Mort... La réponse, est... Moi. Je suis l'incarnation de la Mort. Je suis celui que l'on appelle la Mort Noire..."
Je dégaine alors rapidement mon sabre, et envahit l'atmosphère déjà pesante de ma volonté de tuer. Je lève mon épée, et, d'un regard empli de noirceur, dit
"Je ne nourrirais pas la terre, mais je peux te sauver de ta misérable vie, Avatar de la Forêt ... Rejoins les cieux, et abandonne la Terre..."
D'un coup aussi rapide que beau, aussi silencieux que mortel, j'abats ma lame...
Ne résiste pas, n'inverse aucun rôle... Je suis le tueur, tu es la victime... Prends racine à jamais, et terre toi dans l'oubli...
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Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Ven 2 Mai - 13:51
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Uriel Rudraksha, Yoite Kyumizu & Altiel Rudraksha
" Te lier c'est accepter le pire comme le meilleur, te perdre et te noyer, t'oublier toi et tes pensées, tes idéaux et tes rêves. Tu n'es jamais seul Altiel, nous sommes là et il est là, veux-tu prendre le risque que quelqu'un d'autre puisse pénétrer dans cet intimité ? Que quelqu'un puisse nous séparer, briser ça ? Puisse te faire oublier que seule compte la nature et sa beauté ?"
Tick Tock. Le temps défile, le temps défile et elle reste là statique de son sourire sadique, Tick Tock clame tel dans un murmure alors que le temps arrive à terme. Et il réfléchit. La réponse tombe, tombe tel un couperet alors qu'elle croit perdre son propre jeu. Crois alors qu'une autre réponse vient succéder à la première. Le non respect des règles imposées, le souvenir de cette gamine, d'un écart une fois tolérer fasse à la multitude de réponses donnés. La colère fulmine, nait pour embraser le corps de végétation, l'agacement, l'agacement et la colère en vers tout ces insectes qui pensent pouvoirs librement enfreindre les règles, d'une réponse attendue s'en permettent plusieurs, des ces humains incapables de respecter une stupide et toute simple règle, une seule réponse dans un temps impartie.
Il se moque d'elle, oh oui elle peut le sentir dans sa réponse, dans son impudence et son arrogance alors qu'il la menace, il se moque d'elle, bafoue son domaine, bafoues de sa simple présence, de ses mots teintés d'arrogance l'incarnation de la nature en présence, elle et ce qu'elle représente.
Et alors que son visage végétale se crispe dans l'hystérie naissante il attaque, la lame part avant d'être contrée. Une explosion, impulsion alors qu'ils disparaissent dans les ombres. Son corps végétal implose sous la fureur, et le vent se lève entre les arbres, portant dans son sillage feuilles et résidus végétaux en tout genre, sent la présence sinueuse avant de se reconstituer plus loin dans la forêt au moment où le corps se voit lâché.
Une explosion de magie alors qu'elle établie la connexion dans l'hystérie naissante, ses bras se lève alors que dans le sous sol les greffes se multiplies, se liant aux racines robustes ou fragiles avant e se relier les unes aux autres tel un méandre sous terrain de racines interconnecté et la terre semble vibrer sous le bouleversement que connait le sous-sol de la clairière. Un mouvement, son bras se lève alors que le sol se fend, que les racines d'ébènes jaillissent du sol tel un serpent pour s'élever nourrit de l'énergie de la terre, tel une colonne pour agripper la cheville de l'objet de sa colère avant de l'enlacer et de se propager sur toute sa jambe, établissant la connexion alors qu'elles pompent son énergie. Le connecte au dédale sous-terrain de racines avant l'apothéose. Ses mains bras s'écartent tel un age avant de violemment pourfendre l'air pour que ses mains se claquent l'une contre l'autre devant elle.
" Déchaînement végétal ! "
Les racines enlaçant la jambes s'illuminent alors d'une faible lueur verte alors qu'elles aspirent l'énergie du corps tel un parasite, l'injectant dans la terre alors que celle-ci se mette violemment à vibrer, trembler alors que le sol se fissure sur tout le périmètre de la clairière, la terre gronde et tremble alors que de son sein émergent un véritable déferlement végétale de ronces et de lierre, d'arbres et de fleures poussant et s'accroissant pour s'élever sous la connexion, la végétation se nourrissant de l'énergie du prisonnier pour continuer son ascension et les arbres grossissent, les ronces se propagent et s'élèvent, le lierre se répand, les troncs se tendent et s'élèvent alors qu'en quelques secondes tout le périmètre est devenue une véritable prison végétale, de ronces et d'écorces pour emprisonner les corps de leurs piquants, de sorte qu'il soit impossible sur toute la zone d'évoluer sur terre ou dans les airs sur plus d'une trentaines de centimètres avant de se retrouver confronter aux déchainement de la végétation, bouleversant totalement le terrain. Et la greffe sur la jambe piégé disparait, les racines libèrent de leurs étaux pour se reloger dans la terre, prête à frapper à nouveau.
Un sourire sadique sur les lèvres de menthe, un cri au bord de l'hystérie.
" Personne n'a le pouvoir d'enfreindre mes règles. JE DIS BIEN PERSONNE ! Et si la mort était la réponse attendue, la deuxième n'est que mensonge rampant, que t'as vanité t'en es persuadé où qu'il soit la réminiscence de ta folie, comment oses-tu te présenter comme l'implacable faucheuse ? Tu n'es et ne sera jamais qu'un misérable furoncle , résidus d'humanité et venir menacer la nature en mon sanctuaire te vaudra de le rencontrer en personne, car l'une comme l'autre ne tolèrent nul affront. "
Et sur ses mots ses bras s'écartent à nouveau alors que sa magie se répand dans le sous-sol venant pulser dans les greffes alors que ses mains s'unissent en un claquement sec.
" Linceul Végétal ! "
Et par le déferlement de magie au coeur de la terre ronces, lierres et feuillent s'animent à l'unisson, s'animent pour fondre sur le pauvre fou venue mettre en péril leur pérennité, fonçant pour l'enlacer de tout les cotés, se plaquant sur entièreté de son corps tel un linceul de ronces et de feuilles avant exercer leur redoutable force de constriction pour l'étouffer, le briser.
Spoiler:
Syla
Alors alors, si y'a un soucis sonnez moi. Pour résumer Syla grâce aux racines ayant emprisonné ta jambe Syla a pomper une partie de ton énergie magique pour nourrir la terre et toute les racines faisant jaillir la végétation et changeant totalement le terrain avec le déchainement végétal. Les plantes sont toujours là car même si la greffe a disparue l'énergie volée et injectée elle les nourrit encore. Quand aux linceuil c'est simple il utilise toute la végétation alentour sur toi, qui fond pour recouvrir tout ton corps comme les bandeaux d'une momie et établir sur lui une force de constriction. (Ppour la greffe sur ta jambe même si tu voles ca ne change rien, elle peut s’élever aussi haut que nécessaire temps que Syla lui insuffle sa propre énergie)
Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Dim 11 Mai - 19:38
Logan S. Crow
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On ne peut entraver la Mort...
Feat. Altiel et Uriel
Au moment où j'abats ma lame sur l'Avatar de la forêt, l'un des jumeaux pare, épée en main. Je ne résiste pas, m'amusant. Celui là, on dirait une vraie nourrice protectrice. Il a l'air d'être le garde du corps de son frère, ce qui me laisse penser qu'il est le plus fort des deux.
"Qui tiens tu à protéger ? Ton frère, ou la Démone ?"
Je rigole, tandis qu'il révèle sa magie. Les ténèbres nous envahissent alors, et nous voilà tous deux projetés vers les abîmes, avant de réapparaître quelques mètres plus loin, en hauteur. Téléportation ? Ça risque d'être embêtant...
En l'air, il s'éloigne, et modifie sa trajectoire, sans doute pour ne pas mourir écrasé. Alors que je vais sortir mes ailes, afin d'éviter de m'écraser au sol, la Furie des Bois lève les bras, et m'attaque... Aussitôt, des racines sortent du sol, et se dirigent vers moi. Elles m'engloutissent la jambe droite, cependant, juste après que j'ai fait sortir mon armure de plumes... Et je sens l'énergie magique me quitter. Je me débats alors, et mon armure au niveau de ma jambe casse, tandis que le terrain change du tout au tout...
De la végétation gênante, des lierres, des feuilles, de partout.
Mes ailes noires sortent alors, emplissant l'intérieur de cette zone végétale de mon aura sinistre. Puis je remarque que cette Femme de la Nature n'en a pas finit. Elle invoque d'autres ronces, d'autres corps végétaux, et les dirigent vers moi... Si ça me touche, je suis fait...
Alors mes ailes se placent devant moi, et exécutent un mouvement rotatif, créant de ce fait une demie sphère de plume, protection ultime du Déchu. Toutes attaques des végétaux s'en trouvent parées, tandis que je donne de puissants coups d'ailes, me projetant vers le trio.
Afin de progresser parmi les plantes, je braque ma demie sphère devant moi, et fonds, repoussant, écartant chaque parcelle de vert. Puis ma protection se dissout dans les airs, et laisse place à une foulée de plumes noires, me camouflant. Ensuite, mes quatre lames noires coulent de mes avants bras, tandis que je m'arme de mon katana blanc. La Danse des cinq lames...
Semblant danser autour des branches, je coupe, tranche, fend la végétation, progressant en un chemin à travers cette verdure. L'usage de cinq lames, ainsi que ma maîtrise et mon expérience d'épéiste, me permet d'atteindre sans trop de difficultés le groupe, et je disparais, rendant mon corps (et mes vêtements) invisibles, lâchant mon sabre de Maginium, ne pouvant se soustraire à la vue des autres. Dès lors, j'erre, autour d'eux, sans aucun bruit, contenant au maximum ma respiration, usant de mes talents d'assassins pour les faire halluciner : une pierre lancée, tombant à un endroit, tandis qu'un semblant de toucher frôle un arbre, faisant fuir un oiseau; une tape discrète dans le dos d'un jumeau, en même temps qu'un souffle au visage de Sylla, rapidement suivi de mon envol dans les airs; une brindille craquant, à l'opposé d'une pierre bougeant... Tout en les rendant fous (du moins, en essayant), je cherche un angle mort...
Trouvé ! Le dernier jumeau ! J'arrive derrière lui, et le frappe vers le flanc droit, espérant l'avoir eu. En ce même temps, je redeviens visible, et mes ailes s'enroulent autour de lui, une lame à son cou.
"Ne bougez pas, si vous voulez qu'il vive..."
Ultimatum de la Mort Noire. Sylla, Dame des Ronces, accepte sa supériorité, ou perd celui la, à tout jamais...
Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Sam 17 Mai - 19:28
Uriel Rudraksha
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Sujet: Re: Connexion [PV Yoite & Uriel] Sam 17 Mai - 20:54
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Primordialis Regulas
Uriel Rudraksha, Yoite Kyumizu & Altiel Rudraksha
" Te lier c'est accepter le pire comme le meilleur, te perdre et te noyer, t'oublier toi et tes pensées, tes idéaux et tes rêves. Tu n'es jamais seul Altiel, nous sommes là et il est là, veux-tu prendre le risque que quelqu'un d'autre puisse pénétrer dans cet intimité ? Que quelqu'un puisse nous séparer, briser ça ? Puisse te faire oublier que seule compte la nature et sa beauté ?"
Et la violence hurle et cogne, la végétation s'emballe en une déferlante, tout se brouille et tout se fige dans la nuit et les yeux de menthe opaque ne luisent plus désormais que d'un sadisme malsain.
Le plaisir avant la douleur, le plaisir avant le hurlement strident pour vriller la nuit, qu'il ne déchire l'étau, qu'il ne commence sa course folle, lacérant et mutilant toute végétation se mettant au travers de sa route. L'énergie se perd, la végétation se meurt sous ses coups sauvages, la stupeur et la douleur dans son assaut alors qu'il continue son œuvre de destruction. Et dans la douleur succède la rage, la rage et la haine, la détruire était une chose... Mais là c'est à la nature elle-même, à se mission et sa raison d'être qu'il s'en prenait, à ce qui lui avait pris sa vie et son humanité, à cette force qui l'avait appelé, sa raison d'être et de perdurer dans sa damnation éternelle, son attribut attribué.
Il disparait et les bras végétaux se lèvent, à l'affut du moindre mouvement, visage déformé dans un rictus étrange, la rage sur un visage végétal. Et alors qu'elle a hurlé, la voix masculine à résonné, son hurlement à retentit pour s'y mêler dans le lien les unissant à jamais, une douleur pour conclure l’œuvre entamer, que le lien redevienne plus fort qu'il ne l'avait jamais été dans le partage de la douleur infligé. Et c'est en courant qu'il émerge des fourrés pour rejoindre la clairière devenue un labyrinthe de ronces et d'arbres, de plantes et de fleures, tantôt intacte ou saccagées. Un soupire de soulagement alors que son visage croise celui de Syla, puis la panique naissante alors que son frère n'est pas là, que cette étrange garçon croisé plus tôt n'est pas là.
Et alors qu'il reprend lentement sa respiration, que la douleur s'efface sensiblement il apparait, apparait alors que la lame vient caresser sa nuque dévoilée, faisant teinté dans l'obscurité le carillon suspendue en un pendentif étrange.
La panique émergeant au contact de l'objet aiguisé, lentement alors qu'il prend soudainement conscience de la situation, de ce qui était en train de se dérouler, enfant attardé, constamment présent et pourtant éternellement absent, hors du monde et hors du temps.
Panique étouffé alors que le bas jaillit de l'obscurité dans un craquement, que la pression vient s'imposer à son corps avant l'obscurité des ombres pour réapparaître dans les bras de son frère. Stupéfait, stupéfait et rassuré, rassuré et pourtant nourrit de cette colère sans nom dans la puissance de la connexion, la révélation dans son esprit alors que d'une voix raisonnent celles de Syla et de son frère pour dire l’innommable.
Et c'est comme un électrochoc pour le frapper alors que son frère desserre l'étau... Tuer la foret...
Et dans l'air les choses semblent changer alors que l'ambiance semble s'alourdir d'un battement d'aile, que la voix croassante raisonne à son ouïe dans son horrible litanie, faisant rejaillir de son esprit le souvenir d'un carnage sans nom, la vision horrible et putrescente d'un arbre de chaire et de sang. Et le souvenir vient s'imposer pour le noyer, l'obséder alors qu'il revoit le supplice et le carnage, l'abomination que cette dernière avait créé, pourrissant tout de son contact immonde, il la revoit... Syla... Syla se décomposer dans une douleur que l'on ne peut qu'imaginer alors que de sa magie elle avait tenter d'aspirer la putrescente corrompue de l'entité avant de ne devenir qu'un amas de plantes mortes portées par le vent.
Et à ce souvenir succède un autre, il revoit la blonde, revoit le carnage et le sang, cet abomination immonde constitué de cadavres, l’œuvre d'un fou qui croyait pouvoir dompter la mort, la maîtriser, quitte à annihiler toute vie que que la terre n'ai jamais portée...
Il n'est déjà plus là alors que la scène de cesse de se charger, que les corbeaux affluent et que son frère ne revête la puissance sinistre du messager des morts. Non il n'est déjà plus là alors que les souvenirs continuent d'affluer, que dans une seule âme, d'une seule voix, d'un seul esprit et d'un seul corps lui et Syla se remémore la mort, sa mort, la terre s'engouffrer dans ses poumons, l'air venant à manquer, que dans une symbiose totale sa magie damnée les unifier dans le lien de leurs esprits. Une seule réponse trouvée alors que la main vient effleurer son bras, un seul fléau responsable de toutes ces atrocités, une seule maladie se devant d'être condamnée, une maladie nommée humanité.
Et la magie jaillie, véritable explosion d'énergie sous le contact des peaux. Syla implose en un amas de végétation porté par le vent, porté vers lui alors que su sa peau elle se dépose, qu'en lui le lien de l'esprit transcendant le corps alors qu'il se déforme, qu'ils ne sont plus qu'un, et le contact nourrit, jaillie, les magies se mêlent et se mélangent dans une deferlante, la terre et ses corps, lui et son frère, Elle et lui, Lui et Elle, la forêt et la mort, tout se bouscule et s'emballe, a magie déferle dans un unique, une proie à leurs coeurs bafoués, à leurs raison d'être mutilé par un fou se prenant pour la mort.
Et sa peau devient de plantes et de ronces, son visage se déforme alors que sa main devenue un congloméra de ronces aux piquants acérés vient s'enfoncer dans la chaire de son frère, que dans ses veines se diffuse la lumière verte, que la vise se voit absorber pour payer le prix de l'union sacré ainsi perpétré. Que d'une voix hybridé soit prononcé dans une parfaite union teinté de croassement le courroux ainsi déclenché.
" Primordialis Regulas : Union de la Terre et du Ciel. »
Et le cercle jaillie sur une vingtaine de mètres, union des contraires, mortifère alors que de la terre racines et plantes émergent pour former l'hideux congloméras d'êtres du passés, des âmes damnées dans le lierre et par leur chaire. Et la scène se déroulent sur leurs yeux de menthes poivrés, dans leur contact comme issue des cauchemars les plus abominables, dressés là, se touchant de leurs mains alors que sur chacun la connexion des magies hybride le physique et l'aspect, ils n'ont plus rien d'humain. Et à leurs coté ils parlent, parlent en son nom, en leur nom de leurs croassement angoissant alors que les damnés viennent réclamer leur vengeance. Et la voix s'élève, affreux mélange aux teintes végétales pour prendre la suite, morbide et intraitable.
" Dans un souffle elle fait frisonner l'humanité, prélude du néant obsédant, elle est l'amante maudite des fous l'adulant, sur eux comme à chacun, implacable elle s’abattra, alors dans son sillage la vie renaîtra avant le trépas."