Sujet: ultraviolence - lydia illunar (uc) Dim 29 Mai - 9:50
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Illunar Lydia Eylis
" all best peoples are crazy "
Informations Générales
Identity
Nom : Illunar Prénoms : Lydia ; Eylis Âge : 23 y.o. Date de Naissance : 765 Origines : Fiore Sud
Activité(s) : Mage illégale Guilde : Ajatar Virke Statut : Haut Membre Surnom : E. Avatar : Elsa d'Arendelle ; Frozen
Psychologie
Jalouse. Tu es aussi jalouse qu’une rose au printemps. Tu te dois d’être vue, admirée, vénérée. Tu es la plus belle, et le monde entier doit le savoir. Qui plus est, tu n’as qu’un souhait. Retrouver celui qui t’a abandonné. Tu ne lui en veux pas, mais tu ne comprends pas comment il n’a pas pu te voir, toi, once de vie dans l’incendie. Dans la guerre, la dévastation. Toi, dans le noir, seule et sans espoir. Toi, petite comète, qui s’éteindra dans ton innocence, toi, petite étoile, qui disparaîtra, que personne ne verra.
Obstinée. Tu es bien trop entêtée pour écouter. Tu as raison, tu es justice. Tu es tout ce qu’il faut croire. Ainsi, tu n’accepteras aucune aide extérieure, tant que tu ne l’auras pas demandé toi-même, tant que les mots ne sortiront pas de ta bouche, ne franchissent tes lèvres. Mais tu es aussi ouverte. Pas à grand-chose, mais tout de même, tu sais accepter un minimum les opinions extérieures aux tiennes. Sur un seul point, tu n’accorderas pas d’autres hypothèses que les tiennes.
Les simples humains. C’est ton seul sujet de désaccord avec le monde. Alors tu te poses la question. Pourquoi la nature a-t-elle fait des êtres vides de sens comme de magie ? Ou alors pourquoi avoir fait des êtres différents. Non pas que tu n’apprécies pas la différence, mais c’est totalement débile et insensé. Peut-être une erreur, ou un équilibre sur la balance, pour avoir autre chose à tuer que des êtres magiques. Parce que oui, jolie blonde, les humains ne sont pour toi bons qu’à être tués. C’est leur seule utilité. Et on ne discute pas.
Haineuse et honteuse. Tu détestes comme dit plus haut les femmes plus belles que toi, mais tu n’assumes pas ta vie. Parce que ton frère. Ce type, qui t’a laissait crever sur la colline. Crever de faim, de froid. Qui t’a laissée, l’esprit brisé. Qui t’a laissée, seule et perdue dans le désespoir calciné. Alors tu hais beaucoup de chose. Tu jalouses, tu pilles, tu tues, mais tu n’assumes pas toujours. Parce que ce crétin d’homme qui partage ton sang. Tu l’aimes, c’est certain, tu ne lui en veux pas, mais tu n’as qu’une envie quand tu entends son nom, c’est de fuir. Parce que tu n’assumes pas. Et tu n’assumeras peut-être jamais. Mais tu continues.
Amoureuse. De ce crétin de blond, qui t’a fait découvrir l’illégalité à son plus haut point. Il t’a fait entrer dans le gratin du mal, dans ce que t’assumes pas. Alors au début, t’as paniqué. Mais tu t’y es fait, et tes sentiments pour ton sauveur s’est petit à petit manifesté. Alors, tu t’es cachée, parce que l’amour, c’est encore une chose que t’assumes pas. Tu le veux, mais est-ce réciproque ? Est-ce aussi profond que tu le veux, que tu l’imagines ? Mais lui, il a l’air de s’en foutre. Lui, il fait sa vie, va voir sa pute de Circé, et il est content comme ça. Mais pas toi. Zadig.
Féminine et élégante. Parce qu’une femme se doit de se montrer gracieuse et belle, tu prends soin de ton apparence, de cette robe bleue qui brille dans le noir. De ces magnifiques cheveux qui font tourner les regards, de ce corps d’une perfection inégalable. Parce que les plus canons, elles bouffent les pissenlits par la racine. Et tu n’es pas ignorante de leur mort.
Affective. Parce que oui, le tableau n’est pas tout noir. Tu peux aussi te révéler douce et gentille. Bien que ça n’arrive pas souvent, tu dois quand même l’être, quelque fois. Ces fois où tu ries, avec ces autres abrutis d’Ajatar. Et tu en apprécies certains, mais y’a cette salope qui casse l’ambiance. Cette salope, tu la supporte plus. Tu l’as jamais supporté, pour ne pas mentir. Et tu ne la supporteras jamais.
Colérique. Tu es en colère après le monde entier, après les destructeurs de ton village, après les femmes plus belles que toi, tu es en colère pour tout, et pour rien. Tu es en colère contre toi-même, une guerre froide dans ton esprit. Parce que bien que tu aimes faire le mal, une partie de toi regrette, pour ton frère. Que pensera-t-il de toi ? Toi, étoile cassée en mille morceaux bien ternes ? Et cette colère empire bien les choses, elle te détruit à petit feu. Doucement mais sûrement, elle te détruit, t’enfonçant de plus en plus dans des massacres impardonnables. Mais, à tes yeux, ce que tu fais es juste.
Tes actes sont tous légitimés. Ce n’est pas vrai est ça ne le sera jamais, mais tu te rassures seule, devant toujours avoir une arrière-pensée, pour te rassurer, te dire que ce que tu fais, c’est bien, et cette voix au fond de toi, elle te console dans le noir. Quand tu regrettes tes actes, elle est là, cette voix. Cette voix, c’est ta colère qui se manifestent. Parce que de cette colère naît une Lydia trop dangereuse, trop puissante pour ton corps frêle. Mais tu désires la vengeance, et ç’est cette colère mêlée à cette vengeance qui causera ta perte, sauf si ton prince charmant vient te réveiller en te laissant un dernier baiser.
Mais ton corps frêle, tu veux gérer ça toute seule. Tu n’aimes pas être couverte, surprotégée, alors parfois, tu te débarrasses de cette couverture que les membres d’Ajatar te pose doucement sur le dos. Non, princesse, toi, tu veux te démerder toute seule, et tant pis si tu te casses un ongle.
Ton frère. C’est le dernier qui te caractérise, si on peut dire que ta psychologie se résume à ces quelques lignes. Il te manque, mais tu le croyais mort. Mais depuis, tu as changé. Etoile s’est assombrie, et maintenant, tu as peur de ce qu’il va penser, en voyant princesse couverte de sang. Alors tu as honte, mais tu veux tout de même le voir, le beau garçon qui partage ton sang. On dit que les frères et sœurs se pardonnent tout, mais toi, t’en doute fortement. Pourtant, tu te raccroches durement à cette phrase.
Background
ACTE I : INTRODUCTION
Lydia, elle est née dans un petit village. Mais le village a été détruit. Parce que les habitants développaient des facultés trop puissantes. La nature se soumettaient à leur volonté. C’était il y a trois cents ans. La nature leur envoya une pierre magique. Et tous les enfants qui jouaient près de la pierre développèrent des facultés plus que puissantes. Mais ce n’étaient sans compter la nature humaine. Pendant deux cents ans, le village était en paix. Une prospérité s’entretenait, et tous les villageois s’entendaient bien. Pendant deux cents ans, le savoir s’augmentaient, les pouvoirs grandissaient. Des exploits pouvaient parfois se produire. Une ère de paix qui devait durer toujours. Qui s’était installé pour une dite éternité.
Mais les hommes restent hommes, et tout ce qu’ils ne peuvent posséder, ils le détruisent. Alors, un homme vola un enfant, et il demanda une bataille, pour mesurer l’étendue du pouvoir de ce peuple. Mais le peuple ne savait pas se battre avec ses pouvoirs. Alors le père, plus que fou de rage, envoya une détonation et détruisit une partie du village. Pour éviter plusieurs mages pour une génération, on implanta la pierre dans un enfant. Et à l’âge adulte, on tuait cette personne, pour implanter la pierre dans une nouvelle personne. Et ça pendant longtemps. Mais ça n’arrangerait rien, juste la destruction du village si l’enfant produisait encore et encore des détonations. Des allergies corporelles à la pierre, peut-être. Un surplus de magie ? Possible également. Mais tu ne le sauras jamais.
ACTE II : VERRE BRISE
Puis, arriva ta naissance. Toi, tête blonde dans les jardins du village. Toi, tête blonde qui nageait sous le soleil d’été, ou bien que jouait dans la neige, le peu de fois où il neigeait. Tu admirais ton frère, détenteur de la pierre de ta génération. Au fond de toi, tu le jalousais un peu. Cet exquis pouvoir que tu en posséderas jamais, ou bien que tu ne pensasses jamais pouvoir posséder. Ce pouvoir, que tu as tant voulu maîtriser, ce pouvoir qui t’as toujours obsédé. Mais c’était ton frère qui le possédait, et tu ne pouvais rien y changer. Ton enfance passa, et c’est à tes dix ans que tout commence réellement. Le feu ravagea tout. Tu te revois, toi, tignasse blonde, simulant ta mort, mais tu savais que quelqu’un allait arriver. Tu te cachas dans une armoire, mais réalisas que c’était la pire idée possible. Alors, tu sortis de chez toi, discrète. Mais non, tout avait péri sous les flammes.
De ton imagination débordante, tu te revois, toi, regarder les cadavres avec répugnance. Un tas d’immondices. Un tas d’horribles souvenirs. Et cet incendie te ravagea de l’intérieur. Alors, une fois ton peu de logique réinstallée dans ta tête, il te guida vers ce qu’il brillât, ce qu’il n’avait pas pu piller. La pierre. La seconde, il en restait une autre. Tu l’avais touché, ignorante. Ainsi, le feu se dressa devant toi. Tu avais toi aussi développé ses attributs. Mais à quoi bon ? Tout était brûlé, calciné, et juste une silhouette sur la colline. Les hommes du feu, tu t’étais dit. Mais malgré tes nouvelles facultés, tu restas dans le village, ou du moins dans ces cendres. Tu souhaitais tout reconstruire, mais du haut de tes dix ans, tu abandonnas. Tu partis alors, marchands toi aussi sur la colline. Tu abandonnas tout ce que tu connaissais pour ton voyage dont tu ne reviendras jamais. Tu étais perdue, tu en savais rien du monde extérieur. Mais tu ne pouvais rester ici.
ACTE III : SIX ANS D'ERRANCE
Une fois ton voyage commencé, tu erras dans Fiore pendant trop longtemps. Tu avais perdu ton village, un peu comme si Cendrillon avait buté sa godasse, comme pour que le prince ne la retrouve pas. Tu traînas dans le sud de Fiore, à la recherche de quelque chose à manger. Comme tu ne pouvais pas payer quoi que ce soit, tu volais. Tes morceaux de cœur criaient tristesse et vengeance. C’est tout ce que tu voulais faire. C’est tout ce que tu savais faire dans ce monde ci. Tu volais des vêtements le nécessaire et quand tu le pouvais, tu revendais ce dont tu ne te servais plus pour t’acheter une chambre d’hôtel. Bien évidemment, les hôtels mal famés qui ne se payent pas cher. Tu faisais le strict nécessaire c’est-à-dire que tu te lavais, mangeais, et tu y passais la nuit. Le lendemain, si tu ne payais pas le soir, tu repartais, prenant le peu d’argent dans les caisses. Tu devais vivre comme ça, tu étais obligée. C'était comme ça que tu devais vivre. Piller, voler, survire. La loi de la nature.
Ne pouvant te payer un détective ni rien, tu cherchais parfois des gens qui te paraissait plutôt familier, mais jamais tu ne tombais sur quelqu’un que tu connaissais. Tu en pouvais rien faire de ta vie, et tu appris bien vite que la vie ne valait rien quand on a pas d’argent. Tu pensas même à la prostitution. Bien que tu fusses plutôt maigre, tu restais une belle femme, mais tu n’étais pas aussi désespérée que ça. Puis, tu tombas sur ce qui allait changer ton destin.
ACTE IV : AJATAR VIRKE
Tu rencontras Zadig. Ton crush. Un beau blond qui t’interpella dans la rue. Ou du moins dans la ruelle sombre. Tu discutas longtemps avec lui, quand vous vous décidiez de vous parler de choses plus … personnelles. Tu lui racontas ton histoire, prête à tout pour trouver un ami. Parce que six ans de solitude et de souffrance tu as des choses à raconter. Et puis tu avais de la compagnie. Parce que tu pouvais pas rester comme ça sans rien faire. Tu déballais tout au premier venu, pour te rassurer dans ton récit. Pour te souvenir de qui tu étais, qui tu es, et celle que tu veux être. Tu lui parlas donc de ton pouvoir et de ton désir immense de vengeance. Il était beau, et il t’attirait, bien que tu refusasses de l’admettre. Alors, il te proposa de rejoindre sa guilde. C’était la deuxième fois que tu allais rejoindre ta deuxième famille. Mais à quel prix ? Il était tout trouvé : ton innocence. Du jour au lendemain, tu te retrouvais à Ajatar, la guilde terroriste. Tu n'avais même pas vu le temps passer tellement ta rencontre et ton insertion dans la guilde avait été rapide. Comme si, un matin, tu t'étais réveillé dans un lit, avec ta marque de Ajatar sur le corps, et ça en imbiber ton être. Tu apprécias cette ambiance et tu te sentais moins seule dans cette souffrance qui devait prendre fin. Ou te consumer doucement.
ACTE DERNIER : LYDIA L’ILLEGALE
Avec tous les autres membres d’Ajatar, tu organisas le vol du château royal. Tu y restas pendant six ans, ne changeant pas, tignasse blonde bloquée dans l’espace-temps. Tu ne bouges pas, tu restes ainsi pendant six ans. Tu en vieillis pas, tu n’agis pas. Une fois les six ans finis, Ajatar est retrouvé, et tu affrontes trois filles, bien trop belles à ton goût. Alors s’en suit une bataille, que tu n’es pas sûre de gagner. Mais tu dois le faire pour toi, pour Zadig. Et c’est à ce moment que tu apprends que ton frère est encore en vie. Détonateur. Ton frère que tu croyais mort dans les flammes, et en fait ne vie. Et tu éprouves que de la honte. Parce que tu regardes ce que tu as fait de ta vie. Tu n’assumes pas, t’assumes plus. Plus maintenant. Plus depuis ton frère. La vengeance t’a consumé, comme ta colère et ta violence. T’assumeras plus. Mais tu ne comptes pas t’arrêter. Quitte à détruire le mur, autant le finir.
Test RPG
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Magie
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Techniques
Bebebe - FTRPG
Sujet: Re: ultraviolence - lydia illunar (uc) Dim 29 Mai - 13:44
Invité
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Je viens demander mon test rp s'il vous plaît ~
En sachant que la magie ne me sera donnée que quand la psychologie, le background et le test rp fini, j'ai laissé un trou volontaire.
Merci d'avance !
Sujet: Re: ultraviolence - lydia illunar (uc) Mer 1 Juin - 21:06
Daryan C. Illunar
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Titre : Discount De Gaulle Crédit : Zulria (avatar), apache (journal), okinnel (sign) Feuille de personnage Maîtrise Magique: (15900/35000) Mérite: (620/800)
Bonsoir, ne voulant pas faire une modération trop subjective, j'ai demandé autour de moi, à certains membres qui ont pu écrire avec Lydia, qui ont des liens avec elles, et d'autres qui ont déjà tenté le personnage, ce qu'ils pensaient de ta fiche. Du coup sur l'avis général que j'ai eu, je ne vais pas te donner de test RP mais directement une modération de ce que tu as fait.
Sur la personne Le staff t'a effectivement validé la possibilité de recourir à un double compte, mais pour les prédéfinis c'est une autre histoire. Tu as déjà été sur le forum deux fois en moins d'un an, de ce que j'ai remarqué, tu es donc partie deux fois sans avoir avancé tes personnages. Dernièrement tu as Ultear dont la validation de fiche a été dure, et dont aucun RP n'est encore passer en validation. De ça tu peux me comprendre que ça m'inquiète de laisser un personnage auquel j'ai des liens très attachés si la joueuse en elle-même n'est pas stable.
Sur la psychologie Je n'ai pas retrouvé Lydia. J'ai trouvé ça plat, ta façon de faire un listing ne m'a pas du tout emporté, j'ai même eu l'impression de lire des skills en fait. Ce qu'on a pu consulter, c'est une liste de certains traits de caractère qui ont été donnés sur la fiche de prédéfini. Tu as donné une définition de ses traits avec quelques images, métaphores, et sans doute espèces. Le principe de décrire le caractère d'une personnage, c'est d'entrelacer ses traits majeurs pour trouver ses traits mineurs et trouver un équilibre à la description, donner le personnage en lui-même. On doit être capable de percevoir qui il est sans l'avoir rencontré. Finalement, on ne retrouve pas la subtilité qu'est le personnage de Lydia, c'est trop brut. Quand tu fais un prédéfini, on les connait les grands traits de caractère. Donc en fait un descriptif un par un, non. Lydia c'est un personnage meurtri, brisé, sorti de l'enfance beaucoup trop tôt, sans s'en être complètement délivré. De mon avis personnel de créateur du personnage, ce que j'ai vu c'est une façon d'avoir rendu à l'extrême la lecture littérale de la liste des traits que l'on a pu retrouver dans la fiche de prédéfini. Ce que j'ai pu percevoir c'est une Lydia dans l'extrême, narcissique, sûre d'elle, sanguine, confiante et sans faille. La relation avec son frère n'est pas perçue comme elle devrait l'être non plus, c'est décrit comme quelque chose de tellement simple alors que c'est plus compliqué que ça. On ne retrouve pas les sentiments qu'elle aurait pu avoir pour les personnages qui ont eu un rôle dans sa vie, que ce soit sa grand-mère, Zulria, Trynda ou Misto. D'ailleurs, le but de Lydia n'est pas une vengeance pour les destructeurs de son village. Parce que eux, à la limite, si elle l'aurait voulu, elle leur aurait fait saigner le cul bien plut tôt. Ça c'est secondaire. Ce qui l'amène à avoir la haine, c'est le pourquoi de ce qu'ont fait ces personnes : l'utilisation malhonnête de la magie, et le fait que, pour elle, si on veut avoir une magie puissante, c'est que l'on veut être malhonnête, que l'on a pas de magie, et donc un non-mage est forcément un danger. Ça il faut pouvoir le comprendre, le percevoir, surtout en lisant ses PNJisation. Et même si j'ai bien apprécié le point de vue sur les humains, c'est plus subtile que ça. Donc pour la psychologie c'est non.
Sur l'Histoire Comme dit, vu que je n'ai pas trouvé les relations qui ont pu avoir un impact sur Lydia dans sa psychologie, je m'attendais à les retrouver ici, mais non. Au final on a une petite récitation sans avoir le point de vue de Lydia sur la chose, je trouve ça dommage... Elle en a pensé quoi Lydia de l'habitude de tuer les porteurs ? Que son frère allait mourir ? Que son village a été détruit ? Que sa grand-mère a fait barrage avec son corps pendant toute la nuit ? Que Lydia se cachait sous une marre de corps (ou dans ta version modifiée dans une armoire (sachant que toutes les maisons ont brûlé c'est compliqué et dangereux)) ? C'est selon moi le problème que tu as sur ce que tu écris : on ne retrouve pas ou peu le sentiment de tes personnages dans leurs actions. La rencontre avec Zadig c'est LA rencontre. Il aurait peut être fallu parler avec la joueuse sur comment se serait comporté Zadig à ce moment, travailler plus sur la relation et leur rencontre. Pourquoi Ajatar Virke serait allé chercher une gamine de 16 ans pour la faire entrer parmi les Hauts-membres ? Pareil, là c'est ajouté 2-3 lignes aux descriptifs de la fiche de prédéfini, non.
Le général Lorsque tu écris, le personnage n'est pas vécu, et c'est ce que l'on te demande lorsque tu fais un personnage prédéfini. C'est pour cette raison que je ne peux pas te valider la fiche et le personnage.
Je m'attendais à ce que tu aies recherché les PNJisation du personnage qui sont toutes faites pendant les événements dont facile à trouver, mais au final non puisque l'Histoire ne suit pas les révélations qui y sont faites, notamment sur la manière dont elle a survécu à l'attaque. Avril 791 - Requiem Février 792 - A feather's decision Février 792 - Tea Time Février 792 - Escape
Sujet: Re: ultraviolence - lydia illunar (uc) Jeu 2 Juin - 16:25
Invité
Click
Au moins, j'aurai essayé ! Je laisse donc le personnage, fiche à archiver et demande de suppression du personnage ~