Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3
Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël]
 MessageSujet: Re: Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël]   Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël] - Page 3 EmptyJeu 15 Oct - 21:46

Sybilia Philips
Sybilia Philips

Sabertooth

Click

Manger ma banane tout nu sur la plage
Maël Selesta


Croquons la banane à pleine dents × ft. SYBILIA PHILIPS

Une étrange sensation – Une sensation difficile à définir, j'étais là, assis le cul contre une plate-forme froide et peu confortable pour mes douces et délicates petites fesses. Cham' avait compris de lui-même qu'il devait rejoindre son monde, qu'il n'était plus d'aucune utilités. A mon plus grand regret, je n'avais pas suivis le court des événements. Nous sommes passés de l'idée d'aller aux bains à un au-revoir sec et naturel. J'observe mon corps avec attention, me demandant, me questionnant sur le pourquoi du comment. Comment une fraise aussi mûre est capable de laisser sur le bas côté un homme si bien goalé ? Je ne comprend pas, je ne comprend plus. Elle se rhabillait, je pourrais la laisser partir, la laisser retourner à ses activités, même si en cette heure si matinale, leur nombre est assez limité. Finalement, nous avons passés plusieurs heures ensemble. Le tout a changé au moment où elle a compris que j'appartenais à Ajatar. Voyons petite prune, personne ne t'a appris à faire la part des choses ? Qui es-tu ? D'où viens-tu ? Pourquoi es-tu ici ? Là et maintenant ? Autant de questions qui se répètent encore et encore. Je comprend que ma participation à la dernière « catastrophe » puisse en refroidir plus d'uns mais cette violette semble avoir une force de caractère pourtant indétrônable. Elle qui pleurait un peu plus tôt et s'était reprise quelques instants plus tard, la revoilà toute tremblante.

Era, Crocus, tant d'endroits différents en si peu de temps, j'ai entendu des mots, des rumeurs, puis des affirmations sur ce qui avait eu lieux à ces différents endroits. Le nom de Légion avait sonné à mes oreilles, un conseil en miettes. Un petit pouf de rire s'empare de moi, je ne suis pas un homme sadique ou autre. Je suis simplement satisfait de voir que tout ça a fonctionné, je n'ai pas participé aux préparations, j'étais juste là, moi et mon corps divin pour chasser de la fée. Mon objectif avait tourné en quelques heures, aujourd'hui, j'en suis là ou je voulais être. J'en suis assez satisfait. J’entends le mot : bûcher. Peut-être qu'elle fait référence à cette étrange chasse aux sorcières qui parcoure Fiore en ce moment. Les gens ont des vies vraiment ennuyantes décidément. Je me contente de soupirer tout en l'observant partir, je ne perd pas de vue ses formes avantageuses, en dehors de ses seins bien entendu. Puis, elle quitte les lieux.

Je me redresse brusquement, je souris, ce sourire qui ne me quitte pas depuis quelques minutes, j'ai cette douce et agréable impression d'être tombé sur une pimprenelle bien particulière. Elle a dût vivre quelque chose de spécial, quelque chose qui la rend si triste et boudeuse. Pour ma part, j'enfile mon boxer, puis mon pantalon, je ne remet ni chaussettes ni pull. Non, je reste torse nue. Je fini par sortir pour apercevoir au loin violette qui semble complètement perdue. Je la rejoins, elle qui fixe la route, cherchant sans doute un endroit où se rendre. La nuit est toujours présente, les lampadaires toujours allumés, le ciel dégagé des étoiles qu'il contenait pour laisser place à une sorte de lumière orange qui sort de l'horizon. La rencontre de la nuit avec le jour, un spectacle assez amusant et peu commun. J'arrive à la hauteur de la petite prune, me glissant à sa droite, est-ce qu'elle pense que je vais partir de cette manière ? D'un geste attentionné je lève ma main pour venir la déposer délicatement sur le crâne de la fille, touchant ses cheveux violets. Ils sont fins, lisses, je ne sais pas si j'ai déjà prêté attention à ce genre de détails.

« Tu es vraiment une enfant. »
dis-je en rigolant de bon cœur, ais-je déjà était aussi proche de quelqu'un en aussi peu de temps ? Puis, la paume de ma main vient se retirer du dessus de sa tête pour rejoindre son épaule droite, je la rapproche de moi, je la colle contre le côté de mon torse. Je ne la concerte pas, je le fait et c'est tout, je ne saurais pas me donner d'explications concernant ce comportement. Je ne suis pas mathématicien , je ne calcul pas tout ce que je fait. Certainement que c'est encore cet étrange personnage qui contrôle mes gestes qui est encore apparut.

« Un petit-déjeuner limonade, gâteau au chocolat, tentant non ? Je crois avoir vu une sorte de bar qui a des toboggans en plus, plutôt cool les toboggans. »

J'ignorais notre dernière conversation, j'ignorais même son dégoût apparent contre ma guilde, je voulais partager une limonade avec elle et partager une limonade, dieu seul sait que c'est sacré.
 MessageSujet: Re: Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël]   Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël] - Page 3 EmptySam 17 Oct - 22:54

Sybilia Philips
Sybilia Philips

Sabertooth

Click

Manger ma banane tout nu sur la plage
Maël Selesta


Croquons la banane à pleine dents × ft. SYBILIA PHILIPS

Un sursaut, une sorte de réaction qui n'a pas l'air de déplaire à notre très cher violette. Elle est là, perdue, cherchant son chemin. Elle me semble tellement naïve mais en même temps tellement sûr d'elle. Je me demande comment une personne peut être si sûr de soi, je le suis car je le vaut, sans aucun doutes mais pour quelqu'un comme elle qui n'a pas l'air de savoir ce qu'elle veut, c'est un peu la boulangère qui se moque du pâtissier. Parlant pâtisseries, elle semble décliner mon invitation avec une certaine vigueur – Avant qu'ils nous trouvent – Est-ce qu'elle fait allusion à la garde ? Pourquoi des personnes médiocres comme eux porteraient attention sur des personnes comme nous ? Je connais mon appartenance et les événements passés mais je ne me sens pas comme étant fugitif, le fugitif est cet homme à cagoule qui ressort de la banque avec des tas de sacs de billets, les utilisant sans doutes dans des bordels un peu partout dans le pays. Son visage est fermé, elle a déjà fait quelques allusions lors de nos quelques plongeons, avant que nous ne quittions la piscine mais même si il est concevable que mon génie soit mis en tête d'affiche, qu'est-ce qu'elle vient faire là-dedans cette petite prune innocente ?

Puis une voix portante raisonne dans la rue, ils déboulent. Comme ça, à l'emporte pièce, de l'autre côté mais pas si loin. - Philips – qu'ils hurlent en lui demandant de se rendre. Je m'interroge, me gratte la tête un instant, me questionne et m'interroge une nouvelle fois. Un éclair de génie me traverse lorsque je parviens à faire le rapprochement, c'est donc elle. Je m'apprête à ouvrir la bouche mais je n'en ais pas le temps, elle trébuche contre moi, tombant sur le sol, m'éclatant le pieds au passage. Un petit cri de ma personne se fait entendre avant que ma main se fasse de nouveau kidnappée par la sienne. Je me mordille la lèvre en observant au loin, les gardes qui s'éloignent de nous. Il est vrai que traîner aussi proche de l'ancienne capitale, surveillée de manière permanente par les chiens du roi n'est pas une idée pertinente, une idée indigne de mon talent pour l'analyse et de mon intelligence.

Nous continuons de courir, elle semble apeurée, paniquée, stressée comme une prune séchée. En observant son visage, je me dit qu'elle serait physiquement très compatible avec ce pruneau de Fairy Tail. Elle mérite mieux cependant, je lui souhaite. De mon côté, je tend la main en direction des gardes, d'une mine triste, je voulais m'amuser un peu mais il faut croire qu'il y a un temps pour tout, c'est bien dommage. Apparaît alors sur notre droite une ruelle sombre avec plusieurs locaux à poubelles, le temps pour moi de m'arrêter en serrant fermement le bras de celle dont la course n'en finit plus.

Je l'attire dans cette ruelle et la plaque contre un mur, son corps à quelques centimètres du miens, sa poitrine se collant contre mon torse, mes deux mains s'étant redisposées naturellement sur ses deux épaules. Mon visage est tourné en direction de la rue principale où les gardes sont certainement encore en train de nous chercher. Le jour où ils auront des neurones viendra mais ce n'est pas pour aujourd'hui. Bien que depuis les récents événements, les défenseurs pathétiques de ce pays semblent s'améliorer. Ils peuvent passer du rang de pathétiques à mauvais. Je lâche un petit soupir et tourne mon visage en direction de celui de la violette.

« Sybilia Philips donc. Enchanté. » dis-je en arquant un sourcil et sortant un sourire de fourbe. Elle fait donc partie de cet ancien conseil qui a vu tout perdre en si peu de temps, si rapidement, je ne me sens pas directement concerné par cette action. Les puants de legion en étant pour beaucoup dans tout cela, enfin, de ce que j'en ai entendu, je n'y étais pas. Pas là-bas.

« Mh, ça ne doit pas être facile d'être accusée d'avoir trahi son pays, c'est tellement mieux de ne pas avoir la prétention d'avoir essayé de sauver un pays voué à la destruction. » Mon ton reste le même, ma respiration est calme et posée, mon souffle s'évapore contre sa chevelure.

« Tu ne vas pas te remettre à pleurer pas vrai ? » Elle est contre moi, mais je ne la sert pas, elle est libre de ses mouvements, ma question finit, mon regard croise le siens. Où en sont les gardes ?
 MessageSujet: Re: Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël]   Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël] - Page 3 EmptyMar 20 Oct - 23:11

Sybilia Philips
Sybilia Philips

Sabertooth

Click

Manger ma banane tout nu sur la plage
Maël Selesta


Croquons la banane à pleine dents × ft. SYBILIA PHILIPS

Elle me repousse, comme un être qui refuse de succomber, comme une femme d'une quarantaine d'années qui refuse de s'acheter une sucette dans une boulangerie qui lui donne pourtant très envie. Tout cela pour une question d'image. Il est certain qu'une ancienne membre du conseil qui fricote avec un membre d'une guilde qui a pour réputation d'avoir détruit une partie de Fiore, c'est mal vu. Après tout je ne fricote pas vraiment avec elle, je suis là, elle est là, nous parlons, nous rions et j'ai l'étrange impression que cela fait naître quelque chose de nouveau en moi, quelque chose d'amusant, je suis un joueur, j'aime jouer. Celui-ci semble assez attractif. Non, je ne fricote pas vraiment avec elle tout comme je ne fait pas réellement partie des mages responsables de cette destruction, tout cela n'est qu'une image. Je n'étais pas là-bas pour cela, ce n'étais pas mon but à l'origine. Je cherchais simplement à aboutir et à satisfaire mon besoin primaire qui n'est autre que la destruction de ces êtres ailés, il faut simplement croire que le destin en a décidé autrement. Une chose est certaine, je suis celui qui a décidé d'entrer dans les rangs de ces personnes étranges en suivant mon sosie, personne ne m'y a forcé, je suis un type génial totalement maître de ses moyens.

Faire ce que nous voulons, quand nous le voulons, si nous le voulons et avec qui nous le voulons – Voilà une philosophie de vie particulièrement pertinente et réfléchis. Elle s'est éloignée de moi la prune, quelques mètres de distance alors que je suis persuadé que son sang bouillonne lorsque je la sert un minimum contre moi, lorsque nos peaux entres en contact, comme un désir charnel. Seulement quelques heures, quelques heures que je la connais, une envie d'en profiter d'avantage alors que nous sommes pourtant pourchassés par les gardes. Situation assez inhabituelle, passer d'une rencontre dans un parc à une heure tardive, par passer du bon temps dans une piscine par finir par ce faire courser. Amusant.

Elle boude la prune, comme une enfant, c'est bel et bien ce que je disais un peu plus tôt. Rien de bien surprenant dans ce cas. Puis brutalement, elle commence à me poser un tas de questions, comme si j'avais dit quelque chose de déplacé, comme si c'était cette personne qui s'empare de moi pour me faire parler qui avait conversé avec elle. Elle paraît énervé, soit, qu'elle soit énervé.
Un gros dur sans cœur qui se fout bien de tout le monde ? Alors c'est de cette sorte que j'apparais aux yeux des gens ? Petite prune, si tu savais, si tu savais comme moi aussi j'ai vécu des choses difficiles pour un petit blondinet, est-ce que j'en fait tout un œuf au plat ? La seule chose qui est certaine c'est qu'un jour les personnes responsables devront s'acquitter de leurs actes, c'est tout.

Je ne dit pas un mot, elle s'était retournée vers moi, d'une manière très brusque. Je ne sais pas trop quoi lui répondre alors je m'approche et l'attrape par le bras une fois de plus pour l'entraîner à une distance plus raisonnable de moi. De là, mes lèvres viennent se déposer sur les siennes, la scène ressemble à un roman d'amour à l'eau de rose comme ce qu'il existe de plus cliché. Plusieurs secondes avant que je ne la libère de mon emprise et que je tourne la tête de gauche à droite en me grattant la nuque comme pour chercher le coupable. « Mince alors, quelqu'un t'as fait un bisous ? » dis-je en riant aux éclats. Je ne me rappelais plus le temps d'un instant que les gardes nous poursuivaient, j'entends simplement des bruits de pas à la chaîne frapper les pavés comme de véritables machines. Les choses ne rigolent plus, ils sont apparus de chaque côtés de la ruelle ils arrivent d'ici quelques secondes , nous sommes donc... coincés ?

"Oups - " Je grimace et me tourne vers mon acolyte. « Tu dois certainement être en extase après un tel événement mais il va falloir prendre une décision. Soit nous passons en force soit nous... Ah bah non en fait, passons en force ? » je m'exalte car je commence un peu à rouiller depuis le temps, je m'exalte aussi car la situation est assez palpitante. Si l'attaque foire, je sais très bien que j'ai une solution de replis mais autant profiter de tout ce bordel pour en profiter. Elle ne doit pas être pour la pratique de la violence envers la milice mais quand il faut, il faut.

«Si tu préfères me laisser faire le temps de te reposer ou alors de pleurer un petit coup n'hésite pas à me le dire petite prune, tu peux aussi bien choisir de te frayer un chemin parmi les futures victimes pour te sauver, ça ira je garantis de faire le minimum de dégâts possibles. » Un petit clin d’œil alors que les gardes pénètrent dans la ruelle.
 MessageSujet: Re: Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël]   Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël] - Page 3 EmptyJeu 22 Oct - 13:38

Sybilia Philips
Sybilia Philips

Sabertooth

Click

Manger ma banane tout nu sur la plage
Maël Selesta


Croquons la banane à pleine dents × ft. SYBILIA PHILIPS

Putain de survie – Des mots lancés en l'air alors que ma chevelure blonde et soyeuse réapparaît de derrière des décombres, d'un coup de poing d'une force insoupçonnée. La poussière s'évapore dans les airs alors que les gardes s'étaient retirés de quelques pas pour laisser la situation se jouer d'elle-même. Partie telle une voleuse, ses derniers mots ne furent que difficilement détectables, peut-être que je n'y avait pas prêté suffisamment attention. Me redressant, mon regard restait net, froid, sans une once de rancune, je fixais le mur d'en face. Des bruits sourds sonnaient à mes oreilles, des voix de personnes, certainement celles des gardes qui s'agitaient comme pour nous demander de nous arrêter. Ils n'avaient sans doutes pas eu la présence d'esprit d'analyser la situation et de s’apercevoir que la violette avait disparut. Je reste fier, digne, comme l'homme que je représente alors qu'en réalité, mon entre-jambes me fait royalement souffrir, elle tente d'abîmer l'un de mes équipements les plus précieux. Je me mordille la lèvre car la colère commence à monter et bien que je tente de prendre de profondes respirations, rien ne semble me soulager. Le temps m'est compté alors qu'elle me laisse là, seul face à ce nombre de gardes plutôt conséquent.

Je balaye mes cheveux de manière à en dégager tout les débris et la poussière, discrètement, je m'enfonce dans le mur qui vient d'être détruit pour apparaître dans le salon d'une habitation, vide, mais rien ne me dit qu'elle n'est pas habitée pour autant. La petite Philips n'a donc plus de responsabilités ou de valeurs au point de détruire la maison d'une famille n'ayant rien demandée ? Allons donc petite prune. Mon poing se sert car bien que je tente de faire sortir de mon esprit ce qu'elle a fait, cette trahison apparente, je n'y parviens pas. Appartenir à Ajatar est sans doutes quelque chose qui limite les relations avec les autres mais d'une quelconque manière, je n'ai jamais réellement souhaité entretenir de relations à longue durées avec une personne, n'ayant pour réels camarade que mes esprits, pour la plupart. Je continue de m'engouffrer dans ce salon, de sorte à ce que les gardes en fasses de même. Je m'abaisse et sors de ma chaussette cette clé, un compagnon au caractère bien particulier mais qui sait toujours sortir son épingle du jeu. Tout comme cette fois-là, à cette endroit, la dernière fois que je l'ai sortit, c'était là-bas contre les fées purulentes. Sa réaction promet d'être... virulente.

« Ouvres-toi porte du tigre : Benglash. » Il apparaît très rapidement, son dos me fait face et alors que les gardes arrivent enfin, il vient me frapper violemment avec sa patte. « Pauvre déchet sans fierté. » me dit-il alors que je vol en direction d'une chaise qui vient me frapper le front. Les lances des gardes sont toutes pointées en direction de l'animal humanoïde alors que je reste sur le sol. Il fait référence à la fois où je l'ais obligé à rentrer dans son monde pour pouvoir retrouver un membre d'Ajatar. Quel rancunier celui-là. « Bah alors il boude le gros matou ? » J’aperçois d'où je suis, ses nerfs se gonfler, il n'a qu'une envie c'est de me frapper une seconde fois mais il n'en fera rien, je le sais car quelque chose de bien plus intéressant lui fait face.

Il prend alors sa pause bien connue, les gardes commençant à se jeter sur lui, il fait tournoyer sa patte droite en ronds, créant un vent condensé qui petit à petit prend une taille de tourbillon afin de l'envoyer en direction des gardes qui tentant de l'éviter plongent sur le côté. Pas stupide, l'animal prit le temps de réaliser sa lame de vent avec laquelle il commença à combattre plusieurs hommes. Il se contenta de tourner son visage en ma direction. « Dégage maintenant boulet. » Je hurle de rire car le benichou semble vraiment en rogne, ce n'était pourtant rien de bien méchant. Je ressors alors de la maison, attrapant au passage dans ma poche la clé que j'avais déjà sortit plus tôt dans la nuit. « ouvres-toi porte du Caméléon : Chameleon. » Il revient alors en fronçant les sourcils, comme pour se demander pourquoi je le faisait revenir une seconde fois. En voyant le nombre de gardes, il comprit assez rapidement et s'agrippa à moi. Une fois complètement camouflés, Benglash qui tout en combattant, nous observait du coin de l’œil, s'arrêta sèchement pour repartir dans son monde. Les gardes restant qui n'étaient ni au sol, ni trop sonnés, se tournèrent dans tout les sens pour me retrouver mais sans succès.

Je rejoignais une ruelle adjacente, dans l'ombre de la précédente, ni trop près ni trop loin. Patientons quelques temps, il va falloir que je reste tranquille un moment maintenant. Un pouf de rire car ma dernière pensée manque tout à fait de sincérité, j'observe alors les gardes continuer de me chercher dans l'ombre de la ruelle, toujours camouflé. « Sybilia Philips, notre prochaine rencontre promet d'être vraiment attrayante. »
 MessageSujet: Re: Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël]   Non mais laissez-moi manger ma banane [Maël] - Page 3 Empty

Contenu sponsorisé


Click

   
Page 3 sur 3Aller à la page : Précédent  1, 2, 3

 Sujets similaires

-
» Banane de cire et Crin de son ! [Pv Banoboy]
» [Mission] Quand une banane et une betterave s'en vont en guerre ♫
» Lorsqu'un ange travail de concert avec une banane ♫
» Laissez ma Miss Fiore tranquille !! [Azulie]
» Wall [Maël]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Fairy Tail RPG :: Zone RPG :: Fiore - Centre :: Hosenka :: Place Principale