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10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota]
 MessageSujet: Re: 10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota]   10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota] - Page 2 EmptyDim 23 Mar - 20:30

[PNJ] Gorgones
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10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota] - Page 2 1395328984-pnjselene

"Syla" - 35 000 MM - dimgrey



Elle hurle d'un cri inhumain alors que le contact se brise dans flammes naissantes du baisé échanger pour te consumer. Elle hurle alors que le sang de ses lèvres vient lécher le sable corrompu. Sa rage explose en une déferlante de magie que la brume vient noyer.

Son aura d'argent et d'ombre s'enflamme alors que son corps entier transmute. Chaire devenant flammes malsaines alors que bientôt la brume submerge la plage, que ne subsiste qu'une lueur infâme en son centre alors que la sorcière est devenu le bûcher hurlant de sa propre passion. Colère et rage, amour et folie déversé dans sa magie de feu corrompu. Et dans la brume elle te cherche de ses yeux de braise, femme devenue tel ces esprits des enfers constitué des flammes mortelles et damnées.

Les épées viennent la faucher, transpercé alors que dans la brume son corps ardent se fait transpercer pour se reconstituer dans une nouvelle explosion de magie. Elle cri d'une voix d'outre-tombe dans sa rage venue l'aveuglée, la passion pour la consumer alors que l'explosion retentit, brume implosant dans sa chaleur mordante. Brume se dissipant alors que la chaleur ardente vient alimenter son propre pouvoir, que le feu ayant éclaté se reconstruit, cristallisant le sable en verre obscur de son énergie.

Et elle grandit, son corps ardent se nourrit de la chaleur humide, assèche l'air de sa combustion mortifère alors que les flammes dansantes redeviennent chaire. Son regard pour te vriller alors que ses bras viennent heurter la terre tel une sorcière invoquant les enfers. Sur son simple touché sa magie irradie, les flammes consument le sable et la terre tremble dans un hurlement strident alors que sur la plage naissent les colonnes de flammes en geyser ardent dans une lignée macabre dans ta direction avec une rapidité phénoménale. Jeu finit alors que tu penses que ton heure à sonné.

Pense car tu la sens cette étrange énergie enveloppant l'air, tu sens cet appel sourd comme provenant de la mer, tel un chant divin et oublié qu'à l'unissant des centaines d'âmes chanteraient. Et sans que tu comprennes comment les flots s'agitent, l'écume des vagues vient se rassembler pour former les silhouettes de femmes autour de toi. L'écume mourante, substitue d'âme et d'énergie des sirènes mortes depuis des siècles, depuis que dans la folie d'une femme la malédiction les avait pris, que traquées peu à peu elles furent massacrés, que dans leurs morts sous la malédiction lunaire leurs âmes s'étaient noyés dans la mer, leurs énergie faiblarde devenue l'écume des flots.

Et tu peux l'entendre au loin devant la scène irréelle, elle hurle face à la révélation que elles ne l'avaient pas entièrement détruit. Et te voilà prisonnier de l'écume qui grandit, qu'à l'unisson les âmes des sirènes mortes viennent s'unir pour t'aider, des centaines d'âmes chantant leur malédiction, des centaines d'âmes pour une dernière action. Le sacrifice ultime pour retourner au néant alors que l'écume t'imprègne, que tu sens leur énergie si faible imprégner ta chaire.

Le sacrifice ultime des sirènes, leurs dernier espoir pour t’imprégner, l'espoir vain et futile que tu puisses être celui qui enfin la tuerait. Et elle émerge des flots pour clore la mort dans les sanglots de la mère, son âme argenté illumine de sa chevelure argentée et éthérée alors qu'elle croit revoir ce fils qui les avaient condamnés. Une larme qui ne peut couler que sa bouche translucide s'ouvre pour chanter, chant d'outre-tombe à la mélodie ensorcelée par cette malédiction qui avait ruiné sa vie, son peuple et sa cité. Le sacrifice ultime d'Aglaopé alors que sous l'antique mélodie son énergie implose en faisceau de lumière éthérées pour te transpercer, te transmettant la dernière parcelle de vie des âmes des sacrifiées.

Tu sens ton énergie retrouvée, reste quelques secondes choqué de cette présence renforçant tes capacités dans l’annihilation de leurs âmes pour te renforcer. Puis plus rien, le néant alors que tout s'est dissipé, que la mer retrouve son calme. Son regard dément pour te foudroyer alors que la folie vient entièrement la submerger et que les colonnes issue des enfers arrivent sur toi sur une ultime cri " MAIS TU VAS CREVER OUI ! "



♦ ♠ ♦ ♠



 MessageSujet: Re: 10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota]   10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota] - Page 2 EmptyLun 14 Avr - 15:22

Daryan C. Illunar
Daryan C. Illunar

[M] Weer Lopen

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Souvenirs d'humanité
Pour la destruction


La seule chance qui s’offrait à moi était de retarder un monstre. De retarder ce monstre. La retarder pour ne pas qu’elle passe derrière moi. Derrière ce dos qui souffre en silence. Mais lui il est déjà passé. L’aigle pégase, Kôta. Un baiser envouteur où je-ne-sais-quoi. Un baiser envouteur, c’était bien ça. Elle l’avait embrassé de ses lèvres pulpeuses et à partir de ce moment le corps de l’oiseau n’arrivait plus à se connecter à un quelconque esprit se trouvant dans le même corps. Si le manipulé est passé, je ne dois pas pour autant ouvrir la barrière à la manipulatrice.
Pourtant je ne tiens plus. Mon corps tiens, lui, physiquement. Mon esprit a envie de combattre aussi. Mais ma réserve magique, même à un taux élevée, reste fatiguée. L’inconvénient de mon corps, de ma magie, de mon utilisation, c’est bien ça. Mon corps se régénère automatiquement, j’ai une réserve magique haute, j’ai une récupération efficace, mais ma seule et horrible faiblesse est bien celle-ci… Ne pas pouvoir utiliser ses capacités à leur maximum pour des causes aussi futiles reste d’une idiotie purement absurde. Car oui, mon corps tiens, mais moi je ne tiens plus. C’est tellement nuancé, tellement bizarre, tellement abstrait, comme impression ; que je me demande bien si c’est d’une quelconque logique.

Et soudainement, le cri de l’océan qui se met à retentir. Le chant des hautes sirènes qui hurle. Mais finalement, « le chant des sirènes » n’a pas l’air d’être une expression… Ce son, ce chant… C’est réellement des sirènes ? L’écume se forme en hauteur devant nous, elle continue sa course sur le sable alors qu’un simple phénomène comme tel en aurait fini sa course. Alors que oui, un simple phénomène comme tel, serait reparti. Mais celui-ci continue, s’arborant de mon corps, se nichant dans mes côtes, purifiant tous mes pores. Une souffrance à chaque millimètre de peau, des yeux d’un vert tellement clair donc la lentille solaire aurait purifiée le bleu disparu rapidement, une souffrance qui se transforme en bienfait, et un corps reprenant une position droite.

« Syla, je ne sais pas ce que tu veux, ni qui tu es, mais malheureusement, tu t’es adressée à la mauvaise personne. »

Un pas en avant et je me positionne. Un bras tendu sur la droite et je marmonne, un bras tendu vers le bas gauche et je souffle. Il y a longtemps, la pierre aurait tué un homme. Il y a longtemps, cette pierre aurait tué celui que j’aurai voulu. Aujourd’hui, elle tuera, oui. Aujourd’hui, elle tuera la personne que je veux. Cette salope qui a osé s’attaquer à ceux que la pierre protégera… Cette salope crèvera. Syla. Tu as l’air de me connaître. Je ne sais pas pour qui tu m’as pris. Mais s’il est parti, c’est qu’il te déteste. S’il te déteste, c’est bien parce que t’es salement conne pour avouer être celle que tu es. Et le salement conne, moi, Chris, ou Daryan, je ne sais plus… Je les bute.

« Divinités Inari, par l’Illunar prenez forme. La nouvelle pierre en mon être, brume capturez, divinités frôlez mes doigts et apparaissez. Ame, Fuko, revenez. »

Le vent se lève. On l’entend hurler à travers les arbres. Les feuilles dansent et finissent sur le sable, sur l’eau, la mer ne bouge pas, la mer ne danse pas, seulement le hurlement du vent, de l’air, qui se fait entendre sur tout notre périmètre.

« Accordé… Descendant. »

Ma peau devient rouge alors que je sens des doigts fin toucher mon menton, ces mêmes qui relèvent ma tête sous la forme d’ongles féminins. Je grince simplement des dents alors que ce qui n’était qu’un spectre s’évapore. Le vent hurle encore plus. Accordé, dites-vous ? Alors venez à deux. Et c’est bien deux êtres qui apparaissent. La brume se lève à mes pieds, deux entités en sorte, des renards, des loups, je ne saurais pas le dire. Une queue fine, des êtres blancs, une raie de couleur noir sur le dos, une forme fantomatique sous la brume qui les compose. Voici la déesse Inari. La pourfendeuse, la sacré, celle qui contrôle la terre. Manifestée sous forme de deux de ses renards servants.

« Tournez, conjurez, l’air qui tourne autour de nous. »

Une tête qui se basse face à moi. On ne saurait plus dire lequel de moi, ou d’elle, est le plus haut hiérarchiquement. La déesse ou l’homme qui lui permet de vivre dans notre monde ?
Les deux êtres se rassemblent entre moi et Syla, complètement énervé. Je lève mes bras. Insuffle ma magie au milieu de mes paumes. L’eau prend doucement la forme d’un arc long et large. Position en diagonal. Non vertical, non horizontal, vertical, oui. Des doigts qui frôle le centre, le caresse, le baise sous des empreintes fortes en magie. Une magie pure qui s’exclame, un coude tiré vers l’arrière, et deux renards formant la danse telle une tornade créée. Une excuse à Inari, un sourire de celle-ci, et son sacrifice né.

« Arc Létal d’Exodus, Juge Céleste, demande t’es faite. Absorbe Inari, devient elle, partage ta puissance, envoûte-la. Exodus, frappe. »

Et la flèche de magie pure est lancée. Et la flèche transperce la tornade. Et la flèche absorbe le courant. Et la flèche se marie à la divinité coupée en deux sous forme animale. Elle grandit, elle implose, elle prend ampleur. Et sous la force divine d’une déesse, d’une entité d’équilibre, d’une magie sacré, d’une glace des dieux, le baiser de cette pointe qui touchera l’infâme être de cette île, souffrira… Pour elle.


Pour la paix


© Daryan Chris Tsukiyo. Tous droit réservés


 MessageSujet: Re: 10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota]   10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota] - Page 2 EmptyLun 21 Avr - 14:46

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10h30 - Souvenirs d'Humanité [Chris & Kota] - Page 2 1395328984-pnjselene

"Syla" - 35 000 MM - dimgrey



Le choc et la stupéfaction devant le spectacle, le cri déchire le matinée mourante alors que son visage n'exprime plus qu'une rage démente et son nom devant l'écume s'animant pour aider celui qu'elle ne veut que détruire à jamais. Cause de toute ce qui était arrivé, celui qui les avait tous damnés et condamnés.

Le hurlement déchire et sa magie implose en une rafale violente, son aura s'emballe, s'emballe et s'enflamme en des quantités colossale alors qu'elle brule sans compter devant cet insecte avec lequel elle a finit de jouer, une seule idée pour désormais l'obséder : l’annihiler.

Et alors qu'il se redresse, fier et gerbant, il parle, parle et ses mouvements implore le ciel dans leur langueur mystifiée. Il appel les cieux, appel les dieux pour la contrer. Jamais. Et alors que ta magie s'embrase Chris, que la déesse de l'amour répond à ton appel, l'aura de flammes dévorantes implose en une lueur argentée, véritable colonne de magie s'élevant vers le ciel alors que dans la folie et la haine, elle hurle, hurle son nom, hurle son pouvoir et son chant de démon, ses bras s'écartent et son visage se tourne vers le ciel dans la projection d'énergie colossale qu'elle déploie.

" J'en appelle aux chaînes des âmes mortifères, à toi qui de tout temps a préservé les règles de l'enfer.
Incarnant la dualité des contraires, alters égos sous et sur la terre, paradoxe meurtrier où règnent les Gémeaux .
J'en appelle à la face cachée de la vierge chasseresse, j'appelle la sorcière perverse.
En scandant ton nom j'appelle la nuit et ses ombres, en ton domaine où la lune inonde.
Hécate réponds à mon appel et que la nuit soit !"


Une impulsion explosion alors que l'assaut se prépare dirige sa course létale. L'aura implose en un millier de flammes d'argent et le jour se meurt dans une odeur de souffre. La terre gronde sous leur pieds, comme si les enfers eux-même répondaient, et le jour s'efface comme s'il n'avait jamais existé en une fraction de seconde, le soleil mourant, disparaissant alors que la lune vient le voiler de son entièreté, pleine lune à son apogée dans la nuit venant d’envelopper l'île de son glacial touché. En son domaine où règnent les ombres alors la flèche de lumière pure et vive se voit engloutie par l'obscurité, comme si elle n'avait jamais existé, les ombres pour la noyer, les ombres pour la dévorer dans la faveur de la nuit, dans une lune rendant ses pouvoirs à son apogée alors que Syla n'est plus. Plus là, le vide devant tes yeux, le vide avant le cri ayant retentit alors que la nuit se propage, gangrénant le ciel et le soleil. Le néant puis cette horrible sensation, celle d'une main sur ton épaule, car elle est là, derrière toi, les ombres pour la sauver, les ombres pour l'engloutir et la rejeté. Et dans la déferlante de magie qu'elle a sentit au loin les règles se changent et se bouscule, un cri de rage alors qu'elle te pousse, te plaque sur le sable et que ses lèvres viennent toucher les tiennes, t'envouter dans un éclat argenté, ton esprit comme prisonnier de chaînes alors que ton corps ne t'obéis plus.

Et alors qu'elle se redresse son regard de démente viens te transpercer, une simple phrase prononcé dans la rage sourde de devoir reporter ton exécution tant espérée.

" Ne t'en fais pas, je te détruirai, mais puisqu'à deux ils sont incapables de venir à bout d'une misérable sirène, rejoins les et détruisez les. "

Et au fin fond de son esprit les images sont transmises, les ordres données alors qu'elle s'infiltre dans l'esprit de ses trois marionnettes improvisées, une simple mission à exécuter, tuer les intrus une bonne fois pour toute.

Tu as été à ton tour envouté et c'est machinalement, en courant que tu diriges vers l'entrée de la montagne en courant afin de rejoindre Drake et Kota. Ton corps comme insufflé d'une nouvelle force alors que tes capacités sont décuplées et ton esprit bien incapable de résister.


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