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Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] |
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| Sujet: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] Dim 27 Jan - 17:07 | |
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Nox Apostolica
| Full steam aheadDisturbance on a train ride
~ tchou tchou Se retrouver au milieu de nulle part, à flanc de montagnes immenses et de prairies infinies. Avancer à un rythme apaisant, balloté par les secousses régulières de la mécanique. On se laisse envahir par la quiétude et on s’endort sur une banquette de cuir, le regard tourné vers l’extérieur, à travers une vitre où l’on aperçoit l’immensité de l’extérieur. Les vapeurs de la locomotive viennent s’ajouter aux nuages de nos rêveries. On se laisse glisser dans ce manteau de coton onirique et on profite de cet espace temporel de tranquillité. Pour s’évader. Pour tout oublier…
Assis à côté d’une fenêtre, Nox dormait profondément, ronflant même, sans se soucier du bruit gênant qu’il engendrait pour ses voisins. Les jambes délassées au maximum, là encore il s’en fichait royalement de ce que pouvait penser les autres. Dans la petite pièce où il se trouvait, seules six personnes pouvaient s’asseoir, trois d’un côté, trois de l’autre, sans rien pour les séparer au milieu. Suite à l’arrêt marqué par le train, quelqu’un ouvrit la porte coulissante et quitta l’étroit couloir pour aller combler la seule place vide qu’il restait. Celle en face du mage du Conseil. Cette personne ne savait pas la chance qu’elle avait en quittant sa station et en montant dans ce train en particulier… Installant ses bagages au-dessus de son siège, le fin gentilhomme à monocle grommela dans sa barbe en constatant qu’il aurait des difficultés à se placer à cause des pieds gênants de son voisin d’en face. Mais il ne fit rien de plus et s’assit en poursuivant son râle, en pauvre victime qu’il était. Déjà que le charisme du rebelle devait faire effet, sa veste arborant le symbole du Conseil en rajoutait d’autant plus.
Le train repartit en direction de la station suivante. Mais il allait cheminer longtemps avant d’arriver à l’arrêt d’après puisque celui-ci se trouvait de l’autre côté d’une petite montagne. La voie de chemin de fer s’aventurait sur des hauteurs rocheuses escarpées, bravant le vide au travers de ponts et d’aqueducs. C’était le segment le plus long et le plus dangereux du parcours, surtout que la neige était au rendez-vous. Mais Nox n’en avait que faire, il dormait à poings fermés. Au grand dam du bureaucrate qui grognait en face.
Alors que ça faisait une bonne heure que les wagons longeaient les falaises rocailleuses, la locomotive s’arrêta brusquement ! A cause du freinage d’urgence, les crampons des chaussures montantes de Nox vinrent frapper le tibia du noble squelettique devant lui. Son cri ressemblait au son d’un vuvuzela mal accordé ! Il hurlait comme un enfant à qui l’on refuse un jouet… Nox, qui s’était levé après avoir regardé dehors, affichait un air sévère exprimant la colère qui bouillait en lui. Ce n’était pas une bonne idée de le réveiller brutalement… Alors que le pleurnichard continuait son cirque en tenant sa jambe et en se balançant d’avant en arrière comme le ferait un footballeur italien, le mage brun ne put plus le supporter.
« TA GUEULE PUTAIN !! »
Le relou s’arrêta net, brusqué par le coup de pression. C’était limite s’il allait pleurer maintenant… Mais le toutou du Conseil avait autre chose à faire que de se soucier de ce pauvre mec, il allait buter le conducteur qui l’avait réveillé. Oui, déjà que d’habitude il n’est pas facile à vivre, là en plus il s’était levé du mauvais pied comme on dit…
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| | | Sujet: Re: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] Jeu 7 Fév - 9:20 | |
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| Un voyage tranquille s'annonçait, en tout cas aussi tranquille que le permettait le ballotement du train. Deyonnu n'aimait les train, trop de monde, trop de paramètres à vérifier et celui des voyageur était le plus incertain, aussi la magicienne préfèrait s'engouffrer dans la lecture et ce laisser bercer par les mots, autrement plus chaotique, mais bien plus agréables aux oreilles et yeux de la magicienne, que le chemin de rail qui malmenait les roues du train. Elle était montée à Onibus, les wagon n'étaient pas encore plein et elle avait profitée d'une cabine pour elle seule, pouvant disposer son sac et son sabre sans soucier des autres occupants, deux personnes se joignirent à elle et l'observatrice du déplacer le tout sur son banc, faisant passer un message trés clair au passage, ce dernier était occupé. Un arrêt encore mais personne n'osa braver la jeune femme ou du moins, personne n'en eu le besoin.
Sa destination, celle de tous les passager en fait car c'était le terminus, serait leur prochaine arrêt, le train devrait franchir un col escarpé qui s'avérait des plus perrilleux. Trop concentré sur sa lecture, Deyonnu faillit bien se retrouver dans les bras du passager d'en face lorsque le train s'arrêta brusquement, s'ensuivit un bruit strident qui aurait pu passer pour une alarme si quelqu'un ne lui avait pas sommé de se taire. La magicienne s'excusa poliment de la confrontation et jeta un coup d'œil à la fenêtre, découvrant qu'ils pas encore atteint leur destination...
Les pensées de l'espionne se tournèrent aussitôt vers les raisons probable d'un tel arret : Si une personne avait été malade voir mourrante, ils auraient au contraire accélérer, ou en tout cas cherché dans le train des personnes capable d'aider, en cela Deyonnu ne pouvait jurer n'avoir quelconque mouvement, à peine avait-elle remarquée l'arrivée des autres passager dans sa cabine... L'autre était plus vraissemvnblable : Quelqu'un avait arrêté volontairement le train pour nuire, Le tout de savoir qui et pourquoi. La magicienne rangea son livre dans son sac, demanda à ses co-passager de rester ici, montrant son insigne du conseil. Les arrondis par la surprise, ils acquiescèrent et regardèrent la jeune femme sortir. Une fois dans le couloir, Deyonnu se rendit invisible, de quoi observer sans être vu, tant que personne ne la bousculait.... |
| | | Sujet: Re: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] Sam 9 Fév - 17:08 | |
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~Vrouloum, Vrouoiuuuuuloumumumulou. Même le corbeau fixait son maitre avec un air désapprobateur.
« Non. N.O.N Je ne peux décidément pas vous laisser ici, à moins que vous ne vous décidiez enfin à payer. » « Mais je ne peux PAS. »
Il montra piteusement ses mains dissimulées sous de longues manches, comme pour prouver sa bonne foi. Le contrôleur fit non de la tête : des blondinets comme ça, il en voyait à la pelle. Le genre de type fauché qui faisait la honte de la société ; il jaugea du regard l’homme aux yeux pétillants ; et d’ailleurs, il était sûr que ce presque adulte n’avait même pas de travail. Cela lui apparaissait comme une raison de plus pour ne pas faire preuve de générosité. C’était vrai quoi, lui, il faisait juste son boulot ! Il était sûr que même le Conseil de la Magie serait d’accord avec lui, si on lui avait posé la question. Non mais.
« Franchement, aller soyez sympas quoi, juste pour cette fois. »
« Non. »
« Vous, vous êtes un radin. » « Quoi moi ? Mais je… Ce n’est pas la question. Vous n’avez pas d’argent ? Vous dégagez, point. Le train va bientôt partir, alors dépêchez-vous de sortir du wagon »
« Wyrda ! »
Le corbeau trompeta lourdement, ce qui fit sursauter, une fois de plus le contrôleur. Il détestait ce genre de bestiole et ne comprenait pas comment certaines personnes, comme le garçon, arrivait à s’en faire un animal de compagnie. En plus, celui-là avait une sorte de lueur intelligente dans le regard, de celle qui dit que vous êtes un idiot et qu’en plus c’est la vérité, qui dérangeait vraiment l’homme. Et puis aussi, il aurait juré avoir entendu l’oiseau parler, une fois ou deux. Bref, le jeune homme et l’oiseau ne lui plaisait pas et pour rien au monde il ne les aurait laisser rentrer dans son précieux « boite roulante avec des gens dedans ♪ ».
Une lueur d’amusement passa dans les yeux du corbeau, comme si celui-ci pouvait lire dans ses pensées. Il lui semblait que le terrible volatile noir le fixait sans interruption depuis le début du litige et qu’il continuait son œuvre pendant que son maître, qui avait apparemment abandonné la négociation, recherchait un objet dans le tréfonds de ses manches sans fin. L’oiseau s’arrêta lorsque celui qui s’appelait Yäwé Filia Libri brandit d’un air triomphant un bout du large tissu sur lequel était brodé le symbole du Conseil de la Magie. Si un oiseau pouvait tirer la langue, alors c’est exactement ce qu’aurait fait Agãëtï ce jour-là.
Toujours est-il que l’étrange jeune homme avec un corbeau sur l’épaule laissa le pauvre contrôleur sans voix dans les couloirs du train et partit à la recherche d’un compartiment libre. Il passa devant un bondé avec un mec marrant qui dormait et devant un autre, tout autant occupé, avec une jeune fille d’apparence délicate, qui prenait la majeur partie de la place. Finalement, il cherchait toujours lorsque le train s’arrêta, de façon brutal et soudaine, ce qui se traduisit par une longue étreinte douloureuse entre Yäwé et la fenêtre, tandis que le corbeau, à terre, jetait un regard sombre à l’avant du train. Il garda néanmoins le silence, ce que le mage nota : son compagnon pensait sûrement que la faute de l’arrêt n’était pas à rejeté au train, mais plutôt à quelque chose d’autre. Qui ou quoi ? Il se releva, et Agãëti reprit sa place. Le « duo » prit un air sérieux, alors que le reflet du symbole du Conseil se reflétait sur la fenêtre cristalline, alors même que celle-ci montrait une grande étendu rocheuse. Un sourire illumina son visage ; car enfin, quelque chose allait égayer sa vie de mage à la botte (de paille) du Conseil, vie qui devenait de plus en plus plate et morne ses derniers jours.
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| | | Sujet: Re: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] Jeu 7 Mar - 3:38 | |
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| Les voyages en train. Te mêler à la plèbe. Ce genre de choses que tu détestes. Ce genre de choses que tu détestes, mais que tu dois supporter. Tu as tenté de faire vider ton compartiment pour être tranquille, mais il faut croire que ce n'est pas possible... Tu as pourtant montré ton insigne d'envoyé du conseil au contrôleur, mais il n'a rien voulu faire pour toi. Pauvre petit prolétaire. Enfin, tu le comprend, le pauvre petit doit gagner sa vie, alors il fait son travail. Comme tout le monde en fait. Mais s'il pouvait éviter de te réadresser la parole, ça t'arrangerait. Tu n'as plus rien à lui dire, et tu préfères éviter de rentrer en contact avec ce genre d'individus. Tu ne vas pas te mêler à la plèbe, après tout, tu fais partie de la noblesse. Rien à voir avec ces pauvres représentants du bas peuple. Tu as finalement décidé de patrouiller dans les couloirs du train. Cela t'évite de devoir rester enfermé avec ces gens. Jusqu'à ce qu'un brusque freinage te propulse quelques mètres en avant, te faisant tomber. Tu te relèves alors, regardant autour de toi. Les gens commencent déjà à sortir de leur compartiments, à paniquer, et déjà certains semblent s'énerver. Tu prend tout de même le temps de dépoussiérer tes vêtements, avant de te diriger vers la locomotive, bousculant les curieux, ordonnant aux personnes présentes de rentrer dans leurs compartiments. Messieurs dames, le conseil a la situation en main, regagnez vos places et n'en bougez pas ! Enfin, tu contrôles la situation. Tu vas régler les choses quoi. Enfin, tu crois que ça ira... Tu crois. Tu verras bien où est le problème. |
- Spoiler:
HJ : Sorry pour le temps de réponse et la médiocrité du post
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| | | Sujet: Re: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] Sam 9 Mar - 12:55 | |
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Nox Apostolica
| Full steam aheadDisturbance on a train ride
~ badaboum « Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée par cet arrêt soudain, nous subissons actuellement une panne dont nous ignorons la cause, des agents vont s’occuper de vérifier l’état de chaque wagon. Veuillez rester assis à votre place et ne pas sortir du train s’il vous plait en attendant que nous reprenions notre route. »
Ainsi ce n’était qu’une panne ? Nox en fut presque déçu… Mais il n’allait pas s’arrêter pour autant, il allait râler auprès du conducteur et personne ne l’en empêcherait ! Quand il changea de wagon, la deuxième porte, qui lui permettrait d’accéder le wagon suivant, s’ouvrit brusquement et les gens qui avançaient promptement bousculèrent le mage du Conseil qui fut poussé au mur par… les fameux agents de la circulation qui devaient probablement inspecter son ancien wagon.
« Désolé. Vous devriez rester à votre place Monsieur. »
Le sang de Nox était en ébullition. De quel droit lui donnait-il des ordres ? Il faisait partie du Conseil, s’il avait envie de se lever, pour assurer la sécurité des voyageurs par exemple, il en avait tout à fait le droit ! Bon là, ce n’était pas pour les mêmes raisons mais bref, passons. Il faillit passer ses nerfs sur les trois agents en longue blouse bleu sombre. Avec leurs cols relevés et leurs casquettes, on ne pouvait presque pas voir leurs visages. Mais si le mage brun ne s’était pas laissé emporter par la colère c’était parce qu’il avait entrevu quelque chose de vraiment suspect. Ces agents de la circulation… Ils avaient des regards de tueurs…
Alors après les avoir laisser passer, il attendit encore un peu puis il les suivit. Vu qu’ils sortaient du train, Nox fit de même mais en prenant une porte différente, pour ne pas se faire repérer… Ce qu’il vit alors le choqua au plus haut point ! Les agents venaient d’enclencher un sort runique sur le wagon ! Selon lui, pas besoin de magie pour réparer un train, des compétences en mécanique suffisaient… En plus, l’incantation avait été très courte pour ce que ça semblait être. C’était de plus en plus suspect. Il se passait quelque chose et ça ne sentait vraiment pas bon…
Alors qu’ils se dirigeaient tous vers la locomotive sans avoir l’intention de retourner dans le train, Nox attendit que le petit groupe le dépasse sans le voir, puis il lui attrapa le dernier agent comme il savait si bien le faire. Furtivement et sans bruits. L’attirant dans le wagon sans lui laisser le loisir de prévenir ses collègues, il lui posa un coutelas sous sa gorge pour le dissuader de tenter quoi que ce soit. Après avoir fermé la porte, il lui retira la main de la bouche tout en maintenant sa menace en place.
« Et si tu m’expliquais ce qu’il se passe réellement? »
Le prisonnier sourit à pleine dents et le fixa droit dans les yeux avec un air de défi.
« Vous n’obtiendrez rien de moi. »
Agacé, Nox retira temporairement la lame de la gorge de l’agent puis il la fit tourner dans sa main pour la planter dans sa cuisse, donnant un bon coup de poignet pour faire pivoter le coutelas dans sa chair. Puis il la remit immédiatement sous sa gorge.
« Ça tombe bien que tu me résistes, j’aime quand on m'oblige à sortir le grand jeu. A chaque réponse négative, je remonte jusqu’à tes bijoux de famille. Nous disions donc ? Qu’est-ce que vous avez lancé comme sort au wagon ? »
L’agent se mordit la lèvre pour ne pas crier mais il eut énormément de mal à se contenir. Nox lui avait mis sa main de libre sur la bouche pour l’empêcher d’ameuter tout le train. La douleur le fit pleurer, lui qui semblait si sûr de lui la seconde d’avant.
« Ok ok ! Arrêtez, je vais tout vous dire… C’était un sort d’autodestruction à commande manuelle. On avait déjà dessiné les runes avant que le train ne parte ce matin mais pour ne pas éveiller les soupçons, on ne les avait pas activés. C’est ce qu’on vient de faire. Maintenant tout le monde est condamné. On va détruire tout Era si le Conseil ne capitule pas face à notre prise d’otage… »
Fou de rage, Nox ne parvint pas à se calmer suffisamment pour lui épargner la vie… Jetant le cadavre dehors, il se disait maintenant que son premier plan était le bon, il fallait qu’il se dirige vers la locomotive pour casser du brigand !
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| | | Sujet: Re: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] Jeu 28 Mar - 11:23 | |
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| Deyonnu resta ainsi un temps, observant les mouvements provoqués par ce brutal arrêt au milieu de la ligne de chemin de fer. Elle se braqua de justesse tandis qu'un homme trés pressé fusa sur son chemin, la mémoire de l'espionne mit un temps à reconnaître l'individu, suffisamment vite cependant ne pas l'entraver dans sa course et à l'inverse prendre sa tangente. Ce dernier alla vers l'accès au wagon suivant quant il fut refoulé par des civils qui eux-même étaient écartés par les agents du train. En y regardant de plus près, ces derniers semblaient un poil énervés mais leur comportement avait un truc qui déclenchait un autre signal d'alarme, dans la tête de Deyonnu cette fois. Quelque chose n'allait pas, et son collègue, quelque soit son nom, avait apparement reniflé le Truc aussi, elle reprit son observztion, prenant garde à ne pas gêner les déplacements, ce qui se révèlait pas si simple dans un train. Quand il embarqua le dernier pseudo controlleur, elle prit place devant la porte et écouta la conversation mouvementé qui s'en suivit. Nota méthodiquement les informations : Un sceau d'autodestruction, une prise d'otage, un groupe suicidaire... L'espionne surgit dans la cabine, grimaça en voyant son œuvre, une violence qu'elle n'aimait pas, mais surmonta le malaise, redevint visible tandit qu'il semblait occupé à balancer le corps par la fenêtre.
-Et maintenant ? Demanda-t-elle, que fait-on ? Deux possibilités s'offrent à nous, on rattrape les preneur d'otages et les contraignont à désamorcer la bombe, ou nous nous séparont pour que l'un attrape ces types et l'autre s'occupe du piège....
Espérant qu'il est un cerveau en état de marche et qu'il ne serait pas un de ces mages usant de la violence à tout crins, il pourrait aller s' occuper des bougres tandit qu'elle irait examiner cette bombe magique...
-Il y a sûrement d'autres personnes faisant partie des services du conseil à bord de ce train, il faudrait les trouver, du renfort n'est jamais de trop... Ses yeux se perdirent dans le vague tandit que ses pensées passaient en revus les autres possibilités qui pourrait leur éviter une issue dramatique. Evidemment le tout de manière discrète. Pour cela on pouvait compter sur lui au vu de ses actes récents. Je m'occupe d'examiner le piège, si ce qu'a dit cet homme est vrai, une bombe nécessité un amorçage et un désamorçage manuel, je compte sur vous pour trouver les informations adéquat.
Sur ces mots, elle se retourna et franchit le mur tout s' élevant au dessus du sol, traversant le plafond pour arriver sur le toit de la locomotive, une fois posée sur ce dernier elle alla vers l'avant pour se glisser, tête la première, vers la cabine. Deyonnu y repéra un individus qui aurait pu passer pour un chauffeur si le véritable conducteur n'était pas allongé inconscient à demi-caché des curieux. La magicienne se glissa entièrement dans la cabine et chercha à s'infiltrer dans le corps de l'intrus, mais comme elle s' y attendait, la résistance typique des mages se fit sentir, ce dernier perçu la tentative de possession et se retourna pour voir ce qu l'avait touché, ne rencontrant finalement qu'une garde de sabre au milieu du front, le sonnant avant qu'un second n'achève de le mettre K.O. Une fois la menace éliminer, elle se pencha sur cercle magique.... |
| | | Sujet: Re: Die Hard : Aller au paradis à un train d'enfer [PV Conseil] | |
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