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On en apprends tous les jours. Aujourd'hui, j'ai appris que mon père, Max Avelas Miller, avait écrit un livre il y a des années. Je devais absolument trouver ce livre & le lire. Apparemment, il s'agirait d'une autobiographie. Ce livre me permettrait dans apprendre plus sur lui & le reste de mon clan. Ma mère refuse toujours de m'en parler, mais j'ai réussi à lui faire cracher l'information du livre.

Cependant, ça s'annonce plus difficile que ce que j'imaginais. Ce livre s'intitulant « Les Chronicles de M.A.M » était simplement introuvable. Toutes les librairies des villes alentours ne proposaient pas ce livre. Je me suis demandé s'il l'avait fait éditer. Si ce n'est pas le cas, ce livre n'existerait qu'en une fois. Dans ce cas, je me devais d'aller dans la plus grande ville de Fiore, Crocus. Là-bas, j'aurais bien plus de chance de trouver cette biographie. Mais la capitale n'était pas à deux pas d'ici, il me faudrait une raison supplémentaire de partir jusque là. Puis, la guilde se demanderait qu'elle était la raison de mon départ. La seule façon de lier l'utile à l'agréable était de prendre une mission qui m'emmenait jusqu'à la Capitale. Il y en avait une justement. De la chance me diriez-vous, mais en même temps, récupérer une mission pour l'autre bout du pays, elle devait être la depuis un moment, personne veut prendre une mission de ce style. Elle s'intitulait « Pénurie d'eau ». Apparemment, un village a vu la rivière qui le traverse s'assécher alors que nous sommes au Printemps, la température est tempérée donc il n'y a aucune raison que la rivière soit asséchée. Enfin bref, il faudra voir ça sur place après avoir trouvé le livre.

J'avais donc pris un train à Shirotsume en direction de la Capitale. Une fois sur place, je cherchais une librairie. Et j'en avais trouvé une. Je ne sais pas pourquoi, mais elle attirait mon oeil vers elle. Je rentrai donc dans la librairie espérant que quelqu'un pouvait me renseigner sur le livre recherchait.

"Hum...Bonjour ? Il y a quelqu'un ici ?

Spoiler:

Page Précédente C'est seulement quelques instants après que Rosa eut commencé son pacte divin qu'elle fût interrompue par un client entrant dans sa boutique. Elle fit alors la rencontre d'un homme aux allures tout d'abord austères ; en tant qu'il semblait regarder la pièce sans objectifs et sans s'exprimer. Cependant, Rosa ne put voir que la folie au moment de leurs rencontres, il était sur le point de se suicider pour se repentir de ses erreurs. Ici débuta alors une guerre de mœurs entre un homme au profil d'assassin compulsif partagé entre ses rêves d'intégration et ses pulsions de destruction, et une femme libraire, clairement contre la violence et possédant une rage qui anime sa quête de la vérité. Ils se trouvèrent des points communs dans une discussion intense entre froids et attentions, suite à quoi, la magie opéra. Un nouveau lien se tissa entre les deux individus - ils forment désormais une nouvelle famille - unis face aux obstacles, qui ne sont autre que le regard extérieur et le regard intérieur.

Le départ de Jiro avait laissé un vide dans la librairie de Rosa, elle n'avait pas eu de clients particuliers depuis. Autant dire qu'elle n'en avait presque jamais ; et pourtant, elle faisait toujours l'effort de réaliser des gâteries qui permettrait d'accueillir, comme il se devait, ou trop, les rares personnes qui venaient dans sa boutique. La libraire pour tuer son temps commençait à dresser les profils des personnes qui se retrouvaient dans ce magasin : La plupart étaient des collectionneurs venant pour plusieurs raisons. La principale étant que la librairie de Rosa était la seule qui vendait des ouvrages venant d'autres régions, d'autres continent de Fiore, en faisant une boutique atypique pour les personnes en quête de nouveauté, ou de nouvelles cultures.
La seconde source de clients potentiels étaient les habitués, ces personnes qui venaient dans la librairie comme on venait à un salon de thé. Ils pouvaient tous passer un bon moment à lire, accueillit d'après leurs échos, d'une charmante dame qui les gâtait bien de sucreries, gâteaux, thés, cafés, boissons. Ces habitués s'étaient même réunis et formaient désormais un petit " club de lecture ".
Enfin, la dernière source de clients étaient les personnes prises de curiosité par une architecture et un arrangement venant d'un autre continent. Lorsqu'un client entrait dans la boutique, devant lui s'ouvrait un vaste espace chaleureux composé de plus ou moins grandes tables rondes en bois clair, éclairée par des lampes qui descendaient pratiquement à environ un mètre de la table ; cela permettait aux personnes qui lisaient d'avoir une source de lumière assez efficace, d'un jaune très léger et reposant, afin de pouvoir lire sans que leurs yeux ne picotent trop à cause de la fatigue. Autour de ces tables étaient agencés des fauteuils en nombre variable selon la taille de la table. Les dossiers, les assises, et même les accoudoirs étaient rembourrées d'une matière spéciale, blanche et raffinée, qui prenait en quelques secondes la forme du corps de la personne qu'ils accueillaient. Le sol était en général fait de planches de bois clair, polies, à l'exception de l'arrière du comptoir et des rayonnages dont les planches avaient une teinte à peine plus foncée.
Sur la gauche de l'entrée, on pouvait voir le comptoir dont la partie supérieure était vitrée pour mettre en valeur certains ouvrages, les best-seller du moment. Seulement une série d'ouvrage était entreposé diagonalement dans un panier, au-dessus du comptoir, et donc, encore plus mis en avant que n'importe quel ouvrage : Il s'agissait de "The Help", que Rosa avait écrit dans sa jeunesse. Derrière ce comptoir, il y avait une étagère pleine de dossiers, ceux des clients en l’occurrence. Ils contenaient les livres qu'ils avaient empruntés. Enfin, au fond de la librairie, les immenses rayonnages comme on pouvait s'y attendre. Ils étaient suffisamment aérés pour que l'on puisse s'introduire a deux ou trois personnes à la fois à l'intérieur. Les livres étaient classés par genre, par référence, et également par ordre alphabétique. Par un procédé à la fois technologique et magique, Rosa était capable de trouver n'importe quel livre rapidement, cependant, cela ne fonctionnait que pour les livres de nature magique. Pour les autres, elle devrait les chercher : et cela se passait dans une autre pièce. Cependant, ce n'est pas le moment de le décrire.

Si Rosa était encore entrain d'essayer de tuer le temps comme elle le pouvait, elle ne le pouvait bientôt plus puisque curieusement, la cloche qui sonnerait un son très léger, mais audible de loin, comme un petit carillon, s'était mise à chanter lorsque la porte de la boutique s'ouvrit. Cette porte laissait passer un léger courant d'air frais dans la pièce, et avait réussi a soulever quelques feuilles de papier qui trainaient sur le comptoir. La personne aux cheveux châtains clairs, à la peau quelque peu pâle, et aux traits plutôt fins s'avança : Elle portait une chemise blanche plutôt classique, et un pantalon qui lui était assorti. Cette personne entra sans malaise particulier, mais avec une curiosité qui ne trompais pas, c'était la première fois qu'il mettait les pieds ici. Rosa elle était habillée d'une robe blanche fine qui était doublée d'une veste, qui ressemblait pratiquement à une toute petite pèlerine qui virait un tout petit peu plus vers le jaune pâles. Ses cheveux roses clairs étaient coiffés comme d'habitude. Derrière elle était entreposés des madeleines sur un plateau aux airs anciens, argentés et dont les bords étaient gravés de motifs floraux. Rosa venait seulement de les préparer, rappelons-le, accordait une attention toute particulière à l'accueil des clients. Ainsi, elle se saisit de son argenterie et se dirigea avec un sourire ne montrant nulle autre chose que de l'hospitalité et de la sympathie vers son client qui avait déjà demandé avec une voix distincte si quelqu'un était là. Une fois qu'elle fut arrivée à une distance acceptable, elle tendit le plateau vers la personne qui s'apparentait plus à son invité que son client et s'exprima d'une voix douce.

Rosa : Bonjour ! Bienvenue dans cette petite librairie. Comment pourrais-je vous rendre service ?

Rosa marqua une pause avant de poursuivre. Comme à chaque fois, elle se demandait intérieurement si elle accueillait bien les clients. Elle essaya de capter l'expression du visage de son client tout en conservant son sourire. Cela devenait pratiquement naturel pour elle, elle qui avait passé plusieurs années de sa vie à interroger des personnes à propos de leurs conditions de vies. L'objectif de cette démarche étant bien sûr de mettre à l'aise le client. Il semblerait qu'il n'y avait pas de problèmes particuliers avec ce clients.

Rosa : Accepterez-vous une petite madeleine pour l'instant ? Je vous prierais également d'entrer pour que nous puissions discuter tranquillement.

En entrant j'avais posé ma question directement. Je n'avais pas remarqué la décoration de la librairie. C'était un endroit où tout était ordonné, un endroit paisible. Une jeune femme vînt vers moi. Ses cheveux étaient d'un rose clair, d'une pureté sans nom. Elle s'approchait de moi avec grâce et élégance. Elle représentait l'innocence à l'état pure. Une telle beauté, une telle splendeur dans une seule personne. Je me demandais si c'était possible toute cette perfection.

Elle me fît un grand sourire :

Bonjour ! Bienvenue dans cette petite librairie. Comment pourrais-je vous rendre service ?

J'étais totalement obnubilé par la majesté de cette jeune femme.

Elle se tût un court instant puis repris :

Accepterez-vous une petite madeleine pour l'instant ? Je vous prierais également d'entrer pour que nous puissions discuter tranquillement.

J'avais carrément oublié qu'elle attendait une réponse. Elle me regardait avec un sourire franc, attendant une réaction de ma part.

Hum ! Oui, avec plaisir !

Je pris donc la madeleine, puis la dévora directement. Elle était réellement délicieuse. Je ne sais pas si c'était elle qui les avait préparés, mais elle était vraiment parfaite. Habituellement, les madeleines sont sèches et il me faut de l'eau pour pouvoir la faire passer, là, aucun problème.

Wahou, elle était vraiment bonne ! Je suis venu ici dans l'espoir de trouver un livre que je cherche depuis quelque temps. Il s'intitule ''Les chronicles de M.A.M ''. C'est une autobiographie écrite par un mage du nom de Max Mi...Max Avelas, pardon. Je suis aussi venu ici dans le but de remplir une mission, je suis mage. Une pénurie d'eau a fait son apparition dans un village aux alentours. Je suis là pour régler le problème.

...Pourquoi je lui raconte ma vie ? J'avais sûrement envie de l'intéresser. Enfin bref...

Après que ce nouveau client s'empare de la madeleine faite maison, tout en montrant son approbation d'une voix et de mots simples et sans arrières pensées apparentes, Rosa leva son bras et pointait une certaine direction plus au fond de la librairie. Elle invitait tout bêtement son hôte à s'installer sur l'une des tables en bois. Alors qu'il s'avançait vers les fauteuils luxueux sans la moindre hésitation, la libraire elle, emmena son plateau derrière le comptoir, au-même endroit ou elle avait laissé aux côtés de madeleines, et d'une bouilloire. C'était un grand buffet à l'intérieur duquel était entreposés tout les services à thé, les tasses de café, et les verres, et également, les ingrédients qui étaient associés à ces contenants. Ne sachant si son invité était plus pro-thé, ou plus pro-café, elle se contenta de rapporter après avoir laissé les gâteaux, la bouilloire qui venait de remplir sa fonction, une bouteille d'eau fraiche, les sachets de thés et les doses de café, une théière, deux tasses de thé, deux de café et deux verres. Cela semblait plutôt abusif, mais d'une certaine manière, c'était le côté à la fois maniaque/organisé qui ressortait dans cette scène, elle ne voulait pas vraiment se confondre par exemple des assiettes carrées pour apéritif et des assiettes pour fruits de mer. Elle avançait lentement vers la table en faisant attention ne rien renverser. Cela aurait été plutôt mauvais si de l'eau qui avait été amenée à ébullition se renversait sur son client, elle luttait contre sa nature légèrement maladroite. Finalement, elle posa délicatement le tout sans encombres au milieu de la table. Rosa s'installa en face de cet homme, qui semblait avoir quelque chose en tête.

??? : Wahou, elle était vraiment bonne ! Je suis venu ici dans l'espoir de trouver un livre que je cherche depuis quelque temps. Il s'intitule ''Les chronicles de M.A.M ''. C'est une autobiographie écrite par un mage du nom de Max Mi...Max Avelas, pardon. Je suis aussi venu ici dans le but de remplir une mission, je suis mage. Une pénurie d'eau a fait son apparition dans un village aux alentours. Je suis là pour régler le problème.

Rosa : Je suis vraiment heureuse que ma madeleine vous ai plut, je l'ai faite moi-même peu avant que vous n'arriviez. Au fait, mon nom est Rosa

Oh, donc ce client avait déjà un objectif en tête ? Rosa mit son doigt sur son menton comme si c'était nécessaire à la réflexion. Elle scruta d'un regard attentionné chaque partie de la librairie, comme si elle pouvait trouver ce livre simplement en un regard, le comptoir, au dessus, il n'y avait que le livre écrit par la libraire elle-même, et d'autres best-seller. Les placards arrières étaient remplis de documents, mais certainement pas d'un livre. Les rayonnages, elle regarda chaque catégorie de livres, en particulier celle des auto-biographie et celles des livres historiques. C'était comme si elle essayait de se visualiser un chemin jusqu'au livre, sans succès. Elle n'avait pas d'autres choix à ce moment là. L'homme avait largement eu le temps de répondre à la réplique précédente avant que Rosa ne s'attèle au problème du livre autobiographique. Ensuite, il avait également parlé de sa profession de ... "mage" ? ... et de "mission ?. Mais bon, le sens de l'organisation de Rosa reprit le dessus, et fit de son mieux pour continuer tout naturellement avec un sourire chaleureux.

Rosa : Traitons un problème à la fois voulez vous ?

La question était oratoire et ne nécessitait pas de réponse, Rosa enchaîna directement.

Rosa : En ce qui concerne votre livre, je n'en ai jamais entendu parler, mais qui sait, cela se pourrait qu'il soit dans cette librairie. Est-ce que cela vous dérangerait de patienter ici un moment ? Je vous en prie, servez vous avec ce que vous désirez pour faire passer le temps.

Rosa se leva de sa chaise, laissant Aaron vaquer à ses activités. Elle se dirigea vers le fond de son comptoir. A première vue on aurait dit un mur comme les autres, mais la magie permettait de faire en sorte qu'il projette un hologramme de couleur blanche. Il y avait des écritures incompréhensibles pour la plupart des gens, en effet, elles étaient écrites dans la langue de Rosa, celle qu'elle parlait dans son autre continent. C'était une mesure de sécurité, car même si les données rassemblées sur les livres et les clients étaient protégés par une série de mots de passe et la nécessité d'utiliser l'empreinte digitale de la jeune femme, la barrière de la langue en dérouterait plus d'un. Elle entra dans ce qui semblait être un moteur de recherche la référence du livre recherché. "Les Chroniques de M. A. M.", de Max Avelas.

Rosa : Aucun résultat ? Il semblerait que le livre ne soit pas dans les rayonnages.

Il serait probable que Rosa ait a vérifier dans la réserve, après tout, le système informatique ne fonctionnait que pour les livres qui possédaient une sorte d'empreinte magique. Les livres comme "The Help", et d'autres livres atypiques devaient êtres rangés et cherchés par la libraire elle-même. Autrement plus intéressant, Rosa avait toujours en tête cette histoire de mages et de missions. Elle était bien curieuse de savoir tout ça, mais elle garderait ses questions pour plus tard. Le premier ordre du jour était de retrouver ce livre pour ce client.

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PS : A propos de tes images:

PS² : RP:

Je suis vraiment heureuse que ma madeleine vous ai plut, je l'ai faite moi-même peu avant que vous n'arriviez. Au fait, mon nom est Rosa

Mon nom est Aaron.

Je suivi Rosa jusqu'à une table en bois et je m'assis sur un des beau fauteuils autour de la table. J'étais étonné de temps de finesse pour une librairie. On dirait plus un endroit de détente pour discuter qu'autre chose. C'est vraiment agréable. Ça me fait du repos après mon long voyage. Rosa m'expliqua que mon livre ne lui disait rien. Elle me proposa de me servir puis, se leva et elle alla derrière son comptoir. Je me servis de l'eau chaude venant de sa théière, puis servis également de l'eau dans sa tasse. Je pris un sachet de thé dont j'ignorais le goût, puis je déposais aussi un sachet dans la tasse de Rosa. Je fis toute cette manoeuvre en gardant un oeil sur Rosa, qui, derrière son comptoir avait fait sortir du mur une sorte d'hologramme blanc. De là où je me trouvais, je ne voyais pas ce qu'il y avait écrit. Elle avait l'air déçu du résultat de son tableau magique. Il devait sûrement lui servir a répertorier tous les bouquins du magasin. En tapant le nom elle n'avait peut-être rien trouvée...

Vous n'avez rien d'intéressant ?

Je connaissais déjà la réponse à ma question, mais par politesse et pour engendrer un dialogue, je la posais quand même.

Je vous ai servis une tasse de thé. Mais...Peut être auriez-vous préféré une tasse de café ? Je n'ai pas vraiment réfléchis à vrai dire .

J'étais pas doué pour parler aux filles.

A propos du livre, il n'a été écrit qu'en un seul exemplaire. Je suis venu dans la Capitale pour avoir plus de chance de le trouver. Je n'attendais aucun résultat concluant.

Je pris la tasse de thé puis la tandis vers Rosa.

Une voix interromput Rosa pendant qu'elle s'interrogeait sur le livre. Il se pourrait qu'il soit dans la réserve, mais un livre en un seul exemplaire, au nom qui ne disait rien à la libraire, cette dernière ne pourrait l'extraire des étagères bondées et couvertes de poussière. Elle manifestait peu d'attention aux gentillesses de l'homme, à vrai dire, lorsqu'elle s'attèle à quelque chose, le monde autour d'elle lui devient parallèle, pratiquement imperturbable. Ce n'est que quelques instants plus tard qu'elle remarquait qu'il lui servait une tasse de thé. Il l'emmena vers moi et me la tendit tout en parlant de son livre. Il n'y en a qu'un seul exemplaire ... Pourquoi Rosa possèderait une telle rareté ? Qui plus est, les livres auto-biographiques en un seul exemplaire, en général il n'y en avait qu'une sorte, c'était des livres assez personnels, comme des journaux, un album de photos. Le profil du client en face d'elle devenait de plus en plus étrange, Rosa s'imaginera pourtant que cela n'avait été qu'une anecdote. Puis elle se souvint de ses précédentes interrogations. Apparemment cet homme était un mage, il allait en mission quelque part par ici ... Rosa profita du blanc qui s'était installé après la conversation pour poser sa question.

Rosa : Dites, vous avez piqué ma curiosité tout à l'heure. Vous êtes mage c'est bien ça ? J'aurais aimé en quoi consiste cette profession dont je n'ai jamais entendu parlé ... Enfin, seulement quelques bribes.

C'est là qu'elle repensait à sa prestation lamentable à l'école. Elle avait utilisé de la prestidigitation pour de la magie. Elle aurait du être plus maligne ce jour là. Elle aurait du au moins utiliser les petits objets magiques qu'il y avait dans sa boutique. Mais comment pouvait-elle savoir ? Elle ne connaissait rien à l'époque. Après un court instant de pause, elle reprit.

Rosa : Ce que j'aurais aimé savoir en fait, ce sont les compétences dont dispose le mage, apparemment, vous pouvez faire des missions, mais qu'est-ce qui rend un mage plus capable qu'un autre ?

A propos du RP:

« Citation »

Rosa semblait se poser pas mal de questions à propos du livre que je lui demandais. C'est normal, l'auto-biographie de mon père était une oeuvre unique, très difficile à trouver.

Dites, vous avez piqué ma curiosité tout à l'heure. Vous êtes mage c'est bien ça ? J'aurais aimé en quoi consiste cette profession dont je n'ai jamais entendu parlé ... Enfin, seulement quelques bribes.

Exact, je suis mage ! Nous sommes répartis entre plusieurs guildes. La mienne s'appelle Blue Pégasus. Dans la guilde, nous avons un tableau d'affichage. Sur celui-ci est placé plusieurs feuilles de papiers où sont inscrit des ''missions''. Ce sont des personnes qui ont besoin d'aide et qui envoie leurs exigences ainsi que la prime qu'ils envoient suite au succès de la mission. Les missions sont ensuites réparties par catégorie selon la difficulté à les réaliser. »

J'avais l'impression que Rosa ne savait rien sur la vie de mage. Remarque, j'étais dans le même cas il y a quelques mois. J'ai tout appris à l'intérieur de la guilde grâce aux différents mages y travaillant.

Ce que j'aurais aimé savoir en fait, ce sont les compétences dont dispose le mage, apparemment, vous pouvez faire des missions, mais qu'est-ce qui rend un mage plus capable qu'un autre ?

Les mages maîtrise, comme vous devez vous en douter, la magie. Et bien, aux premiers abords, on ne peut pas dire si un mage est puissant ou pas. S'il est vraiment surpuissant, on peut sentir son énergie de loin. Dans la guilde, les mages ont des ''rangs''. Le symbole suprême de la réussite c'est lorsqu'on est mage dans un guilde est d'atteindre le rang S. Les mages de rangs S exécute des missions extrêmement difficile. Je ne connais pas de mages de ce rang dans l'enceinte de ma guilde. »

Soudain, une idée saugrenue me parcourue l'esprit. Et si...Et si j'emmenais Rosa avec moi ? Je ne sais pas trop si c'est autorisé...Après tout, ça peut être dangereux. Mais cette mission ne nécessité pasde se battre, aucun danger n'était à prévoir. Alors, pourquoi pas ?

« Écoutez, Rosa. vous avez l'air plutôt intéressé quant aux travaux des mages. Je suis actuellement en mission comme je vous l'ai dit tout à l'heure. Pourquoi vous ne m'accompagnerez pas pour voir comment ça se passe ? Sauf si bien entendu, vous êtes débordés. »

Rosa qui était dans son entreprise d'interroger cet Aaron sur la nature du mage, ses fonctions était toute ouïe aux réponses de son interlocuteur. En repensant à ses précédents échecs, mais également à ces évènements improbables auxquels elle a du faire face, elle voyait la conversation comme le moyen de faire le lien avec toutes ces choses là. Peut-être qu'elle en apprendrait plus à propos de ce fameux conseil de la magie, en y pensant, elle avait encore de frais souvenirs d'un contact avec l'un de ses membres.

Aaron : « Écoutez, Rosa. vous avez l'air plutôt intéressé quant aux travaux des mages. Je suis actuellement en mission comme je vous l'ai dit tout à l'heure. Pourquoi vous ne m'accompagnerez pas pour voir comment ça se passe ? Sauf si bien entendu, vous êtes débordés. »

Aujourd'hui c'était impossible. Il fallait tenir la libraire ouverte. Cependant, Rosa avait pensé à une autre alternative, mais cela allait nécessiter que les conditions soient applicables par Aaron.

Rosa : « Je ne peux pas laisser la librairie fermée. Mais si vous voulez, pourquoi ne passeriez vous pas la nuit ici ? De cette manière vous pourriez vous reposer de votre trajet, et nous pourrions réellement chercher les traces de votre livre, je suis sûre que je serais capable de le retrouver. Et ne vous souciez de rien, il y a une chambre d'ami que personne n'occupe actuellement. Nous pourrions partir demain aux aurores. De plus, c'est mon jour de repos, alors autant en profiter. Votre mission est-elle urgente ? »

Rosa parlait un peu trop vite et doucement en tant qu'elle était elle-même un peu stressée de devoir proposer quelque chose comme ça. Elle aimait avoir son intimité, mais en même temps, elle voulait découvrir la profession de mage. C'est pourquoi elle proposa tout de même à son ami de passer la nuit dans la librairie.

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