Sujet: Tatoue-moi sur tes seins [Terminée] Ven 14 Aoû - 4:48
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Damian Caleb Letho
I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness
Nom : Letho Prénoms : Damian Caleb
Date de naissance : 10/10/X740 Age : 32 ans Origines : Sin
Activités : Gigolo Guilde : Aucune
Statut : Humain Surnom : Dam'
Avatar : Worick Arcangelo-Gangsta
Psychologie
Assis sur un banc, la tête en arrière, à moitié endormit, le visage rougit par le soleil, il y avait cet homme. Les femmes riaient en passant devant lui, les enfants le regardaient comme une bête curieuse, un épouvantail planté là, au milieu de nul part. Assis sur ce banc, il y avait Damian.
Il y avait oublié le temps qui passe, oublié la vie qui s'écoule lentement, il s'était installé en attendant de retrouver le goût à la vie ou le goût de l'aventure, parfois les deux se confondent étrangement dans une danse bien trop rythmée pour lui. Damian, il n'a jamais été le plus rapide, il comprenait et faisait toujours tout avec un cran de retard sur les autres, mais ce qu'il faisait, il le faisait bien. Il a le souci du détail sans aller dire qu'il soit perfectionniste. L'aventure quand il y pense, il a juste l'impression qu'elle l'a laissé tombé il y a bien longtemps déjà, quand les enfants ont commencé à l'appeler « Grand-Père ». Aucun respect, ceux-là, j'vous jure. La nouvelle génération va trop vite pour lui, tout comme le monde devenant complètement fous. Les uns s'entretuent, les autres trempent dans des affaires étranges et alors qu'avant on pouvait distinguer les gentils des méchants... Ceux-là ne forment plus qu'un seul et unique camp maintenant. Plus rien ne va. Les repères des uns s'effacent progressivement.
Damian, il aimait bien l'aventure pourtant, courir partout, courir pour survivre, courir pour jouer. Puis au bout d'un moment, courir, c'était plus pour lui. Non pas que ses genoux et son dos le fassent souffrir, mais il s'est rendu compte que ce n'était pas la vitesse qui importait, c'était d'arriver au bon moment et au bon endroit.
Tout n'était qu'une question de timing.
Alors il patiente. Il attend. Il attend des heures, des jours, il sait plus trop, car il finit toujours par s'endormir au bout d'un moment par flemme sûrement et par ennui. Parce que Damian l'excitation, c'est comme l'adrénaline pour lui : ça monte d'un coup et ça redescend tout aussi brutalement. Ça fait mal, mais on est dans une ère où souffrir est monnaie courante. Souffrir en silence, mourir debout, les gens ont perdu la tête. Les philosophes, eux, la raison.
Assis sur ce banc, il se redresse avec cette mine à moitié réveillée, un œil mi-clos, observant les gens... Qui l'observait et qui détournent brusquement le regard alors qu'il s'étire de tout son long en baillant aux corneilles. La vie a repris son cours et ne s'est pas arrêté alors qu'il dormait sur son banc... Rien ne s'est passé. Ah si ! Il a mal dans la fesse droite, la prochaine fois, il ira se coucher dans l'herbe.
Parce qu'il était comme ça, léger. Il n'aimait pas se prendre la tête et réfléchir à tous les maux, il y faisait attention, par moment, parce qu'il savait ce que ça faisait que de souffrir, que d'être ignoré et ça, il n'a pas envie de le revivre. Loin d'être un grand sentimental et un altruiste hors-paire, son prochain, il s'en fout un peu, c'est bien que les gens viennent lui taper une bavette, mais bon, sans plus quoi. Les gens, les liens, c'est assez abstrait comme concept. Tout finit par changer un jour.
La jolie fleuriste que l'on a mit des mois à approcher, recommence à nous ignorer et notre voisine de pallier qui ne nous a jamais remarqués commence soudainement à nous sourire timidement.
Les choses finissent toujours par changer. En notre faveur ou pas, ce n'est pas une question de destin, car le destin n'est qu'une succession de choses et d’événements qui sont dus à des actes passés. Notre propre malheur nous incombe. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise étoile au-dessus de nos têtes...Juste un ciel dégagé nous laissant voir la beauté du monde.
En parlant beauté....Ouais non, le discours sur les femmes et les hommes, il est assez rébarbatif. Tout le monde sait que les femmes sont attirées par les hommes et inversement, c'est purement scientifique. Les besoins primaires de la nature en quelque sorte...Et Damian, il s'en est fait un devoir même un code d'honneur que d'aider les femmes en détresse à assouvir ce genre de besoin. Y'a pas de sot métier comme on dit et faut bien gagner sa vie. Puis d'un certain côté, ça le maintien forme, après tout, c'est un exercice comme un autre.
Les femmes, ils les aiment bien, ils les respectent pour ce qu'elles sont, mais il les trouvent parfois idiotes, parfois immatures, parfois trop versatiles. Les femmes sont changeantes comme les marées et ça.. Damian, il aimait bien, mais sans plus. Ses relations avec les femmes sont purement platonique. Question de survie parce que des baffes et des crises de jalousie, il s'en est tapé. En long en large et en travers surtout en travers.
Les femmes, ça demandent trop de temps, trop d'implications, alors une seule nuit suffit.
Alors il en revient toujours à s'asseoir sur ce même banc, dans ce même parc, regardant les enfants rire aux éclats, se battre, jouer, se disputer. Ça lui rappel que lui aussi, il aime tout ça, quand il n'est pas dans cette déprime qui vous colle à la peau comme ce vieux chewing-gum à la semelle de votre chaussure.
Parce que oui, Damian, il aime bien blaguer, rigoler malgré son sens de l'humour un peu douteux, peut-être trop pour certains. Il aime bien les petits défis lancés entre potes, le genre de truc qui vous couvre plus de honte que de gloire, mais bon, ça prouve que vous en avez dans le pantalon parfois. Jouer sur ça ou jouer tout court, ça aussi ça fait partie de ses petits passe-temps, hobby même parce que jouer, il adore. La lueur du défi brillant dans les yeux des adversaires, le sourire retroussé jusqu'aux oreilles... Le cœur palpitant. C'était une sensation enivrante qui lui manquait bien trop souvent.
Tout comme la sensation de se battre au milieu des singes. S'en prendre plein la figure et ne plus pouvoir se relever, ça aussi ça faisait partit des trucs tordus qui l'amusait, même s'il restait à terre plus souvent qu'il ne se relevait. Le monde n'a pas rendu les hommes égaux entre eux... Certains trichent avec la magie...D'autres n'ont rien excepté leurs poings.
La magie, les mages, il en avait une idée précise. Certains été admirés, d'autres détestés. Certains sauvés des vies, d'autres en enlevés. Il y avait comme un juste équilibre des forces, mais c'était toujours les mêmes qui étaient hués. Les méchants. Les illégaux. Les pas gentils, appeler-les comme vous le voulez.
Mais les uns n'existeraient pas sans les autres. La lumière ne brille pas sans les ténèbres et inversement. S'il n'y avait pas de méchants, il n'y aurait pas de gentils. C'est un équilibre qu'il faut maintenir malgré cette chasse aux sorcières toujours plus présente...À qui la faute, si certains se défendent ? Craignant pour leurs vies ? Toutes les actions ne sont pas condamnables, car certaines ne sont qu'une série d'incidents malheureux.
Pourtant, ce n'est pas pour autant que Damian, il cautionne les actions des vilains. Non, non, non. Mais quelque part, il est trop dans sa bulle pour s'impliquer là dedans. À quoi bon être mage si c'est pour être en guerre continuellement, risquer sa vie chaque jour en se levant ? La magie, ça l'intéressait pas, il pouvait bien être heureux sans ça et il l'était.
C'était un type tout simple, se prenant la tête avec les fléaux que sont les femmes... Mais même si on ne peut pas vivre avec, on ne peut pas vivre sans non plus !
Histoire
L'histoire de Damian, elle est simple, elle pourrait presque ressembler à la vôtre même de loin. Son enfance, il ne s'en souvient pas trop ou alors il l'oublie progressivement avec l'âge, peut-être un mixte des deux en fait, parce que l'enfance à Damian, elle n'est pas toute blanche, ni toute noire. Elle est d'une nuance de gris étrange. Un gris tout moche, comme la couleur du ciel quand il fait moche.
Il est né et a grandit à Sin, dans la rue. Du moins au plus loin qu'il puisse se souvenir, la rue ça a toujours été sa maison. Ses parents biologiques, il les a jamais connus, il a jamais su s'il était abandonné ou autre et il s'en fout parce qu'avec l'âge, il s'est fait une nouvelle famille et n'a jamais voulu savoir d'où il pouvait bien venir. Il traînait ici et là avec d'autres gamins, comme lui, ils étaient toute une bande de gosses turbulents, jouant dans le quartier, se faisant engueuler par les marchands du coin quand ils passaient à quatre pattes sous leurs tables dehors. C'était drôle, c'était léger. Les gamins du coin, tout le monde les connaissait, tout le monde savait qui ils étaient, mais personne ne savait plus. C'était juste « eux » en gros. Ils n'étaient pas beaucoup, une petite poignée tout au plus, une petite dizaine, allant du plus bas âge à pratiquement la majorité pour l'aîné de la troupe et en plus par logique, c'était lui le « chef ».
Ils ne volaient pas, ils travaillaient tous et se faisaient payer en nourriture ou vieilles fripes qu'ils arrivaient à peine à recoudre, mais c'était les beaux jours. Damian, il a rejoint le groupe quand il eut 10 ans, quand il s'est battu avec Will. Il sait même plus pourquoi ils se sont battus, il se rappel seulement qu'après toute cette merde, ils avaient rit jusqu'à se faire exploser le peu d'abdominaux qu'ils avaient, gamins chétifs.
Will, il a grandi parmi la petite troupe, alors il a invité Damian, parce que Damian, il était cool et rigolo et aussi parce qu'il avait une sacrée droite pour un petit gars. Très vite, ces deux-là, ils devinrent complices, meilleurs potes, allant se fourrer jusque dans les pires emmerdes qu'il était possible d'avoir. Jusqu'aller embêter les soldats qui passaient quelque fois dans le quartier en leur lançant des trognons de pomme à la figure.
Ils n'étaient peut-être pas très malins à l'époque, mais une chose est sûre, ils étaient plus rapides que ces foutus soldats.
Puis un jour, l'aîné, il est parti, il a eu un poste dans l'armée. Il est parti, mais il passait quelque fois dans le quartier pour tirer les oreilles de Will et de Damian qui n'en rataient jamais une pour se faire remarquer.
Damian, il a fait comme tout le monde, il a grandi, enfin, c'était purement physique pour lui, dans sa tête, c'était toujours un idiot fini et ce n'était pas près de changer. En grandissant, il s'aperçu qu'il commençait à attirer l'œil de ses dames. Y'a toujours eu quelque chose de spécial entre Damian et le sexe féminin. Pour tous les hommes, les femmes étaient une bénédiction, créatures de Dieu, charmeuses de serpents, sorcières, elles en faisaient tournés des têtes mais Damian, il était moins dupe que les autres et le fait qu'il résiste encore et toujours à l’envahisseur, ça leur plaisait.
Elles jouaient avec lui et lui, il disait rien, car d'un certain côté, ça lui plaisait aussi. Ça l'excitait de voir qu'il n'était pas qu'un sombre idiot intéressant que pour sa gueule. Les femmes, fallait être plus intelligent qu'elles, fallait leur montrer que le monde, il tourne rond... Même sans elles, oui oui.
Alors Damian, il eut comme une révélation. Les femmes, ça allait être son gagne-pain.
En fait non. Ce n'était pas le bon dieu qui lui a chuchoté cette idée tordue dans le creux de son oreille alors qu'il dormait, c'était juste une vieille femme qui tenait un club louche pas loin de son petit coin tranquille. La mamie, elle avait l'œil et elle l'avait toujours eu sur lui. Voyez ça... La mamie, elle avait l'œil et elle l'avait toujours eu sur lui.
La mamie, gérante de ce bordel parce qu'il n'y avait pas d'autres noms pour qualifier son entreprise, elle s'appelait Elizabeth, mais tout le monde l'appelait « Liz ». Liz, c'était le genre de femme cougar, qui vous fait peur dés qu'elle vous appel « Mon sucre d'orge ». Liz, elle avait un caractère de cochon, souvent grognon, mais elle avait bon cœur et ça, Damian, il s'en souvient encore. Liz, c'était le genre de femme cougar, qui vous fait peur dés qu'elle vous appel « Mon sucre d'orge ».
Tout comme il a tenu la sienne.
Plus qu'une promesse, c'était plus un marché conclu avec le diable. Il avait trois ans pour ramener 100 clientes au bordel, en échange Liz, elle s'occuperait de veiller sur les petits jeunes du quartier. C'était comme ça que ça marchait entre eux.
Alors dés ses 17 ans, Damian, il est devenu gigolo. Y'avait pire comme façon d'occuper ses journées et de gagner sa vie, mais ce genre de boulot ne vous permet certainement pas de vous engager dans une quelconque relation, quelle que soit sa nature.
Et tandis qu'il occupait ses dames, Will lui, il partit aussi. Will s'était devenu un petit prodige avec le temps, il était devenu « mage ». L'aîné, il disait souvent qu'être mage, c'était une tare, une sorte de maladie, que ça n'apportait rien de bon alors Will, il est parti du quartier. L'aîné, il disait souvent qu'être mage, c'était une tare, une sorte de maladie, que ça n'apportait rien de bon alors Will, il est parti du quartier. Au fond, Damian, il a toujours su que Will, s'il est allé à Fiore ce n'est pas pour le boulot, c'est parce qu'il suit une fille. Naïf qu'il est.
Des fois, il envoyait des lettres, racontant sa vie, disant qu'il avait même trouvé ce qu'il appelait « une guilde » qui lui faisait penser à la petite troupe qu'ils étaient avant. Le lire, ça faisait rêver, mais Damian, jamais il ressentit en lui cette petite chose appelée « magie ». Elle s'est jamais montrée et quelque part, ça l'embête. Il aurait bien aimé aller voir Will pour lui parler de tout ça, mais sa vie reste bien monotone comparée à celle de Will.
Mamie Liz, elle prit de l'âge aussi, elle se fit vieille peut-être même trop, mais elle refusait de partir à la retraite, estimant être la seule à pouvoir gérer son entreprise devenue florissante grâce à l'arrivée de deux nouvelles filles et d'un nouveau gars. Damian, il a jamais eu le temps de les connaître parce qu'un soir... Tout pris feu et les seuls à en réchapper furent Liz, Damian et une autre fille appelée Christie.
Christie, elle était jolie mais pas très maline et c'est ce qui la rendait particulière aux yeux de Damian parce que comme lui, ils avaient commencé jeunes, trop jeunes sans doute. Christie, elle ne venait pas de Sin, mais de Desierto, avec sa peau basanée, elle avait un petit côté exotique mais Damian, il avait trop de respect pour elle mais ça.. Il allait jamais lui dire. Il faisait que garder un œil sur elle de temps en temps quand deux ou trois types louches venaient l'embêter chez Mamie.
La nuit de l'incendie, Damian, il fêtait ses 25 ans.
Il resta un moment avec Mamie et Christie pour les aider à faire autre chose, avoir une nouvelle vie. Les années passèrent vite alors Mamie, elle a décidé de se séparer de Damian en l'envoyant à Fiore, voir Will qui n'avait plus donné de nouvelles depuis deux ans.
Les années passèrent vite alors Mamie, elle a décidé de se séparer de Damian en l'envoyant à Fiore, voir Will qui n'avait plus donné de nouvelles depuis deux ans. Fiore c'était grand ! Trop grand malheureusement.
Mais le point positif de cette histoire ? Y'avait pleins de belles et jolies jeunes femmes également !
crackle bones
Sujet: Re: Tatoue-moi sur tes seins [Terminée] Dim 30 Aoû - 20:47
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M'aurais t-on oublié ?
Sujet: Re: Tatoue-moi sur tes seins [Terminée] Dim 30 Aoû - 21:07
Ohatsu Takumi
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Titre : Prettiest Queen Feuille de personnage Maîtrise Magique: (7310/35000) Mérite: (300/400)
Nous n'avons autorisé aucun nouveau compte pour toi, pourquoi devrions nous passer sur ta fiche ?
Sujet: Re: Tatoue-moi sur tes seins [Terminée] Dim 30 Aoû - 23:44
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Ma demande de nouveau compte date d'il y a 17 jours. En 17 jours aucun de vous (alors que vous êtes au nombre de 5 actuellement) n'a été en mesure de se pencher sur le sujet. Alors je veux bien être gentille mais stop de prendre les gens pour des cons. Et combien se font des comptes sans passer par une autorisation du staff ? Avez-vous le droit d'interdire une personne active (plus active que vous tous réunis) à jouer un nouveau personnage ?
Titre : Rude crachat Crédit : bebebe ♥ Feuille de personnage Maîtrise Magique: (10638/35000) Mérite: (272/400)
Bonsoir.
Je vais remettre les choses en contexte afin de recadrer les choses comme elles sont exactement : tu as fait une demande de nouveau compte, et moins de 24 heures plus tard ton nouveau compte était créé et posté, et maintenant ta fiche est terminée. Je pense que le véritable problème n'est pas tant d'avoir l'aval du staff quant à la création de ce nouveau compte et le délai inhérent, mais plus qu'il faut se demander si tu as jamais voulu attendre d'avoir cet aval, ou même si tu en avais quelque chose à faire. Moins de 24 heures entre ta demande et l'exécution de celle-ci, en essayant en plus au début de faire passer ton compte comme "secret", ne t'étonne pas si de notre côté nous avons perçu ça comme un dénigrement du règlement voire limite du foutage de gueule d'avoir demandé juste avant.
Surtout en sachant que tu avais déjà un autre nouveau compte en cours.
On était justement en train d'en discuter en staff, mais je t'assure que l'agressivité dont tu fais preuve à notre égard est, en plus de ne pas être justifiée, déplacée. Je t'invite donc cordialement à nous envoyer un MP à tête reposée pour qu'on puisse régler cette histoire au calme et trouver un arrangement après avoir mis tout ça au clair. En attendant, je vais faire ce qui, je pense, aurait dû être fait depuis le début : locker les deux fiches et les déplacer en archives.