La journée avait pourtant bien commencée, trop bien commencée, il aurait dût le voir venir, s'en douter... Déchanter. Bob avait l'air contrarier, assez contrarier, pas de "mon petit minet", "ma louloute", non rien. Nada, toute la journée il s'était baladée avec une tête de déterré, comme si dans sa tête s'opérer un choix crucial et fondamental... Alors il s'en était allé, artiste vaquant à ses occupations déglinguées... Danser et s'amuser, errant dans la guilde tel un funambule attardé. Si bien qui l'avait même oublié... Ne jamais oublier Bob... JAMAIS. Une main potelet qui lui touche l'épaule, face fardé de rose et crâne chauve, j'ai quelque chose à te demander... Ca puait. Ca Damaz le sentait, et il avait toujours eut un odorat très développé, ça puait à l'excès...

Allure de bombe, les bras m'en tombe... Mystère révélé, mission donnée, vérité lâchée... Le gros parfumé, la starlette dégénéré et le trio des attardés étaient déjà en mission, comme les trois quarts des effectifs déjà peut important de la guilde aux dix poneys... Alors il avait attendue, attendue le dernier délai, espérant que quelqu'un revienne avant qu'Angel's Sky, Fairy Tail et Aigles Clow n'ai choisie leurs envoyés... Mais rien, alors faute de mieux, moins pire il avait choisit... Toujours charmant ce Bob, l'art et la manière de te faire sentir apte et nécessaire... Sorcière ! Une claque sur le cul donné d'un sourire blasé par le master tellement transexué et il était partie, direction Hosenka. Pourquoi Bob lui claquait toujours les fesses ? Manque flagrant d'allégresse. Anges bouffies et fées moisies... RA-VIE. Un soupire, il expire, ça pouvait pas être pire... Quoi que... Un timbré avait déraillé, son cerveau avait explosé, circuit courcircuité, après avoir liquidé l'épousée et les gamins dégénérées il avait décidé qu'une petite prise d'otage le détendrait... Cinglé.

Il avait mis à peine une heure à effectuer le trajet, faut dire que c'était assez prêt... Région de détraqué. C'est à la nuit tombé que le minet atteint la taverne aux allures de fête d'été... Eh bien il avait l'air de se soucier de leurs compatriotes dans le coin... S'élançant tel un dératé il pénétra dans le bar avec l'envie grandissante d'un calmant alcoolisé, baluchon sur ses épaules il se présenta au barmaid... Joli barmaid... Sourire charmeur, enjôleur... Grahou. Pas le temps d'entamer le jeu de séduction autour d'un verre de chardonnay, l'autre était déjà arrivé... Oui mais quel autre ? Table pointé par le bras musclé, brun assis semblant attendre on ne sait quel prophétie ratée... Il était temps de se présenter ! Sourire qui nait alors que germe l'idée empreinte de débilité, jeux dont il était souvent le seul amusé, déviant de la trajectoire, à pas feutré il s'approcha dans le dos de Gray, pas feutré avant de sauter, bondir sur la banquette du canapé, position accroupie enchainant la réception avisée.
"Tu dois être la fée. Moi qui m'imaginait un petit blondinet virevoltant pour butiner... T'as plutôt l'air d'un..."Han ! Mais il est à moitié sex en fait ! Il s'arrête, bouche qui se stoppe net... "Damaz enchanté". Reprenant contenance il décide de correctement s'installer aux côté du brun qui venait de se dessaper... Hein ? Hum pas mal... La mission promettait d'être agréable tout compte fait. Tout en matant outrageusement il change de sujet, talent inné. L'Angelot gassouillé et l'aigle dégarnie sont pas encore arrivés ?" Teubé...

Pression électrisante alors que sa main sur sa nuque elle a posé, choqué, électrisé, elle sourit alors qu'il peste, saleté ! Ange décérébré ! Il s'apprête à rétorquer en ayant oublié la présence de Gray sous le coup de pression, s'apprête car elle fait son entrée, sourire qui se met à illuminé son visage enjôleur, charmeur charmé depuis les aléas qui les avaient fait se rencontrer, il garde pour lui son commentaire en vers la blondinette à l'air plus qu'idiote. Il se vengerait, après, sourire vicieux qui trahie la pensée du chat pernicieux. Elle est déjà partie, sans chercher son reste il s'élance à suite, gravant dans sa mémoire "Fullbuster", nom rangé dans la catégorie "à tester", vulgaire kleenex usagé. Enfoiré.

Il n'eut pas vraiment le temps d'apprécier sa sortie que sur lui la masse avait jaillie, cul par terre et jambes en l'air... Poney fêlé ? Un rire qui succède au grognement agacé. T'aurai pas pris du poids toi ? Je sais que t'es roux, mais quand même vas-y mollo sur les croquettes Trolleur, trollé ? Qui sait. Toujours à poil ? Hum intéressant, "pervers" qui vient se rajouté devant Gray dans la petite case dédié. Tout information pouvait un jour optimisé la chasse du gibier. Il veut se relever, il n'en a pas vraiment le temps qu'en réponse Asulf en lion s'est changé pour mieux l'écraser et... continuer de papoter... J'y crois pas mec ! Redescend de ta planète !

Il était temps de couper ce "fabuleux" mouvement, Fullbuster c'était mis en mouvement, jarretant Asulf dans une ultime poussé il ne put que constater qu'il n'avait en effet rien d'un poids plume incarné... Gros tas va ! Et c'est avançant sourire aux lèvres qu'il détailla la ville et ses ruelles, oubliant momentanément que sa présence ici n'était pas pour du néant. Chose que Gray lui rappela vite par la question posée... Il écouta... Plus pour la forme que par réel intérêt à dire vrai car si leur nombre semblait chagriner la fée, lui il n'y voyait qu'une politique d'alliance de guilde des plus mal organisées... L'ennemi était timbré, pétage de câble et prise d'otage, rien de plus à chercher, ils étaient quatre comme deux ou six, chose qu'il s'empressa de dire avec tact et amabilité, si tentait qu'il avait possédait un jour l'une de ces deux qualités. Ah oui c'est vrai... Jamais. Néanmoins il acquiesça pour la discrétion, tuer des otages serait du plus mauvaise effet, tout comme les faire tuer, même si cette à pensée de drôle d'idées avaient commencer à germer... Minet dégénéré. " Si vous le souhaitez je peux entrer et ressortir sans que l'on détecte ma présence, juste histoire de déjà savoir où on met les pieds avant de décider de quelle façon opérer ?" Il n'attendit pas de réponse, déjà le changement s'opéré dans un bruit d'os qui se brisaient... Que quelques secondes plus tard ne restait plus qu'un amat de vêtements là où il se tenait, avant que de son tee-shirt la tête du chat noir ne se soit extrait. Que la forme du chat son âme avait empreinté.

Et de deux. Succédant à l'impétuosité de la tornade brune le chat bondit, lié à son jumeau fabriqué de toute pièce par une magie dont chaque utilisation provoque en lui une once d'admiration. Elle entre par la grande port, soit, il pénètre par la petite, une fenêtre laissée entre-ouverte au premier étage, ascension effectuée avec une déconcertante facilité. Yeux ronds couleur topaze qui percent l'obscurité, petite silhouette se faufilant dans des bureaux déserté, un temps, il se stoppe net devant la porte entre-ouverte, lâchant son ouïe affinée pour repérer le moindre son suspect, bruit pas qu'il entend s'éloigner, il saisit l'opportunité, se faufile pour continuer alors qu'il perçoit le dos musclé d'un homme armé, transmission qu'il effectue sans savoir si elle allait marcher à son jumeau resté en dehors de la zone de danger. Apparemment des rondes sont effectués dans les étages supérieurs, il y'en a au moins un qui patrouille au premier étage. Il continue son enquête, yeux analysant dans la pénombre les moindres mouvements et geste, empreignant couloirs et réseaux de bureaux communiquant il continue, quatre intrus repérés en tout et pour tout, aucun otage à l'horizon, ils doivent tous se trouver au rez de chaussé. La petite silhouette continue sur sa lancée alors que déjà elle empreinte les escaliers éclairé de la lueur lunaire à travers une immense verrière, il espère que l'un des deux autres a eut assez de jugeote pour observer de là haut, verrière qui pouvait s'avérer un moyen d'entrer des plus surprenant et leur garantissant l'effet de surprise escompté. Un mouvement de recule alors qu'il entend une présence approché, caché dans la pénombre il voit les pieds devant lui passé, montée de stresse renforçant une excitation déjà bien affirmée, jeu qui ne faisait que commencer alors qu'il a enfin atteint le rez de chaussé, une sorte de carrefour où naissent devant lui une enfilade de bureau, à sa gauche une pièce semblant être une salle de repos et à sa droite plusieurs petites pièces fermées par des portes, certainement les toilettes et autre commodités d'usages, avançant à pas feutré il continue d'observer les lieux et les invités d'un spectacle auquel beaucoup se seraient passé d'assister. Il semble que le tour de la question été fait même si il n'avait toujours pas localiser le coffre et par où y accéder.

Chose étonnante qu'il ne comprend pas, d'après leurs informations le suspect était seul et avait agit dans un accès de démence débuté avec une tuerie... Mais qui était donc ceux qui surveillaient l'étage ? Idem pour le rez de chaussé puisque trois individus armés se distingués des otages... Mais où était donc passé celui par qui tout avait commencé ? Légèrement stressé par ces données qui apparaissant de plus en plus erronées il décide de revenir sur ses pas pour partager ces informations d'une importance non négligeable... Il n'en a pas le temps qu'en se retournant il se trouve nez à nez avec des rangers des plus horrifiantes soutenant un brun d'une carrure dissuadant de faire le malin et affichant un sourire des plus malsain, il n'a même pas le temps de détaler qu'il sent la main par la peau du cou le chopper. Fait chier. "Alors petit minou on est paumé ?" Saleté. Il résiste à l'envie fulgurante de se retransformer face à l'arsenal d'armes que l'autre semble posséder, il devait à tout prix préserver l'effet de surprise que son groupe de bras cassé possédé encore alors c'est dans un miaulement rauque de chatte en chaleur qu'il se laisse entraîner par l'autre dans l'escalier menant au premier étage. "Tu sais j'ai toujours rêvé d'avoir un joli minou rien que pour moi, alors ne me force pas à te mater comme il se doit. Sourire affiché de quoi filer les pétoches à n'importe quel animal normalement constitué, sur quel cinglé il est encore tombé ? Gardant ses miaulement et grognements pour lui dans la crainte d'un coup capable de l'exposer il se laisse transporter jusqu'à l'étage supérieur avant que verrouillant la porte derrière lui l'autre le pose par terre et s'accroupie face à lui. "Alors prêt à jouer mon joli ? Déglutition difficile, il sent que cet humain n'est pas du genre qu'on attendrie facile.