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Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées]
 MessageSujet: Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées]   Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées] EmptyLun 18 Mar - 12:16

Damaz Elandez
Damaz Elandez

Ajatar Virke

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Damaz Elandez

feat Aomine Daiki

Nom : Elandez
Prénoms : Damaz Asaf
Sexe :
Âge : 21 ans
Situation Parentale : Célibataire
Date de Naissance : 19 Février 763
Lieu de Naissance : Desierto

Activité(s) : Danseur/Acrobate.
Statut / Guilde : Blue Pegasus
Alias : Wild Cat

Notes : Bisexuel, tatoué sur les deux joues d'une marque rouge marquant sa tribu d'origine.

Citation :
«L'homme naît perfectible, l'animal naît parfait.»
Louis De Bonald

Source : flickr.com
© Lutèce Factory @ Damaz Elandez



Description Psychologique

“ La Danse des Passions ”



Et si tout n'était que danse ? Une danse chatoyante et sans fin ? Rayonnante... Endiablée. La danse des sentiments, danse des émotions. Danse des passions ? Une danse sans fin dans le but du spectacle, avec pour seul fin qu'il continue encore. Toujours...

La valse des passions, passionnelle. Passionnelle, fusionnelle. Fusion de deux natures dans leur splendeur, dans leur horreur, humain et animal. Passion d'un cœur sans raison, pour qui le juste milieu n'existe pas. Passionnel et fusionnel... Modération. Haït au plus profond et pourtant rêvée. Passion qui enflamme un être, sans contrepartie, sans moyen de se disculper, toujours croire que par la passion nait le bien, le résultat rêvé... Le monde n'est rien sans passion. Passion qui transcende les êtres, passion qui régit nos pulsions, passion qui régit l'action. Force. Passion comme force, force d'action, force du cœur... Folie. La passion mère de toutes les folies dans son extrême. La passion comme plus grande force et faiblesse d'un être meurtrie sans l'être totalement... Passion dans la chute quand l'échec arrive, irrémédiable et incontournable. La valse des passions, inaltérable et incontrôlable alors qu'elle entraîne la chute. Faux pas, un faux pas, un mouvement alors qu'il dérape, l'estrade s'efface dans le vertige, le spectacle prend fin...

Le tango des émotions. Être régit par le cœur et les tripes, à fleur de peau, émotions traitresses et sans largesse. Allégresse. Allégresse et joie dans le tango torride des émotions. Sans raisons. Raison... Mot inconnue et oublié, la vie d'un gamin qui n'en est pas un. Bête. Régit par le cœur et l'affect. Sensible... Sensible, à fleur de peau. Force. Force dans la faiblesse du tango, dans la faiblesse des émotions. Sauvage, imprévisible et impulsif. Bête humaine, tornade de braise, danse dans l'œil du cyclone, être de chaleur, chaleur devenant carnage face à son affecte bafoué, son cœur piétiné. Humilié. Déraison mère de folie, déraison mère du carnage, carnage d'un être ravagé de l'intérieur, bousillé. Danger.

Le flamenco des sentiments. Chatoyant et puissant. Salvateur et ravageur. Sentiments... Orgueil. L'orgueil démesuré d'un être prêt à tout sous les impulsions d'un cœur bouillonnant, battant à tout rompre. Rancunier et vengeur. Vengeance. La danse morbide de la vengeance face à l'humiliation, face à l'horreur, pour les simples raisons du cœur. Car le cœur ne peut qu'avoir de bonnes raisons se dit-on. Il en est ainsi. Mauvaise foie d'un être sans foi ni loi. Être d'instincts et de passion dans le flamenco des sentiments, dans le tourbillon des corps flamboyants. Braises. Feu intraitable quand on l'alimente, qui consume et détruit autant qu'il sauve et guérit dans sa pureté. Choix. On a toujours le choix. Trahison, trahison refusée, haït du plus profond. Honneur. Honneur et orgueil. Hideux mélange, note discordante dans la chanson, faux pas. Danger, danger pour les autres, danger pour sois-même. On est notre pire ennemi parait-il...

Force. Danse des corps, danse puissante. Force. Mais la force n'est rien. Spectacle insipide, insipide, insuffisant. Ruse d'un être loyal et pourtant retord. Retord, malade du passé, malade de tout. Force dans la maladie. Force de conviction et de caractère, la ruse pour protéger la valeur suprême, celle qui n'a pas de prix. Et si on peut tout acheter en ce monde perdu et corrompu il reste bien une chose intraitable, invendable. Famille. Famille un simple mot charger de pourtant tant de sens, de sentiments... D'amour. Famille au cœur et pourtant substituée. Et quand il s'agit de la protéger, de la venger, adieu l'honneur et ses fastes, adieu la loyauté. Prêt à tout. La force n'est rien sans la ruse.

Flamenco des sentiments, tango des émotions, valse des passions... Névroses. Névrosé par la jeunesse de l'âge, par la vie et son flot, surexcité qui ne peut s'empêcher d'agir, trop souvent pour le pire. Névrosé par le cœur et ses raisons. Tornade hystérique. Hystérique... Hystérique et colérique... Colère ravageuse, colère qui vous dévore et vous donne la force. Hystérie face à l'insupportable, hystérie comme refuge à l'être de bonté que l'on est. Généreux et doux... Gentillesse... Puis sans prévenir frappe l'insidieuse hystérie... Colère, rudesse et violence. Paradoxe. Paradoxal et dangereux. Fougue indomptable d'un être entier... Sauvage. Mais on dit bien que c'est au fond de la folie que résident toutes les grandes passions, et que la passion réside au fond de toutes les grandes actions... L'action sans conviction n'est qu'un acte manqué, car la valeur ne provient pas de l'action et de son résultat, jamais. Mais de l'intention, l'intention, notre intention... La samba des intentions. Pour qui ? Pourquoi ?

La samba des intentions... Danse. Danse, perfection. L'entraînement encore et toujours, pour la vie, pour la beauté suprême. Danse, samba des intentions. L'intention du meilleur, du parfait. Le plus beau. Danse et passion. Passion valeur du passé pour laquelle chaque jour on se donne entier, on vend notre âme au diable, donne notre corps à la douleur. Écho d'un passé, des origines. Origines perdues, plus importantes que tout. L'écho de l'horreur et du bonheur. Nomade. La liberté en vers et contre tout, nomade dans les tripes alors que dans la fumée se rallument la flamme des gitanes qui dansent. Être le meilleur pour être le meilleur, catalyseur. Corps entier qui s'adonne à ses passions. Le refuge d'un être... Refuge du cœur.


Première Magie

“ Alma Depredadora ”


Utilisateur de magie de métamorphose Damaz possède une âme multiple, fondé sur un lien étroit et privilégié avec les créatures faisant partie du règne animal elle s'exprime dans son cas à travers son Alma Depredadora. Magie de métamorphose assez particulière, car si comme d'autres elle lui permet d'imiter et d'emprunter des caractéristiques propres aux animaux, elle se traduit de manière bien plus profonde. Plus qu'une imitation, qu'une compréhension, il est en partie animal, âme scindée entre deux natures. Une âme animale n'étant alors plus simplement un nom de magie, mais à prendre au sens littérale du terme, et cette âme animale ancrée en lui est son énergie magique, la magie qui coule dans ses veines. Magie lui permettant d'aller de la possibilité de changer complétement de forme physique jusqu'à fusionner avec la nature même de l'animal "imiter", à celle de la métamorphose partielle d'une partie de son corps en consommant son énergie magique. Cette magie particulière est donc fondée sur un lien étroit entretenue avec les créatures du règne animale à travers la scission de son âme, une facilité innée à les comprendre et percevoir leur singularité. Si en théorie les possibilités s'étendent à l'ensemble des animaux existants, en pratique ce "lien" entretenue permettant de la copie jusqu'à la "fusion" avec un animal donné reste cependant pour lui limité. Premièrement ce "lien privilégié" est beaucoup plus fort avec les créatures à sang chaud, de par la similitude des organismes, la métamorphose entrainant dans son cas aussi bien un changement biologique qu'une transformation radicale du corps dans la douleur. Mais plus importante encore que cette restriction des animaux appartenant à la catégorie des mammifères il faut ajouter que ce lien n'existe qu'avec les animaux dit "prédateurs". En somme un animal non mammifère lui demandera énormément d'effort, mais un animal non prédateur ne pourra jamais rejoindre la multiplicité des âmes l'habitant. Pour le moment il n'est capable de fusionner qu'avec les animaux appartenant à la famille des félins, sûrement de par la proximité troublante que Damaz entretient avec eux, aussi bien au niveau de son "caractère", que de son comportement. En effet sa magie n'étant pas fondée que qu'une simple imitation, mais sur une dualité homme/animal à travers une "fusion d'âmes" il est logique que l'exploitation de toutes les possibilités de transformation prenne du temps, il doit être en osmose avec l'animal imité pour pouvoir donner une forme tangible à la part animale qui l'habite, cette dernière doit muter en fonction et s'adapter, pour ensuite s'imiscer en lui de manière autonome rejoignant alors une véritable "panoplie" d'âmes animales, chose impossible par simple imitation et compréhension, elle nécessite une osmose totale. Plus qu'une imitation de la bête, il en devient une de par une double nature entre homme et animal déjà présente en lui naturellement, comme les deux facettes d'une pièce, deux facettes qui sous l'impulsion de sa magie se fondent l'une dans l'autre pour en former une autre allant donc de paire avec une nouvelle forme physique donnée à son corps.  De fait sa magie fait de lui une sorte d"hybride et d'être double toujours en tension entre humain et animal et c'est bien là sa plus grande faiblesse puisqu'elle inclut donc la possibilité de se faire submerger et de succomber aux instincts primaires et bestiaux qui l'habitent. Car en fusionnant nait un combat de volonté, de la raison contre les instincts, si il venait alors à perdre le contrôle il est alors possible qu'il reste prisonnier de sa nouvelle forme allant jusqu'à entrainer la totale perte de conscience de son humanité et donc l'impossibilité de recouvrer sa forme originelle .

Seconde Magie

“ Transcendante Salvaje ”



Âme animale toujours en tension, unique et multiple, chassant l'humain, s'y mêlant ou le confrontant au rythme des situations, de l'instant. Âmes dont l'impact annihile tout, dont la présence influe sur tout, âmes dont la présence hybride une humanité décharnée, Alma Depredadora, première magie aux sources d'une mutation rêvée. Transcendante Salvaje n'est que la conséquence de cette magie dont Damaz est empreint jusque dans son humanité. Une danse des âmes sauvages dans un corps volage, âmes changeant son physique et ses traits, donnant la possibilité de fusionner et s'hybrider pour en empreinter la forme, le tempérament et les habilités. Transcendante Salvaje pousse ce fait à son extrémité, seconde moitiée d'une nature empreinte d'animalité. L' Alma Depredadora est la face physique de cette animalité qu'il possède, Transcendante Salvaje est l'ouverture vers sa voie mystique et sacrée.

Intimement liée à la première, cette magie nécessite son utilisation pour s'activer. Magie à double principe, passif et actif selon les faits et ses propriétés. En effet chaque âme animale possédée apporte à celui qui l'empreinte lors d'une métamorphose par l'Alma depredadora un trait symbolique mineur lui étant attaché de manière passive, ce passif dépendant alors de l'animal en laquelle la transformation partielle ou totale est effectuée par l'utilisation de la première magie.
La phase active nécessite elle l'apprentissage et une compréhension plus poussée, il s'agit de l'osmose totale avec l'animal et ce qu'il incarne, ou incarnait, son penchant symbolique et sacré.





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Damaz Elandez
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Ajatar Virke

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Prologue

“ Blasphéme ”


Desierto, frontière de Bellum. An 770.

Un souffle, le sable virevolte sous la berceuse du vent, il s'immisce dans chaque interstice, chaque petit recoin qu'il n'a pas encore recouvert, bouche, nez, oreilles, rien n'échappe à son emprise, il fait partie d'eux, ils font partie de lui. Un soupire, les yeux ébènes se perdent dans le ciel, observent la lune montante, demain elle sera pleine, coudes repliés sur ses genoux il se perd dans la nuit, dans le vague, imagine le monde à travers ses yeux d'enfants, rêve à on ne sait quelle aventure non identifiée. Un bruissement, un léger bruit alors que la silhouette féminine s'extirpe de la toile de tente, troublant ce moment privilégié. Un regard dure et pourtant ampli d'affection alors qu'elle s’assoie à ses côtés, sa robe de gaze blanc virevolte au rythme du vent froid et aride du désert de minuit, pourtant elle semble ne rien ressentir, ne frémit même pas, comme toujours, froide et stoïque, déesse de marbre matte, prêtresse de Dieux oubliés.... Elle fixe le ciel avec lui, entre en communion avec la nuit et son enfant, à travers lui elle revoit le passé, son passé. Les longues nuits à contempler la lune et les étoiles après que tous aient rejoins les bras de Morphée. Elle sourit, légèrement, si légèrement qu'il est presque impossible de le discerner sur son visage. Elle ouvre la bouche, sa voix douce et glacial brise le silence. "Je sais à quoi tu pense." Il détourne les yeux, la contemple avec ce regard étrange, elle est sa mère, il l'aime et pourtant il a cette horrible impression que jamais, non jamais il ne serait capable de la comprendre... Sauf à cet instant, instant auquel elle met fin prématurément. "Retourne te coucher". Froide et sans appel, comme toujours, il ne bronche pas, et c'est avec ce sentiment étrange de nostalgie que la petite silhouette retourne dans la tente, qu'elle s'endort en imaginant le monde merveilleux au delà du désert...

Le temps continue sa route, s'écoule, intangible et irréel, elle en perd la notion alors qu'elle contemple toujours le ciel. Un mouvement qui la tire de sa léthargie, elle se lève, un pas puis l'autre, grâce et légèreté alors que son corps entame la litanie, qu'il entre en transe, danse. Un pas, puis un autre, ses bras fendent l'air avec une grâce irréelle, comme sortie d'un conte oublié. Les pieds foulent le sol avec la légèreté d'une plume. Les mouvements s'amplifient, gagnent en force, force et confiance alors qu'elle se déplace tel une ombre dans l'obscurité du désert sans fin... Un, elle ne forme plus qu'un avec lui. Puis tout s’éclipse, elle se fige alors qu'elle la sent, présence inconnue qui approche. Un mouvement des mains, une phrase murmurée dans le creux de la nuit alors qu'elle active la marque. La voix s'élève avec toute sa dureté alors qu'elle sonne l'alerte "Ils sont là !".

Une voix qui le tire du sommeil, une voix suivit d'un bras qui le secoue, il s'extirpe de sa torpeur vaseuse du sommeil. Il voit son visage, ne comprend rien, ne comprend plus, il n'a plus le temps d'essayer, les premiers cris et cliquetis d'armes résonnent à l'extérieur de la tente. Puis le craquement sinistre alors que face à lui sa mère change de forme, entame la transformation devant ses yeux paniqués et pourtant émerveillés, les crocs s'enfoncent très légèrement dans la peau lui tirant une grimace de douleur alors qu'elle l’attrape par la peau du cou. Le puma s'élance dans la nuit, qu'il court, encore et toujours, il ne comprend pas, ne comprend plus rien puis soudain ses pieds touchent enfin le sol alors qu'elle le lâche au creux d'une vallée de sable. Un dernier regard jeté à travers ses yeux bestiaux... Adieu ? Il n'a pas le temps de réagir, il aurait voulu crier, demander pourquoi... Elle n'est déjà plus là.

Tétanisé, c'est tétanise qu'il reste là alors que le temps s'écoule, que le jour commence à naitre sous ses yeux choqués, plusieurs fois il a voulu pleurer, il ne l'a pas fait, jamais elle n'aurait pleuré, non jamais. Jamais elle n'aurait toléré que son enfant s'adonne à la faiblesse... Il bouge enfin, commence à marcher, erre en suivant son instinct. Depuis combien de temps ? Il ne sait pas alors qu'enfin il l'aperçoit, le campement, il s'élance, court, tombe alors que le sable se dresse devant ses sept ans tel un obstacle pernicieux. Enfin il l’atteint, l’atteint avant de s'écrouler, que ses jambes cèdent devant le spectacle macabre... Des corps et du sang... Sa famille baignant dans son propre sang, il panique, panique et court, cherche alors qu'il voit les visages vidées de vie de ceux qu'il avaient toujours connue... Il se fige... Se fige alors qu'il la voie, dépassant d'une dune, la robe de gaze devenue écarlate, il court, court puis cri alors qu'il le voit enfin... Le corps transpercé par trois fois de sa mère se vidant dans le sable et la poussière, il s'écroule avant d'éclater, que les larmes jaillissent, torrent hystérique... Il se couche contre elle, la serre de toutes ses forces alors que sa peau et ses vêtements se teintent de l'écarlate, qu'il cri et pleure, enfant hystérique, bête sauvage... Puis un murmure alors qu'il sent une légère pression sur son bras, un mot prononcé dans un dernier souffle "Fiore...", puis elle se relâche, la légère pression, la main tombe inerte dans son linceul de sable alors qu'un ultime cri déchire le levé du soleil.


Background

“ P'tite phrase seclas ”


Hosenka, Royaume de Fiore. An 779.


"Un autre", il s'affale sur le bar avec nonchalance, menton contre comptoir il observe les veinures du bois, joue à y faire parcourir son doigt en le laissant glisser. C'est trop calme. Il n'a jamais aimé quand les choses étaient trop calme, où étaient les abrutis prêt à se taper dessus ? Les bourrés qui chantaient, ou plutôt beuglaient comme des vaches enragées ? Il en avait marre d'attendre, rester assis n'était pas son truc. Un regard jeté vers l'entrée alors qu'un homme au visage masqué d'une capuche noire entre, lui il ne l'aime pas. Pourquoi ? Il ne sait pas, il ne le sent juste pas, donc il l'aime pas, c'était aussi simple que ça. Le verre de rhum arrive, il l'enfile sec avant de se lever d'un mouvement vif, il devait bouger, il ne pouvait plus supporter de rester là affaler à rien faire, temps record. Il avait tenu cinq minutes le cul assis sur sa chaise, temps record. Tout était si monotone ce soir, où était la vie ? Il veut s'amuser, s'amuser et oublier, jouer, jouer à des jeux dangereux, ou pas, il veut sentir un corps contre le siens, il veut rire et crier, il veut balancer une table et griffer... Il veut tellement de choses, des idées plus ou moins tordues pour se divertir traversent son esprit à une vitesse effrayante. Il sourit soudainement, sourire malicieux et légèrement malsain alors qu'il voit l'homme encapuchonner s'assoir à quelques pas de lui, et c'est aussi sournois que le chat attendant le moment d'inattention pour voler le poisson sur la table qu'il s'assoie à ses côtés. Sourire enjôleur, voix mielleuse, faux-jeton dans toute sa splendeur. "Sympa le look, t'es vraiment si laid que ça pour t'étouffer dans une capuche pourrie ?" l'autre le chope par la gorge alors qu'il sourit toujours, qu'un bruit de craquement d'os se fait entendre sous l'impulsion de sa magie, que sa mâchoire se déforme légèrement, laissant apparaître les crocs avides de chaire dans sa bouche de minet en chaleur. "Tu veux jouer avec moi ?" lâche-t-il finalement avec une voix plus vraiment humaine, entre sourire et expression monstrueuse. Aucune réponse, la poignée se desserre alors que l'autre l'ignore royalement. Pff... Nul. Vraiment nul. Un second craquement alors que la mâchoire acérée reprend sa forme originelle. "Dégage, j'attends un rendez-vous important" lui lance finalement l'autre... Vraiment nul, son sourire disparait pour laisser place à la mine déprimée de chien battu. "D'accord.." lâche-t-il finalement, "Quand tu m'auras payer un verre, bien entendu." L'autre soupire avec lassitude, avant de faire signe au barman "Qu'il commande ce qu'il veut et donnez moi la note." Bouche-bée, c'est bouche-bée entre surprise et euphorie que Damaz assiste à l'échange, avant de finalement se lever pour aller s'assoir plus loin avec la ferme intention de ruiner l’encapuchonner. Et pourtant il a réussis à l'intriguer... A éveiller sa curiosité tout sauf saine, la soirée prenait peut-être alors finalement une tournure intéressante. La porte du bar s'ouvre laissant entrer un individu tout aussi louche que le premier à son gout, il ne peut pas résister, l'impulsion de magie se déverse dans tout son corps alors qu'il murmure, prend l'empreinte féline. Sa vision se brouille avant de perdre sa capacité à voir les couleurs, tout au plus des nuances de gris virant vers un vague rouge ou marron selon l'intensité de l'objet regardé, un bourdonnement avant que son ouïe et son odorat  ne s'ouvrent totalement, s'amplifient à l'excès au moment où l'inconnu prend place à côté de l’encapuchonner. Un silence, il se concentre sur eux, il doit oublier le bruit autour, faire abstraction du bruit d'eau coulant émanant de la pièce derrière le comptoir, faire abstraction, il doit faire abstraction... Rester concentré. Il parle.

"Alors ?"
"La majorité du Conseil souhaite abandonner le projet..."
"Je vois... Qu'est-ce qui a provoqué ce changement ?"
"Il semblerait qu'ils n'approuvent pas, ou plutôt plus nos méthodes... Trop de sang versé ont-ils dit..."
"Et ils ne réagissent que maintenant, alors qu'ils approchent du but ? Pourquoi ne pas l'avoir stoppé il y a neuf ans ?"
"Sûrement car une guerre ne pouvait éclater comme conséquence... Desierto n'étant pas à proprement parlé un état et la situation délicate régnant à Bosco et à Enca ne pouvait entraîner l'éventualité d'une guerre. Concernant Minstrel c'est une autre histoire vue la localisation du dernier reliquaire..."
"Eh bien dans ce cas il est temps de mettre un terme à notre "accord" avec ces croulants... On reprend les choses en main."

Il se lève, franchit la porte, l'échange n'avait durée que quelques secondes... Et c'est totalement choqué que Damaz le regarde quitter le bar, les yeux dans le vide, perdu en pleine confusion alors que le passé l'envahit, qu'il le frappe comme un boomerang porteur de mort... De morts et de désespoir... Desierto... Il y a neuf ans... Les images jaillissent dans son cerveau qui avait toujours tenté d'oublier... Il entend les cris, le bruit des armes... Il revoit le sang, le sang et les corps de sa "famille" jonchant le sable, le teintant d'écarlate... Il la revoie expiant son dernier souffle alors que le jour se lève... La main le pressant légèrement avant que la mort ne l'emporte... Il revoit son corps transpercé... Une larme qui coule le long de sa joue, une larme alors que la colère nait et grandit... Fiore... Le conseil... Il avait toujours trouvé le conseil et son hypocrisie à gerber... Mais jamais... Jamais il n'aurait put imaginer ça... Il avait abandonné il y'a bien longtemps de s'interroger sur les dernière paroles de sa mère... Pourquoi Fiore ? Et là tout devenait clair, littéralement frappé par ce qu'il venait d'entendre comme si un arbre lui était tombé dessus... Il serre les dents et les poings retenant l'envie grandissante de crier... Il sent alors le regard posé sur lui, un frisson dans son dos... Il se lève sans même finir son verre et quitte le bar. Il devait comprendre, en savoir plus... Et une seule chose pouvait le lui permettre... Desierto était la clef pour obtenir ses réponses... Ses réponses en vue de sa vengeance.



Haruijon, Royaume de Fiore. An 772.


Il ne l'a pas lâché de la journée, cela faisait maintenant deux heures qu'il le suivait, l'observant, l'imitant, il était épuisé, mourrait de faim, mais pourtant il continuait. Il tourne dans une ruelle, le gamin de dix ans le suit, il ne veut pas perdre sa trace, un saut sur la poubelle, il fait de même, manque de tomber... Il n'avait rien avalé depuis des jours... Ces dernières années on l'avait souvent aidé, trop souvent, il devait se débrouiller par lui-même, c'est ainsi que sa mère l'avait élevé, et il était hors de question qu'il continue de salir sa mémoire. Le chat saute sur une poubelle, un coup de patte, puis deux, puis trois avant de faire tomber le couvercle mal refermé, un autre, il éventre le sac noir avant d'y chercher les quelques maigres restes qu'il peut y trouver. Il l’imite, du début à la fin, fait pareil, il espère juste que sa tentative serait plus fructueuse que celle d'hier, si le chat avait attrapé la souris avec aisance, lui il s'était vautré en beauté... Il haïssait son corps, trop maigre, trop gros, trop lent... Mais c'était comme ça... Il revoit sa mère changer de forme... Pourquoi il n'y arrivait pas lui ? Il sort sa tête du sac puant, se met à courir, il fait de même alors que les paroles de sa mère tournent en boucle dans sa tête. "L'humain s'est perdu, il a oublié les règles primordiales de survie, sa nature même : animale. En cela il est faible, bien plus que l'on ne veut le croire, apprends du monde qui t'entoure, observe et apprends. Réveilles l'animal qui dort en toi, et ce jour là tu comprendras ce qu'est réellement vivre."... Aujourd'hui, à cet instant ces paroles prenaient tout leurs sens... L'animal bondit sur un petit toit avant de s'y arrêter, comme pour l'attendre... Est-ce qu'il l'attend ? Il ne réfléchit même pas, il l'imite, fais comme lui, impulse ses pieds pour sauter, se projeter, ses mains agrippent la taule rouillée alors qu'il manque de tomber... Un soupire de soulagement, il se hisse puisant dans ses dernière forces avant de se laisser tomber sur le dos, haletant et épuisé... Épuisé physiquement et mentalement, il croise le regard d'émeraude, il le transperce, il voit en lui comme dans un livre ouvert, comme s'ils se comprenaient, tout simplement... Sans mots, sans fioritures... Juste par le regard, osmose parfaite alors qu'il souhaite tellement, puise en lui toute la volonté possible pour que son souhait puisse se réaliser... Là maintenant il voudrait être lui, un, en parfaite osmose... Voir le monde comme il le voit, à travers ses yeux... Il cri alors que la douleur jaillie dans tout son corps, que ses os se mettent à craquer les uns après les autres, incapable de réfléchir il cri davantage, voudrait qu'elle s'arrête, croit mourir alors que son âme se fend, que ses deux parties se révèlent l'une à l'autre... Il ne comprend plus rien, ne comprend rien alors que les poils jaillissent, que ses os changent de forme, que son corps s'affine et rétrécie, que sa vision se brouille, perd la faculté de voir les couleurs pour augmenter en puissance et en intensité... Puis plus rien... Un sentiment vivifiant de liberté et de pouvoir... Qu'il peut faire ce qu'il veut, quand il veut... Que le monde lui appartient... Il n'est plus humain... Il s'en rend compte alors qu'il croise son reflet dans la vitre adjacente... Chat. Il a réussis ! Et survient l'envie incontrôlable de pleurer, pleurer de joie alors qu'au même moment une voix raisonne dans son dos... "Très intéressant." L'homme se tient là, l'air tranquille, il le regarde avec un sourire, un sourire qui semble bon et sincère, penchant la tête il émet un léger rire avant de parler à nouveau. "Que dirais-tu de rejoindre une guilde ?" Le chat noir comme l'ébène penche la tête à son tour. Perdu il ne comprend pas... Une guilde ? C'est quoi ça une guilde ?



Desierto, Frontière de Bellum. An 781.


La chaleur du vent caresse son corps, le vent rude et sec du désert... L'émotion l'envahit alors que le désert s'étend à perte de vue, collines de sables et poussières... Jamais il n'aurait cru le revoir un jour... Desierto... Sa terre natale, terre de son peuple, terre des Dieux... Une larme de joie et de nostalgie qui émerge aux frontières de ses yeux d'ébènes. Rien. Il n'avait obtenue aucune réponse supplémentaire jusqu'à maintenant... Les gens du Bellum ignorant même le massacre perpétré des années plus tôt... Enfin pour ceux qui avaient acceptés de lui répondre... La peur... Les gens vivant aux frontières du désert en était emprunt jusqu'au bout de leurs ongles, la peur, peur du désert et de ses créatures, animales ou humaines... Et malgré ce gout amer, ce sentiment d'échec le bonheur teinté de nostalgie l'envahit, enfant il voulait s'enfuir loin de ces étendues de sables parsemées de ruines... Et pourtant aujourd'hui il devait se rendre à l'évidence... La chaleur suffocante, le vent aride et le sable sans fin manquaient à son cœur... Peut-être avait-il le mal du pays... Le mal de Fiore et des sédentaires, car après tout il lui appartenait, il était enfant du désert, enfant de la terre ancestrale des Dieux selon leurs croyances, mais surtout il était nomade, âme libre en vers et contre tout, nomade jusqu'au fond des tripes. Le voyage avait duré un an... Une année de solitude et de voyage qui lui avait fait prendre conscience de combien il avait changé depuis qu'il avait fuit, depuis qu'il avait quitté le désert seul et perdu... Il était désormais un homme, un homme et un animal, comme sa mère avant lui... Il aurait dût suivre ses traces, devenir le prêtre de ces dieux oubliés au sein de sa tribu... Et pourtant il se trouvait là, inconnu à sa propre terre depuis si longtemps. Il se met en mouvement, un pas puis l'autre alors que le sable brûlant effleure ses pieds, provoquant la douleur... Il avait oublié cette sensation... Son corps avait oublié la rudesse du désert, il voulait la retrouver, se rappeler à travers elle le passé alors il luttait contre cette douleur, il continuait d'avancer, son sac se balançant sur son épaule droite. Le temps semble disparaître, ne plus exister alors qu'il se laisse guider par son instinct, tente de retrouver le lieu ou tout était arrivé dans toutes ces collines de sables... Il s'arrête alors que le soleil atteint son zénith, se couvrant le visage de son tee-shirt pour ne laisser entrevoir que ses yeux noirs il continue sa route, sa peau basanée brille ici et là de la sueur se dégageant de son corps bouillonnant. Un arrêt alors qu'il attrape sa gourde, boit à pleine gorger, le désert l'engloutit, la frontière a disparue du paysage, il marche depuis le petit matin, ayant pris le soin de se ravitailler pour affronter cette terre dans un commerce du coin, car cela il ne l'avait jamais oublié, le désert était mortel pour quiconque ne sachant comment l'affronter.

La chaleur devient insupportable, le soleil est a son apogée, le moment le plus dangereux pour quinconce arpentant le désert, alors qu'il l'aperçoit au loin, la faible étendue verdâtre... Une oasis. Est-ce un mirage ? Non son instinct aidé de ses souvenirs lui disent qu'il approche de sa destination. Il la rejoint pour laisser passer l’apogée de l'astre solaire, attendant son déclin après avoir trempé son corps entier dans l'eau chaude et claire, s'abritant à l'ombre des palmiers.

Deux jours... Cela faisait maintenant deux jours qu'il arpentait les abords de l'étendue végétale à la recherche de l'ancien campement, d'un signe... D'une trace... Il commençait à désespérer... Après tant d'années le désert avait dût tout balayer sur son passage... Il aurait dût y penser... Tout cela pour rien... Il n'apprendrait rien de plus, le désert l'abandonnait, le laisser seul avec lui même, seul avec son esprit torturé par ce besoin compulsif de comprendre, mais surtout seul avec ce désir de vengeance... Venger sa famille... Oui il devait se rendre à l'évidence, le désert l’abandonnait alors la colère et la tristesse s'emparent de lui, qu'il veut crier... Puis il la sent, la présence... Il se retourne vivement, un éclair beige qui disparait derrière l'une des collines de sable, qu'est-ce que c'était ? Il ne réfléchit pas, il s'élance, part à sa poursuite, il le voit au loin, s'engouffrant dans la végétation désertique, il le suit sans vraiment savoir pourquoi. Son visage marqué par le soleil émerge d'entre les arbres alors qu'il l'aperçoit assis au bord de la faible étendue d'eau... Son regard d'azur le transperce, il le sent en lui... Il viole son âme. Il ne peut détacher ses yeux des siens alors qu'il approche doucement, saisit par ce besoin de le contempler, de le voir de plus prêt, démarche féline et gracieuse de l'humain. L'animal ne bouge pas, reste là, stoïque, statut divine de chaire et de poils... Il la discerne enfin, la marque du soleil sur son flanc, il se fige alors qu'il réalise, qu'il réalise que devant lui se dresse le messager des Dieux... Un signe ? Sa beauté le transcende, elle le transcende, transperce son âme... L'Escrifa... lâche-t-il à mi-mot, souffle coupé par la vision du félin...

Il n'ose plus bouger, ne veut plus bouger, il ressent l'excitation, l'excitation et la peur d'offenser cette créature envoyée des Dieux... Le protecteur du désert... Le félin reste là, face à lui, statique et gracieux... Le temps n'existe plus alors qu'ils se contemplent mutuellement, se toisant l'un et l'autre, se testant... L'instant semble figer dans le temps, durer une éternité sous l’œil du père soleil... Un bruissement alors qu'il entre en mouvement, que le félin se lève, la peur qui le saisit à l'idée que ce dernier veuille le fuir... Non. Il se rapproche, se dirige vers lui et son cœur accélère, bat à en exploser os et chaire. Il continue d'avancer vers lui alors qu'il ne peut bouger, la plupart l'auraient sûrement déjà fuit, fuit cette créature des Dieux, fuit par vénération et peur... Et pourtant il ne bouge pas, stoïque, il n'a pas peur, il n'a plus peur alors que leurs regards se perdent l'un dans l'autre... Il sait qu'il n'a rien à craindre. Comment ? Il ne sait pas, il sait, tout simplement... Le félin se fige à nouveau à quelques centimètres de lui alors que l'enfant du désert tombe à genoux devant lui... Il sent son souffle aride, son souffle habité par le vent du désert contre sa peau... Sa respiration se bloque alors que le museau étrangement sec, sec et d'une douceur infinie se pause contre son nez... Que leurs regard se croisent et se mêlent, ne font plus qu'un... Qu'il lit en lui et inversement, qu'ils communient ensemble au rythme du cœur battant du désert... Le soleil empreinte sa course descendante, décline alors qu'ils sont toujours là, l'un face à l'autre, l'un contre l'autre, l'un dans l'autre... Alors il sait. Il sait que désormais ils ne font plus qu'un, qu'ils se sont compris, puis le moment se brise. Prend fin alors que le museau se décolle de son nez, que l’éclair beige fend l'air et disparait dans la végétation, court se perdre entre les collines de sables... Il reste là un long moment, interdit alors que ses yeux laissent échapper le liquide salé, une unique larme, larme de joie.


 MessageSujet: Re: Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées]   Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées] EmptyLun 25 Mar - 19:47

Solis Farron
Solis Farron

Lamia Scale

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Bonsoir et bienvenue sur FTRPG. Je vais procéder au commentaire de ta fiche, afin d'y relever les points positifs et négatifs. Cela a pour but d'optimiser ton personnage, et de le rendre le plus agréable à jouer en rapport avec notre univers, et en accord avec notre règlement. Toutes mes remarques seront donc à prendre en ce sens, et ne sont aucunement des critiques personnelles.

Commentaire général
Modèle personnalisé. Peu de fautes (deux trois erreurs de connaissance: "une robe de gaz", c'est gaze le tissu, actuellement, la femme est nue d'après ta description... Remarque, ça peut être une interprétation de la chose). En revanche, mettre la magie en gris foncé sur du noir... Ce n'était pas là la plus riche des idées. Bref, validé.


Psychologie
On ne comprend strictement rien. Rien de rien, de A à Z. Je l'ai lue une fois, deux fois trois fois, mais rien. Les phases s'entrelacent dans un méli mélo inextricable. Et paradoxalement, on a la sensation que tout y est. Rien compris, mais globalement on sait que ça y est. Aussi, je valide.


Background
Background bien réalisé et plutôt complet. Quelques points.

Pourquoi avoir rejoint indiqué Blue Pegasus si c'est Crimson hound que tu souhaites rejoindre? Pour quoi souhaiter la chute du Conseil? N'as tu jamais cherché pourquoi ta mère t'avait suggéré Fiore parmi tout les pays de la carte?

Ensuite, j'ai un soucis avec le passage sur Crimson Hound. La guilde est en effet "secrète", aussi, parait qu'on peut la faire tourner sans qu'aucune information ne filtre sur elle, ni de près ni de loin... Comme quoi... Enfin là n'est pas le sujet. Du coup, tu ne peux pas en entendre parler. Les recrutements se font suite à un MP avec Senji, qui t'indiquera la marche à suivre.



Pouvoir




Conclusion
Bonne fiche, avec un écrit intéressant et bien maîtrisé entre la partie enfance plutôt poétique, et la partie adulte qui l'est un peu moins... Une seule technique à changer, et une autre à modifier car en fait, tu l'avais déjà implicitement. Egalement un point sur l'histoire, celui sur Crimson Hound, et sinon, ce sont plus des détails qui n'ont pas d'importance directe.

En attente de modifications
 MessageSujet: Re: Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées]   Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées] EmptyMar 26 Mar - 0:06

Damaz Elandez
Damaz Elandez

Ajatar Virke

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Tout d'abord pour la psychologie c'était pas vraiment le but, mais tant mieux si elle est validée XD

Pour Blue Pegasus, c'est assez simple en fait. Au début au vue de la description de Crimson je pensais qu'on pouvait appartenir à une guilde et à Crimson ce qui n'est en fait pas le cas, du coup je me suis tourné sur l'option guilde à la validation, puis en jeu voir pour Crimson, d'où le passage, pour qu'il en est déjà entendu parlé. Du coup je contacterai Senji pour voir avec lui et je modifie tout ça.

Les autres points de l"histoire c'était tout simplement car je n'aime pas tout dire dès la fiche, mais je comprends qu'ils nécessitent d'être développés, donc cela sera fait ^^

Pour le take over je voulais justement un truc un peu différent de ceux qu'on voit (Lisanna, Eflman et Mirajane), bon bah j'aurai tenté comme on dit x)

Tout ça pour en venir à : Okay okay je modifie tout ça au plus vite ^^
 MessageSujet: Re: Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées]   Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées] EmptyLun 1 Avr - 17:34

Solis Farron
Solis Farron

Lamia Scale

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Background
Attention à ne pas mélanger présent de narration et imparfait de narration. Mais je valide.



Pouvoir




Conclusion
Je valide. Je remplirai les formalités liées à ta validation sitôt que j'aurais eu la seconde note.

Validé
 MessageSujet: Re: Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées]   Tout le monde, tout le monde veut devenir un cat [Modifications effectuées] EmptyLun 1 Avr - 19:03

Misto
Misto

Eagle's Claw

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Coucou Invité, sois le bienvenu(e) sur FairyTail RPG. ♪

Je vais procéder à l'examen approfondi de ta fiche personnage afin de nettoyer les imperfections qui pourraient s'être glissées à l'intérieur. Je ne suis donc là que pour m'assurer que tout va bien et que tu n'aura aucun mal à évoluer parmi nous. Mes remarques pourraient parfois te paraître laide et blessante, je m'en excuse d'avance et te prie de ne pas le prendre pour une attaque personnelle mais comme un tremplin vers un chemin meilleur. N'hésites pas à poser tes questions via MP ou Chat Box en cas de problème de compréhension, je serais ravie de t'aider.

Je te souhaite une agréable lecture et te remercie de ta patience.


Chanson générale

Bon et bien c'est parti pour un second commentaire avec ses jolies affaires et ses trucs moins claires.
Prêt pour l'aventure petit chat ? Alors en route ! ♫

Sonnet de psychologie

J'A-D-O-R-E *w* Une description pour la psycho sa mentionner une fois ton personnage de façon direct. Neuf, beau, bien fait. Je suis fan. Validé ♥

Saga / Background

Un très joli background de même. (mes avis sont constructifs ... >w>) Une joli écriture mais fait attention à ne pas t'emmêler avec les temps verbaux.

Magic Sonata




Validation de la Stagiaire
Conclusion, Bienvenu dans le circuit du RP petit chaton ♫

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