Le train s’engagea tranquillement dans la gare de Ork pour finalement y finir sa course, enfin pour moi. Quand celui-ci fut stoppé je sautai du wagon impatiente de me mettre à la tâche. Après mettre un peu étirée et avoir remis mon sac sur mon épaule je plongeai dans le foule qui peuplait l’espace environnent. Je fini par sortir du vaste bâtiment à la suite de quelques jeux de coudes et orteils écrasées pour me retrouvée dans l’une des rues de la ville. Comme je ne savais pas où se situait la demeure de mon client je décidai de parcourir les rues à sa recherche, quand je fus lassée de tourner en rond je me résignai à demander mon chemin à un passant. Mon rendez-vous se situait dans une belle et simple maison de un étage entourée d’un jardin qui débordait de fleurs. Je cognai fortement à la porte et attendue un moment avant qu’un homme, dans la quarantaine, ne m’ouvre la porte et me face signe de rentrai.

« Vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis content de vous voir! Vous êtes bien ici pour mon petit problème si vous voyez se que je veux dire? »

« Oui je le vois, alors expliquez moi la situation plus en détail »

« Il y a quelques jours j’étais chez cette folle et je regardais un peu partout quand je suis tombé sur le petit carnet noire dans son bureau à l’étage. J’ai alors paniqué, vous comprenez, et j’ai fais publier cette annonce de mission, je suis si comptent que vous soyez venues si vite. »

« Quand êtes-vous supposé la revoir? »

« Demain matin c’est justement pour ça que je suis si nerveux. »

« D’accord alors voilà, demain vous l’éloignerez de sa maison pendant que moi j’y subtiliserai son carnet en cachette et sous aucun prétexte ne vous retrouvez seul avec elle. »

« D’accord alors au revoir et faite attention à ce que ma femme ne vous vois pas pendant votre mission. »

Ces hommes, tous les mêmes enfin je ne dirais rien, pour l’instant, si je voulais être payée. Alors sans rien ajouter je ressortie comme j’étais venue, après qu’il met indiqué l’adresse de la tueuse et l’heure du rendez-vous, puis je me trouvai une auberge pour la nuit. Le lendemain matin j’arrivai un peu plutôt et me cachai dans l’un des bosquets près de l’entrée. Cette maison avait aussi un étage mais aucun balcon en vue et elle n’était pas envahie par les fleures. Quand Mr.Galvin, mon client, arriva ce ne fut pas long que les deux adultes s’en allèrent me donnant le champ libre. Je découvris une fenêtre ouverte au premier étage sur le côté gauche de la maison. Je fléchie les jambes et me concentrai, le vent se mit à tournoyé sur le sol, puis tout redevint calme. Je relâchai le tout et me retrouvée propulsée dans les aires dépassant la première, puis la deuxième fenêtre et enfin le toit.

* Au merde trop haut!*
Je me mordis les lèvres pour ne pas crier et m’accrochai au toit quand je retombai ce qui me coupa le souffle. La fenêtre se trouvait juste en face de moi, je pouvais surement l’atteindre, aller! Les jambes en avant puis en arrière, en avant, en arrière, en avant et lâche le tout. Je me retrouvai propulsée et passé sans encombre dans le trou, l’atterrissage lui était à revoir. Me relevant et m’époussetant je regardai les lieux. Juste à côté de moi, dans un trou perdue, ce trouvait un opposant bureau de bois. Je me mis à le fouiller sur toutes ses coutures mais ne trouvai rien d’intéressant. Elle l’avait surement changé de place, je me mis alors à sa recherche. Dans la cuisine-salon au ré déchaussé du placard aux chaudrons. Dans la cave du sous-sol des barils aux bouteilles, mais rien. Retour à l’étage, il ne restait plus que la chambre. J’eus beau regarder partout il n’y en avait aucune trace.

« Clic! »

*Zut! Elle revient déjà, une cachette vite! Sous le lit.*

Je venais juste de rabaissai la couette que j’entendis ses pas sur l’étage. Je retenais mon souffle quand je vis une petite poignée sur la base du lit.

*Non pas vrais*

Je la tournai et un petit carnet noir me tomba dessus en regardant dedans je vis des photos d’hommes barrés. Je l’avais trouvé mais maintenant il fallait que je sorte d’ici. Elle s’était rapprochée puis s’était assise sur le lit dans se qui me semblait êtres le côté qui faisait dos à la fenêtre qui était ouverte. J’attendis qu’elle parte, mais elle n’en fit rien, énervée je décidai de faire le tout pour le tout. Je me précipitai hors de ma cache et courue jusqu’à la fenêtre, la femme me vue bien évidement, mais avant qu’elle se soit levée j’avais déjà plongeai dehors. Dans les aires je fis une pirouette pour arriver les pieds devant et j’amortie mon atterrissage. À peine le temps de toucher à terre que je me remis à courir, derrière moi des cris retentissaient mais je n’y faisais pas attention. Alors que je ralentissais un argument tranchant, un couteau, vint se ficher à quelques pas de moi me faisant accélérer la cadence. Quand j’arrivai à la demeure de Mr.Galvin celui-ci était entrain de fermer la porte, je le stoppai d’un geste et rentrai pour reprendre mon souffle.

« Vous l’avez? »

« Oui le voilà »

Je lui montrai mais alors qu’il allait le prendre je le retiré de sa portée.

« Vous n’oubliez pas quelque chose? »

Je n’eus pas en en dire plus il me fit signe de l’attendre et se retira quelques instants et revint avec une bourse qu’il me tendit. Je l’ouvris et me mis alors à conter. Je ne faisais pas ça car j’étais gratteuse mais parce que à chaque seconde qui passait je le voyais stresser de plus en plus de peur que sa femme ne me voit. Je pris tout mon temps et alors qu’il me poussait dehors je l’arrêtai pour lui demandai.

« Vous avez appris votre leçons mon bon messieurs. »

« Oui maintenant au revoir. »

« Ce n’est pas très honnête ce que vous avez fait. »

« Je le sais allez-vous en! »

Mais alors qu’il recommençait à me pousser la porte s’ouvrit pour laissai rentrer une personne que je deviné être sa femme, à l’expression qui se peignit sur son visage.

« Qui êtes-vous, nous sommes nous déjà vues? »

« Non, je suis un mage de la guilde Fairy Tail venue pour aider votre mari. »

« Aider mon mari pourquoi? »

« Il ne vous l’a pas dit, sa cher maîtresse n’était plus si agréable que ça. »

*Pas besoin de passer par quatre chemins pour lui annoncer*

« Une Maitresse!? Galvin!! »

La femme commença à égueuler son mari qui donnait l’impression de rapetisser à vue d’œil et moi je m’éclipsai sans rien ajoutai heureuse d’avoir complétée ma première mission.