| |  Sujet: [mission de rang C] A la rescousse du royaume des cieux ![[mission de rang C] A la rescousse du royaume des cieux Empty](https://2img.net/i/empty.gif) Lun 23 Jan - 2:05 | |
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Atios se réveilla en sursaut dans un lit d'infirmerie. Sa poitrine lui brûlait légèrement, il avait mal à la tête. Il sorti du lit, ré-équipa ses affaires ( Pourquoi s'embêter à mettre ses vêtements soi-même quand il suffit de sortir du lit et d'un peu de magie pour mettre une tenue complète et propre ?) et il remarqua que celle-ci était vide. Et en cherchant des auras magiques, il était clair que la guilde avait été plus peuplée lors de ces précédentes visites. Mais il sentait sa propre aura ailleurs. Suivant un chemin vers celle-ci, il se dirigea vers la salle des machines, vide. Il alla vers l'un des lacrimas. C'était réellement sa magie qui était dedans ... Alors que d'habitude, elle était en lui. Mais quelque chose n'allait pas dans la guilde. Peu de mages étaient présent : un comble pour une guilde de mage quoi ... Un bruit derrière lui fit qu'il ré-équipa Excalibur en silence pour mieux se retourner et mettre la lame de celle-ci sous le cou de celui qui s'était amuser à venir furtivement dans son dos. Et il se rendit vite compte que c'était simplement le mécano du coin qui venait d'apprendre que surprendre quelqu'un dans son dos, notamment un mage de rang A, ça pouvait finir dans le sang. Il blêmit mais Atios pris la parole en premier :
- Pardon, tu m'as fais peur. Tu m'expliques pourquoi la guilde est totalement déserte? Et qu'est-ce-que tu fous ici en pleine nuit avec une pile de livre et une boite à outils ?
- Bah euh ... Je maintiens aussi longtemps que possible le sortilège de flottaison et hum, si y à personne, c'est parce qu'ils sont tous parti rechercher celui qui peut nous permettre de sauver la guilde malgré les lacrimas de soutien. Celui qui nous à forcer à t'envoyer en chercher d'autres à bien fait le boulot. Il à pas bousiller que les réservoirs, mais aussi le sortilège et son architecture. Je l'ai remarqué quand j'ai remis les lacrimas que t'as ramener parce qu'en voulant les mettre, les liaisons n'ont pas fonctionner ... Enfin, elles étaient tellement abîmés que la magie passait pas.
- Des infos sur le mec qui peut réparer ce foutoir ?
- Hum, celui que tu dois chercher est un ami de Laxus. Mais vu que ce dernier est parti en entraînement il y à ... deux jours et sans prévenir, bah personne sait où il est. On sait qu'il s'appelle Jonathan De Lahaille, un noble Sevenois et un mage spécialiser dans les enchantements de grande envergure. Une pointure dans son domaine. Un scientifique aussi il paraît ; D'autres dise qu'il est excentrique. Il fait aussi dans le matos magique. Mais il est aussi réputé pour ne pas aimer être déranger et personne ne sait où il habite réellement. Enfin, peu de gens.
- Bon, je pense que je vais aussi m'y mettre. M'enfin, la récompense, je pense pas en avoir besoin.
- Tu n'y vas pas pour l'argent?
- Disons, que j'aimerai préserver mon lieu de travail et j'aimerai pouvoir éviter de devoir me retrouver une autre guilde dans l'immédiat.
- Je vois. Conclut-le mécanicien en souriant, dans le dos du porteur de l'épée qui partait de la salle-coeur du sortilège de flottaison.
A l'extérieur, le chemin habituel vers le bords le plus proche vers le vide. Et un saut dans le vide vers le sol plus tard... Sleipnir comme moyen de locomotion. Et hop, direction Seven pour une filature sur un pays entier pendant une semaine. Oui, c'est ce genre de mission super palpitante que tout le monde à envie de remplir. Même pour le porteur d'Excalibur, sur la brochure, on s'attend à quelque chose de plus palpitant... Eh bah non. Les périodes creusent sont parfois les plus longues pour un mage qui à l'habitude de l'action. C'est sûr qu'après l'attaque de l'île de Légion, l'inaction devient assez remarquable. Alors, hue dada. Et sur le dos de Sleipnir, tagada, tagada,tagada ... Le rythme du grand galop de la monture d'un héros, ça donne bien cinq minute, mais imaginez subir la même action de rebondissement sur l'encolure d'une bête à huit pattes qui coure à près de 100 KM/h. Demandez à quelqu'un qui fait du cheval. Il va vous répondre que c'est super de monter un cheval. Demander à quelqu'un qui doit se taper cinq heure de route sur le dos d'un cheval s'il sent quelque chose avec ses fessiers après ... Atios, hypnotisé par les rebonds, parcourait la frontière Florienne destination la capitale de Seven.
Quelques heures lentes ... très lentes .. à parcourir une campagne vide. Enfin, les animaux, on s'en étonne une fois d'en voir là, et pas deux. En fait, la nuit, c'était super long. Le train, c'était long, mais c'était bien ... C'est dommage que la nuit, y à pas de train entre Fiore & Seven. Donc, se levant à minuit, Atios n'avait pas eu le choix : Partir maintenant. Vers Six heure du matin, il arriva à la banlieue de Jackpot City. Et incroyable : Des gens partout, en train de préparer des étals ... En train de le reluquer. Oui, c'était pas banal, un type à cheval qui se dirige vers le château. ça avait la classe pour eux. Pour Atios, c'était une sorte de révélation : Ne sentant plus son dos et le bas de son corps, il aurai voulu pouvoir descendre de sa monture lancée à vive allure accélérant tel le vent et fonçant droit vers sa destination. Arrivé devant le bâtiment, avec une tête à massacrer des orphelins bosciens dans une cave de Silver Fang, il s'adressa ... Au guichet. Là, la patience fortement réduite du jeune homme ayant passé six heure à dos de cheval fut mise à mal par une secrétaire qui lui donnait l'impression de ne pas comprendre sa requête. Pendant une demi-heure, elle fouilla dans une salle des archives alors que le porteur de l'épée était debout devant son bureau sans rien dire.
Excédé, Atios fut informée que la localisation de cette personne était une information classée qu'un civil ne pouvait donc obtenir. Alors ... Méthode 1 : Prendre Excalibur et entrer en force dans la salle des informations ... Méthode 2 : S'infiltrer ... Méthode 3 : Utiliser la magie psychique pour mieux contrôler cette femme et la forcer à lui filer l'information. Méthode 4 : Se faire aborder par un mec plus haut-gradé qui veut bien lui filer l'info en lui demandant pourquoi il la veut. Eh bien, la secrétaire avait une bonne étoile aujourd'hui, car Atios n'était pas d'humeur à laisser son psyché intact pour trouver l'info. Heureusement, qu'hier, il avait amener le message qu'on lui avait demander d'amener. Une voix vachement grave pour un mec super fin et avec une moustache ... Oui, il faut de tout pour faire un monde. M'enfin-là ... Mais c'était pas le plus amusant. Ou le plus torturant ? Parce que l'info qu'on lui avait filer, l'adresse de l'Homme ... Qui habitait à deux jours de cheval d'ici. Parce que les lignes de trains étaient annulés. Grave des cheminots. Et oui, pas de train pendant une semaine ... Un complot viser le porteur d'Excalibur. Oui. Ce ne pouvait être que ça. C'était un attentat visant ses fesses. Alors parce qu'envoyer valser la guilde n'était pas une possibilité ... Atios sorti du bâtiment.
- Sleipnir ? dit-il, frustré.
Et c'est reparti sur le dos de la bête à huit pattes ... Et attendez ! Atios avait une monture plus rapide que la normale. C'est à dire que traverser le pays aurai pu être plus compliqué. Et parce que le temps allait peut-être venir à manquer (après le coup de la grève des cheminots ... ), on pouvait s'attendre à pire. C'est pourquoi, malgré la mort du bas du corps du porteur d'Excalibur et le sommeil pratiquement infime et mitigé à dos de cheval à travers une campagne qui semblait presque sans fin... En un peu moins de 48h de chevauchée... Ponctuée par une pluie verglaçante par deux degré, un vent de 80km/h ( sur le dos d'un cheval qui galope à 120 .... ). Finalement, ils arrivèrent dans une ville de campagne avec un manoir sur une colline ... Sa destination. Arrivé à la porte ce manoir dans une brume prononcée, sur le dos du cheval ( Oui, le manque de sensation rendait la possibilité de rester assis en selle, acceptable. ). Descendant finalement de monture pour aller frapper à la porte, un majordome étrange, petit, bossu, ouvrit : Là, le majordome du noble qu'il était venu le chercher lui expliqua que son maitre n'était pas là et qu'il était parti rendre visite à sa famille paternelle et à sa grand-tante très malade ... Au nord de Jackpot City. C'est à dire, à l'extrême opposé du village en question, sur la carte de Seven.
Oui : Il avait passé 32h à cheval par tout les temps pour passer d'une administration capricieuse à .. rien. Rebelotte :
- Sleipnir ... ? dit-il sur un ton plaintif. Il était au bord de la crise de nerf.
40H de cheval plus tard, car les grèves n'avait pas été reconduite malgré les rumeurs dans le journal national Sevenois, après une météo moins capricieuse, mais toujours autant de douleur musculaires et un ennui mortellement profond, il atteint un hameau où en théorie, il pourrait retrouver le noble, venu rendre visite à la grand-tante Marie, atteinte d'une grave maladie. Oui, cette mission d'une grande importance était palpitante. Arrivé à la maison de la famille du mage-artisan, on lui apprit que ce dernier était parti dans une ville près de la frontière est pour aller chercher un remède pour la grand-tante souffrante.
<< Miséricorde ... >>
Se retenant de hurler, il fut reparti pour un autre tour de manège, direction la frontière est... Heureusement qu'il n'en était pas si loin. Arrivé sur place, on lui indiqua que la personne qu'il traquait depuis près d'une semaine était repartie, une fois le médicaments obtenu... Il y à quatre heure. Atios, des cernes prononcés, remercia l'apothicaire avant de remonter sur Sleipnir... Et de repartir en sens inverse, avec la motivation d'enfin attraper cette personne. Finalement, retournant dans la demeure de la Grand-Tante Marie, où on lui annonça que l'Homme en question était reparti en train à la frontière ouest, dans sa résidence secondaire (vu que la fameuse grève venait enfin d'être reconduite après que les syndicats aient obtenu gain de cause.) Néanmoins, la grand-tante marie avait eu la présence d'esprit de prévenir son petit-neveu qu'on le cherchait. Il pourrait retrouver l'Homme là-bas. 3h de cheval plus-tard (vu qu'il n'était plus à quelques heures de plus ou de moins à dos de son compagnon équidé ...), il atteint à la tombée de la nuit du quatrième jour son objectif. Là-bas, l'homme accepta de venir réparer la machine, mais il lui fallait des plans qui se trouvaient à sa résidence principale pour être parfaitement certains de pouvoir réparer la machine. Mais comme il pouvait déjà commencer les réparations, il allait lui-même se rendre à la guilde et confia à Atios les clefs de son atelier pour aller chercher les plans.
Oui. C'est à dire qu'il avait traverser le pays à l'horizontale, à la verticale, et il allait maintenant le traverser à la diagonale.
- Sleipnir, je tiens à te le dire ... Autant j'ai appris à gérer la douleur et à devenir endurant, je pense que tu es un modèle de courage ...
- Je suis là pour ça, tu devrais le savoir...
- Ouais, mais tu galopes comme ça depuis bientôt une semaine ...
- Eh ouais.
Un coup d'éperon plus tard, Atios, sur le dos de sa monture, entreprit de retraverser encore une fois ce pays, qui décidément, n'aller pas rester dans le coeur du porteur de l'épée. Traversants vents & marées, rivières et forêts, coupant en ligne droite à travers la nature avec boussole et carte, ils retournèrent au manoir embrumé ... Cette fois-ci, le majordome lui permit d'entrer. Fouillant le bureau du propriétaire de l'endroit, le jeune adolescent à la frustration contenue ouvrit un coffret Angel's Sky contenant les plans. Rangeant la boite avec les plans dans la dimension où il stockait ses armures, il allait sortir quand il entendit un hurlement. Il se dépêcha de se rendre dans le hall d'entrée dont provenait des bruits de lutte. Entrant dans le hall, il vu une personne totalement imprévu : L'homme à la lance. Mais ça tombait bien. Une semaine pratiquement à ne rien faire mise à part galoper à droite et à gauche ... Une semaine de frustration qui allait pouvoir être libérée sur ce dernier.
- Toi ... Tu tombes bien ... J'imagine que t'es là pour t'assurer que la guilde s'écrase.
- Hum ... Parfaitement. Ce coup-ci je comte bien te tuer, y à pas la garde de Seven pour te sauver.
- Crois-moi, j'ai passé une semaine de folie à cause de celui qui t'a envoyer ... Crois-moi, si je lui met la mains dessus, il va souffrir ... Et toi d'abords ... Tu vas payer mon gars !
Excalibur en mode renforcée apparue directement dans les mains d'Atios. Ses yeux se teintèrent de rouge. Et il se jeta littéralement sur le lancier abasourdie qui ne reconnaissait pas le porteur d'Excalibur, tellement ce dernier était ... frustré d'avoir était trimballé à travers Seven. Le lancier et sa lance ne pouvaient rien faire pour briser la garde d'Atios qui continuait à attaquer, avec un plaisir malsain. Atios lançait des rayons de lumières et des sphères d'énergies, provoquant des dommages tel que le Lancier s'enfuit à l'extérieur pour continuer le combat. Ce dernier contre-attaqua avec des vagues d'énergie noire qu'il identifia comme étant une magie de type ténébreuse. Atios fit une pause volontairement dans le combat et demanda au lancier :
- Ta lance est maudite, non ?
- Tu peux le deviner juste en le voyant ? Il fit une pause pour rire. Bien vu. Elle ne maudit pas son porteur, mais plutôt celui qu'elle vise. C'est aussi pour ça qu'elle me permet de faire ça :
Il prit sa lance d'une main au dessus de sa tête. Elle se couvrit d'une aura noire et ténébreuse. Elle ressemblait plus à un éclair ténébreux dans la main d'un être Humain, désormais. Atios contre-attaqua de justesse avec un tir d'Excalibur car la lance fut propulser à une vitesse étonnante vers lui. Heureusement les attaques se heurtèrent et s'annulèrent, exactement comme le porteur l'avait voulu.
- Tu ne peux pas gagner. Parce que je peux mettre fin à ce combat dès que je le souhaite.
- Ah bon ? Et comment ?
- Comme ceci.
Atios réduisit la distance les séparant, avant d'attaquer avec force et technique son adversaire qui fut repoussé. Assemblant ses forces, dans l'épée sacrée, il envoya valser son adversaire qui fut surpris par une attaque renforcée au corps-à-corps, avant de lancer un rayon de lumière de façon presque instantanée sur sa cible qui tentait de se relever. Un dash en avant plus-tard, Atios était devant son adversaire, le dominant clairement. Il plaça son arme sous le cou de son adversaire :
- Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi et ta lance. Mais je suis certains que tu pouvais faire mieux ... Mais tu m'as sous-estimer comme moi je t'ai sous-estimer la dernière fois. Nous réglerons ça une prochaine fois ... Pour le moment, je suis désolé mais j'ai à faire et de façon urgente.
Il se retourna, avant de partir.
- Tu baisses ta garde ! cria-t-il, victorieux en tentant de l'empaler avec sa lance dans son dos ... Une grave erreur...
- Idiot.
Atios se dématérialisa en multiples lumières bleutée comparable à une nuée de luciole et réapparu dans le dos de son adversaire, avant de mettre un coup d'épée dans les côtes. Juste assez pour le blesser et pas assez pour le tuer. Il ne le regarda même pas tomber au sol, blesser.
- Comment ?! Comment tu as fais ça ?
Mais Atios fit disparaître Excalibur. Il ne répondit pas, laissant le guerrier à sa Lance dans la honte de la défaite. Il s'était laisser avoir une fois en baissant sa garde, mais Atios s'était battu sérieusement cette fois et cela avait suffit à perdre son adversaire. Ce dernier pensait que le combat serait facile. Et Atios ne s'était pas battu de toute ses forces ... Candice, il s'en souvenait, était largement plus forte et dangereuse. Il se retourna une fois, le regard hautain et rieur, méprisant son adversaire au sol, avant de grimper sur Sleipnir et de partir.
- Pourquoi tu t'es moqué de lui au sol ? Je veux dire, ça te ressemble pas ...
- Je veux qu'il me prenne au sérieux la prochaine fois qu'il se battra avec moi. S'il me hait, ça sera plus simple. Son commanditaire va l'envoyer tenter de nous empêcher de réparer la machine. Je pense que ça sera là-bas qu'on le reverra la prochaine fois.
Atios, calculateur ? C'était une première. Mais son calcul était très certainement juste. Néanmoins, il manquait cruellement de temps. Il n'en aurai peut-être pas assez pour faire parvenir les plans ... Il lui restait un peu moins de 24h pour ramener les plans à la guilde ...
- Sleipnir, tu peux aller plus vite ?
- Oui, mais je ne sais pas si tu vas pouvoir tenir à cette allure sur mon dos ...
- On à pas le choix. Met la gomme !
La monture dorée, invoquée par Atios, reçue un boost d'apport magie qui lui permit d'accélérer à une vitesse incroyable. Le porteur d'Excalibur avait l'impression de chevaucher le vent et d'être sur un éclair lumineux de couleur dorée. Traversant une dernière fois la campagne, il s'approcha du point de chute estimé de sa nouvelle guilde, Angel's Sky. Cette dernière était vraiment tout près de Jackpot City et flottait avec peine au dessus de celle-ci. Abandonnant sa monture, il alla à la salle des machines presque immédiatement en volant. Après six jours et 19h de chevauchée à travers la campagne et après un jeu de piste des plus frustrants, il ramena les plans aux intéressés (le mécanicien d'Angel Sky et le mage Artisan, qui luttaient pour garder la guilde en l'air).
- Parfait, d'ici demain vous pourrez retourner en Fiore ... Et pour la peine, je vais ajouter une barrière magique à l'installation, pour éviter que ça ne se reproduise.
- Bien jouer Atios ! Et même, je dirais, félicitation. Tu as sauver la guilde... Enfin, vu ta tête je pense que ça n'a pas était de tout repos.
- De rien, de rien... D'ailleurs, je vais aller dans mes quartiers-là parce que je sens que j'ai besoin d'aller dormir... Une petite semaine ... conclut-il en partant, éreinté, vers ses quartiers.
Se jetant sur son lit, le sommeil ne fut pas long à venir le chercher. Ses yeux pleuraient tout seul, il avait la tête qui tourner et ses yeux voyaient floue. Il avait sommeil. Très sommeil. Les cernes noires sous ses yeux étaient des preuves supplémentaires que le sommeil était un besoin vital pour tous... Même pour le porteur d'Excalibur.
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