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[mission de rang B] Prise d'otage à Akane Resort.
 MessageSujet: [mission de rang B] Prise d'otage à Akane Resort.   [mission de rang B] Prise d'otage à Akane Resort. EmptyLun 18 Juil - 16:57

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L'effervescence de cet endroit ... la joie et le bonheur, la vie ... tout cela exultait de chaque morceau de terrains, de chaque personnes marchant dans les allées de cet endroit. Atios, était, malheureusement (car il aurait préféré venir ici dans des meilleurs circonstances) ici pour le travail. Il avait été informé secrètement des agissements d'une bande organisée ayant pris en otage six personnes et se cachant dans la masse grouillante des visiteurs du parcs d'attractions et les manèges. Il avait jusqu'à minuit pour sauver les otages sinon ils seraient exécutés. Il y avait bien la rançon à payer mais évidemment, les autorités du parc qui avait envoyer un S.O.S à toutes les guildes qui avaient elle-même envoyé leurs agents les plus proches. Atios avait peur que ceux-ci fassebt jouer la rivalité et qu'une course entre agents infiltrés se lance en plus de la course contre la montre. Et Atios avait lui-même ses propres problèmes sous la forme d'Arthuria ; qui se comportait ... comme une fille au parc d'attraction.

Son bras .... était accroché à celui d'Arthuria. Et cette dernière était en pleine résonnance avec les autres personnes. L'euphorie que les gens propageaient avait atteinte Arthuria. Cette dernière le traînait dans les stands. Il était midi. Et il avait massacré divers canards et fait tomber des pyramides de boîtes de conserves à foison. Il avait appris à tirer avec des carabines et des pistolets ; Il avait même gagner des compétences dans la pêche aux divers morceaux de plastique ressemblant à la faune aquatique ; Depuis ce matin, ils n'avaient rien trouver. Atios se posa sur un banc avec la blondinette et il se mit à réfléchir... pris à l'intérieur de ses pensées, il posa sa tête sur ses genoux et enserra ces derniers avec ses bras. S'il devait cacher des otages ... il les cacheraient dans le palais des glaces et dans la maison hantée ... Même si c'était classique, le palais des glaces était vaste et ils pouvaient se cacher dans une impasse. Et la maison hantée ... était plongée dans l'obscurité.

Il fallait au moins vérifier. Sait-on jamais. Peut-être que ses instincts étaient bons. Il se leva en sautant du banc en tirant Arthuria qui fut surprise mais qui ne protesta pas. De toute façon elle savait qu'il fallait trouver les otages. Elle ne demanda pas où ils allaient ; Elle lui faisait simplement confiance; Par contre, elle voulu protester quand ils entrèrent dans la maison hantée. Elle ... n'aimait vraiment pas ce genre d'endroit et semblait avoir vraiment peur à l'idée de le visiter . C'est donc tout naturellement qu'elle se colla à lui dans la maison hantée mais Atios restait de marbre : Il n'avait qu'une préoccupation, celle de retrouver les otages. Malgré les effets visuels et les employés déguisés, Atios n'avait pas frémis une seule seconde Ils arrivèrent dans salle à manger. Les portes d'entrée et de sortie de la pièce se refermèrent brusquement les lumières des candélabres s'éteignirent soudainement.

Par réflexe, il avait fait apparaître Excalibur qui illumina d'une douce lumière dorée la pièce. Bien entendu, sa jeune camarade s'était accrochée à son dos à cause de la mise en scène ... qui ne semblait pas en être une. Des créatures étranges apparurent .. cornues, grises, avec une queue étrange. Des démons de rangs inférieurs. Atios sourit. Arthuria ferma les yeux quand quelques cris étranges retentirent. Dans des explosions de fumées, les carcasses mortes des créatures disparurent. Le porteur de l'épée sacrée s'approcha du mur qui faisait dos aux créatures mortes et y planta Excalibur qui traversa ce dernier comme du beurre. Une tapisserie toute simple caché une entrée secrète. Des escaliers tous simples descendaient. Sa jeune amie dans son dos, terrifiée par les événements, ils desendirent pendant cinq minutes avant d'arriver dans une salle vide où un Homme tenait une dague. Il leur tournait le dos et regardait un grimoire, l'air très énervé. Il était si concentré qu'il ne vit pas Atios arriver dans son dos. Ce dernier lui flanqua un bon coup de plat de lame sur la tête ; L'homme en bure violette s'écroula, assommé. Dans un coin, une jeune fille était ligotée, un mouchoir sur la bouche. Elle se réveilla en sursaut en même temps que l'Homme s'écroula au sol. Elle tenta de crier mais se calma quand le jeune homme la libéra. Dix minutes plus tard, Atios, Arthuria et l'otage était dans un bureau du personnel du parc où l'otage fut pris en charge dans le plus grand des secrets et le ravisseur était remis au conseil.

Il fallait éviter la cohue et la panique. Et ils devaient se dépêcher : cinq autres personnes étaient retenues. Ils devaient vérifier ensuite le palais des glaces. Il n'avait pas parler depuis un moment. Et Arthuria, contrainte par son compagnon de route non plus. De toute façon, du point de vue du porteur d'Excalibur, cet endroit était trop bruyant et la joie masquait les otages. En quelques sortent, ils étaient complices involontaires des ravisseurs. Il fallait trouver les cinq otages restants. Atios n'aimait pas les espaces confinés, ce n'était pas de la claustrophobie mais plutôt qu'il préférait se sentir libre. l'enseigne même lui donnait l'impression d'étouffer. Il faisait en général froid et on s'y perdait facilement. Plus il y pensait et plus c'était logique de cacher un otage dans un tel endroit. Même s'il ne disait rien, une agréable sensation lui étreignait la main depuis un long moment. C'était agréable de sentir qu'on n'était pas seul dans les épreuves de sa vie. Plus que le souvenir d'une personne, on retenait mieux les gens que nous aimons aux travers d'un sourire ou d'une main.

Il pris une inspiration et rentra à l'intérieur. Il avait eu raison. Sûrement un enchantement placé à l'entrée qu'il avait déclenché grâce à sa magie plus puissante que la norme. Aussitôt toutes les vitres se brisèrent, le sol et le plafond s'éloignèrent et le monde se mit à tourner autour de lui. Quelques secondes plus tard, il était au milieu d'un labyrinthe de glace et de brume sans ciel ni plafond.

- Ne lâche pas ma main. dit-il sur un ton assez bref. Atios suivait la piste d'une aura magique faiblarde mais présente dans ce labyrinthe. Malgré toutes les voies qu'il pouvait prendre, Atios ne se trompait pas. Ses instincts s'étaient très aiguisés à force de combats à l'épée où un mauvais choix signifie une vilaine plaie. Bientôt, une jeune femme courut vers lui. Atios leva la mains vers celle-ci et tira une boule de lumière qui explosa une vitre derrière la jeune femme qui se jeta au sol pour éviter l'attaque. Derrière les fragments de vitre, une Arthuria assoupie et une deuxième jeune femme, cette fois-ci ligotée et elle aussi endormie était là. Derrière lui, l'illusion se dissipa. Atios planta Excalibur devant lui ; une vague de lumière en émana et vint éclater les vitres du dédale de verre. Bientôt, l'enchantement d'illusion sur le palais des glaces disparut. Atios fit une balayette à la jeune femme, maintenant homme en bure, qui tentait de fuir. Il lui fit une clef de bras avant de l'assommer.

- Un de moins. Arthuria, ça va ? dit-il en l'aidant à se relever. Puis il alla libérer l'autre otage.

- Quand est-ce que tu t'es rendu compte que je n'étais plus là ?
dit-elle, légèrement curieuse en se massant les tempes.

- A l'entrée, quand l'illusion s'est formée. J'ai pu retrouver votre trace grâce au clone qui me suivait. Il avait la même signature que celui qui l'a créé.
conclut-il en découpant les liens qui enserraient la captive. Atios soupira. Le labyrinthe illusoire devait être complètement différent de celui qui était réel. Dix minutes plus tard, après s'être cognés de très nombreuses fois, ils atteignirent la sortie de cette "saloperie de labyrinthe" pour reprendre les mots d'Atios. Ce dernier fut soulagé quand il atteint la sortie. Mais maintenant, il restait quatre personnes à sauver. Mais où les trouver ? Peut-être était-elles au même endroit. Les tours d'observations .... S'ils étaient au sommet de celles-ci ils pourraient sûrement voir le parc en entier et déterminer des endroits où chercher.

Ils s'y rendirent sans problème. L'ascension ce fit sans aucun trouble. Arrivée en hauteur, Atios examina le parc. Les gens ressemblaient à des fourmis. Le parc était vivant et joli, mais les paysages naturels étaient les plus jolis. Enfin, il n'était pas là pour apprécier la vue comme un vulgaire touriste. Il en avait vu des paysages époustouflants, dans les montagnes enneigées où il avait affronter les balkans. Plus il regardait le parc et moins il trouvait d'endroits étranges où ils pourraient cacher des otages. Et là. L'horreur. A la tour en face, accrochée à la cabine avec une corde, deux otages, attachait à une corde. Atios ne chercha pas à comprendre. Il grimpa sur le rebords et se jeta en bas. Il n'avait jamais senti cette sensation. Il hurla ... Il dégaina Excalibur. Sa cape volait au dessus de son dos et Atios se demandait comment elle tenait. Le sol se rapprochait rapidement. Il se retourna et planta Excalibur dans la tour. Ses muscles se contractèrent. Dix longues secondes ... Il s'arrêta à deux mètres du sol et il descendit en douceur .... Ses jambes tremblaient...

- Mon dieu ... vite, je dois me dépêcher ...


Malgré le choc, il grimpa sur les chapiteaux et sauta de toits en toits. Une assez grande distance le séparait de la tour vers où il se dirigeait. Elle allait redescendre ... s'il ne se dépêchait pas, elles allaient mourir d'une horrible manière. Il devait empêcher ça. Il voyait dans sa tête les mètres et les secondes s'écouler ... Le décompte était lancé ... L'ascenseur commençait son inéluctable chute .. les gens en bas réalisaient ce qu'il se produisait et se mirent à crier, à hurler. Atios suait à grosse gouttes. Ses jambes étaient engourdis, ses mains moites. Il n'allait pas y arriver. Il arriva au pied de la tour... il leva le visage vers la tour. Encore cinq, dix secondes ... et ils seraient mort. Atios ne chercha pas à comprendre ou calculer. Il fit le plus grand bond que sa magie lui permettait et attrapa les deux personnes au vol. Atios manoeuvra son corps de sorte à se retrouver en dessous des deux personnes. Le choc fut terrible. Il hurla comme jamais. La chute de tout à l'heure n'était rien en comparaison à la douleur qu'il ressentit .... quand son bras heurta le sol. Il ne bougea pas. Son esprit n'était que douleur.

Des gens accourent pour l'aider. Ils libérèrent les otages et bientôt les employés prirent le relais. Son bras ... était bleu. Sa peau était bleu. Il pouvait toujours le bouger. Il n'était pas casser ... il ne comprenait pas... Avec le choc ... sûrement un réflexe de survie ... Son corps s'était habituer à utiliser la magie ... et ce dernier avait dû renforcer son corps pour le rendre plus résistant et se protéger de la chute ... mais son muscle était froissé. Quelque chose n'allait pas. Et malgré les premiers secours qu'on lui offrit et la morphine qu'on lui injecta... il se releva. La dernière personne. Un des otages avait un papier. Si le mage responsable de la libération des précédents otages ne se rendaient pas face à la grande roue, le dernier otage, la fille du maire de Crocus, serait exécutée d'ici une heure. Il était déjà dix-neuf heure. Le soleil déclinait au loin. Son bras gauche pendait. Il pouvait le bouger mais au prix d'une douleur insupportable. En quelque sorte, il était handicapé. Mais il valait mieux se réjouir. Rien de cassé par miracle. La magie était ... réellement magique. Les otages par chance étaient indemnes. Enfin pas par chance ; sans lui, ils auraient fini en bouilli
La grande roue était déserte ... les employés étaient partis et avait régulé le flot des curieux. Atios se dirigeait seul, Excalibur en main. Les mages l'attendaient. Sur le sommet de la grande tour, l'un deux tenait une jeune fille, une corde autour du cou et un couteau dans une main; ça s'annonçait très mal. Il ne pourrait pas la sauver ... et pourtant il devait ... mais déjà les mages rirent :

- Après une chute aussi violente, seul un fou ou un idiot viendrait se jeter dans la gueule du loup. Honnêtement, vous auriez dû libérer notre chef dès le début.

- Vous pouvez courir, bande de lâche; Je vais tous vous faire voir un aperçu de l'enfer qui vous attendra après votre mort.


- Assez de paroles. Tu es seul. Tu vas mourir. dit l'un des mages. Ils levèrent les mains.

Atios bondit vers l'un d'eux. Ils s'espacèrent et évitèrent de rester grouper. Un déluge de magie et d'énergie magique se déchainèrent là où il était. Il attérrit près de l'un des mages et le frappa avec Excalibur de la main droite. Mais il avait peu l'habitude de se servir d'une épée d'une main. Il le toucha au bras mais ce dernier lui envoya une petite tornade en tombant au sol. Elle manqua de peu Atios qui roula au sol, bondit et décocha un coup de pied sauté dans les côtes de son adversaire qui s'évanouit sous le choc. Mais Atios fut frappé dans le dos par une boule de feu. Il se retourna et lança dans la direction de la boule de feu une balle de lumière pour bloquer une seconde attaque. Mais déjà, il bondit à l'assaut du prochain mage. Dans son dos, de la glace et des lames de vent. Atios fut plus rapide que le mage de feu ; Il fit une balayette avant de coller un énorme coup de poing dans la tête de celui-ci. Un souffle glacé allait le frapper mais il pu se dégager : son bras gauche fut malgré tout partiellement touché. Il gémit et balança un tir d'excalibur rapide vers celui qui l'attaquait. Il fut surpris et fut soufflé et ne se releva pas. Il s'était sûrement cogner la tête en tombant. Une lame de vent le frappa dans le dos. Une fois, puis deux fois. Trois fois. Il se retourna et dévia une nouvelle attaque. Son dos était en sang et sa cape était foutue. Atios courut contre son adversaire, bloquant une, puis deux lames de vent : Il s'en pris trois autres avant d'arriver devant le mage qui paniqua : Atios saignait d'un peu partout et son bras était gelé. Mais il ne fléchissait pas. Une aura dorée l'entoura et ce dernier claqua le bras gelé qui éclata en morceaux. Son bras était toujours en très mauvais état.

- Va au pays de Morphée, enfoiré ! hurla t-il en lui décochant un énorme coup de poing dans le visage. Ce dernier fut K.O sur le coup. Mais dans son dos, au loin, quelqu'un applaudit :

- Tu es très fort ... mais même si tu as vaincus mes acolytes, j'ai toujours en ma possession l'otage. Tu as perdu, Atios ... L'homme en bure se mit à rire de façon machiavélique. Le jeune homme, malgré ses blessures plutôt profondes, se mit à courir vers le bas de la grande roue, arrêter. Il sauta sur le toits de la cabine la plus basse, puis il commença à grimper jusqu'au sommet où se trouver le chef des ravisseurs. Ce dernier tenait toujours fermement la jeune fille.

- N'approche pas, ou elle est morte ! hurla t-il. La jeune fille pleurait, muette. Atios était dans un état déplorable. Il avait un bras pratiquement inutilisable. Des blessures sanglantes. Il était à bout de force. Et son adversaire avait un avantage tactique. Mais là, un miracle eut lieu : Arthuria, qu'il n'avait pas vu, arrivait silencieusement dans le dos du ravisseur ... et lui décolla un magnifique coup de latte dans le dos. Déséquilibré, il lâcha la fille du maire de Crocus. Atios se jeta en avant pour rattraper la fille ligotée. Ils manquèrent de tomber, mais il se ressaisi et il la libéra. Choquée, elle se mit sur un côté. Mais Atios glissa. Il n'avait plus la force de bouger et le manque de sang lui provoquait des vertiges. Alors qu'il glissait vers sa mort, la fille l'attrapa et le tira. Pendant ce temps, Arthuria était au prise avec l'Homme. Cette dernière loin d'être inoffensive, avait réussi à coller un mauvais coup de pied dans les parties géntales de l'Homme en bure qui avait du mal à se mouvoir à cause de celle-ci. Mais celui-ci la tenait en joue avec un sort de foudre. Atios se releva et tenta de le précipiter dans le vide, Excalibur au fourreau.

Ils luttèrent. mais Atios était à bout de force. Il tenait à peine debout. Mais son habitude au combat lui permit de le faire basculer dans le vide. Mais Atios fut entraîné dans sa chute. Avant de tomber, Arthuria l'attrapa mais la force de la jeune fille ne suffisait pas à porter les deux hommes. Elle allait tomber en avant mais l'autre jeune fille l'agrippa elle aussi ... Mauvaise idée : les quatre personnes tombèrent en avant. Atios, dans un ultime effort, fit apparaître Avalon dans la chute. Une grande lumière dorée apparue en même temps que le fourreau contenant Excalibur se détacha de sa ceinture. Une lumière les entoura. Ils furent ramenés au sol. La lumière se dissipa, les reposant au sol délicatement et se raccrochant à sa ceinture. Les secours arrivèrent et emportèrent Atios, Arthuria et la fille du maire. Les gardes plaquèrent au sol le preneur d'otages et l'emmenèrent. Il entendait les gens murmuraient autour de lui. Il vit sa jeune amie lui sourire et il entendit, au loin, la voix de la fille du maire demandant s'il allait bien. Il avait perdu trop de sang. Mais tout les otages était saufs. Ses yeux se fermèrent. Il se sentait ... léger.
   
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