Atios était en forme en ce moment. Après sauvetage d'un Homme et d'un vieil Homme, il avait vu une mission bien plus intéressante : Attrapez un cambrioleur dans une fête masqué. Atios n'avait aucun costume, alors il s'y rendit sans réellement se soucier de sa tenue, il mit un costume de soirée et Atios descendit de sa chambre.
- HOLLLLLLEEEEEEEEééééééééééeeeeeee!!!!!!!
- C'est l'P'tit Aaaaaatiiiiiossssssssssssss... Tuuuuuu sooooors?
- Iiiiillll vaaaaaaa ààààààààà uuuuuneeeeee soooooooooirééééééeee..- Non, je vais remplir une mission pour Fairy Tail.- Hey les mecs, vous entendez ça ? Une nouvelle tournée pour fêter la jeunesse!
- C'est ça. Bon picolage!Il était tôt. D'habitude, il ne sortait que pour aller au toilette dans la soirée. L'ambiance de la taverne était réellement alcoolisée de dix-neuf heure jusqu'à trois heure du matin en général, au début il avait eu du mal à trouver le sommeil, mais avec le temps il apprit à trouver le sommeil malgré le tapage et à connaître tout ces vieux picoleux. La nouvelle serveuse l'appréciait beaucoup car Atios l'avait défendu, notamment avec Excalibur qui avait effrayer la plupart des hommes alcoolisés qui avait voulu la toucher contre son gré. Le jeunot, même pas adulte avait imposer son autorité et il avait acquis une certaine notoriété et une certaine réputation de respect. Quittant la taverne, il se rendit en sautant de toits en toits. C'était devenu son moyen de locomotion généralisé. Il ne marchait plus : Il sautait de toits en toits, ou dans les rues quand elles étaient vide.
Arrivant devant la salle des fêtes, un videur le toisant de haut le regarda.
- Vous êtes-qui vous ?- Le membre de Fairy Tail que vous avez demander pour surveiller.- Ah ... ils ont envoyé un gringalet.. ?
- Je rentre. conclut Atios, ignorant le videur.
La musique battait son plein dans la salle de bal. Les aristocrates et autres noble étaient partout. La beauté des robes que portaient les femmes prouvait leur rang et surtout la richesse qu'elles possédaient. De plus, la plupart avait une façon de regarder les autres qui l'écoeurait. L'ambiance en elle-même était plutôt pénible. En s'avançant dans la foule il percuta une dame et s'excusa promptement. Il devait prendre la température de la masse et repérer les gens étranges. Il se dirigea vers le fond de la salle, où siégeait divers objets ... dont une réplique d'Excalibur. Tout ces objets étaients d'ors et à priori, ils étaient très cher. Il regarda la personne la plus proche et demanda :
- C'est quoi cette épée ... ?- C'est Excalibur, l'épée sacrée. Il paraîtrait qu'un comte l'ai acheter à un marchand à un prix fort.- Mais ... - C'est d'ailleurs la pièce maitresse de cette soirée.Atios fit oui de la tête. C'est à ce moment là qu'une fumée épaisse éclata, que les lumières se coupèrent, qu'un bruit de verre qui se fracasse contre le sol retenti, que l'effroi s'empara de la foule. Atios se fit bousculer. Il sorti Excalibur de son fourreau, l'utilisa pour illuminer la pièce. La vitre derrière lui était briser et Atios tenait en main Excalibur.
- Au Voleur! C'est lui le voleur !! dit une femme en pointant Atios du doigt.
- QUOI ?! MAIS NON! euh ... là-bas!! dit-il en pointant une forme noire qui s'enfuyait par une fenêtre.
Je ne te laisserai pas t'enfuir, reviens ici tout de suite!Atios bondit vers la fenêtre par laquelle le voleur s'était enfuit. Sauf qu'il l'avait fermer derrière lui. Il enfonça donc la fenêtre dans un profond fracas de verre, avant de rouler contre un toit. Il s'attrapa à la gouttière, les jambes dans le vide. Au loin, il voyait le voleur s'enfuir, son butin sur le dos. Atios planta Excalibur dans le toit et se releva sur le toit. Le jeune se lança à la poursuite. Le voleur fut surpris, puisqu'Atios était très rapide. Bien plus que n'importe qui. Mais le voleur était agile, maitrisait les toits. Atios eu du mal à suivre le voleur. A un moment, le voleur rata son saut. Atios le rattrapa et lui tomba dessus, corps contre corps. La main toucha quelque chose de ... moelleux.
- Touche pas à ça! PERVERS!Atios se pris un bon coup de pied dans les parties sacrées. Il fit une prière avant de soulever le masque :
- Pardon. Une voleuse! Tu vas rendre ce que tu as pris. dit-il en la soulevant et en lui faisant une clef de bras. Tout en bas, les gardes s'amassaient. Atios bondit avec la voleuse dans les bras et la donna aux forces de l'ordre.
- Bon travail. L'épée qu'elle avait voler est très précieuse. Celui qui la possède est notamment le détenteur de l'autorité d'un roi. C'est pour ça que ces nobles commandites des cambriolages pour la dérober. Ils espèrent améliorer leur statut social via l'autorité qu'elle procure. Vous avez toute la gratitude de la milice de Mangoria. C'est du bon travail. Vous pouvez assistez à la fin de la fête ou rentrer chez vous, sachez que la guilde sera informé de votre très bon travail.- Eh bien merci. dit Atios en serrant la garde de la véritable Excalibur, qu'il avait pris soin de cacher aux yeux des forces de l'ordre dans son fourreau, pour éviter un malentendu fâcheux. Il soupira. Cette épée était même désirée dans cette région et pour cause, vu qu'il semblerait que celui qui en était le juste porteur semblait devenir membre de la noblesse d'épée. Cette idée ne lui plaisait qu'à moitié. L'aristocratie et le mépris des nobles envers les basses classes n'était pas sa tasse de thé. Le jeune épéiste retourna à l'auberge. Il était déjà tard et tout le monde était parti se coucher. Il n'avait pas vu le temps passer. Sans se changer, il se jeta toujours en costume sur son lit. Encore une de terminée...