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Confrontation x Jellal & Yoite
 MessageSujet: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyMar 27 Oct - 0:24

Logan S. Crow
Logan S. Crow

Crime Sorciere

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Toute ta vie, tu fus un criminel de la pire espèce. Un tueur, un Légionnaire. Tu faisais partie de Légion, autrefois. Tu avais même libéré Black Jack de prison. Tu avais tellement « accompli ». Tu avais été l’un de ceux ayant attaqué et détruit Blue Pegasus. Mais surtout, tu avais été, également, l’un des principaux ennemis de Black Jack. Oui… Tu avais contribué aux alliés, en le trahissant. Mais tu avais fui, et au final, tu t’étais retrouvé sans rien, mis à part un amour à sens unique. Que la vie était triste, mais tu n’étais pas un gâté de celle ci, sinon tu n’aurais jamais sombré. Enfin…

Aujourd’hui, tu étais de retour là où tout avait commencé ; Tu étais de retour dans cette ville enneigée, ou plutôt aux alentours. Shirotsume.

Cette ville avait pour toi un intérêt particulier, car c’était dans cette ville que tu avais commencé ta vie de criminel. Dans cette ville et ses alentours. Depuis, tu y avais mis feu, à ton refuge. Et tu avais stoppé toute action criminelle de ta part. En fait, après une vie que l’on pourrait qualifier de… Eh bien de merde, tu avais ouvert les yeux. Ô toi, l’homme qui en son sein avait accueilli le Dieu de la Peur, tu avais renoncé au mal. Tu avais choisi le chemin de la repentance, mais comment se repentir dans un univers qui te faisait gerber ? Comment te repentir pour elle, cette femme que tu aimais, mais avec qui tout amour était impossible si tu restais du mauvais côté. Ah, ça avait été dur. Très dur. Mais tu avais effectué une mission périlleuse pour sauver des vies, sur Galuna. Tu avais également risqué ta vie pour sauver Abigail. Tu avais renoncé à tuer, et tu cherchais à rester cet homme là, cet homme bon.

Car comme elle le pensait sûrement autrefois, tu avais du bon en toi. Du moins voulais tu le croire. Alors lorsque, la nuit dernière, tu avais vu ce que faisait ce type, allumé au bar. Lorsque tu avais vu qu’il tentait de faire des poches, tu l’avais arrêté. Oh, ce n’était rien, mais un geste qui en disait long sur ton désir de repentance. Et lorsque tu avais attaqué ces bandits dans la forêt, qui tendaient une embuscade ? En réalité, tu avais besoin d’action et de sang, mais pas le même genre qu’avant. Tu voulais détourner ces pulsions qui auparavant occupaient tout ton temps, pour la bonne cause.

Aujourd’hui, tu étais en train de méditer. Ce n’était pas pour te calmer, ni pour montrer au monde que tu étais un homme nouveau, mais c’était pour calmer la bête en toi, ce monstre, ce Terrible qui ne pensait qu’à inspirer et boire la peur des gens autour de lui. Tu étais obligé de le tenir enfermé dans ton corps. Et par moment, tu le laissais agir à sa guise pour déverser sur le monde des attaques colossales. Mais aujourd’hui, dans ton long manteau noir, tes cheveux tombant sur tes épaules, tu avais choisi de calmer le monstre.
Assis sur ton rocher, en tailleur, tes chaussures noires encore pleines de neige, ton pantalon gris marron mouillé de ces flocons qui tentaient parfois de traverser le cuir de ton habit, ton tee shirt semblant porté des traces de luttes par ci par là, tu refoulais au plus profond de ton être cet autre qui habitait ton corps. Il te fallut plus d’une heure.

Ensuite, tu repartis. Tu étais un nomade, un sans foyer. Le manoir des Kyumizu n’était d’ailleurs plus utilisé depuis près d’une demi décennie, voire plus. Alors tu voyageais, en trainant derrière toi le fourreau et l’épée. Cette lame que tu avais n’était cependant pas celle qui était ta marque de fabrique. Non, celle ci avait été volée par ce type, celui qui avait un jumeau… ce salopard près de la nature, celui qui t’avait mené en bateau. Ta lame faite en métal d’une rareté inestimable : le Maginium. Cependant, tu ne te plaignais pas. Tu avais écopé d’une arme magnifique et d’une très bonne qualité. En tant que maître épéiste, tu ne faisais pas une cible de premier choix. Cependant, tu le sentis, non loin. Tu sentis cette âme en approche, car tu sentis ses peurs les plus profondes. Il n’en avait pas tant que cela, d’ailleurs tu ne percevais pas encore ses peurs. Tu ne faisais que les sentir. Au travers du bois enneigé entourant la clairière dans laquelle tu te trouvais, un homme, ou une femme approchait. Et clairement, tu n’étais pas de bonne humeur. Enfin, tu n’étais jamais de bonne humeur. Cependant tu te demandais. Pourquoi ? Avec ton changement de corps, tu n’avais plus l’apparence que l’on t’avait attribuée lors de ta mise à prix. Les gens ne connaissaient pas la nouvelle identité de Yoite. Certains pouvaient parfois te reconnaître, à ton aura, bien que celle ci se soit amplifiée et assombrie, à tes magies, pour ceux qui les connaissaient… Ou à tes ailes. Mais tout de même.

- Qui es tu ?

Tu lançais cet appel à celui qui te cherchait, à celui que devait t’observer, caché. Tu ne reconnaissais pas ses peurs, donc tu ne le connaissais pas, ou alors il avait radicalement changé. Peut être l’avais tu déjà croisé ? Cependant, sa propre aura était puissante. Il n’était pas un simple mage, il était une véritable menace. Pour être franc, tu doutais de pouvoir le battre sur un plan purement magique. Mais cela ne t’arrêterait pas. D’ailleurs, au fur et à mesure que tu le sentais, ta magie se préparait.

- Sors de ta cachette avant que je ne t’en déloge !

C’était un ultimatum, parce que tu ne le connaissais pas. C’était un ultimatum, car tu avais très clairement envie de le surprendre. C’était un ultimatum, car tu n’étais pas fait pour être proie, mais plutôt prédateur…
 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyLun 2 Nov - 19:49

Jellal Fernandes
Jellal Fernandes

[M] Crime Sorcière

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La fable du corbeau et des sorcières!


Alors que l’aube pointait le bout de son nez et que mon nez se levait de la feuille qui se trouvait devant moi. Une affiche avec une personne dessiné dessus, un homme qu’on surnommait le corbeau noir. Un homme qui se devait de faire un choix entre vivre et se repentir, car il était nuisible, ses ténèbres pouvaient faire penser aux ténèbres du mage noir appelé Zeref. Alors que la dernière goutte de cire d’une bougie qui était sur le point de s’éteindre se déposait sur le bureau. Je me levais d’un coup attrapant ma cape et ma voix se fit retentir d’un ton fort et certain :

« - Meldy, on part viens avec moi. J’aurais peut-être besoin de toi ! »

La jeune femme arquait un sourcil et dis d’un ton incertain :

« - Je te suis ! »


Mon visage était sombre et pensif. Je n’étais pas revenu dans cette ville depuis le massacre qui avait eût lieu. Ce Damaz, Ajatar Virke et ses nombreux morts. Black Jack qui m’avait forcé à tuer de nouveau pour le bien de Fiore. Enfin c’est ce que j’essayais de me convaincre, au fond de moi je savais que ce que j’avais fait était mal, mais c’était un fardeau que je me devais de porter en tant que maître de ma guilde et c’était pour cela que je le portais l’air de rien. Fier et portant de mes épaules qui se devaient de plus en plus costaud à la manière d’Atlas afin de pouvoir même surmonter la voute céleste. Puis, j’étais inquiet pour une autre chose, le cas d’Erza. Elle était accusée d’avoir tué de sang-froid le mage qu’était Bob ancien maître de Blue Pegasus, cependant il devait y avoir une explication, car mon Erza ne serait jamais capable de tuer pour le plaisir. Ce n’était pas dans son état d’esprit. Elle n’était pas moi. Elle n’était pas une meurtrière, pourtant tout le monde l’accusait de la sorte, enfin surtout l’ancienne guilde qu’était Blue Pegasus. Son image hantait mon esprit nuit et jour, j’aimerai pouvoir être à ses côtés pour l’aider et la guider. En ce moment, je devais d’abord songer à combattre mes propres démons et après réfléchir aux démons des autres.

La priorité en cet instant était cet homme qui pourrait soit se révéler allié ou la prochaine personne à finir en prison. La dernière fois, qu’on m’avait indiqué sa position était celle de Shirotsume. Il fallait simplement ressentir sa magie et découvrir où il se cachait maintenant. Par chance, les ténèbres quel que soit leurs formes étaient très faciles à dénicher. Leurs soifs de meurtre ou le poids de leurs passés pouvaient se faire ressentir à des kilomètres à la ronde.

La jeune femme qui marchait à mes côtés ne pipait pas mots, comme si elle me laissait faire le deuil de ce que j’avais fait dans cette ville. Je revoyais chaque batîment détruit par mon attaque et le corps de cet être abjecte disparaître dans la lumière de mon attaque, même si c’était un monstre, il avait comme tout le monde le droit à une seconde chance et rien ne permettait de le tuer. Cependant, j’avais été simplement obligé, sinon c’était Emil qui y passait. Parfois, on est obligé de faire des choix douloureux et simplement de les accepter et de vivre avec, je ne pourrais jamais faire un deuil, je pouvais simplement l’accepter et en porter la responsabilité. Je tournais ma tête vers Meldy et dis d’un sourire :
« - Tu as le droit de parler, ne t’inquiète pas je vais bien !
- D’accord ! On fait quoi ici ?
- On vient à la recherche d’un mage noire qui a tué d’innombrables personnes.
- Je suppose qu’on va lui laisser le choix de nous rejoindre.
- Oui, chaque personne à le droit à une seconde chance.
- Quel est son nom ?
- Yoite, la mort noire !
- D’accord, je suis à ta disposition ! Sympa comme nom dis donc!
- Tu n’agiras quand dernier recours ! »

Nous avancions comme des prédateurs reniflant l’odeur du gibier, sauf que c’était simplement un mage qui cherchait à l’aide de l’odeur d’une magie si puissante et noire qu’elle pouvait faire peur de prime abord sauf si on avait goûté aux ténèbres. C’était l’avantage et le désavantage de Crime sorcerer on était tous adepte des ténèbres. Alors qu’on arrivait de cet oiseau aux ramages noires, celui-ci nous avait détecté à l’aide de son aura. Il posait une première question et avant même qu’on puisse répondre, il lançait une deuxième phrase nous demandant de sortir de notre cachette sinon il nous attaquerait. Je me mis à rire, d’un rire cristallin, un rire qui n’était pas sortie depuis longtemps de ma bouche. Puis, nous sortîmes avec Meldy de notre soi-disante cachette et ma voix s’égayait dans une nouvelle respiration :

« - Cacher,je ne pense pas que tu emplois le bon terme. En effet, nous n’étions absolument pas cachés. Nous arrivâmes à peine que tu nous agresses avec des propos à la limite de la déraison. Mon cher Yoite, tu ne déroges pas de ta réputation. Si c’est un combat que tu souhaites pour entendre raison, soit tu l’auras ? Cependant, sache que je ne suis pas forcément là en ennemi. Nous étions venus dans l’optique de voir si tu étais toujours une menace ou non. La mort noire comme le dise les rumeurs, parle-moi de toi. Qu’est-ce que la vie à fait de si difficile pour que tu puisses tuer autant ? »


(c) AMIANTE

 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyMer 4 Nov - 16:56

Logan S. Crow
Logan S. Crow

Crime Sorciere

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Dans les feuillages, derrières les buissons, les pas s'accéléraient et s'écrasaient contre des branches, brindilles, terres et herbes et de la lisière du bois environnant sortirent deux personnes des plus louches. Tu ne les connaissais pas, et même si tu les avais connues, même si tu avais su que cet illustre personnage au tatouage tribal était le fameux Jellal Fernandes, tu ne trouvais rien de mieux à dire que

- Ainsi tu as entendu parler de moi ? Bien, bravo, mais tu sais ce dont je suis capable et tu viens, comme ça, avec la requête que je te parle de moi... Dis moi, es tu vraiment sain d'esprit ?

C'était cru, osé, et pourtant un idiot se serait laisse prendre au piège. Ce n'était ni une insulte, ni une moquerie. Juste une incompréhension totale. Tu ne comprenais pas, oui... Ce type venait tout juste de te démasquer et sa première question était de savoir pourquoi tu avais tué, et sa demande était de savoir. Car le savoir était un pouvoir c'était bien connu mais tout de même... Ce type... Il...

Essaierais tu de réveiller mes instincts ? Sais tu seulement que lorsqu'un tu... un monstre tel que moi se déchaîne, il est censé éprouve du plaisir ? Sais tu qu'aller voir un psychopathe et lui demander de te parler de sa raison de tuer, il en aura des tonnes ? Et sais tu que cela pourrait relancer la machine du meurtre alors qu'elle est arrêtée ? Alors oui, j'ai tué, et oui, j'ai dû, à un moment de ma vie éprouver un plaisir. Oui, j'ai pu être ce psychopathe qui méprisait la vie et voulait, entre guillemets, sauver les personnes qu'il rencontrait dans la mort. Mais merde ! Cela fait quelques temps que Yoite a disparu mec ! Depuis que j'ai changé d'apparence, je n'ai plus commis un seul meurtre, alors ne viens pas me remémorer des mauvais souvenirs. Je ne suis plus, du moins je l'espère, le monstre que j'étais, alors me tend pas la carotte, cela ne fera que m'énerver. Alors ose me parler encore une fois de ce qui m'a poussé à tuer, et il se pourrait que je fasse une exception à ma nouvelle vie pour toi !

Autour de ton corps, et sur ton épiderme, ta peau était devenue armure de plumes, noires et tranchantes. En toi, le dieu hurlait de le manger ce petit prétentieux.

Qu'est ce que tu attends ? Bon sang mais qu'est ce que tu attends pour...
SILENCE !


Tes yeux avaient perdu leur couleur rougeoyante, au profit d'un gris métallique, dont les pépites de rubis semblaient y être encore incrustées, ces restes de tes iris couleur sang. Ta vision de peur était active, et tu voyais au delà de ce qu'ils te montraient. Tu voyais la plus grande peur de ces deux personnes qui venaient, comme ça, titiller ton amour-propre. Alors que tu plongeais dans leurs âmes pour aller découvrir les seuls secrets qu'ils ne pouvaient pas te cacher, alors que tu étais en train de découvrir leur point faible, celui qui leur fichait la frousse de leur vie, tu les faisais inconsciemment - ton but n'était pas de les effrayer mais ton sort ne te permettait pas d'executer la moitié de la technique - remonter dans leurs esprits. Et tandis que tu voyais leur plus grande peur, tandis que le dieu se délectait de la puissance et le la frayeur des mages ci devant, et se rappelait la sensation qu'une peur aussi puissante soit devant lui, comme e fut le cas pour Black Jack le jour où tu le rencontras, tu éveillais en eux cette même peur. Ils la ressentaient, et en vivaient rapidement les souvenirs ou les réalisations. Mais, plus fort que cela, ton âme était noire. Non plus noire d'une envie de tuer constante qui t'avait assaillit durant des années, mais noire d'une terreur suprême. Tu étais, grâce à Kyofu, la Peur... L'une des uniques personnes au monde à ne jamais attaquer, ou embêter. L'une des uniques personnes au monde à toucher le point le plus sombre des esprits...

- Maintenant, je connais votre plus profonde peur, celle que vous venez d'entrapercevoir, autant que vous connaissez mon identité et mon passé. Désormais, soit vous vous expliquez et arrêtez de vouloir savoir les raisons qui justifieraient la création d'un monstre sans âme, soit vous subirez un cauchemar sans fin le temps que j'aille me repentir dans un lieu sans cervelles de moineaux prêtes à risquer leur vie pour l'adrénaline... Me suis je fait compren... ?!

C'est alors que, grâce à sa peur, à ses cheveux bleus, à son tatouage, tu compris qui il était...

- A moins que vous ne vouliez m'éliminer pour éradiquer la menace de la Mort Noire, auquel cas je vous comprendrais, et vous laisserais faire. Je ne suis pas un adepte du suicide, et je préférerais pouvoir me faire pardonner du monde, mais je sais que Crime Sorcière traque les mages noirs... Alors si vous êtes ici pour me supprimer, je pense que je dois bien cette faveur à Fiore...

Tu soupiras et stoppas la technique. Tes plumes jonchant ton corps tombèrent sous la gravité et l'absence soudaine de magie. Ton Dieu, abasourdi, te regardait t'avancer vers ces deux mages anciennement noirs, et tu plantas ton sabre dans le sol devant le maitre aux cheveux bleus.

- Fais ce que tu as à faire...

Peut être était ce le seul moyen pour te repentir. Peut être était ce le seul moyen pour toi d'être à nouveau présentable dans la mort et la mémoire, pour elle, pour Abi... Peut être était aussi le seul moyen pour éviter un déchaînement un poil trop puissant du Terrible qui pouvait et tentait parfois, en vain, de te contrôler. Tes yeux étaient brûlant, et pourtant une larme s'y logea.

- ... Jellal Fernandes !


Tu espérais qu'un jour, on te pardonne. Tu espérais qu'un jour, elle te pardonne...

hors rp:
 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyVen 6 Nov - 2:14

Jellal Fernandes
Jellal Fernandes

[M] Crime Sorcière

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La fable du corbeau et des sorcières!


La vanité de cet homme n’était que le reflet d’une médiocrité avancée. Sa réputation, bien entendu que j’en avais entendu parler, mais qui était-il pour croire qu’une simple réputation pouvait faire peur à des gens ? Il n’était ni Black Jack, ni Enya. Puis, il me parlait d’un ton assez arrogant, j’aurais bien rigoler tellement ses mots étaient risibles lorsqu’il sortait de sa bouche, mais je ne pouvais, car il était avant tout en cet instant un ennemi. Puis, il me demandait si j’étais sain d’esprit. Je répondais à cette partie :

« Qu’est-ce qu’être sain d’esprit ? j’aimerai que tu m’éclaires sur ce point-là. En effet, il faudrait peut-être utiliser un autre terme, car ce terme reste assez abstrait pour tout te dire. Il est vrai que sa définition de base parlerait d’un trouble psychologique et si on s’attarde à cette définition, je pourrais mettre en avant le fait que je suis clairement sain d’esprit. De plus, tes propos sont risibles, comment peut-on avoir peur d’une simple rumeur ? Personnellement, quand quelque chose m’intrigue par sa puissance, je me déplace pour en juger par moi-même. Pas toi ? Monsieur le corbeau, même si je ne sais pas si je parle à Yoite où à l’entité qui se tiens en ton sein. »

Puis, son ton venait de plus en plus agressif quand il reprit la parole, mais il continuait de continuer sur ce côté un peu limite dans son ton. Puis, il s’exprimait d’une façon incompréhensible et certainement peu claire dans son esprit. Il parlait du fait qu’il voulait réveiller son instinct, se considérait-il comme un animal pour avoir une aussi piètre image de lui ? Puis, il parlait de psychopathie, alors qu’avant même il venait de me demander si j’étais sain d’esprit, niveau concordance de discours, j’aurais envie de dire 0 pointé. Meldy, s’accrochait à mon bras. Je sentais qu’elle n’appréciait pas ce gars non plus. Puis, il m’expliquait que l’homme qui avait tué, semblait avoir disparu, mais qu’il ne fallait pas lui parler du passé, car il serait capable de le faire revenir. Dans tous les cas, ce mage voulait avancer, mais il n’acceptait même pas son passé, comment on pouvait avancer avec un boulet au pied de la taille du sien. J’avais clairement accepté mon passé, même s’il continuait à me hanter, car il était lourd, il était également la carotte qui me faisait avancé chaque jour dans la voie que j’avais choisie. Puis, une armure de plumes noires entourait son corps. Sérieusement, pourquoi à chaque fois fallait que ça dérape ? On ne pouvait pas simplement parler. Sans penser à se battre de suite. Personne n’était civilisé dans ce monde. Puis, il s’énervait et criait un Silence, j’interprétais qu’il était en train de converser avec cette entité qui siégeait dans son corps. Je souris et répondit à ce qu’il venait de dire :

« - Tu disais que le Yoite que tu étais, était partie, mais comment peut-il être partie si tu n’acceptes pas ce passé qui fait partie de toi ? Ce n’est pas un fardeau, c’est censé être la raison pour laquelle tu as changé ? La raison qui fait de toi ce que tu es aujourd’hui et non l’inverse. De plus, tu me parlais d’être sain d’esprit, de nous deux il semblerait que celui le moins sain d’esprit reste toi. Puis, dernière chose, tu me menaces, je n’ai rien dit qui pourrait amener une telle animosité. Tu aurais changé ? Les mots sont parfois une chose aisée à manier, mais tes actes en tout cas ne semble pas suivre. C’est triste, mais si tu veux te battre, sache que je ne me retiendrais pas. »

Puis, la suite commençait clairement à me déplaire. Cet homme s’amusait à nous faire ressentir nos peurs les plus intimes. Je me voyais là dans un champ de bataille. Mes amis étaient tous autour de moi sur le sol dans une mare de sang et les yeux vides de vie. Puis, je tenais Erza dans mes bras, son corps sans vie me regardait d’un regard plein de reproches. Mes mains étaient elles aussi ensanglantées, je ne savais pas si c’était moi qui les avaient tués, mais je vis Simon qui s’approchait de moi et qui me disait d’un ton solennel « tu les as tués ! Tu n’es qu’un meurtrier !» La peur envahissait mon cœur, mais je ne pouvais pas me laisser abattre. J’avais déjà compris qu’elle était ma plus grande peur et que c’était le fait d’en avoir peur qui pouvait la rendre réalisable. Je ne devais pas, l’ignorer, je devais simplement accepter que c’était une alternative qui me faisait peur, mais je devais simplement avancer. Puis, je revenais à la réalité. Mon Visage n’avait pas fléchi, je n’avais pas peur de mes démons, car je les avais acceptés, j’avais décidé d’en faire mes compagnons d’infortune et de vivre avec tout simplement. De plus, j’avais déjà ressentie cela face à Uriel, je ne me ferais plus avoir une deuxième fois. Aucune technique ne pouvait marcher deux fois sur la même personne. Cependant, je tournais la tête et vit que Meldy était terrifiée. Il l’avait attaqué également, cela en était trop. Elle n’avait rien dit, elle m’avait juste accompagnée, il était hors de question qu’elle souffre elle aussi. Je lui souris et lui demandait de reculer, car c’était mon combat.

Puis, il s’adressait à moi d’une façon assez confuse. Il me menaçait, mais il ne finit jamais son discours. Comme figée par une peur qu’il venait de recevoir. Puis, il s’avançait vers moi, comme s’il me demandait de le tuer. Je restais assez abasourdit par ce revirement de situation. Puis, j’éclatais simplement de rire :

« - Te tuer ? Je ne tue pas par plaisir et il est hors de question que je te tue, mais il serait plus question de t’enfermer dans une prison pour le reste de ta vie. De plus, tu as vu nos peurs et tu t’en es pris à Meldy et pour ça. Je suis loin de te pardonner, pourquoi l’attaquer ? Elle ne demandait rien, elle restait là simplement à observer. Tes actions, tes paroles, rien ne semble rationnelles. On dirait simplement une mauvaise pièce de théâtre. Qui es-tu ? Yoite ou simplement un piètre acteur qui a sombré dans la drogue qu’est la mort ? Ton Dieu qui t’habites est-il si crédule pour avoir choisi un homme aussi faible que toi ? Tu parles de peur, tu as peur du regard des gens. Tu as peur du regard de cette personne que j’ai pu sondé lorsque tu as essayé de me sonder. Abigail c’est ça ? Comment veux-tu qu’elle t’aime, si tu n’es même pas capable de savoir qui tu es ? Accepte ton passé, accepte tes péchés, vit avec et peut-être qu’un jour tu trouveras un moyen de trouver un sens à ta vie pathétique ? Sur ces mots, je te demande. Que souhaites-tu faire ? Je ne te tuerais pas, je ne te proposerais pas de nous rejoindre, car tu es trop loin de la vérité pour emprunter la voie de la rédemption et tu as besoin de la trouver par toi-même. Souhaites-tu me combattre ? Pour comprendre à quel point tu es faible et à quel point tu n’es au final qu’un simple homme effrayé qui ne serait rien sans son Dieu ? »


HRPG : J’ai fait ce que tu m’as dit. De plus, j’ai répondu à chaque fois. Je ne supporte pas voir des paroles sans laisser mon personnage l’occasion de répondre. Tu peux répondre à chaque fois si t’as envie. Je trouve ça plus réelle.


(c) AMIANTE

 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyVen 6 Nov - 22:10

Logan S. Crow
Logan S. Crow

Crime Sorciere

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Oeil pour Oeil, dent pour dent, une vie pour une vie c'est la loi de Talion. Une loi que tu te plaisais à revendiquer ? Non, une loi que tu bafouais pour tes plaisirs meurtriers. Une loi que tu arborais fièrement en lambeau pour ensuite frapper sur et sex comme la roche. Tu étais un assassin ? Tu étais un meurtrier ! Mais un lâche. Pas un de ceux qui peuvent se faire appeler Pisse-culotte ou assassin, non... Tu étais ce que tu appelais un monstre, ce que les autres appelaient une erreur de la nature. Tu étais une chose répugnante dans le fond, et ne pouvait on faire autre chose que te blâmer pour les sottises, les bêtises, les tueries que tu avais orchestrés ? Tu avais bafoue, tu avais tué, séquestré, emprisonné, torturé, détruit tant de vie.

Pour toi Yoite, la loi du Talion prévoyait de te faire subir les préjudices que tu avais causé à la société. Pour toi Yoite, c'était l'heure de rendre tes comptes. Jellal avait frappé, dans sa rhétorique. Il avait lâché ces mots pote que le sang que tu avais fait coulé : il y' avait renié et refusé la mort. Tu n'avais ni eu le droit à la rédemption de sa part, ni u le droit d'emprunter un chemin qui aurait pu t'être tout tracé, ni revendiquer un perso global en offrant ta tête. Il ne te restait plus rien.

- J'en avais besoin. Avant.

Tout ce qu'il avait dit était ancré et encré dans ta tête, et le dieu miaulait de sarcasmes. Il était d'accord avec toi. Malheureusement. Il avait voulu que tu dépenses de lui, tout ce temps, mais jamais ô grand jamais tu n'avais réussi à dépendre de cet abject, immonde, orgueilleux être. Silencieux pot les autres, il était tellement casse pied que tu aurais bien voulu qu'on te coupe la tête pour te défaire de son emprise.

- Va savoir comment, je m'étais mis dans la tête que la vie infecte se devait d'être purgée et j'avais commencé à éliminer les vivants pour les faire accéder plus vite au monde des morts. Si je suis fou - et je le suis sans aucun doute -, néanmoins il n'en reste pas moins que je sais où est ma place. Au bout de ton épée (c'était une expression) ou derrière toi. Si je ne peux pas revendiquer mon pardon, alors tu ferais mieux de partir ou de m'attaquer. Si je ne peux pas être pardonné par ma simple mort, alors que nos fers se croisent. J'ai besoin d'être fort pour aller de l'avant et tu as envie de m'aider non ? Alors décide toi Jellal. Je ne vais pas choisir pour toi ce qui est le mieux pour Fiore. Bats toi, pars, ou prends moi à tes côtés. Pour la fille, je ne voulais pas la terroriser à ce point - je suis capable de faire plus peur que cela en plus -, je voulais seulement vous effrayer juste assez pour que vous ne vous aventureriez pas près de moi.

C'était une piètre justification. Une piètre recommandation. Une piètre pitance à se mettre sous la dent pour toi, Corbeau...
Et pourtant, tu en restais là. Il fallait qu'il apprenne autant que toi. Pour lui, c'était apprendre à protéger ceux qu'il aimait, cette fameuse Titania dont tu avais entendu parler, ou la fille aux cheveux roses qui était planquée derrière l'homme aux cheveux bleus.
Pour toi, c'était apprendre à reconnaître ce que tu devais désormais faire...

 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyVen 4 Déc - 18:38

Jellal Fernandes
Jellal Fernandes

[M] Crime Sorcière

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La fable du corbeau et des sorcières!


Il avait perdu de sa verve verbale. Il était presque sympathique et innocent quand on le regardait comme ça, il me faisait pensé à cet animal effrayé qu’on avait chassé toute sa vie. Pourtant, l’animal chassé ne tuait que par défense et il semblerait dans les histoires qu’il avait tué la plupart du temps par plaisir et non par défense. Sa seule excuse et qu’il en avait besoin avant, comme une drogue, cependant une drogue on peut s’en débarrasser en quelque sorte, mais il suffit d’un choc émotionnel où que la vie ne se passe pas exactement comme prévu pour qu’elle retombe dans la spirale infernale de l’addiction et le meurtre dans son cas pourrait revenir comme la prise d’une drogue quelconque. Il était simplement trop fragile psychiquement pour qu’on puisse lui faire confiance. Puis, il s’exprimait de nouveau. Meldy s’approchait de moi et son regard semblait beaucoup plus franc, beaucoup plus fort qu’auparavant comme si elle voulait ne plus défaillir devant cet homme. Elle n’avait aucune pitié dans le regard, elle était simplement déterminée, mais je ne savais pas pourquoi et il était hors de question que je puisse utiliser mon pouvoir pour sonder ses pensées. Elle me le démontrerait je suppose assez tôt.

Il était tellement bourré de contradiction que son cas pouvait en être risible, mais ça ne l’était point à partir du moment où il avait volé des vies. Il voulait que je décide sa place, mais en quoi je pouvais juger ça, il ne comprenait rien, il était comme un enfant dont le monde et ses complexités étaient bien trop grande pour lui. Il devait réagir, il devait se poser, il devait comprendre qu’il devait se retrouver avant tout. Je regardais ma partenaire et me remis à regarder le jeune homme :

« Ta place, n’est ni derrière moi, ni au bout de ma lame. Qui suis-je pour te dire où est ta place exactement ? Je sais simplement que comme n’importe quel criminel qui a ôté ta vie, tu te dois d’être jugé, tu te dois d’embrasser la voie que tu as choisis. Cependant, pour moi tu es en cet instant incapable de distinguer un seul chemin, tu en vois trop. Tu possèdes trop d’issus dans ton esprit, tu n’es pas seul. Tu es influencé constamment. Je vais te laisser une dernière chance, persuade-moi par un discours raisonnable et avec des arguments que si je te laisse en liberté tu serais capable de ne pas ré embraser la voie de la mort. En effet, pour moi le problème réside dans le fait que tu restes totalement instable. La preuve est que tu attaques des gens simplement, car au final tu as même peur de la vie. La peur peut être quelque chose de fort, quelque chose qui peut te pousser à te surmonter, mais elle peut aussi être l’indicateur d’un grand fardeau, car si tu laisses la peur te commander tu deviens une marionnette qui est incapable d’avancer. Ironique pour un mage qui possède le pouvoir de voir les peurs des gens, mais au final tu es simplement la personne en ce lieu qui présente le plus de peur. »


Je m’immisçais dans son esprit fouillant l’intérieur et lui montrant les images de ses peurs une à une. Pour qu’il comprenne qu’il est simplement le pantin d’une chose qu’il ne contrôle absolument pas. Puis, je m’arrêtais le fixait et lui dit :

« - Maintenant convainc moi où tu finiras en prison. »


(c) AMIANTE

 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyMer 13 Jan - 0:45

Logan S. Crow
Logan S. Crow

Crime Sorciere

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Oh, Fuck You
with Jellal & Jacob/Yoite

T'es con. En un sens, en deux, même en trois sens, t'es toujours aussi fin que cela. Franchement, qu'est ce que tu croyais hein ? Qu'il te trancherait comme on tranche un jambon, ou qu'il te laisserait une place au chaud dernière lui et sa protection. Il est puissant, il est Jellal, et tu ne pourras pas le battre si tu le dois. Il veut t'emprisonner, mais c'est hors de question. La rédemption, c'est ce que tu veux, mais pas en tant que poulet enfermé. Alors tu le défiez du regard, et tu t'approches doucement, lentement vers lui. Il ne te fait pas peur... Il te montre la peur. Mais tu connais quelques parties de son histoire, et tu sais qu'il a été un grand mage noir... Un des plus grands. C'est d'ailleurs ceci qui t'effraie réellement chez lui : il a été assez fort pour passer outre l'ancien conseil et créer cette tour, qui fut frapper d'Aetherion. Tu t'approches, mais pas assez pour pouvoir le toucher, par respect. Respect envers lui, qui malgré sa noirceur a réussi à se repentir... comme toi tu le voudrais.

- Écoute moi bien Jellal. Je n'irais pas en prison. Pas maintenant. J'ai trop de choses à faire. Je dois aller aider les gens que j'ai fait souffrir, sans pour autant réussir à tous les ramener. Et je dois me contrôler.

Il te montre tes perd, tu rigoles, malgré que tes yeux crient ta frayeur.

- Entre voir ses peurs et vivre ses peurs il y a une grande différence... Et tu as raison, je suis celui qui a le plus de peurs ici... Et c'est pire cela que je ne retomberais pas, que je ne flancherais pas. Cette "drogue" qui me conseillait, elle n'est plus. Ou plutot, elle est personnalisée désormais. Seul l'être dans ma tête représente une grosse menace... Tandis que moi... Moi, je n'ai que trop peur de redevenir celui que j'ai été... C'est ça je pense, ma plus grande force. J'ai peur, et je ferais tout pour ne plus subir cette peur.

A deux mètres de lui, tu regardes ses yeux, sans utiliser une seule technique, complètement à sa merci. Dans ta tête, Kyofu crie, et se manifeste mais ses paroles semblent s'effacer devant Jellal le grand et puissant ex mage noir.

- Toi plus que quiconque devrait savoir ce que c'est que la peut d'avoir de nouveau haine de soi, n'est ce pas ? J'ai honte de ce que je suis, et c'est suffisant pour que je puisse dire et affirmer que... je ne retomberais pas. Quand bien même le dieu de la peur voudrait se nourrir, je ne flancherais pas. Et je fais la promesse que je ne le laisserais jamais plus me dicter sa loi. J'ai voulu m'isoler, tu es venu... Alors je traverserais les villes pleines de personnes innocentes, et je ne les toucherais pas. Jamais. Jamais plus.

Puis sur ces mots, tu te retournas, et laissas Jellal agir.
Qu'il t'attaque ou non de toutes façons... Tout ne dépendait plus que de lui. Et il était sûrement bien plus fort que toi. Tu réfléchissais à différentes façons de t'en sortir, à différentes façons de t'en tirer.

Hahaha, tu ne me résisteras jamais, tu le sais ça ? Hahahahahahaha
Oh que si. Je te battrais, je t'ecraserais de tout mon poids et...

Il peut nous entendre pas vrai ?
Qu'est ce que j'en sais ? Il semble lire en moi mais je ne sais pas jusqu'où. Mais s'il lit en moi il devrait connaître ma résolution.
Il sait aussi que je suis fort, et a peur que je te contrôle.
Moi aussi, mais je ne m'abattrais pas.
On verra ~ mon cher Yoite. On verra...


Jellal... À toi de jouer !



electric bird.



 MessageSujet: Re: Confrontation x Jellal & Yoite   Confrontation x Jellal & Yoite EmptyMar 26 Jan - 20:13

Jellal Fernandes
Jellal Fernandes

[M] Crime Sorcière

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Plus je l’entends parler, plus je le trouve risible. Il veut aider les gens qu’il a fait du mal, sans expier ses péchés dans une prison. La justice, était quelque chose d’inviolable, cependant au fond de moi je le trouvais assez touchant et il irait en prison c’était obligé, il avait tué trop de monde pour qu’il puisse simplement s’enfuir comme cela. Il était celui que beaucoup de monde avait surnommé la mort noire. Tu le regardais, mais tu le trouvais d’un côté faible et en même temps assez fort, car il cohabitait avec un dieu, tout le monde n’avait pas ce fardeau et tu le prenais en compte au fond de toi. Cependant, il veut apprendre à se contrôler, n’est-ce pas innocent, tu étais passé par là il y a bien longtemps, pourtant c’était la prison. Les longues heures à me retrouver face à moi-même qui m’avait fait prendre conscience du monstre qui m’avait manipulé. Cependant, l’innocence que j’aurais pu lui accorder était partie y a longtemps, dès le premier jour où il avait pris une vie de ses propres mains.

Puis, il parle de ses peurs, il avoue en avoir, mais justement de par ce fait de trop en avoir, il en devient une personne instable. Il n’a pas de base solides, il n’a pas de stabilité émotionnel, il est régi par la peur de vivre tout cours. On ne peut pas vivre, en ayant peur constamment de rechuter dans une drogue comme il l’a si bien défini. Je l’ai appris moi aussi, mais pour cela il faut réussir à comprendre des choses sur soi-même qu’en étant dans la société nous ne pouvons pas comprendre d’emblée. Puis il se mit à reparler, il semble utiliser les mots mieux que précédemment, comme s’il prenait le temps pour les choisir ce qui est déjà plus adéquat lorsqu’un potentiel adversaire te fait face, cependant l’équation du dieu de la peur est toujours présente. Il reste une variable inconnue qu’on ne peut pas prédire, quand bien même il réussirait à s’en débarrasser, on ne peut fuir un dieu aisément, s’il décidé de revenir, il le fera avec ou sans son consentement.

Il se retourne et me tourne le dos, Meldy me regarde d’un air interrogatif, je pourrais l’attaquer, le rendre inerte et le capture en une simple seconde, mais je l’écoute. J’écoute au fond de lui sa conversation avec son Dieu, il essaye de se battre contre lui. Je me dis qu’il a droit d’essayer et ma voix se mit à résonner :

« - Sache que dans un mois, je viendrai te chercher. Peu importe la forme que tu auras revêtue, peu importe si le Dieu de la peur est présent ou absent. Je serais là et tu devras subir la prison, tu as tué plus que quiconque et tu te dois d’accepter cette sentence. Je viendrai te chercher, mais je te laisse un temps imparti. Prend cette chance comme une simple chance de te racheter un minimum. Le jour où j’apparaîtrais, tu devras me suivre sans histoire. Sinon, j’emploierai la force. »

Sur ce, je me retourne remettant mon capuchon. Entraînant Meldy avec moi, encore un peu secouer par l’attaque qu’elle avait reçue.

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