Sujet: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Sam 22 Mar - 5:46
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Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Lun 24 Mar - 19:31
Sybilia Philips
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Titre : Je pète, t'explose Crédit : Grizz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (17372/35000) Mérite: (755/800)
Hide and seek
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Je me lève de mon lit droite, fatiguée, ébouriffée et surtout écoeurée. Je regarde vers le comptoir et je vois encore ces foutues céréales que je n’arrive pas à me débarrasser. Elles sont dégoûtantes, goût que je ne classerais pas tellement qu’elles ne valent pas la peine d’être mentionnées. Je boude et m’étire le cou vers ma fenêtre collée à mon lit. Le soleil est bien sorti, la garde est bien présente, les gens sont bien occupés et moi, je suis bien…nue? Je tire mes draps vers le haut pour constater que finalement… je ne suis pas seule. Lui. Il est là, encore là : j’ai succombé une fois de plus. Je l’enterre sous mes draps pour oublier l’idée qu’il existe juste pour déjeuner. Je me lève et prends un muffin qui traîne dans l’armoire. Carottes et son, pas mal, du moins c’est beaucoup mieux que ces fichues céréales… Je me lave, je m’habille, je fais tout le nécessaire avant de… oui, toujours là à dormir. Je soupire et prend la boîte de céréales d’une main et me rend à mon lit. Il est couché sur le dos : tant mieux. Assise à cheval sur lui, le drap l’entourant de tout son être j’attends qu’il inspire un bon coup par la bouche pour verser les céréales qui restent. Il se réveille d’un coup sec et tente de se débattre alors que je ris de lui. Il manque de s’étouffer, mais je ris. Il crache et il grogne, mais je souris. Il se calme et sourit à son tour :
« Allez! Debout là-dedans! Je dois partir! »
« C’est brutal comme réveil, t’aurais pu jouer avec moi pendant que je dormais, ça aurait pu être plus douillet… »
« Pas le temps, allez dégage! On en reparlera au boulot! »
Il soupire, mais je sais qu’il comprend mon point de vue, il l’a toujours compris. Il se lève et s’habille avant de partir la mine basse… comme à chaque matin. Je soupire à mon tour et me rends au travail. À peine ai-je pénétrée le bloc qu’un dossier m’est tendu. Déjà? Je l’ouvre et feuillette rapidement son contenu. Des habitants disparus dans une ville dont on n'a quasiment jamais entendu parlé. Que leur étaient-ils arrivé? Je poursuis ma lecture, mais rien. Aucune information qui puisse me donner le moindre indice de quoi que ce soit. C'est à moi à mener cette enquête. J'hoche la tête et lui remet le dossier après une signature en bas de page et je tourne les talons. J'utilise les transports en commun pour me rendre. Des gens me reconnaissent et s'éloignent d'autres me saluent, d'autres m'ignorent, mais je m'efforce de sourire. Je ne perds pas la face et me rend à l'endroit où je suis sensé rencontrer l'informateur.
C'est bruyant. Je ne suis même pas entrée que déjà l'endroit me casse les oreilles. Une voix féminine lancée, provocante, un autre homme, puis l'ambiance revient toute aussi vivante. J'ouvre la porte en faisant claquer les clochettes entre elles. Les gens se retournent et le silence se fit. Je souris bêtement en refermant la porte derrière moi et je tente de m'enfuir des regards vers l'aubergiste. Assise sur le tabouret, je lui signale le nom de l'homme que je cherche, mais il semblerait qu'il soit déjà occupé... Je lève les yeux et le vois en train d'attirer toute l'attention des gens avec tout et n'importe quoi. J'aurais beau élever la voix, ça ne servirait à rien. Ces gars-là parlent si fort que j'ai du mal à m'entendre penser. Je fis quitter un papillon de ma paume de main qui vola à toute vitesse vers une des planches du plancher. Le bout explose et avec le poids du pied de l'homme qui s'écrase dessus au bon moment, il se passe l'effet du râteau et la planche se lève en plein dans sa figure, le sonnant sur le coup et attirant les rires encore plus éléphantesques des autres clients.
Je m'approche en vitesse pendant qu'il est en sourdine et le tire par le collet pour le faire asseoir sur mon tabouret. Il secoue la tête pour reprendre ses esprits et m'épie, ne sachant pas qui je suis ni ce que je veux. Je croise les bras et prends un air sérieux, sévère, provocateur qui saura peut-être faire aller sa langue dans le bon sens:
« Alors, tu vas me raconter cette histoire de disparitions? »
« Mais... c'était ce que j'étais en train de faire! »
« Ah oui à tous ces crétins qui veulent connaître tous les ragots et déformer le mythe par le bouche à oreilles? À moi, tu vas me la raconter du début, suis-je claire? »
« Vous êtes qui pour parler à un raconteur de cette façon, hein? »
« Le Conseil de la Magie m'envoie alors si tu ne parles pas, on me donne l'autorisation de faire ce que je veux pour obtenir... ce que je veux. »
« C'est bon! Pas besoin de... enfin. Écoutez bien... »
J'ai l'homme juste pour moi. Notre conversation est disons... recroquevillée entre nos deux têtes et personne ne peut entendre. Le premier qui ose approcher trop près, je le dévisage et je le force de dégager. Oui, le Conseil a changé depuis le temps, j'ai changé aussi. Seulement, au point où nous en sommes, avec nos nouveaux supérieurs, on n'a pas vraiment le choix de suivre si on ne veut pas perdre notre boulot...
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Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Sam 5 Avr - 7:00
Titre : Je pète, t'explose Crédit : Grizz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (17372/35000) Mérite: (755/800)
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L'homme se plie à mes exigences et me raconte l'histoire, enfin les choses qu'il a entendues concernant un village dont ses habitants disparaissent sans laisser de traces. Aucune trace, aucun témoin: seulement des maisons vides, des familles qui rapetissent à vue d'oeil. Il m'en apprend un peu plus que ce qui était dans le dossier, soit le lieu où trouver ce village et les suppositions que laissent présager ces disparitions et des étrangers qui ont pénétré la ville quelques semaines plus tôt sans en sortir. Je prends une pose pensive et je réfléchis. Seraient-ce ces étrangers la source du problème? Ou bien cette supposition tente-t-elle de m'amener sur une fausse piste pour me voiler la véritable cause du problème? Il continue à donner des informations superflues que je ne considère pas importantes.
Puis, il y eu une femme d'environ mon âge qui s'incruste et pose son tabouret à notre table et fait mine de nous écouter. Comment ose-t-elle s'interposer dans une enquête comme celle-là? Je prends un air sévère et perd mon confort et la scrute de la tête aux pieds. À première vue, elle m'a d'avantage l'air d'une curieuse qui ira répandre les rumeurs à la ville entière en déformant les détails, le genre de femme qui ira semer la panique à toute la ville. Je me retourne complètement et la fusille du regard. Elle a l'air de s'en foutre, de se croire au-dessus des lois, elle ne me connaît pas. Une seule chose traverse mes lèvres:
« Qui le demande? »
Quoi de mieux que d'identifier l'inconnue qui s'incruste? Je veux dire, on a assez de mystère comme cette enquête sous les bras qu'une fille sans nom représente une potentielle cible du Conseil. Tente-t-elle d'entraver mon travail? J'attends qu'elle réponde, qu'elle se présente. L'homme garde le silence sous mon ordre. Je veux bien croire que ces histoires peuvent être racontées à n'importe qui, mais là maintenant, c'est le Conseil qui bosse, alors bats les pattes jeune femme. La tension monte, les gens autour ravalent leur salive et boivent rapidement le reste du contenu de leur verre et commencent à déserter. Je souris en coin, amusée par la peur qu'une simple discussion peut engendrer chez les citoyens...
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Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Mer 9 Avr - 9:25
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Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Mer 9 Avr - 23:39
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L’insolente espionne me tient tête. Elle m’oblige même à me présenter avant elle. Je serre les dents et me tourne la langue une bonne centaine de fois avant de parler. Oui je me souviens de tes sages paroles patron, je dois m’abstenir de noircir la réputation du Conseil en surveillant mon langage. Avec le temps, mon cœur, comme mes mots se sont noircis. J’ai suivi et je suis encore aujourd’hui les convictions du Conseil jusqu’au bout. Ce n’était pas mon truc au début, mais maintenant que j’ai grandi, que j’ai vieilli, j’ai appris à me désensibiliser à la torture, j’ai appris à travailler avec la façon de nos nouveaux dirigeants. Je veux dire, au départ, tout était fait en douceur et ce côté ténébreux du Conseil était mis à l’écart, loin des oreilles, loin des yeux de tous ses membres. Ça a changé, mais en public, on doit jouer les hypocrites et les fidèles serviteurs du peuple. La seule chose que j’aime dans cette façon de faire, c’est que personne sauf un membre du Conseil de haut gradé n’a le droit de nous donner des ordres et ça, on a bien le droit d’engueuler qui que ce soit de tenter le coup.
Et nous voilà à nous fusiller du regard pour une question de nom. Nos yeux sèchent, l’interrogé sue comme un porc tellement il y a de tension dans l’air. Ce filet électrisant qui relie nos yeux peut éclater à tout moment. Sauf que si je veux avancer dans cette mission, je dois cesser d’être têtue et je dois entendre la fin de cette histoire. Je grince les dents et lui donne les dernières secondes de mon regard dévastateur juste pour m’assurer qu’elle ne cèderait pas par le plus grand des hasards et laisse passer un soupire de mes poumons pour mettre un terme à cette querelle inutile :
« Je suis Sybilia Philips, agente exécutante du Conseil de la magie. Et j’aimerais connaître le nom de celle qui tente d’entraver mon enquête de par sa présence disons… téméraire. »
Oh, bien joué Sybi sur ce coup-là! Tu t’es retenue de l’insulter. Enfin, après une discussion comme celle-là, on sera tous surpris si cette auberge n’explose pas! Et j’attends qu’elle me réponde à son tour, j’attends de connaître sa venue en ces lieux, j’attends pour connaître la fin de cette histoire, de connaître d’autres détails qui ne me seront peut-être pas tous utiles, mais au moins j’aurai fait un lien entre les personnes, les bâtiments et les événements de cette ville fantôme. Mon témoin tente de s’éclipser sous la table, mais mon pied vite levé sur son torse, le clouant à sa chaise coincée contre le mur l’empêche de bouger. Il tremble, mais je n’ai pas terminé avec lui…
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Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Jeu 10 Avr - 0:19
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Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Jeu 10 Avr - 23:27
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Peas... Peas... où ai-je entendu ce nom déjà? Elle sourit à sa victoire alors que moi je prends une pose pensive. Je l'ai sur le bout de la langue... Ah oui... je souris: Phantom Lord. Comment ne pas savoir si son ancien maître était mon meilleur ami avant de déserter? C'est donc à cela qu'elle ressemble? Pourquoi n'a-t-elle pas rejoint une autre guilde si l'ancienne est fermée? Pourquoi joue-t-elle la solitaire alors qu'elle aurait plus de travail et de prestige auprès d'une guilde légale? Je fronce les sourcils, le reste de mes traits se durcissent et je croise les bras. Elle m'accuse d'entraver son boulot. Là, tu te trompes ma vieille. Puis elle en ajoute, en met bien épais sur sa brique. Ta pente est glissante et avec moi, tu vas glisser comme sur une pelure et banane et je serai là pour te pousser avec mon pied pour te voir t'écrouler tout en bas de la falaise.
« La disparition des habitants n'est pas un boulot pour des mages de bas de gamme comme toi. C'est plutôt les mages solitaires qui sont considérés comme étant sur le chômage. On ne vous considère pas à votre stade, alors sois gentille si tu ne veux pas que je te mette en cage, tigresse. »
Puis je pousse un long soupire, longue exaspération qui prouve que je me retiens de lui sauter au visage, qui montre cette maturité obscure qui s'est développée en moi. Plus de petite fille prude et innocente, mais une arme importante du Conseil, une femme qui est prête à faire coffrer n'importe quel mage qui causerait chaos sur Earthland parce que oui, le Conseil n'existe pas seulement ici à Fiore, mais il travaille sur l'ensemble de la planète. Nous ne sommes pas ici pour régner, nous sommes ici pour décourager les criminels, leur montrer que nous ne sommes plus pourris, plus mous comme de la gélatine, mais que nous les attendons de pied ferme.
« Cependant... je suis prête à te filer une partie de la récompense qu'on m'offre si tu tiens tant à m'accompagner dans cette aventure. Tu marches? »
Je suis chiante, mais je ne le suis pas jusqu'au bout. Je sais ce que c'est que de perdre des camarades, ce que c'est que d'être indépendant du jour au lendemain. Intégrer une guilde n'est pas si facile que cela. Tout est une question de confiance et de partage d'opinions. J'attends de voir sa réaction avant de lâcher le type avec mon pied pour l'interroger. Et ainsi va l'interrogatoire: Il ne me dit pas grand chose de plus, mais il me fournit le nom de quelques disparus qu'il connaît. C'est déjà un endroit où débuter notre enquête. Quand on juge qu'on a assez d'informations, on quitte l'auberge et on se rend sur place. Disons que... l'endroit est désert, on suppose que les gens n'osent pas sortir de chez eux de peur de se faire kidnapper.
« Je suis contre l'idée de se séparer aussi longtemps qu'on ne saura pas ce qui cloche ici, d'accord? Si tu te fais kidnapper aussi, je ne sais pas si je pourrai aussi te ramener... »
Pour le reste, je vais surveiller ses arrières. Si elle veut sa récompense, autant la laisser travailler un peu...
Sujet: Re: Hide and Seek [Pv: Sybilia Philips] Mar 15 Avr - 16:50
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Titre : Je pète, t'explose Crédit : Grizz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (17372/35000) Mérite: (755/800)
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Je suis sincère dans ce que je dis, juste en tous points et je tente de rester loyale à mes principes, mais cette garce-là, je vous jure que j'ai envie de la faire exploser, de l'empoisonner à mort et et l'envoyer au directeur pour qu'elle se fasse battre jusqu'à un dernier os brisé soit craqué. Malgré tout ce qu'elle puisse me dire, je garde mon calme. Professionnelle, je ne réagis pas à des "grand-mère" ou à des "gros postérieur". Je soupire et lui tourne le dos carrément, ignorant ce qu'elle puisse penser, souhaitant qu'elle se fasse attraper elle aussi et qu'elle me supplie de venir la sauver. En plus de ne rien faire et de dire que nous ne sommes pas productifs, elle ne se bouge pas le derrière pour travailler un peu. Elle ne comprend pas que je veuille partager les tâches.
Je monte les quelques marches qui m'amènent à la porte de la première personne à interroger sur le sujet. Je frappe quelques coups discrets pour éviter de faire sursauter toute la maisonnée de notre présence. La porte ouvre et grince et montre le bout du nez du résident de la demeure. Petit homme fragile, tremblant, à qui il manque plusieurs dents dans la bouche. Je lui souris pour apaiser l'atmosphère pesant sur nos carcasses. Il se tourne vers Elena et tente de refermer la porte aussitôt, mais mon pied y est déjà posé. Je ne fais pas un pas de plus, je veux seulement qu'il comprenne qui nous sommes:
« Écoutez monsieur, je suis Sybilia Philips du Conseil de la Magie et j'enquête sur la disparition des gens de cette ville. Pouvez-vous nous aider? »
Il hésite, mais il ouvre finalement la porte, libérant mon pied qui s'est sûrement pris une sacrée ecchymose à la suite de cela. Il hoche la tête et laisse la porte ouverte derrière lui pour nous permettre d'entrer. Il se dirige vers le salon et je le suis lentement pour ne pas ajouter plus de frayeur qu'il n'y a dans cette maison. Il éteint son téléviseur et s'assied sur son fauteuil au bord de la fenêtre et se laisse bercer. Je me dirige vers le sofa et prends place aussi. L'homme me paraît triste, désemparé. Quelque chose lui manque terriblement et cela se lit que trop bien dans ses yeux. D'une voix empathique, j'engage la conversation:
« Qui vous manque à ce point, Monsieur Hipkins? »
La lèvre inférieure se met à trembler et un ras-de-marée de larmes noie ses yeux. Je veux aller droit au but pour nous faire gagner du temps, mais la délicatesse manque, mais j'ai tout mon temps, alors je patiente, le temps qu'il ravale ses émotions.
« Ma... ma femme et mon petit-fils. »
Tout compte fait, lorsque je me retourne vers une table le long du mur, il y a cette photo qui rassemble sa femme, lui et le petit-fils en question. Il doit bien être qu'un peu plus jeune que moi. Sa femme a l'air beaucoup plus en forme que son mari. Hm... Je commence à voir clair, mais rien n'est certain. Si c'est bien ce que je pense, notre venue ici n'est qu'en fait un piège pour permettre aux ravisseurs de gagner plus rapidement.
« J... J'étais assis à l'arrière quand ils ont disparu. Ma femme cuisinait le repas et notre petit-fils étudiait. Tout s'est passé si rapidement... je n'ai vu personne ni entendu quoi que ce soit... »
Le plus qu'il pouvait nous dire est déballé et il se remet à sangloter. Je soupire sans bruit et me tourne vers Elena. Cette fois, pour cette dernière fois, j'attends son avis, j'attends un signe de vie favorable qui puisse me prouver que je peux lui faire confiance. Signe que je peux compter sur elle pour cette mission et c'est sa dernière chance de me démontrer ce qu'elle vaut.