Hiromi est une jeune fille qui avait une grande bonté dans son enfance. Mais désormais, la magicienne ne sait plus quoi penser de ses propres sentiments. Mais est-ce à cause de son pouvoir? Il est celui de la lumière, mais ses propre ténèbres essaient de lui enlever toute ça bonté jusqu'à ce qu'elle perde tout bon sens... Elle est aussi très discrète, et évite de parler avec les personnes qu'elle rencontre. Mais étant aveugle, elle ne voit pas ses interlocuteurs, donc il est peut être normal qu'elle ne réponde pas aux phrase qu'on lui dit. Après tout, si elle ne se tourne pas dans le bon sens, elle risque d'avoir l'air d'une idiote. Mais elle a une bonne ouïe, "grâce" à son incapacité de voir. Mais elle peut avoir l'air de regarder les gens avec mépris ou avec un ton hautain lorsqu'on la connais mal. Car elle veut éviter de se faire des amis, mais cela peut la faire rapidement se faire haïr des autres. Pourtant, malgré ses discrétions, ou ses "défenses péjoratives", elle ne peut supporter les injustices ou les violences, surtout envers les enfants. C'est d'ailleurs l'une des seules causes pour lesquels elle pourrait se battre.

La magie d'Hiromi est celle de la lumière. Celle-ci lui permet entre autre, de réussir à à peut près voir comme tout le monde, mais s'épuise très rapidement.
Avantages: Peut être aussi défensive qu'offensive, lui permet de voir ses adversaires quand elle l'utilise.
Inconvénient: Dépense beaucoup d'énergie magique que d'énergie physique. Ses attaques ne sont pas très précises lorsqu'elle combat une personne trop éloigné.

Prologue: Ce qui c'est passé avant l'aprantissage de la magie d'Hiromi:

Je suis née dans un petit village à l'est de Fiore. La bas, le vent ne s’arrêtait jamais. On entendait que son souffle. sans interruption. Etant née aveugle, je ne pouvais pas aider mes parents, à leur travaux, mais je rêvait de voir pour au moins, les aider un peu. Après tout, que ressentirez-vous si... Si vous étiez inutiles dans toutes les choses physique? J'avais l'impression d'être un fardeau pour mes parents. Je ne pouvais même pas faire un pas sans tomber ou marcher sur quelque chose qu'il ne fallait pas... Briser un objet... J'étais constamment obligé de rester dans ma chambre, sans bouger. Mais quand je pouvais mettre un pieds dehors, j’essayais d'aider les autres comme je pouvais. Et puis, un jour, un homme mystérieux arriva dans le village...


Chapitre 1: Un voyageur mystérieux:

L'homme étant arrivé au village n'était pas commun. Premièrement, il faisait à peu près deux mètres. Deuxièmement, habituellement, les voyageurs venant dans le village ne restaient qu'un ou deux jours, le temps de refaire leurs provision avant de repartir vers les villes se trouvant au sud-ouest du village. Mais cela faisait bientôt une semaine qu'il était là, et les habitants commençaient à se méfier. Personne ne voulait l'approcher, de peur de se faire tuer. Je savais bien que les villageois étaient assez méfiant des personnes sortant de l'ordinaire, mais là, je crois qu'ils en faisaient un peu trop. Mais je ne savait pas à quoi il ressemblait, alors je ne pouvait pas vraiment donner mon avis sur la question. Puis, un jour de la deuxième semaine où il était là, je sortis de mon lit, puis commençai à tâter le mur pour savoir où était la porte. Je commençai alors à descendre les marches prudemment, et je suivit du bout des doigts les murs jusqu'à arriver devant la porte sortant dehors. J'essayai de l'ouvrir... Elle était fermée à clé. Pourquoi essayais-je de sortir de la maison Ce matin là? J'avais peut être besoin de prendre l'air. Ou par... Simple curiosité sur le voyageur peut être. Je ne sais pas trop pourquoi, mais il n’empêche que je suis sortie ce jour là. Je continuai de tâter le mur à coté de la porte à la recherche du trousseau de clés. Trouvé! Je le pris doucement et essayai de trouver la bonne clé tant bien que mal en essayant de bien la mettre dans le trou de serrure. C'était plus compliqué que lorsque j'entendais mes parents le faire. Pour eux, je les entendais juste prendre les clés, en enfoncer une dans la serrure, la tourner et le tour était joué. Mais malheureusement, les choses sont toujours plus facile à dire qu'à faire. Une fois que j'eus perdu 5 à 10 minutes pour ouvrir la porte, je sortis prudemment de la maison. Je sentis alors une brise légère sur mon visage. Une que je n'avais pas sentie depuis bien longtemps. Je me mis à avancer au début en tâtant le mur, mais je dus bien vite me résigner à marcher à l'aveuglette dans le village. Je n'avais rien pour me retrouver. Aucun son menant vers d'autres maisons pour me retrouver rien. Et c'est ainsi que je finis par tomber dans une décente sans même savoir à quel endroit du village je m'étais retrouvé. Quelle idiote j'avais été! "Et maintenant? comment vas-tu rentrer à la maison petite fille stupide?" M’asséna comme une flèche ma maudite conscience d'enfant. Le problème, c'est que je n'avais rien pour répliquer. La sortie de la maison, ma glissade dans la descente... Tout ça était de ma faute et de ma faute seule. Puis, recroquevillé sur moi même comme une tortue, je commençai à pleurer. Par ma faute, je ne savais maintenant ni où j'étais, ni si j'allais pouvoir rentrer un jours. La pire journée dont j'aurais pus cauchemarder. Soudain, j'entendis des bruits de pas venant d'en haut de la pente. Ils avaient l'air d'être lourds, mais je ne pouvais rien savoir de plus. Je me retourna tout de même pour ne pas qu'on pense que je ne voyais pas ce qui était vrai, mais stupide de faire ça puisque tout le monde dans le village savait que j'étais aveugle. Mais étrangement, ce fut une voix que je ne connaissais pas que j'entendis.


Chapitre 2: Conversation avec un homme de deux mètres:

- Est-ce que ça va petite?

Cette voix était lourde, rauque et imposante, mais en même temps douce, chaude et rassurante. C'est assez dure à expliquer. Disons, que même si elle était très grave, elle inspirait confiance.

- Oui... Je vais... Je vais bien.

Je finie par me tourner vers la voix. Qui était cette personne? Et à quoi ressemblait-elle? Ou plutôt, à quoi ressemblait-il puisque c'était la voix d'un homme? Je finis par me demander si je m'étais tourné dans le bon sens. Je ne m'étais basé que sur le son de la voix après tout.

- Tu es sûre?

Oups, je m'étais tourné un peu trop à gauche, ce qui faisait que mon interlocuteur me voyait de trois quart et non de face! Et zut. Pourquoi est-ce qu'il fallait que ça arrive dans ces moments? Je ne savais plus quoi répondre, et restai maintenant silencieuse. Mais était-ce une solution? Si ça se trouvait, j'allais avoir l'air encore plus stupide que je n'en avais déjà l'air... Je finis par me relever péniblement et commençai à remonter la pente prudemment. Mais pourquoi n'avais-je pas pris une canne? Ça aurait pu m'éviter tout ces problèmes! Sauf que je n'y avais pas pensée, et puis, ce qui était fait était fait. Puis je percuta quelques chose. Et en me parlant à moi même (dans ma tête), je me dit: ° Hiromi! Je t'avais pourtant dit de faire attention! Qu'est-ce que tu ne comprend pas dans le mot AT-TEN-TION?! ° Mais à quoi est-ce que ça pouvais bien servir m'engueuler intérieurement? A strictement rien. J'entendais les pas de l'homme qui se rapprochaient. Il remontait à son tour la pente.

- Euh... Ne vous inquiétez pas, je vais bien!

En y repensant, c'était stupide de dire ça, puisque je venais de percuter quelques chose d'assez dure. Un arbre peut être? Puis je sentis comme un liquide couler sur mon front. Ah oui, d'accord... Je m'étais cogné un peu plus fort que prévu.

- Attends moi là. Je vais chercher de quoi te soigner.

J'étais gêné. Non seulement je n'avais aucunement réussi à avoir l'air d'une enfant normale, mais en plus, j'avais réussi à me cogner contre un arbre! J'attendis pendant quelques minutes avant que l'homme ne revienne et que je sentis une chose humide être passé sur mon front.

- Je vais te raccompagner.

Je n'aurai pas répondre, et il me ramenai chez moi. Mais j'étais sûr d'une chose. Il avait compris que je ne voyais rien.

- Habite tu ici depuis longtemps?

- Hein? Euh... Oui.

- Alors tu as beaucoup de chance. Cet région est assez tranquille.

Cette région était tranquille? Celà voulait il dire qu'il y avait des endroits ravagés en ce moment?

- Je n'en sais rien. Je ne suis jamais allé autre part en dehors d'ici...

Je m'arrêtai quelques secondes, puis repris:

- Et puis, je ne pense pas vraiment voir la différence...

- Même aveugle, tu pourrais la sentir rien qu'aux sons.

Je voulais lui demander comment, lorsque nous arrivâmes devant le palier de la maison. Il me dit alors qu'il devait partir, sans plus d'explication, et je dûs rentrer toute seule. Alors, ma mère me pris d'un coup une fois que j'eus ouvert la porte.

- Qu'elle inconsciente! Pourquoi était tu avec cet homme?!

Hein? C'était l'homme dit louche l'homme qui m'avais aidé?