Nywell apparait souvent comme une personne confiante et sûre d’elle. Elle dégage un charisme qui ne laisse que peu de monde indifférent. Modérément coquette, elle arbore un féminisme intriguant avec un côté branché et sensuel. Elle aime qu’on la regarde mais n’apprécie pas qu’on l’aborde. Aller à sa rencontre peut devenir un chemin de croix, de par son passé, elle risque d’envier et de jalouser ceux qui ont été plus chanceux qu’elle. Inconsciemment, elle érigera des barrières dans toutes les relations qu’elle créera, si elle se sent émotionnellement en danger, elle se fermera et fuira la conversation. Nywell s’est construite au travers du regard des autres, elle s’adapte en permanence et se donne parfois des rôles. Réussir à pénétrer son armure n’est pas chose aisée mais avec les mots justes et du temps, elle peut s’ouvrir à vous. Elle refuse d’admettre ses faiblesses et de montrer son aspect fragile à qui que soit, elle veut paraître forte et « cool » à tout moment. Mais au fond d’elle, il y a toujours cette petite fille qui rêve qu’on la prenne dans ses bras et qu’on la cajole. Elle est d’une nature défensive, elle voudrait bien baisser sa garde mais son pessimisme la prépare toujours au pire. Nywell est d’une clairvoyance assez surprenante, elle est une très bonne juge de caractère. Elle étudie souvent les faits et gestes de chacun avant de les classer selon ses standards. Son comportement la pousse souvent à la solitude, ce qu’il ne la dérange pas outre mesure, étant donné qu’elle se réfugie dans la musique et son imagination.

Sa perception du bien et du mal est assez vague, et la frontière en est floue. Mensonge, cruauté et hypocrisie ont toujours fait partie de sa vie, elle a du mal à réaliser que ces valeurs là sont négatives. Nywell peut-être socialement très maladroite ou sèche sans le vouloir. Elle est aussi sujette à un égoïsme prononcé qui la pousse à ignorer les sentiments d’autrui et à un « je-m’en-foutisme » agaçant. De par son passé tourmenté, Nywell dors très mal la nuit, ses cauchemars sont d’une violence inouïe et peuvent être qualifié de terreurs nocturnes. Elle reste généralement éveillée et préfère dormir le jour en faisant la sieste. Elle est aussi sujette à des moments de nostalgie mélancolique, elle peut passer des heures à observer un arbre et ne penser à rien, une expression triste figée sur le visage. Etre surprise dans ces moments de faiblesse est sa hantise, si cela devait arriver, elle ne saurait même pas comment réagir, cela ne doit jamais arriver…

Aussi loin qu’elle se souvienne, Nywell avait passé sa petite enfance dans un orphelinat crasseux des quartiers pauvres de la capitale de Pergrande Kingdom, Arum. Une ville où la misère sans nom côtoie le faste et l’opulence au quotidien. La vieille bâtisse semblait tenir debout par miracle, et seules les filles étaient admises en ce lieu. Les habitants surnommaient ironiquement les orphelinats pour filles « Réserve de chair à plaisir » et ceux des garçons «Réserve de chair à canon ». Les mauvais traitements et les privations étaient nombreux. Les « grandes » véhiculaient souvent des histoires terrifiantes aux petites comme elle, certains enfants disparaissaient du jour au lendemain et les repas n’étaient servis qu’une fois sur trois. Le calvaire journalier était fait de corvées et de tâches ménagères ayant pour but de rentrer quelques pièces d’argent, pour acheter du pain, mais surtout de l’alcool pour les tenancières de l’établissement. Violence allait de paire avec obéissance dans ce taudis, les « grandes » faisaient la loi, et Nywell apprit à courber l’échine rapidement. Un peu après sa 5ème année, l’une des responsables de l’orphelinat vint la chercher et l’amena prendre un bain. Un luxe inconcevable qui fut parachevé par l’offrande d’une robe non trouée ni recousue. La jeune fille reçue pour seule explication le fait qu’elle allait être adoptée. Ce fut le cœur battant à tout rompre qu’elle suivit la tenancière dans une sombre ruelle à la tombée de la nuit. Elle trouva le lieu étrange mais n’émis aucune réserve, elle voulait tant échapper à cet enfer qu’elle ne se doutait pas que pire encore existait. Il n’y avait qu’un homme au rendez-vous et il semblait plutôt nerveux, presqu’autant qu’elle. La conversation se fit sur la beauté de Nywell, ses longs cheveux argentés et ses yeux vert-de-gris. Puis la négociation s’entama, et le prix de cette petite « perle » se débattit autour de 12 pièces d’argent, une fortune pour cette dernière. En les entendant parler, Nywell prit peur, ces histoires de « gratitude avec la bouche » ne s’apparentait pas au fait de dire merci. Les paroles « chair fraiche » et « finira comme les autres » la mirent encore plus mal à l’aise. Malgré son jeune âge, elle savait que quelque chose n’allait pas, même si elle ne pouvait l’expliquer. Sans raison apparente, elle prit subitement ses jambes à son cou et s’égara dans une autre ruelle. Là, la confrontation surprise avec un rat, ma foi, d’un fort beau gabarit, la laissa tétanisée par la peur. Elle voulut crier, elle voulut s’enfuir à nouveau, mais au lieu de cela elle choisit de s’évanouir…

Elle se réveilla plus tard, près de la chaleur confortable d’un feu de camp. D’un geste crispé, elle tira la couverture sur elle avant de se redresser brusquement. Il y avait d’autres enfants autour d’elle, ils étaient quatre, tous âgé d’environ 6 à 8 ans. L’aîné s’approcha et la rassura d’une voix douce, il lui expliqua qu’ils étaient dans les égouts et qu’elle était saine et sauve dans le « Refuge ». Il s’appelait Kai, il était le leader de cette bande de joyeux drilles. Voyant sa réticence, il lui sourit avec bienveillance et d’un geste de la main il généra un glyphe magique tout en murmurant : « Doll Control ». Un petit ours en peluche tapota de sa paluche délicate l’épaule de Nywell, elle se retourna avec surprise et l’observa. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres, un de ses sourires de petites filles émerveillées qui fait fondre les cœurs. Elle le serra dans ses bras de toutes ses forces, les autres rièrent devant cet engouement inattendu. L’un d’entre eux se mit à jouer de la flûte et Kai fit danser la peluche en rythme avant que Nywell ne s’y joigne, désireuse de partager ce moment de bonheur surréaliste. Ces scènes de joie et d’allégresse combinées à la misère et au vol de survie devinrent son pain quotidien. Elle admirait Kai, ce grand blondinet au pouvoir magique, avait le sourire franc et facile. Il portait sur ses épaules le fardeau des quatre autres, toujours de bonne humeur, il faisait contre mauvaise fortune bon cœur. Et de la bonté, il en avait à revendre ! Nywell le trouvait étincelant, il était sa lumière, son bienveillant protecteur. Tout les soirs, elle insistait pour qu’ils dorment côte à côte, et pour qu’il lui caresse les cheveux jusqu’à ce qu’elle s’endorme. Sous sa tutelle, elle se découvrit des pouvoirs magiques, notamment la fois ou elle eut électrocuté un commerçant qui voulait l’emmener voir les autorités pour avoir chipé une pomme. Autodidacte, il lui avait apprit le peu qu’il savait entre les palpitantes courses poursuites dans la ville et le stress du vol à l’étalage. Kai pouvait parfois être triste, mais il suffisait que Nywell vienne se blottir dans ses bras pour qu’il reprenne le sourire. Elle lui avait même solennellement promis de l’épouser quand elle aurait 18 ans. Nywell était heureuse, et elle aurait voulu que leur situation dure pour toujours, mais le destin en avait décidé autrement. Le jour de son anniversaire des 10 ans, Kai avait souhaité lui faire une belle surprise, il s’en était donc allé dans les beaux quartiers à la recherche de quelque chose qui « brille ». Il jeta son dévolu sur une splendide bague qu’il vit au doigt d’une noble dame, en usant du « Doll Control », il créa une diversion et délesta sa victime avec agilité. Ses compères avaient réussit à dérober un gâteau entamé et une poignée de bonbons. La surprise fut réussie ! Et alors que la fête battait son plein dans l’insalubrité des égouts, une rafle les prit de court. Malgré leur résistance et malgré les pleurs et les cris, tous furent attrapés, Nywell et Kai furent mis à part en tant qu’utilisateur de magie. Dans le wagon prison qui les emmenait on ne sait où, ce dernier se mordit les lèvres jusqu’au sang lorsqu’il comprit que la bague contenait un traqueur magique. Nywell ne l’avait jamais vu aussi en colère. Entravée de menotte magique, elle vint se blottir contre lui comme elle le faisait à son habitude. Il se calma et annonça d’une voix sérieuse : « Nywell, quoi qu’il arrive j’honorerais notre promesse, je serais là le jour de tes 18 ans et je passerais ma vie avec toi. ». La jeune fille acquiesça avec un sourire, persuadée qu’il tiendrait parole…

Les 4 années qui suivirent furent oblitérés de sa mémoire de son propre fait, seuls quelques souvenirs fragmentaires refusèrent de se dissiper. Nywell fut soumise à de nombreuses expériences dans le cadre du projet d’enfants soldats du royaume de Pergrande. Cette période de sa vie est la source de ses terreurs nocturnes. Bien que le mécanisme d’auto-défense de sa psyché est tenté de tout effacer, il subsiste encore des reliques dans son esprit. Elle en porte encore quelques cicatrices éparses qu’elle cache sous ses vêtements. Inutile de dire que tout cela la hante et la met très mal à l’aise. Elle a l’impression de batailler constamment contre une sorte de souillure interne.

Nywell ne s’en rappelle pas mais elle a été mêlée à l’incident de Kyokuta, village frontalier entre le royaume de Pergrande et l’Empire de Sin. De violents combats eurent lieu pendant toute une semaine qui se soldèrent par le massacre de toute la population civile du village de Kyokuta par les troupes de Pergrande. Nywell, alors âgée de 14 ans, fut retrouvée inerte et couverte de sang non loin de là par Georg, un forgeron itinérant. Leur rencontre fut une sorte de bénéfice mutuel, elle put échapper au front, et lui pouvait passer pour un père de famille sans histoire et franchir la frontière.

Georg était un quinquagénaire taciturne plutôt grincheux. Nywell était à ses ordres et il n’hésitait pas à hausser le ton ou à la battre pour le lui rappeler. Elle avait tenté de se défendre, mais ce fut en vain, son expérience et son entrainement l’avait quitté au moment même où elle avait choisi de détruire une partie de sa mémoire. Georg était peut-être sur le déclin mais ses pouvoirs de transmutation surpassaient ceux de la jeune fille. Cette situation lui rappela l’orphelinat d’Arum, peu importe, elle subirait et s’endurcirait jusqu’à être assez forte pour vivre seule et n’avoir besoin de personne. Elle se raccrochait néanmoins à l’espoir que Kai viennent un jour la retrouver pour honorer leur promesse d'antan. D’ici là, son devoir était de survivre. Elle comprit bien vite quelle était son rôle, celui de fille modèle devant les dépositaires de l’autorité et celui de complice lors de ventes illégales d’armes magiques. Malgré cela, Georg lui apprit à lire et à écrire ainsi qu’à tenir les registres de comptes de ses quelques clients officiels.
Ses terreurs nocturnes l’empêchant de se reposer, elle avait décidé de mettre ce temps libre à bon escient. Chaque nuit, lorsque Georg dormait, elle s’éclipsait dans des endroits isolés pour parfaire son apprentissage magique. En combat, elle se trouvait trop bête sauvage, reliant trop sur l’instinct et utilisant une magie encore trop brut. Au fil des mois, elle s’affina, en bonne autodidacte, elle redécouvrit ses pouvoirs et inventa de nouvelles techniques. Elle poursuivait la recherche du geste parfait en toute circonstance, intégrant le minimalisme et l’habilité comme signature de ses mouvements. Son agilité devint gracieuse et de ses entrainements ressortait maintenant une certaine beauté et un certain raffinement. Elle tentait désespérément de trouver la paix et la sérénité dans ses exercices martiaux et magiques, ainsi qu’au travers de la méditation. Si elle s’acharnait à poursuivre dans cette voie, c’était pour atteindre une pureté capable d’effacer le monstre que Pergrande avaient fait d’elle. Mais si elle avait acquis la forme, le fond n’y était pas, ses techniques manquaient de consistance et surtout, de puissance. Elle trouva un vieux baladeur sur la route et ne s’en sépare plus depuis, la musique adoucit les mœurs et elle y trouva son salut. Une échappatoire dans un monde musicale ou de belles images s’affichaient dans sa tête en fonction des mélodies.

Ses 17 ans marquèrent un tournant dans sa relation avec Georg, après 3 années d’itinérance et d’entrainement, elle décida de rendre coup pour coup lorsque le forgeron tenta de la corriger. Leurs disputes devenaient de plus en plus violentes et Georg avait beaucoup de mal à prendre le dessus. Les efforts pour garder Nywell sous son emprise n’en valaient plus la peine, lors d’une énième dispute ou ils firent jeu égal, ils passèrent un marché. La jeune fille devint son associée et recevrait sa part de profits en échange de son travail. Elle avait insisté pour qu’ils s’installent dans une petite ville, l’errance ne lui convenait plus. Ils se détestaient, mais étrangement, ils avaient besoin l'un de l'autre, eux, les réprouvés de la vie. La petite ville de Yuta, située dans la pointe sud de l’Empire de Sin fut leur destination.
Nywell n’avait jamais eu de nom de famille et lorsque vint le recensement de 783, elle et Georg prirent le nom des habitants de la ville comme patronyme, Yutani. La cité côtière était paisible et le climat était doux, mais la populace locale restait méfiante. La forge était au beau milieu du quartier des artisans, les propriétaires vivaient tous au dessus de leurs échoppes et Nywell et Georg n’échappèrent pas à cette règle. Les affaires marchèrent rapidement. La qualité des aciers de Georg était au rendez-vous et le charme de Nywell assurait une certaine préférence pour les commandes. Cette dernière se mit à trafiquer les registres et à empocher de l’argent à l’insu de Georg. Elle voulait assouvir un désir qui la taraudait depuis longtemps, et elle avait besoin d’espèces sonantes et trébuchantes pour cela. Elle voulait devenir femme, et telle une boulimique, elle se rua sur les produits de beauté et les vêtements de mode. Elle découvrit la coquetterie, et elle fit de nombreux essais avant d’arriver à un résultat convainquant. Elle appliqua la grâce et l’élégance de ses entrainements à sa vie de tous les jours. Elle coiffait ses cheveux avec soin et elle se parait d’accessoires et de petits bijoux. Son charisme et son capital confiance se démultiplièrent, elle le vis dans le regard de la gente masculine. Elle était si désirable, si unique avec ses cheveux d’argents. Elle aurait 18 ans bientôt et Kai devait arriver, il devait, il l’avait promis. Il ne vint pas, et Nywell en ressentit une amertume profonde. Ses terreurs nocturnes reprirent de plus belle et la ville de Yuta et ses regards inquisiteurs devinrent insupportables. Les disputes verbales avec Georg étaient monnaie courante, ses cris la nuit dérangeaient les voisins du quartier, les gens commencèrent à l’éviter et des rumeurs circulèrent à son encontre. Elle se réfugia une fois de plus dans la musique, son casque vissé sur les oreilles, elle tentait de trouver la paix avant d’enlacer Morphée. Le rapport de force entre elle et Georg s’était lentement inversé, elle était devenue dominante. Elle jubilait de voir les regards fuyants du vieil homme et son attitude nerveuse. Sa douce vengeance était en marche et elle ne se fit pas prier pour passer ses colères sur lui.
Le jugement des gens l’oppressait, elle se sentait étouffer, elle commençait à perdre ses repères récemment acquis. Elle sombrait dans la folie douce, tout en se délectant des misères de Georg. Qu’attendait-elle encore de la vie ? Sa quête de pureté lui revint en mémoire. « Pour se purifier il fallait se baigner dans la lumière. Kai, Kai était étincelant, il doit savoir où trouver la lumière. » pensa-t-elle, elle frisait l’hystérie.

Un soir de dispute avec Georg, ivre de colère, elle tira l’une de ses lames du fourneau et la lui planta dans la gorge avec une vitesse foudroyante. Ce geste malheureux lui ouvrit les yeux, elle se rappela sa détermination à être forte. Son rêve de revoir Kai, sa quête de lumière… Elle se rendit compte avec effroi que si la vie lui avait donné une deuxième chance, elle n’avait pas donné de seconde chance à la vie. Elle se saisit d’un katana de haute facture, celui que Georg refusait toujours de vendre et nota pour la première fois des inscriptions qu’elle lut à voix haute : « Lorsque tous les recours ont été utilisés, alors il est parfaitement juste de tirer l’épée. »
Cette citation ne pouvait être de Georg, cela ne collait pas au personnage, mais elle plut néanmoins à Nywell. Une sorte de révélation venait de la frapper, il lui fallait un guide, des exemples à suivre, des hommes et des femmes comme Kai. Si elle pouvait devenir comme eux, alors elle serait purifiée. Elle vida le tiroir-caisse et prit quelques affaires de rechange, puis lança des braises aux quatre coins de la pièce. Les flammes se propagèrent et Nywell se dirigea vers l’immense port commercial de Yokohama à quelques kilomètres de là. Après avoir marchée toute la nuit, elle accosta le premier capitaine dont le navire battait un pavillon qui n’était ni Sin, Bellum ou Pergrande. Elle marchanda son droit de passage avant de demander avec gentillesse : « Quelle est votre destination ?
- Fiore, ma jeune dame.
- Alors, Fiore ce sera ! »
Répondit-elle avec un sourire radieux, il était encore temps d'essayer de vivre.

Nywell utilise une magie un peu bâtarde, mélange d’électricité et de foudre. Plus précisément, sa force magique génère de l’électricité et il en résulte des techniques internes à son corps. Et d’un autre côté, elle peut exercer un contrôle sur la foudre ou l’électricité statique environnante pour des techniques externes. Si un autre utilisateur de la foudre est présent le contrôle de l’élément n’est pas assuré et il faudra lutter pour l’obtenir. Elle ne peut en aucun cas contrôler la foudre générée par un autre mage. Sa magie lui assure une résistance accrue aux dégâts de nature électrique.

Confer Wikipédia : La psychokinèse ou psychokinésie (PK) est la faculté métapsychique d'agir directement sur la matière, par l'esprit. C'est un mot introduit par Joseph Banks Rhine pour désigner "tous les effets physiques et biologiques semblant se produire à partir du désir, conscient ou non d'un individu". Aujourd'hui, cette capacité est considérée comme une potentialité hypothétique du psychisme.
La puissance magique de Nywell ne cessant de croitre, l’électricité qu’elle génère stimule son cerveau et lui permet de commander aux objets de nature inorganique, c'est-à-dire la roche, les métaux, le plastique etc… Nywell n’a aucune emprise sur les objets ayant une âme, du genre le sabre de papounet chérie ou une pierre tombale, les armures et armes de type magie du rééquipement, les clefs de Solis… Elle plie les matières inorganiques à sa volonté selon certaines techniques.