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Anarchy, it's time to break the chains of reason |
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| Sujet: Anarchy, it's time to break the chains of reason Lun 31 Déc - 4:25 | |
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| On trouve des tordus partout. D'ailleurs, tu en as rencontré un aujourd'hui... Toi qui pensais pouvoir faire les poches des passants tranquillement... Tu es arrivé en ville le matin même, profitant de l'agitation du marché pour te faire passer pour un vulgaire passant, sans te faire repérer par les gardes bien sur. Bah, de toutes façons ce sont des incapables. Incapables de repérer quand un dangereux criminel est dans leur ville... Bah, c'est ridicule. Tu soupires, assis sur un banc, comptant les joyaux que tu as amassé depuis ce matin. Une assez bonne récolte, oui... La tête baissée, tu rajustes la capuche de ton sweat-shirt en voyant passer une troupe de soldats trainant derrière eux une charrette et un homme attaché. Tu les observes quelques instants, terminant de faire ton inventaire, tâtonnant des deux mains dans ta poche ventrale... Ton argent malhonnêtement gagné, une mitaine agrémentée de morceaux d'acier, et une dague. Non, tu ne pouvais pas prendre ton sabre avec toi, c'aurait été un manque flagrant de discrétion... Tu te lèves alors, quittant ton banc, alors qu'ils passent sans te remarquer. En même temps, qui fait attention à toi. Certes, tu as l'air d'un jeune homme un peu louche, avec tes vêtements noirs et ta capuche soigneusement rabattue, de façon à ce que les gens ne puissent reconnaître ton visage, mais les gens ne s'occupent pas plus de toi que ça. Tu souris un instant, avant de suivre l'étrange convoi, les mains toujours enfouies dans ta poche. Il y aura surement des trucs intéressant dans cette charrette... Et puis, les soldats ont peut être quelque argent qui traine sur eux, qui sait ? Tu restes à distance un moment, continuant à les suivre, jusqu'à ce qu'ils arrivent à un tournant. Une rue moins peuplée. C'est ce qu'il te fallait. Un rictus froid et cruel se dessine sur ton visage. Tu te rappelles de ce jour, où tu avais massacré tous les passager d'un train, alors que tu n'avais qu'une seule et unique cible... Cela faisait longtemps que tu n'avais pas pu te laisser aller à la tuerie pure et simple... Tu rattrapes le groupe de soldats sur ces pensées sombres et morbides, prenant déjà ta dague dans la main droite, enfilant ton gantelet improvisé de l'autre. Tu les suis encore quelques mètres, approchant de plus en plus, jusqu'à arriver derrière le soldat de queue. C'est lui qui ferme la marche ? Oh non, nuance, c'est lui qui fermait la marche. Mais plus maintenant, puisque son cadavre gît au sol, tandis que tu lances un sort, t'esquivant dans une ruelle, aussi insaisissable que le vent. Tu entends les cris et l'agitation monter. Voilà, les choses intéressantes commencent là. Tu lances ton Acceleration, déboulant de la ruelle dans laquelle tu venais de te dissimuler, frappant un des soldats d'un violent crochet du gauche, la vitesse de l'impact et la force de l'attaque lui brisant le cou dans un craquement lugubre. Tu esquives ensuite les deux lances qui fusent vers toi, alors que ces crétins tentent de reprendre leurs esprits. Tu accélères encore, te glissant dans le dos d'un d'eux pour lui trancher la jugulaire, alors que les trois restants peinent à s'organiser efficacement. Tant mieux pour toi. Tu finis par désactiver ton sort, le remplaçant par un autre encore plus puissant. Gunshot Speed. Tu sembles alors disparaître aux yeux de tes ennemis et des civils qui fuient le champ de bataille pour aller prévenir la garde. Tu réapparais furtivement derrière l'un, avant de disparaître de nouveau, répétant le même manège pour les deux autres, avant de t'arrêter, stoppant ton flux magique. Tu vois alors les cadavres tomber un par un. Le premier ? Tu lui as brisé la nuque. Le deuxième ? Egorgé. Quand au troisième, il a eu droit à un mélange des deux... Tu retires alors ta capuche, ramassant l'épée d'un soldat avant de grimper sur la charrette, tranchant les liens de l'homme au passage, tout en le tirant avec toi, avant de voir les gardes surgir des deux côtés de la rue. - Ahaha ! Je sais pas qui t'es toi, mais t'as eu de la chance que je passe par là ! Enfin, j'espère que tu sais te battre, parce qu'on va en avoir besoin !
Tu te sens bouillir. Oui, ton corps est en ébullition. C'est un massacre qui se présente à vous. Tu vas leur faire comprendre, que même en ayant perdu certains de ses meilleurs éléments, Silver Fang reste la plus grande semeuse d'anarchie du Royaume. Peu importe où ils sont en ce moment. Bastian, Karito, Oméga. Ces trois là entendront parler de tes agissements, à un moment ou à un autre. Et ils sauront. Ils sauront que même en leur absence, la guilde aura tenu, et sera restée la même. Violente. Destructrice. Sanguinaire.
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| | | Sujet: Re: Anarchy, it's time to break the chains of reason Mar 1 Jan - 17:50 | |
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Le combat fût difficile pour Henwayu... Mais extrêmement rapide. Attaquer un mage aussi fort qu'Atios, mais quelle idée lui est passée par la tête ? Enfin bref, celui-ci lui a cassé la jambe dans son assaut, ce qui eut logiquement pour effet de lui procurer un plaisir immense. Dans ses cris de joie, le mage de rang S l'avait conduit à une troupe du conseil non loin de là dans la ville la plus proche, Shirotsume. Ce qui fût le plus étonnant était le fait que celui-ci avait la capacité de voler. Une fois dans les mains des autorités, ce dernier parti... On ne sait où et il voudrait mieux ne pas le savoir.
Ils attachèrent Henwayu avec des cordes, aucun mage ne semblait faire partie de la garde... Heureusement pour l'homme au chapeau troué, sinon il n'aurait eu aucune chance de s'enfuir. Faisant une petite sieste assis à terre afin de récupérer de ce rude combat, les gardes en profitèrent pour le surveiller en pleine rue, attendant les preuves de son délit. Car en effet, impossible d'emprisonner un homme sans preuve, aussi suspect soit-il. Le nécromant, une fois réveillé, fût ravi de voir qu'ils lui avaient rapporté sa charrette pleine d'ossements, de chair en décomposition et de bouteilles remplies d'un breuvage rouge sinistre... du sang. Ils le mirent à l'intérieur et tirèrent la preuve dans les rues en direction d'un tribunal ou toute autre structure propre au conseil pour traiter les personnes comme lui... A travers les yeux de l'homme en noir, il faisait une gentille balade avec des gens sympathiques qui avaient eu la gentillesse de lui rapporter sa précieuse charrette. Après tout, il s'y était attaché après quelques jours passé à son bord...
Soudain, alors que la charrette s'arrêta brusquement, il entendit des hurlements terriblement jouissants. De la douleur... Quelque chose ou quelqu'un prenait plaisir à attaquer ces gardes... Signe du destin ou encore un coup de chance pour Henwayu, rien n'était sûr. Peut-être était-ce un mage de Purple venu pour tuer le nécromant, incapable de réchapper ou tuer Atios, aussi bon mage soit-il. Mais ne s'en faisant pas, n'ayant aucune peur de la mort, il écoutait tranquillement la douce mélodie des voix déchirées, des corps pourfendu et des agissements terriblements délicieux de l'individu.
-Ohhh ma Lucille, entends-tu cette douce mélodie à mes oreilles... A NOS oreilles ? N'est pas merveilleux ? Une balade sympathique, un cadeau magnifique et une musique jouissante... C'est le paradis.
Un homme étrangement bizarre saute dans la charrette, possession de l'homme aux cheveux gris.
-Ahaha ! Je sais pas qui t'es toi, mais t'as eu de la chance que je passe par là ! Enfin, j'espère que tu sais te battre, parce qu'on va en avoir besoin !
Maintenant libéré, Henwayu pouvait se rassasier. Tuer cet inconnu qui venait de l'aider, tout en sachant qu'il serait d'une aide précieuse pour sortir de cette horrible ville pleine de joie, même s'il venait de lui priver de sa petite balade, ou manger ses délicieuses réserves ? Lui ayant offert une mélodie digne des plus grandes salles de concert, le nécromant choisit de manger ses délicieuses réserves. Mangeant de la bonne viande qui avait eu le temps de bien pourrir et d'abreuvant de ce délicieux sang. Henwayu regarda, le festin terminé et un os en forme de cure dent dans la bouche, le jeune homme le regarder bizarrement tandis que les gardes s'approchaient de plus en plus de l'embarcation.
-Ohhhh ma douce Lucille metons les voiles ! Ohh oui partons ! Eloignons nous de cette ville trop parfumée en bonheur à mon goût !
Puis il s'adressa à l'homme qui s'était incrusté dans la charrette.
-Mon poulet, le choix se pose à toi, accroches-toi bien ou descend tous de suite ! La feux d'artifice va commencer ! Hiihiihhihi.
Il prit une partie des ossements qu'il avait dans sa charrette bien chargée et les lanças juste derrière elle.
-BOOOM ! Hiiihiihihihhii ! BOOOM ! Ahhhahahahaha ! BOOOM BOOOM BOOOM !!! Hiihahahahahiha ! BOOOM !
Il prenait un plaisir immense à faire exploser ces os... Le souffle et la puissance des explosions successives propulsaient à une vitesse incroyable la charrette. Les soldats avaient l'impression d'halluciner lorsqu'ils voyaient l'embarcation s'éloigna sans animal pour la tirer. La vitesse de celle-ci était bien plus importante que s'il y en avait eu un d'ailleurs, surtout lorsqu'ils entamèrent une descente. Cette technique de déplacement avait été découverte après la rencontre avec cette Misto... Bien que pratique, elle consomme de façon considérable la magie de Henwayu. Lorsqu'il fût complètement épuisé, la charrette s'arrêta. Ils étaient non loin d'une sortie de la ville, dans une ruelle sombre. C'est alors que l'homme s'aperçut qu'il ne lui restait presque plus d'ossements, une petite dizaine même pas, ce qui était très peu en pensant au nombre de victimes dont provenait le tât d'ossements, ils n'étaient pas des plus gros... Heureusement, il restait deux tranches de viande et une bouteille de sang pour pouvoir récupérer de cette fuite des plus extravagantes. Se rassasiant, il regarda le jeune homme et le va la bouteille en l'air.
-As-tu soif l'ami ? Enfin... Future goûter ?
Sans attendre la réponse, il s'enfila complètement la bouteille.
-Ahhh je suis repu ! Ohhh ma Lucille c'était une journée merveilleuse !
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| | | Sujet: Re: Anarchy, it's time to break the chains of reason Mer 2 Jan - 6:18 | |
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| Beurk. Il mange de la viande d'origine douteuse, pourrie de surcroit. Et d'après l'odeur, il boit... Du sang. Quand tu parlais de tordu, c'est vraiment qu'il s'agit d'un des pires que tu aies croisé jusqu'ici. Mais... Il est original, tu dois bien lui reconnaître ça. Et il parle avec un squelette. De mieux en mieux. Tu l'observes dévorer goulument la viande avariée et boire ses bouteilles de sang comme un affamé, alors que les soldats arrivent des deux côtés de la rue. Tu t'apprêtes à descendre de la charrette pour aller à leur rencontre lorsque tu entends le nécrophage te proposer de rester là ou de descendre immédiatement de son véhicule. Tu n'as pas le temps de te demander ce qui lui arrive que tu le vois lancer quelques os derrière le véhicule... Qu'est-ce que ? Tu les vois exploser avec surprise, libérant un souffle suffisant pour vous propulser en avant à une belle vitesse. Pas forcément grandiose pour toi, mais largement trop grande pour les petites jambes des gardes... Vous foncez à une telle vitesse que les soldats sont forcés de s'écarter alors que vous foncez en direction du pâle barrage qu'ils forment. Tu es tenté d'éclater de rire en les voyant se jeter sur les côtés de la rue... Rire que tu ne contiens guère plus d'une paire de secondes, alors que la charrette entame une belle descente, plantant les gardes ici, alors que vous filez à toute allure sous le regard ébahi de tous. Ce mec a beau être franchement dérangé, il y a longtemps que tu ne t'étais pas autant amusé ! Tu restes là à observer les soldats qui tentent vainement de vous rattraper, alors que vous finissez par les perdre de vue, arrivant dans une ruelle sombre en bordure de la ville. La porte de sortie doit être à moins de trois rues de l'endroit où vous êtes en ce moment même... Tu le vois alors recommencer à manger ses restes de viande avariée et te proposer de boire un coup toi aussi. Bon, tu ne diras rien, parce que oui, tu as déjà bu du sang humain. Et tu n'as pas totalement détesté ça, même si tu préfères de loin un grand cru, ou même simplement du whisky. Mais de toutes façons, il ne t'a pas attendu et a déjà fini sa bouteille et parle à sa Lucille. Sauf que... Qui est cette Lucille au final ? C'est étrange de voir à quel point cet homme, qui aurait du te répugner, voire même te révulser, t'intrigue. Non, il n'est pas bizarre, il est intriguant. Plus intéressant que la plupart des malfrats que tu as croisé jusque là du moins. Tu descend alors de la charrette, sortant une cigarette et un briquet, avant d'entamer la conversation. Ou plutôt, de tenter. - … Tiens, dis moi, qui est Lucille ? C'est ce squelette ? Et... Qu'est-ce que t'as fait pour te retrouver là-bas ? T'as dévoré quelqu'un vivant en plein milieu de la voie publique ?
Tu allumes ta cigarette tout en parlant, tirant un nuage de fumée âcre, que tu recraches après quelques secondes. Tu souris légèrement à l'idée que tu viens d'énoncer. Tu te rends compte qu'en fait, le pire est que ce n'est pas totalement improbable : il en aurait été, et en serait encore capable... D'ailleurs, à ce propos, tu reprends la parole, pour ajouter une petite précision avant de reprendre ton discours. - Ah, et au fait, non, je ne te servirai pas de goûter. Je préfère prévenir, sait-on jamais... Et tant que j'y suis, c'est quoi ton nom ? C'est bien la première fois que je te vois dans les parages...
Oui, tu connais à peu près la ville, et son lot de petits criminels, récidivistes, rangés, indics' et autres malfrats de bas étage, mais lui... C'est la première fois que tu vois sa tête, et vu l'ampleur du personnage, tu l'aurais conservé en mémoire si tu l'avais croisé avant...
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| | | Sujet: Re: Anarchy, it's time to break the chains of reason Mer 2 Jan - 18:48 | |
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L'homme aux cheveux rouge sortit une fois en sécurité fumer un cigare ... Quel manque de goût ! Rien de mieux qu'un roulé de peau séché avec des cils blonds et de la bave de crapaud pour colmater le tout ! Mais bon, chacun fume ce qu'il veut !
Lorsqu'il fumait, le jeune homme commença à parler, sans doute se sentait-il seul ? Après tout, il tenait la chandelle, le pauvre n'avais aucune compagne tandis que Henwayu avait sa Lucille.
-... Tiens, dis-moi, qui est Lucille ? C'est ce squelette ? Et... Qu'est-ce que t'as fait pour te retrouver là-bas ? T'as dévoré quelqu'un vivant en plein milieu de la voie publique ?
L'homme aux cheveux gris s'emballait en répondant à l'homme aux cheveux rouge, se penchant de plus en plus sur le bord de la charrette tandis qu'il criait de plus en plus fort, jusqu'à chuter maladroitement et se retrouver à terre.
-Un squelette ?! Te fous-tu de moi ! C'est MA Lucille ! Ma belle ma soyeuse et douce Lucille ! Un squelette ?! Mais parles pour toi tête d'arrhant ! Ma Lucille c'est la plus belle et tu ne peux pas parler ainsi ! Et d'abords //PAF// Oups...
-Ah, et au fait, non, je ne te servirai pas de goûter. Je préfère prévenir, sait-on jamais... Et tant que j'y suis, c'est quoi ton nom ? C'est bien la première fois que je te vois dans les parages...
C'était bien trop de questions pour Henwayu. Un inconnu qui passera surement à la poêle une fois qu'il aura un petit creux ne devrait pas parler autant... Lorsque l'homme au chapeau troué essaya de se lever, une douleur atrocement délicieuse se fit ressentir. La sensation de bonheur qu'éprouvait Henwayu qui poussait des cris de jouissances n'était pas suffisant pour l'empêcher de marcher, mais la jambe ne tenait plus, laissant tomber l'homme à terre. Celui-ci avait de nombreuses blessures à cause de ses précédentes batailles, mais celle-ci était la seule qui l'immobilisait. Il n'avait plus le choix, il ne pouvait plus bouger. .. Il resta donc à terre en répondant à l'individu étrange.
-Je me nomme Henwayu Xakumu, elle c'est ma magnifique Lucille... Et je suis de passage disons. Et toi, qui es-tu ? Que fais-tu ici ?
Tandis que l'homme répondait, un hibou arriva donnant une lettre violette à l'homme au chapeau troué. Un acte de mission ?
Voici votre première mission Henwayu. Vous rapprochant doucement mais sûrement du QG nous avons pris la décision de vous envoyer en mission afin que vous prouviez de nouveau votre valeur. Rendez-vous dans la troisième ruelle à votre gauche, un émissaire de la Mafia viendra vous donner les infos nécessaires à la suite de votre mission. Ce message s'autodétruira dans deux secondes.
Tandis que le message pris feux sous les yeux des deux hommes, Henwayu sortit un scalpel de sa poche, outils des plus utiles si l'on veut ouvrir comme il faut un corps mort afin de profiter de ce qu'il contient. Il ouvrit sa jambe à vif sous les yeux ébaillis de l'homme aux cheveux rouges. Sa jambe ouverte fit apparaitre l'os en morceau de sa jambe. L'homme masochiste hurlait de plaisir à terre, puis il se concentra en remettant les fragments en place.
-Aller toi tu vas là et toi là ... Oh Ouiiiiii ! Ahhhhh le Nirvana !!! Oh ouiiiiiiiii !
Puis, une fois tous les morceaux en place, quelque chose d'étrange se passe, ils se ressoudaient sous les yeux étonnés de Henwayu, comme si elles se remodelaient. Ainsi, son os fût réparé, mais sa jambe ensanglantée était bel et bien ouvert. La douleur était sublime pour Henwayu qui buvait on propre sang, ne laissant aucune goûte lui échapper. Il arracha un morceau de tissus provenant de sa cape et le sera tout autour de sa jambe afin que la chaire puisse se refermer. Ainsi, même si une atroce mais délicieuse souffrance se faisait sentir, il pouvait marcher presque comme avant. Se mettant debout il regarda l'homme qui semblait toujours aussi étonné par ce qu'il voyait.
-Bien, je vais voir ce « mafieux » tu viens avec moi goûter ?
Ainsi, les deux hommes et le squelette se dirigèrent vers la troisième ruelle sombre à leur gauche... Ne savant pas très bien qu'ils allaient rencontrer et encore moi quelle mission ils allaient avoir... |
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| | | Sujet: Re: Anarchy, it's time to break the chains of reason Jeu 3 Jan - 4:03 | |
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| Oui, donc t'avais raison, c'est bien son squelette la fameuse Lucille. Et lui ? Henwayu Xakumu. A vos souhaits, oui. Non, c'est un prénom assez difficile à retenir. Et à prononcer, tu le sais, tu viens d'essayer dans un murmure quasiment inaudible. Mais tu sais que tu vas t'en souvenir longtemps. De ce nom, de cette tête, de ce personnage quoi. Franchement, il est vraiment... Spécial. Mais ce n'est pas plus mal. Tu l'écoutes un instant, tirant une dernière bouffée de fumée sur ta cigarette, avant de répondre à ses questions. Et oui, chacun son tour après tout... - Je suis... Disons que le commun des mortels me connait sous le nom d'Eclair Rouge. Quand à ce que je venais faire ici... Je pensais dévaliser quelques commerçants, mais, apparemment, j'ai trouvé plus intéressant comme coup.
Tu jettes un oeil au hibou qui arrive, déposant un message à ton interlocuteur. Tu as juste le temps de te pencher pour lire le contenu du message. Tu n'as pas tout vu, à part les mots « émissaire » et « Mafia ». Ca te suffit. Si ça se trouve, il y a moyen que tu te fasses pas mal d'argent... Et puis, tu trouves toujours drôle d'aller saluer les petites frappes du royaume, et les autres inconscient qui ne connaissent pas encore ton nom ou ton visage. Tu sais que de toutes façons, ils vont vouloir faire les malins. Ou du moins, il y a de fortes chance pour... Tu connais un peu la mafia du pays, et tu sais quelles réactions ils ont habituellement. Tu souris à l'idée de rendre visite à un de ces gangs, alors que le fou qui t'accompagne ne sait apparemment rien de toi. Tu imagines la scène des mafiosos épouvantés de te voir débarquer, alors que ton débiteur sera là, à s'en foutre au plus haut point. Car oui, il est ton débiteur. Tu viens de le sauver après tout. Tu vois alors le message prendre feu. Houlà. Qu'est-ce que c'est encore que ? … Non. Tu ne fais pas de commentaires sur le message qui prend feu. Il y a pire. Tu détournes les yeux alors qu'il sort pinces et scalpels. Non, il... Beurk. Tu détournes la tête alors qu'il pratique son opération sous tes yeux. C'est dégueulasse. T'as beau avoir tué, massacré, éviscéré, éventré, écrasé et tout ce qui va avec et qui finit en « é », t'es jamais allé jusqu'à te donner du plaisir en t'ouvrant un membre. Tu le laisses faire, tentant de t'intéresser à autre chose, avant de finalement rejeter un coup d'oeil, voyant son os se ressouder, la blessure encore ouverte... Oui, c'est ignoble comme spectacle. Surtout lorsque tu le vois commencer à lécher le sang qui coule sur le sol, avec l'air d'un assoiffé bien décidé à ne pas laisser une seule goutte se perdre... Non, franchement, ce mec est absolument ignoble quand il s'y met. Mais c'est sans doute ce qui le rend si spécial. Bah, tu verras bien. Tu croises alors les bras, appuyé contre un mur, alors qu'il bande sa blessure avec un morceau de tissus grossièrement déchiré. Et il compte vraiment se jeter dans la gueule de la mafia comme ça ? Hum, amusant. Tu esquisses un léger sourire, entre amusement et mépris, et tu finis par le suivre, lui et son squelette. - Ah. Et je. Ne. Suis. Pas. Ton. Goûter.
Tu détaches tes mots un par un, avant de lâcher un soupir. N'empêche... Il est peut être un peu chiant sur ce point mais... Non, franchement, tu as ce pressentiment qu'aujourd'hui... Tu vas te marrer.
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| | | Sujet: Re: Anarchy, it's time to break the chains of reason | |
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