| Sujet: Un loup dans un trou à rats Lun 11 Juin - 20:48 | |
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| Hé bien ! Nous voilà enfin arrivé !
En effet. Marmonnais-je
Mon trajet en bateau m'avais pris quelques jours, ce qui avait irrité Bijes. Mais maintenant nous voilà sur la terre ferme, celle de Fiore.
Je regarde autour de moi, quelques magasins, à gauche à droite. Je regarde alors mes vêtements, j'avais gardé la tunique gris sobre de l'arène, je fis une moue, il me fallais autre chose pour me vêtir. Je vis une petite boutique, je me dirige donc vers le vendeur, il me toise de haut en bas, il n'y avait pas à dire je n'avais pas l'air d'un banal client. Quant à moi je regardais les stocks.
Je vis une sorte de veste mais sans manches, et d'une matière plutôt spéciale, ainsi qu'un pantalon bleu, d'une matière encore une fois inconnu.
Bonjour ! Vous m'avez l'air intéressé par ce débardeur et ce jean je me trompe ?
Ainsi cela s'appelle donc comme cela, je m'en souviendrais.
En effet Messire, quel est donc le prix de cette marchandise ?
Messire ? Ah ! C'est bien la première fois que l'on m'appelle comme ça ! Mais bon
Il me donna les prix, je lui payais donc le dû prix afin d'obtenir ces vêtements, je commençais à me déshabiller afin de mettre ces nouveaux habits, mais là une femme crie dans la rue en me pointant du doigt.
HIIIIIIIIIIIIII ! Un exhibitionniste !
Pardon ? Que dites vous Damoiselle ?
Vous n'avez pas honte de faire cela dans la rue, PERVERS !
Père vert ? Quel lien avec cette exile bitio.....quelque chose ?
Elle me mis une gifle.
* BASTON ! Arrache lui la tête ! *
Mais enfin calmez vous, restez calme voyons.
Ne m'approchez pas ! A l'aide !
Je vis des hommes armés arriver.
* Je propose de partir je le sens pas ce coup là ! *
Cela tombe bien moi non plus...
J'enfile donc le « Jean » en toute hâte, je n'ai pas le temps de mettre le débardeur, je cours torse nu, ma tenu d'arène et le débardeur dans ma main droite. Ce Jean me gène dans ma course, bien moins souple que mon pantalon gris. Je réussi tout de même à m'échapper.
Je fini donc par mettre cette veste sans manche et abandonne mon ancienne tenu derrière moi.
Je marche une petite quarantaine de minute jusqu'à arriver dans un village, sur la pancarte était écrit « Tully », un nom ma foi bien étrange.
Il me fallais m'entrainer quant à l'utilisation des démons.
Hé ! On m'utilise pas !
…....donc à contrôler ton pouvoir
Me prends pas pour un débile mental c'est la même chose !
je ne t'ai pas demandé ton avis. Je disais donc que je me devais de maitriser au mieux mes nouveaux pouvoirs, ainsi je me mis à la recherche d'un petite quête sollicitant mes capacités. Je vis alors sur le mur d'une maisonnette une petite affiche « Recherche mage capable d'exterminer les rats de ma maison ». Rien de bien vraiment compliqué mais assez pour me servir de petit entrainement.
Je me dirigeais donc vers le lieu dit. J'arrive donc à l'adresse de la maison, la cliente ce tient devant la porte d'entrée. Là je me fige et me cache derrière un petit muré, c'était la même femme que tout à l'heure, si elle me voyait c'était fichu, elle appellerait encore une fois les gardes.
Síofra, faut que tu m'aide.
* Hein ? J'ai mal entendu *
S'il te plais prends l'apparence de quelqu'un d'autre pour moi
* Mmmmh, je sais pas.....
Bon allez, ne fais pas ton enfant
* Avec un petit « je t'en supplie » ce serait mieux je trouve *
Pfff.....Je t'en supplie aide moi Síofra.
* J'entends rien *
Je t'en supplie aide moi Síofra.
* Encore un peu plus fort *
Allez je t'en supplie prête moi ton pouvoir !
Qui est-ce ?
Zut ! J'avais crié, et là je ne pouvais plus me cacher.
* Hin hin hin, décidément tu es trop prévisible et facile à manipuler, bon je vais te sauver mon petit Apo, mais juste parce que je suis magnanime et que je suis de bonne humeur *
Bon maintenant c'es moi Síofra qui parle, ben oui j'ai pris le contrôle alors autant que ce sois moi qui parle. Je pris l'apparence d'un homme en costume blanc, les cheveux blonds et cours, un jeune homme de 18 ans environs, je sortie de la cachette improvisé de l'autre roux, je souris alors à la jeune femme et lui fis une courbette.
Bonjour belle damoiselle....
Je lui pris alors la main, à genoux devant elle, je lui embrasse la main.
J'ai eu vent qu'une magnifique jeune femme en détresse avait besoin d'aide, bien sûr apprenant votre détresse j'ai accouru le plus vite possible, mais maintenant n'ayez plus crainte me voilà à votre secours en temps qu'humble chevalier au service de la magnifique nymphe qui se trouve devant mes yeux éblouies.
Elle se mit à rougir. Ah ! Que les humains sont stupides ! C'est trop marrant, faite une petite entrée en matière, deux trois flatteries et hop the heart in the pocket, je lui fis un sourire que seul les gentlemans savent faire, c'est si facile, pauvre petite nature fragile et simpliste, c'est bon je la sens fondre, pfff se laisser séduire aussi facilement c'est même pas digne d'en faire un jeu.
Ainsi donc je viens pour exterminer la vermine puante qui nuit à votre magnifique visage, puis-je entrer ?
....oh euh....oui bien sûr
Elle m'ouvre alors la porte en grand.
Je suis désespérée, penssez vous vraiment pouvoir vous en occuper ?
Bien sûr, sans aucun problème, c'est mon métier, de plus aucune vermine ne saurais faire fléchir la détermination qui m'anime de vous aider
d'accord....merci
Mais arrête de rougir, b*rdel tu vois pas que je me fous de ta gueule de long en large ? Pfff elle est tellement naïve que ce n'en est plus drôle.
Je ne voudrais pas vous faire supporter le spectacle de ce « lavage », aussi je vous propose de rester à l'extérieur, et d'attendre mon retour, surtout n'ouvrez la porte sous aucun prétexte, je ne voudrais pas vous voir attaquer par l'une de ces vilaines créature
Ok, je vous attendrais dehors, bonne chance....et encore merci
Merci, à tout à l'heure
Elle sortie, me laissant seul dans la maison. Je laissais donc Apocalius reprendre le contrôle.
Encore merci.
* De rien mon petit Apo ♫ *
Un frison me parcourus le dos.
Ne m'appelle plus comme cela s'il te plait
* Décidément tu manque d'humour, j'ai vraiment raté une partie de ton éducation hin hin hin, ah et les femmes humaines sont plus collante que je ne le pensais. *
Il avait raison sur au moins un point, cette fille avait été collante.
Je regardais autour de moi, tout me paraissais désert, je m'avançais donc de quelques pas, toujours rien.
* Je sais pas pourquoi mais je sens que cette c*nne c'est foutu de not' gueule ! *
En effet il ne semblait pas y avoir la moindre trace de quelque chose que ce sois, j'entendis un bruit métallique venant d'une autre salle, je m'y dirige donc, il a beau faire encore jour la plupart des volets délabrés étaient fermés, ne laissant passé que peu de lumière, je me trouvais dans ce qui semblait être une cuisine en ruine, les murs étaient lacérés de tout côtés, des assiettes brisées au sol et des casseroles par terre.
* Hé bien !On dirais qu'elle ne s'est pas tant mentie que ça en fait, hin hin hin. *
* Je le sens pas, on va tous mourir, je propose qu'on sorte !
* La ferme tafiole ! Pour une fois qu'on va avoir de la baston tu te la ferme *
Chut, taisez-vous, j'entends un bruit.
Je me retourne, une silhouette me bondis dessus, je lui mets un direct du gauche par réflexe, la créature tomba à terre, c'était un rat, aussi gros qu'un chien. Il se relève, il resaute vers moi, j'empoigne l'une des casseroles par terre, et lui assène un grand coup dans la mâchoire.
Je l'avais sans doute tuer, j'entendis alors d'autre petits cris stridents, sans doute ses congénères. Je pouvais certainement les vaincre tout seuls mais mon but était de m'entrainer sur les pouvoir de Bijes et Kerusakan.
Bijes !
Un nuage noir m’entoure, je sens ma peau se lisser, des cornes me pousser sur le crâne, le nuage disparaît, et là l'une des vermines me mords le bras, plutôt surpris de ma nouvelle apparence et surtout de la solidité de celle ci, il m'avait tout de même blesser au bras, mais la blessure était peu profonde, je riposte d'un coup de griffe, l'attaque lui tranche la gorge, un coup net et précis, je vois alors trois autres rats, le premier mon fonce dessus, je le fauche d'un autre coup de griffe, l’empalant de mes ongles, cela ne le tua pas mais le fis crier de douleur et se débattre sur le dallage du sol, le deuxième me mord l'épaule, je lui prends le cou et le projette au sol en ardoise. Le premier repart à l'assaut avec le troisième, l'un m'attrape la cuisse gauche et l'autre le bras droit, me plaquant dos par terre.
Vražji Claw
ma main gauche brille d'une aura rouge sang, j'enfonce ma main dans la tête du troisième rat, je lui empale sa boite crânienne comme si c'était du beurre. Les deux autres effrayées s'enfuirent. Je reprends mon apparence initial, les blessures que j'avais reçus ne saignais pas tant que cela, et ceux grâce à la peau de Bijes. Mais là je sentais qu'autre chose venais, bien plus effrayant que les simples rats de tout à l'heure.
Kersakan !
Mon corps se désagrège, une fois le transformation terminée j'attends, je commence à manquer d'énergie, les autres rats arrivent enfin, ils sont cinq en comptant les deux autres de tout à l'heure, ma nouvelle morphologie, bien que spéciale, ne les effraye pas, je frappe le premier, mon coup et bien plus faible que si je n'avais pas utilisé son pouvoir, je suis déçus, ce corps semble inutile, l'un d'eux tente de me mordre, je l'esquive sans soucis, ainsi ce corps et plus léger et rapide, comme quoi il n'a pas que des défauts, je commence à frapper les rats les uns après les autres, les tuants chacun leurs tours à mains nues. Une fois le dernier tuer un nuage vert apparaît, mon corps reprends sa consistance, j'avais dépassé le délai des deux minutes, mais bon cela semblais fini je me dirige vers la porte d'entré, là quelque chose m'écrase sur le sol, je me retourne alors du mieux que je peux, un rat, oui et non celui là est bien plus gros que les autres, il fait à peu près ma taille, il est bien trop lourd pour que je puisse le dégager ou m'enfuir, je me souviens alors de l'épisode des tigres, je lui crache dessus, comme à mes seize ans, il est déstabilisé, je lui fait un coup de boule, suivi d'un crocher du gauche, le rat s'écarte, j'en profite pour m'enfuir, il me poursuit toute fois, il renverse tout les objets de la maison sur sa trajectoire.
Bijes !
Il ne se passe rien.
Bijes ! Vite !
* Nan mais mec ça fait pas cinq minutes que tu m'as invoqué, faut encore attendre une minute *
Zut franchement ce n'est pas le moment, je me stoppe dans ma course, le pied en avant, lancé dans son élan le rat géant se prends mon talon de plein fouet sans pouvoir faire quoi que ce sois.
Je prends une assiette en porcelaine dans l'étagère d’à côté et lui frappe l’œil gauche, une partie de l'assiette reste bloquée à l'intérieur, la vermine cri de douleur, plus rageuse qu'auparavant. Il me griffe au bras, il m'écrase de nouveau de tout son long. Il tente de me mordre, de me griffer, à un moment j'entends une voix dans ma tête.
* Mec c'est bon ! *
De nouveau un nuage noir m'enveloppe ce qui surprend le rat. Me voilà de nouveau transformé, ma force étant développé ainsi que la surprise de mon adversaire me permet de le renverser d'un coup sec.
On inverse les rôles !
Cette fois c'est moi qui le griffe, le sang coule à flots, un vrai bain de sang. Je fini par le tuer, cette fois c'était belle et bien terminé, j'étais blesser de partout, mais surtout j'étais exténué. Enfin fini.
Nan je crois pas hin hin hin.
Comment cela ?
Il faut encore récupérer la prime hin hin hin
Oui, j'avais oublier ce détail, je laisse alors de nouveau mon corps à Síofra.
Je sortis donc de la maison, triomphant, pissant le sang de partout mais glorieux, c'est cool de se sentir supérieur sans rien avoir fait.
La fille accourt vers moi, inquiète, b*rdel mais lâche moi crétine !
...vous...vous allez bien ?
Devine pouffiasse ! J'ai l'air d'aller bien ? Mais franchement pose pas de question si tu connais déjà la réponse ! Pfff j'aime les gens prévisibles mais pas les abrutis complets !
Oui ne vous inquiétez pas, bon par contre il faudra faire un peu de ménage et quelques objets de valeurs sont brisées mais sinon il n'y a plus de vermines, vous pouvez dormir tranquille
Merci ! Merci du fond du cœur
Elle me fait alors un bisou sur la joue, je souris, c'est ça ! Merci pour les microbes ! Je sais pas pourquoi mais cette petite me tape sur le système, je prends alors la récompense et je repars, laissant Apo reprendre le relais.
J'ai de nouveau récupéré mon corps, je me dirige vers une auberge, je demande une chambre au maître d'hôtel, surpris de mes blessures, je vais donc à ma chambre, et me pose sur le lit.
* Fait de beaux rêves mon petit Apo ♫ *
La ferme |
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