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Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...
 MessageSujet: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptyMer 28 Mar - 19:51

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Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... 5vbay04w

It's time to fight~~

Le rang S ... Il y était enfin. Aussi incroyable que cela pouvait paraître, il y était arrivé .... Après bientôt un ans de travail et de combat, deux ans d'épreuves, deux ans à évoluer toujours plus. Deux ans pour trouver l'amour, deux ans pour réfléchir sur sa place dans le monde ... Deux ans pour devenir la réincarnation d'une divinité. Deux ans pour se confronter à la justice de ses actes... Deux ans pour pleurer sa faiblesse, deux ans pour comprendre que la vie était une succession d'épreuve. Deux ans pour retrouver sa soeur. Deux ans pour devenir une célébrité... Deux ans pour apprendre à être autre chose qu'un concept, deux ans pour apprendre le poids de la vie et à perdre une nouvelle fois sa confiance en soi. Ces deux années étaient parsemés de tant d'événements qu'il ne pouvait pas s'imaginer que cela avait été si rapide.... Il n'était âgé que de dix-huit ans et il allait devenir un rang S... L'élite des mages. Il allait rentrer dans la cours des grands.... Il allait plonger dans un univers différents ou chaque mage est potentiellement une bombe en puissance... Il avait appris à être fort, il avait appris à ne jamais baisser les bras. Il n'avait cependant, pas réussi à être la perfection... Il avait réappris ce que c'était d'être faible et impuissant face à la mort ... Du désespoir, il s'était fait une force, il s'était battu, surpassant encore et toujours ses limites... Ce sentiment ... Il était toujours là. Il le cachait devant les autres, montrant dorénavant une face enfantine, voir même insouciante... Une face qui se voulait être beaucoup plus dans l'esprit de Fairy Tail que d'Angel's Sky... D'un autre côté, quand il était sérieux, il se remémorait ce sentiment de ne jamais être assez fort pour protéger les autres... De ne pas pouvoir empêcher la mort d'une personne.

Cette cruelle sensation de fatalité, vous dévorant les entrailles, poussant votre corps à se tendre et en hurlant au ciel, les mains pleines du sang d'une jeune fille que vous aviez jurer de protéger... Cette colère sourde qui vous fronce le regard, cette électricité tendant vos nerfs et vos muscles, transformant votre arme en seule point rattaché à la réalité... Ce courage qui vous permettrait de défier les dieux pour vos convictions, sans jamais défaillir ... Ce maelström de sentiment qui vous pousse à vous battre jusqu'au bout pour les autres, malgré vos défauts, malgré votre envie de tout laisser tomber .... Maintenant qu'il avait quelque chose à protéger, ce sentiment ne pourrait disparaître. Il ne laisserait rien n'y personne toucher à ce bonheur, fusse t'il un dragon, un dieu, ou autre chose encore... Il était devenu diablement humain pour un représentant de Dieu .. Thanatos s'était attaché à cet partie de lui, humaine, en vivant avec lui ses tourments, ses pleurs et ses espoirs ... Cette troisième incarnation semblait être une expérience satisfaisante pour l'impassible Dieu de la mort... Pharos lui aussi était heureux de voir la trinité s'entendant d'une seule voix... Malgré tout, Atios avait toujours peur que Thanatos change d'avis ... Par ailleurs, il avait peur de changer lui-même .... Tout ce qu'il voulait, c'était le sourire d'Abygail, de Seiren, de Coloro et de tout ces mages humains qu'il appréciait tant ... Il voulait les bras et l'épaule de Lashawn .... La seule personne avec qui il pouvait pleurer ... Il aurait voulu pouvoir être avec tout ces gens, dans le bonheur le plus total ... Mais pour préserver cet espoir, il n'avait pas le choix que d'être fort... La dernière fois, il avait été prétentieux de croire que ses progrès aurait pu lui permettre de protéger tout le monde...

Oui, beaucoup l'avait vu comme une tête brûlée, comme un téméraire et fougueux adolescent de dix-sept ans ... Ironiquement, ce même adolescent avait été la meilleure force de frappe sur l'île, ce qui rendait son rapport avec les autres et les membres du conseil encore plus ironiquement épineux... Même maintenant, il était toujours considérer comme un "enfant" physiquement ... Un enfant aux terrifiants pouvoirs. Même maintenant, cela ne changeait pas réellement. Certains voyaient en lui un sauveur. D'autre un enfant. D'autre un souriceau. D'autre le voyait comme une calamité... Lui, qui voulait-il être ? Le sauveur ? Sûrement... Il n'était pas prétentieux au point de croire qu'il pouvait sauver tout le monde ... Il avait déjà appris qu'il n'en restait pas moins faillible ... Mais il se sacrifiait pour les autres, toujours... Pouvait-il vraiment devenir quelqu'un de mauvais ? Même quand sa haine et ses pulsions meurtrière avaient atteints leur apogée, elles s'étaient dispersées une fois le combat terminer en sa faveur ... N'était-ce pas là une faiblesse pour un guerrier que de ne pas pouvoir tuer sciemment et de sang-froid ? En définitive, Atios n'avait pas changer depuis Dalmascia ... Même à l'époque où il était sur un champ de bataille et refusait de tuer, c'était la même chose maintenant qu'il avait l'âge de se battre. Il restait toujours ce faillible être humain ... Avec plus d'expérience... Plus de souvenirs, plus d'émotions, plus de vécu ... Plus de réflexion, plus de pouvoir. Thanatos l'avait prévenu ... Cette mission serait un tournant dans son existence.... Il entrerait dans une zone où il ne pourrait pas compter sur Thanatos pour l'aider ... La connexion entre Atios et le véritable corps serait sûrement isolée par Arès...

Si Atios y allait, il irait en tant qu'être Humain... Sa force serait mise à l'épreuve... Sa capacité à se battre jusqu'au bout aussi sûrement ... Sa capacité à s'adapter... Atios allait faire face à un véritable Dieu ... Pas à travers lui ... Mais bien contre lui. Une nouvelle expérience... Un combat titanesque ... Un glorieux examen ... Pouvait-il sortir victorieux ? Thanatos ne l'avait jamais mis en garde sauf pour cette unique fois... avait clairement senti que son autre lui connaissait Arès et qu'Atios risquait gros en allant dans ce temple... Mais que devait-il faire ? Se débiner devant ce croisement entre la gloire et la lâcheté ? Atios avait réfléchi toute une nuit ... Avant d'accepter cette mission. Cette scène s'était passé sur les toits d'Angel's Sky. Il avait amener Alexandra et ils avaient regarder le ciel et les étoiles ensemble. Arthuria & Remilia étaient présente, elles aussi. Mais elles avaient convenu de ne pas interrompre le lourd silence qui pesait. Elles étaient en retrait, par rapport aux deux autres.

Thanatos m'a dit que je pourrais mourir là-bas...

Je sais ... Mais tu vas y aller, n'est-ce-pas ?

Pourrais-je simplement regarder quelqu'un en face si je refusais ?

Seul les sots iraient au suicide... Mais Laxus t'a bien confier cette mission ... C'est qu'il sait que tu peux réussir... Thanatos ne t'as pas empêcher non plus d'accepter cette mission...

Tu parles ... C'est un test pour lui... Pour voir si je suis un digne messager pour lui...

C'est sa façon de te dire bonne chance... J'imagine. Tu n'as pas été en parler avec Lashawn ?

Vu qu'elle imagine que je suis un mage mal débrouillard, je doute qu'elle puisse s'imaginer que je vais aller dans le temple d'un dieu de la destruction et de la guerre pour réclamer son épée ... Non, elle ne pourrait simplement pas réagir ... Et j'aurai peur qu'elle me dise de ne pas y aller. Et j'irai pas embêter Seiren ou Abygail avec des histoires pareilles ... Et Coloro ? Non, il doit être occupé avec les affaires de Phantom Lord ... On peut dire que lui a de la chance, il est maitre de guilde et n'a pas eu besoin d'aller défier un dieu chez lui pour obtenir son rang...

Serait-ce de la jalousie ou de la peur ? Je dirais de la peur ... Et te connaissant, c'est que effectivement, ce qu'on te demande de faire n'est pas aisé.

Je doute que même Laxus puisse réussir cette mission facilement... Même lui pourrait sûrement en mourir. J'ai été me renseigner ... Cette mission n'est pas une mission qui se résout par la puissance magique ou le talent uniquement... Il va falloir que j'affronte Arès en personne ... En tant que représentant de Thanatos, en tant que porteur de l'épée sacrée ... En tant que représentant des intérêts d'Angel's Sky ... En tant qu'être Humain par dessus tout... Puis-je seulement réussir ? Suis-je seulement à la hauteur ? Dit-il en regardant ses paumes de mains, en les levant devant lui... Alexandra l'attrapa par le cou, depuis son dos et l'enlaça.

Grand-frère ... Tu en es capable... Tu as protéger Fiore de Légion et à côté de ça, tu as sauver de nombreuses personnes ... Tu es courageux ... Tu es fort ... Tu es quelqu'un de bien ... Si Excalibur, l'épée sacrée, as reconnu ta valeur, alors que sa puissance est reconnue et incontestée à travers Earthland ... Ne serait-il pas logique qu'il reconnaisse lui aussi ta valeur ? Certes, tu vas devoir affronter ses épreuves ... Mais je suis certaine que si quelqu'un peut réussir cette mission, c'est toi ... Elle passa sa petite main dans les cheveux d'Atios, comme celui d'un enfant : Et puis, tu ne seras pas seul ... Même si Thanatos ne pourra pas t'aider, il sera toujours en toi. Tu seras avec Arthuria & Remilia... Et tout les gens que tu as sauver, tout les gens qui t'aiment et que tu aimes seront avec toi ... Tout les membres de Fairy Tail et Natsu aussi ... Laxus, Makarov aussi... Tenshi & Reimu aussi s'inquiètent pour toi et n'aimes pas te voir dans cet état... Et puis, pourrais-tu te laisser abattre par un dieu alors que tu n'auras même pas réussie à être avec la fille que tu aimes ?

Merci Alexandra.... Je me sens un peu mieux... Je.. Je vais le faire. Je vais réussir cette mission et devenir le meilleur mage de rang S et faire la fierté d'Angel's Sky. Un ange prendra son envol, ce mois-ci ! dit-il en se relevant et en prenant Alexandra dans ses bras... Merci soeurette.. Merci d'être-là. Je reviendrais, je te le promet. Ses yeux n'étaient pas visible d'Alexandra, mais deux larmes en coulèrent. Deux simples et uniques larmes que personne ne vit. Il reposa Alexandra au sol et se retourna vers ses deux acolytes.

Il tendit le poing vers Arthuria & Remilia. Elles se relevèrent et tendirent le poing vers celui d'Atios. Thanatos mit son poing, montrant le soutient de Thanatos...

Prêt à partir, mon tendre et chère porteur de l'épée sacrée ?

Oui..

▬ Il t'en aura fallu du temps pour te décider. Ce n'était pas l'attitude que tu avais quand tu t'es défendu contre l'ancien possesseur de Gungnir...

Désolé, Rémilia...

Fais pas cette tête. Tu vas gagner. Après tout, tu possèdes deux artéfacts divins avec toi... Tu as la force du coeur... Tu as tellement de chose pour lequel tu devras te battre lors de cette fameuse mission que tu ne peux pas échouer.

Même si je ne pourrais alimenter ta magie grâce à la mienne... Tu resteras toujours mon alter-égo. Ne l'oublies pas... Et ne me déçois pas. J'ai beaucoup d'espoir en ton existence, "Atios Thanatos" du royaume de Dalmascia. Dit Thanatos, derrière Pharos.

Tu vas y arriver, Atios ! Ce doit être toi qui réussira cette mission. Ajouta Pharos en souriant.

Vous avez tous raison. Je ferais de mon mieux. Je vais me préparer et me rendre à Caellum. On se retrouve là-bas.

Alexandra était partie se coucher, entre temps, attendue par Reimu & Tenshi, qui fixait Atios sur le toits, debout en bas... Reimu montrait son inquiétude par son expression... Tenshi s'écria alors, en même temps que Reimu murmura :

Atios-san...

Tu as plutôt intérêt à revenir.. Je ne te pardonnerais pas si tu fais pleurer Alexandra.

Atios, qui avait le dos tourner vers ses compagnons, fit un sourire avant de murmurer un petit "merci" à l'égard de Tenshi avant de partir pour se préparer.

Cette soirée avait précédée le départ d'Atios par le port d'Harujion.

La traversée en bateau fut calme, trop calme. Atios était loin de tout les gens qu'il aimait ... Il était seul avec lui-même, donc Thanatos et Arthuria ainsi que l'esprit de la lance. Une semaine de bateau ... Avant d'arriver à Caellum, un endroit tropicale, où la température était insupportable pour le prince de Dalmascia, habituer à des climats beaucoup plus frais... La mission partait mal et sa volonté était rudement mise à l'épreuve par le climat de Caellum. Mais l'arrivée à Caellum aurait pu être un rêve... Pour un touriste. La chaleur paradisiaque, les plages de sables fins, l'eau d'un bleu totalement azur ou transparente, selon le point d'observation... Une eau chaude, salvatrice pour s'y baigner ... Atios profita de celle-ci un court moment, un dernier souvenir à la plage, que ce soit dans un corps féminin ou masculin ... Pharos qui découvrait une eau de cette couleur, Thanatos étudiait la faune sous-marine ... Arthuria & Remillia qui font du beach volley... Mais un Atios trop tendu pour pouvoir perdre son sérieux et cette tension qui l'avait suivit de Fiore jusqu'à Toussaleau. Quand enfin, il rencontra son commanditaire, ce dernier fit la moue en le voyant ... Mais il lui indiqua l'emplacement dut temple d'Arès... Qui il fallait bien avouer, était très majestueux malgré son état en ruine. Des marches. Beaucoup de marche. Des colonnes aussi. Une architecture méconnaissable pour lui, toute nouvelle. Des statuts ... De guerrier très féroce d'apparence... Mais qui possédait tous un détail que l'on pouvait difficilement louper. Ils avaient tous une petite ... zèzette. Comme quoi, même dans les situations les plus dramatiques, un seul et unique détail pouvait réussir à briser la nervosité d'Atios pour le faire pleurer de rire, accompagné de Rémilia qui trouvait ça ridicule alors qu'étrangement, Arthuria était concentrée et de marbre. Quant à Thanatos, il y alla de son petit commentaire assassin :

Oui, les Humains sont parfois un peu stupide, quoi qu'on en dise... Je crois qu'ils avaient fait une statue de ce genre-là pour moi ... J'ai provoquer la mort du fameux tailleur de pierre car y avait des limites à pas dépasser...

Personne ne répondit. Le soleil de plomb frappait avec force les explorateurs en herbes et aussi incroyable que cela pouvait paraître, les plantes n'avaient pas envahi les lieux, comme si quelque chose empêchait ce temple de tomber totalement en ruines.... Ils continuèrent à avancer jusqu'au coeur de ce fameux temple, vers une porte titanesque et fermée, descendant dans les entrailles de la terre...

Je pense que c'est là que tu nos chemins se sépare temporairement, Atios Thanatos du royaume de Dalmascia... Même si tu ne pourra pas compter sur mes réserves magiques, tu pourras toujours utiliser ma magie à travers toi avec une peu de chance ... Même si c'est encore très jeune chez toi pour le moment, tu devrais pouvoir montrer ta force à Arès si tu parviens à te servir de mes pouvoirs de façon autonome... Je continuerai de te regarder, de loin avec Pharos. Bonne chance... avait dit la forme squelettique du Dieu de la Mort.

J'aviserais au mieux ... Arès ! Dieu de la guerre et de la destruction ! Je suis venu ici pour réclamer une audience auprès de toi ! Je veux pouvoir affronter les épreuves de ton temple et réclamer le droit d'obtenir ton épée ! Entends mon appel et ouvre-moi les portes ... Je suis prêt à braver ton temple ! Dit-il en faisant apparaître la première forme d'Excalibur en la pointant dans les airs, avant de lui faire prendre sa forme avancée, provoquant un départ de pilier d'énergie de la terre vers le ciel, l'aura unique d'Atios, permettant aux filaments d'argents de se répandre... Même sans Thanatos, il restait le Dieu de la Mort... Même sans les pouvoirs de l'original, il était toujours le maître de Gungnir et le porteur de l'épée sacrée Excalibur. Il espérait qu'Arès allait lui permettre de relever l'épreuve suite à cette démonstration de ses pouvoirs... Il le fallait...
 MessageSujet: Re: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptyMer 28 Mar - 22:20

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Arès, dieu de la guerre, un dieu antique, celui des soldats. Arès, un combattant exceptionnel, aucun dieu n'a pu rivaliser avec lui sur un combat. Un adversaire au combien difficile pour un humain. Des adorateurs lui ont voué un culte dans son temple de Caelum. Les derniers adorateurs d'Arès se faisaient appelés les Fils d'Arès et Arès choisissait de temps en temps des gens pour en faire des gardes, les gardes d'Arès, des combattants d'élite qui protègent le dieu de la guerre et combattent avec lui. Tous ces gens sont partis il y a des centaines d'années laissant seul la statue du dieu de la guerre.

Aujourd'hui, un visiteur a pénétré dans le temple, la dieu antique voit un jeune homme portant la marque d'Angel's Sky, Atios Thanatos de Dalmascia, voilà le visiteur qui serait bientôt l'invité du dieu de la guerre.

Arès sous forme astrale, flottant dans les airs, apparut devant le mage d'Angel's sky qui dans un sens papotait avec lui même.

Spoiler:

Salutation mage humain. J'ai entendu tes paroles. je suis Arès, le dieu antique de la guerre, Il semblerait que tu viennes pour mon épée. Pour atteindre la salle où elle se trouve, tu devras te défaire des épreuves placées par mes anciens fidèles.

Cependant, avant ça, je vais sceller Pharos et Thanatos. Ici, tu ne pourras compter seulement sur ta propre magie, Excalibur et Gungir. Ces armes ont jadis appartenu à des grands hommes et femmes. Es-tu digne de leurs héritages ? Seras-tu dignes de mon épée ? Ces questions trouveront réponses bientôt.

Viens avec moi Atios et entre dans la première salle.


Arès passa à travers la porte, qui s'ouvrit juste après pour laisser le passage libre à Atios. Arès attendait au fond de la salle. La salle, éclairé par une dizaines de torches, était vide. Seuls les murs recouvert de peinture rupestres habitées la pièce Puis Arès fit un geste de la tête, des stèles apparurent dans la salle, il y en avait de partout. Sur chacune d'entre elles, une énigme à résoudre, le nombre des énigmes n'était pas vraiment déterminable, si Arès voulait en ajouter, Atios n'aurait pas d'autres choix et devrait les résoudre.


Première stèle
« Echo d’un royaume ténébreux, murmures d’un avenir encore flou. Etrange sœur de la pensée. Je séjourne dans la nuit et craint la lueur de l’aube. Qui suis-je ? »

Seconde stèle
«Le plus fort des hommes ne pourrait le voler à la plus frêle des alouettes. Que suis-je ? »

Troisième stèle
«Hôtes et intrus, je les accueille. J’appartiens à celui qui détient la clé de mon cœur. Qui suis-je ?»

Quatrième stèle
«Œil pour œil, dent pour dent… Payée doit être la dette de sang. Qui suis-je ? »

Cinquième stèle
«Poison de l’âme, sombre masque de la passion. Fruit de l’amour, je cause inévitablement sa perte. Qui suis-je ?»

Sixieme stèle
« Ossature du monde, je cherche la caresse des cieux. Ma parure est blanche comme celle d’une vierge. Qui suis-je ? »

Septième stèle
« Je porte l’épée brisée et distingue les vrais rois des tyrans. Qui suis-je ? »

Huitième stèle
«Invisible et pourtant connue de tous. Plus légère que le vent, plus affûtée qu’une lame. Née de rien, mais capable de vaincre les plus grandes armées. Qui suis-je ? »

Neuvième stèle
«Je suis indispensable à beaucoup, pour couvrir leur fuite de mes nuages brumeux, ou pour éblouir de ma noirceur, ou être le complice des plus secrets aveux.
Je suis chinoise mais ne vient le plus souvent pas réellement de Chine,et peut tout souiller ou au contraire me montrer la plus fine,
gare à qui me fera tomber, je n'aime que ce qui est beau contrairement à mon éloignée cousine que l'on jette à l'eau »


Dixième stèle
Dans le ciel, mon ensemble de lumière sert le porteur d'eau ? Qui est-il ?
 MessageSujet: Re: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptyVen 30 Mar - 5:19

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Après un speech d'Arès où Atios eut envie de dire : "Hey... Je suis en contre-bas.. Un peu plus à droite ... Hey, vous fixez l'horizon là ..." assez ennuyeux sous un soleil de plomb, Caelum oblige, il le suivit à l'intérieur de son temple où il arriva à une première salle remplie de torches et décorée de frises représentants des batailles où Arès massacrait pas mal de gens dans le sang et la bonne humeur sur les champs de batailles Caelumiens, Arès fit apparaître dix stèles dans la salle et ... Il ne lui rien dit de plus, il disparut tout simplement le laissant patauger dans la fange de l'incertitude, lui et ses deux amies, l'une à aux ailes démoniaques, l'autre à la couleur blonde pure. Le silence s'installa dans l'entrée du temple, entre deux colonnes sentant le sec et la poussière quand Atios s'approcha de la première stèle :

« Echo d’un royaume ténébreux, murmures d’un avenir encore flou. Etrange sœur de la pensée. Je séjourne dans la nuit et craint la lueur de l’aube. Qui suis-je ? »

Bah la lune, non ?

Non, il se passe rien, t'as dû te planter dans la réponse.

Aha, je le vois bien qu'il se passe rien ...

Calmons-nous, Atios ne doit pas totalement avoir faux ... Sa réponse doit être éloignée mais pas tant que ça.

Quelques heures de réflexions plus tard ...


Je sais !

Oui, Remilia ? On t'écoute. Dit Atios, en attendant que celle-ci se trompe.

Bah ... Une chauve-souris !

Atios facepalm.

Bah quoi, un jour j'ai fait le rêve que-

La stèle numéro un rentra dans le sol.

Ah bah oui, les Rêves.

C'est n'importe quoi ! Moi je peux rêver autant la journée que la nuit ....

Oui, mais si tu dormais plus souvent la nuit, on aurait p'tet passer moins de temps là, planter devant une stèle...

Ouais mais c'était des prêtres d'Arès, je doute même qu'ils aient réfléchis à leurs énigmes entre deux coup de pilum dans le..

HEY ! J'ai dis qu'un jour, j'ai fait le rêve que ... J'ai oublier...

Misère ... Bon, énigme numéro deux !

« Le plus fort des hommes ne pourrait le voler à la plus frêle des alouettes. Que suis-je ? »

Bah on est pas dans la merde, c'est moi qui vous le dit ...

J'avoue, là je vois pas ...

Hum... C'est vrai que c'est étrange, de trouver des énigmes dans le temples de la guerre.

Aha, j'imagine trop les mecs en jupettes avec des glaives et des boucliers se réunirent ici pour jouer aux devinettes et aux mots fléchés avant un petit massacre au nom d'Arès ...

C'est malin ... P't'être une partie du culte d'Arès qui se détendait comme ça entre les combats... En tout cas, qu'est-ce-qu'a une alouette ?

Bah des ailes... Un bec, une tête, un plumage... C't'un piaf quoi...

C'est vrai que les mecs en jupettes, ils pouvaient l'éclater à coup de pilum, l'Alouette ... Oh ... Quelle idiote je fais. Atios, si je dis ... Le chant ?

La stèle se mit à luire soudainement, alors qu'une drôle de clameur se mit à raisonner dans la salle...

Vous êtes sérieux ? Bah ils étaient jolies les cultistes d'Arès ... Dit-il, en se facepalmant en écoutant la musique. Et plein d'humour aussi à ce que j'entends .... conclut-il en soupirant.

J'avoue que là, c'est un peu glauque comme chanson ... Je veux pas imaginer ce qu'ils faisaient à ces pauvres bêtes ! S'enquit Remilia, un peu dégoutée, alors qu'Arthuria se facepalmait à son tour.

Une fois la chanson spartiate terminée, la stèle s'enfonça dans le sol comme la première, il fut donc temps de regarder la troisième énigme :

Bon, troisième énigme ...

« Hôtes et intrus, je les accueille. J’appartiens à celui qui détient la clé de mon cœur. Qui suis-je ? »

Une cellule ?

Non, ça serait pas plutôt une prison ?

C'est probable que ce soit une maison ...

Il s'est rien passer quand tu l'as dis ... Mais tu dois avoir raison ...

Si on essayait tout les synonymes de maison ?

Bah ... Cela pourrait marcher ... Mais on a pas de dictionnaire ...

Hmm ... Foyer ?

La troisième stèle s'enfonça elle aussi dans le sol.

Bien joué Arthuria.

Bon, on est bientôt à la moitié ... Mais il fait plus froid d'un coup...

C'est normal, il fait nuit à l'extérieur.

On voit pas le temps passer, ici, avec la chaleur et les énigmes des prêtres d'Arès ... M'enfin, allons-y pour l'énigme quatre, vu qu'on est en bon chemin, ça serait bête de s'arrêter maintenant. Alors ... :

« Œil pour œil, dent pour dent… Payée doit être la dette de sang. Qui suis-je ? »

La vengeance.

Pourquoi ça ne m'étonne pas que tu ai trouvée directement la réponse, Remilia ? D'ailleurs, comment t'a fait ?

Bouarf, tu sais ... En enfer, c'est courant, de se venger. D'ailleurs là-bas, les meurtres sont en général, en cascade. Parce que les gens se vengent. Et puis, le proverbe au début doit forcément vous mettre sur la route, sinon vous êtes pas doués quoi ...

Bon bah, je suis pas doué. J'y ai pas penser directement, mais effectivement c'est ça. Bon, énigme cinq :

« Poison de l’âme, sombre masque de la passion. Fruit de l’amour, je cause inévitablement sa perte. Qui suis-je ? »

La jalousie. Dit-il, sûr de lui.

Et effectivement, la stèle numéro cinq s'enfonça.

Comment t'as fait ?

C'est exactement la description parfaite de ce que je ressens quand je vois quelqu'un traîner trop près de Lashawn et que j'ai envie de lui faire voir qu'Excalibur, c'est pas un couteau à beurre. Mais bon, à chaque fois je me retiens quoi ... Déjà que j'ai un karma tout pourri, je vais pas en plus moi-même faire en sorte qu'il soit encore plus mauvais.

Effectivement, y à que toi qui est transi d'amour qui pouvait la trouver du premier coup. Sixième stèle :

« Ossature du monde, je cherche la caresse des cieux. Ma parure est blanche comme celle d’une vierge. Qui suis-je ? »


Une montagne?

La sixième stèle s'enfonça elle aussi.

Bien joué.

« Je porte l’épée brisée et distingue les vrais rois des tyrans. Qui suis-je ? »


La pitié.

Mais comment tu fais ?

Ah bah forcément ... Athanasios de Dalmascia...

Passons à l'énigme suivante :

« Invisible et pourtant connue de tous. Plus légère que le vent, plus affûtée qu’une lame. Née de rien, mais capable de vaincre les plus grandes armées. Qui suis-je ? »


C'est foutu, on trouvera jamais.

J'AI FAIMMMMMMMMMM !!

La stèle s'enfonça ....

Bon bah ... Merci à l'estomac de Remilia. Dit-il en lui tendant un paquet de biscuit qu'il venait de ré-équiper dans sa main.

« Je suis indispensable à beaucoup, pour couvrir leur fuite de mes nuages brumeux, ou pour éblouir de ma noirceur, ou être le complice des plus secrets aveux. Je suis chinoise mais ne vient le plus souvent pas réellement de Chine,et peut tout souiller ou au contraire me montrer la plus fine, gare à qui me fera tomber, je n'aime que ce qui est beau contrairement à mon éloignée cousine que l'on jette à l'eau. »

Alors ... là ...Quelqu'un connaît cet endroit ... La Chine ?

Hum... Encre ?

Alors les porteurs de l'épée sont vraiment aller partout ...

Mui.

En théorie, il en reste une donc ... Mais on verra demain matin, j'ai promis à Lashawn de dormir la nuit. Bonne nuit.

Il alla s'installer dans un coin de la pièce, ses deux comparses le suivant de près et ils firent tous un gros dodo après cette après-midi pleine d'énigme. En pleine nuit Atios se releva en silence et sorti de la pièce. Sautant en contre bas, se rapprochant d'un palmier, il urina (parce qu'il faut pas se leurrer, y à que les esprits qui peuvent se retenir d'aller au petit coin pendant l'exploration d'une tombe ou d'un temple.) Tout en faisant cela, il regarda le ciel.

<< Mon ensemble de lumière sert le porteur d'eau. Donc c'est dans le ciel et c'est lumineux. La lune ? Le soleil ? Non, ce n'est qu'un tout... Les étoiles ? Trop simple, c'est plus tordu... Hm... Une constellation peut-être ? Reste à déterminer pourquoi une constellation servirait un fameux porteur d'eau... D'ailleurs, qui est ce fameux porteur d'eau ? Putain, Arès, je te hais, t'es le dieux de la guerre et toi tu me files des énigmes ... >>

Il se dispersa en lumière puis revint vers l'entrée du temple. Il se posa au sol, le dos légèrement en arrières, maintenu sur ses avants-bras, pour mieux fixer le ciel nocturne. Il continuait de réfléchir, en vain à l'énigme, car ses connaissances en astronomies étaient aussi développée que sa maitrise des fourneaux. Il ne pouvait pas trouver la réponse seul .... Il leva la mains vers la lune, sachant très bien ce qu'il s'y trouvait...

<< Et si tout ceci n'était qu'une simple illusion ? Si tout ceci n'était qu'un rêve ? J'ai du mal à imaginer qu'en un ans, j'ai vécu toutes ces choses incroyables... Est-ce que tout ceci était bien réel ? Est-ce que je suis bel et bien en vie, dans cette univers ? Y à des moments, la tournure des événements est tellement irréelle que je me le demande ... Néanmoins, demain, je vais sûrement devoir affronter un dieu en combat singulier. Rien que ça. Et faut voir aussi les prochaines épreuves ... Ah mais j'ai toujours pas la réponse de la dernière énigme... >>

Sa main retomba... Il s'était endormi. Quand il se réveilla, c'était notamment parce qu'il était en train de cuire au sol dans l'entrée du temple, à cause du soleil qui se levait plus rapidement à caelum. Atios râla, épousseta sa chemise et ses cheveux et alla vers les deux filles qui dormaient à l'intérieur du temple. Il posa une main sur chacune de leurs épaules et secoua doucement, Quand elles se réveillèrent enfin, le trio se remit devant la dixième stèle, centrale, qui était toujours debout.

Je pense avoir résolu en partie l'énigme.. L'ensemble des lumières dans le ciel, ce ne peut-être qu'une constellation. Mais le porteur d'eau, je ne sais réellement pas qui c'est ..

Il me semble que le porteur d'eau soit le verseau en constellation du zodiaque ...

Plaît-il ?

Eh bien ... Tu ne vois pas ?

De quoi ? Dit-il, légèrement décontenancé puisqu'il ne comprenait pas le lien entre constellation & verseau.

Le moins qu'on puisse dire c'est que t'es pas du matin ... Le verseau est bien une constellation non ? Pourquoi t'essayerais pas de le dire à la stèle pour voir ?

Vous voulez dire que ... C'est la constellation du verseau ? demanda-t' il légèrement perdue.

Et la réponse lui vint de la dixième stèle, qui s'enfonça, lui permit d'avancer jusqu'à la prochaine salle.

 MessageSujet: Re: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptyMer 4 Avr - 17:24

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Arès réapparut après la dixième et bonne réponse d'Atios. La première étape pour arriver jusqu'à l'épée était enfin terminée. Arès a trouvé le temps long mais pouvait-il attendre plus venu d'un humain même si ce dernier est le porteur de l'épée. Bref sans commentaires de la part d'Arès, la porte s'ouvrit laissant Atios la possibilité de continuer sa quête de l'épée ou bien de faire demi-tour.

La seconde pièce, la seconde épreuve, un second casse tête, un second gros problème. En parlant de gros problèmes voici, la situation, une grande pièce labyrinthique, certains murs peuvent bouger sur la volonté d'Arès. A première vue, cette seconde épreuve s'annonçait facile, un labyrinthe vivant, c'est pas compliqué sur le papier. Mais Arès y ajoute ses petit grains de sels. Dès qu'Atios foulerait le sol du labyrinthe, le plafond descendrait pour écraser Atios. Certains dalles sont piégés, elles s'ouvrent et la chute de plusieurs mètres pour s'empaler sur des jolis pieux. S'il n'y avait que ça, ça irait, mais, il faut compter sur la présence des huit fils d'Arès et des huit garde d'Arès, des statues articulés armées d'épées pour retenir le mage d'Angel's Sky. Les couloirs étant juste assez large pour se battre face à face mais en aucun cas la place pour contourner son adversaire. Arès peut modifier la configuration du labyrinthe pour prendre à revers le porteur de l'épée.
On résume, un labyrinthe avec murs mobile, un plafond qui descend pour faire d'Atios une crêpe, des dalles piégés avec comité d'accueil perforant, seize statues armées pour le ralentir..... Ah oui, faut trouver la clé pour ouvrir la porte de l'autre coté.

Arès fit un geste du bras pour encourager le mage d'Angel's Sky à entrer. Arès souriait à la limite du sadisme. Le mage d'Angel's Sky irait de surprise en surprise dans ce labyrinthe.

Tic-tac, le temps tourne mage d'Angel's Sky, dépêche toi
 MessageSujet: Re: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptyMer 4 Avr - 22:30

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Atios fit quelques pas en avant. Il marcha en silence jusqu'à la moitié de la salle, désarmé. La salle était gigantesque et une grande porte était au fond. Arthuria et Remillia marchaient dans son dos et faisait très attention. Fini les énigmes gentillettes ... Ici, les épreuves devenaient mortelles physiquement et non mortelle d'ennui. Le jeune homme était tendu, mais restait calme et sa démarche lente retentissait et briser l'agonie du silence. Une fois le centre de la pièce atteinte, il fallait s'en douter, 16 Statues qui étaient disposées dans l'alcôve du fond se levèrent, armées d'épées, de lance et de haches pour s'avancer en dehors et se mettre en garde alors que la porte géante se mit à descendre et un cliquetis plus tard, un disque ornemental en son centre disparut après avoir verrouillé la sortie. Derrière lui, le claquement de la porte d'entrée se fit lui aussi entendre. Finalement, à la suite, des murs sortirent du sol, pour enfermer le porteur de l'épée Excalibur en plein milieu de la pièce, avec ses deux esprits, dans le coeur d'un dédale qui s'activer déjà à changer. Et pour finir, l'oreille attentive permis à Atios d'entendre des cliquetis caractéristiques de mécanismes pouvant être identifiés comme ceux de pièges mortels ... Mais après tout, la situation pouvait être encore pire... Le plafond se mit à lentement descendre. Oui, cette épreuve était la véritable première difficulté pour quiconque venue réclamer l'épée d'Arès.

Joli couloir d'entrée Arès. La femme de ménage doit avoir pas mal de boulot j'imagine, avec tous les gens morts ici écraser en compote ou dans, je l'imagine, d'horribles pièges. Dit-il, souriant et provocateur, en regardant le plafond. Il se retourna : Les filles, laissez-moi seul. Le labyrinthe est mouvant, faire une carte est inutile. Vous envoyez en éclaireur lui permettrait de me faire des sales coups ... Je vais devoir agir en solo.

Bon courage...

T'as intérêt à pas nous décevoir.

Arhuria disparue dans des lucioles dorée et Remillia dans une lumière rouge. Atios ferma les yeux. Un soupir plus tard, il se mit à courir vers le premier couloir à sa droite à toute vitesse. Il sentit une dalle s'enfoncer sous son pied. Dans son dos, le mur se mit à avancer vers lui, un mur de pique dans son dos ... Au fond, un squelette était cage thoracique et crâne contre le mur ... Atios accéléra, bondit, alors qu'une partie du plafond s'écrasa derrière lui avant de remonter presque instantanément. Ce labyrinthe était une véritable chambre de torture. Il passa l'angle en roulant au sol, alors que le squelette précédemment décrit fut de nouveau empalé sur des pics ... Pauvre mec, empaler par l'avant et par l'arrière au final. Quand il passa l'angle, il se mangea le mur sur sa gauche qui tourna, l'envoyant droit dans un couloir avec deux mecs en jupettes Caelumienne aux regards pas très sympathique, mais surtout de pierre. L'un d'eux avait une longue lance effilée et l'autre tenait deux glaive.

Hey les mecs, c'est pas cool ça... Et j'ai pas le temps ... Vous non plus on dirait ... On peut parlementer ... Non ? Ah bah semblerait que non ! Dit-il en disparaissant sous forme de lumière alors que la lance du premier venait d'empaler l'épéiste double qui se transforma en statue de pierre. Pas cool pour ton pote ça ... Dit-il en réapparaissant derrière les poussières. Bon allez, voyons-voir ce que tu sais faire contre une autre lance.

La lance vint à nouveau tenter de le piquer, mais Atios était plus rapide. Ré-équipant Gungnir tout en reculant, il perça d'un coup net le bouclier du guerrier qui se cassa après que la pointe de Gungnir se mit à rougir. La statue recula, prenant une posture aussi défensive que possible dans un couloir. Le porteur de la lance se mit à mitrailler dans un mur d'estoc son adversaire qui fut contraint de reculer en cinq secondes contre le mur dans son dos et de se faire briser en petit morceau par la lance. Deux de ses adversaires furent donc défait et il continua d'avancer là où il le pouvait. Mais Arès était tellement vicelard qu'il ne se doutait pas que pour trouver la clef, il devrait plus compter sur le hasard et la chance puisque Arès s'amuserait à le faire tourner en bourrique au milieu de ce labyrinthe quasi-insolvable. Alors qu'il s'avançait dans un autre couloir, ce furent des scies murales qui l'accueillirent le jeune homme qui bondit par-dessus avant de voir que les mêmes scies venaient vers lui par le plafond, le poussant donc à se jeter vers l'avant. Il freina sa chute quand devant lui, des lances-flammes se mirent à souffler du feu. Finalement, il se releva prestement quand il vit que de chaque côté, les murs commençaient à se rapprocher. Sautant à travers les flammes dans une barrière, il se retrouva face à un grand trou plein de piques avec une dizaine de squelette au fond. Et il eut presque envie de rire quand les lances au fond du trou se mirent à avancer très rapidement vers lui à destination le plafond ... Utilisant Gungnir comme perche, il se sortit de justesse de la succession de piège mortel... Se retrouvant de nouveau dans une arène improvisée avec quatre statues en ligne...

Donc, j'imagine que 16 faisait un bon chiffre et qu'après, vu que pu personne ne venait ici, vous avez passé les derniers millénaires à transformer cette salle en rubikicube de la mort, en créant toutes sortes de pièges les plus fourbes que possible et que c'est donc pour ça que même un mage de rang A finirait mort ici. Dit-il provocant, mais haletant.En fait, vos gugusses, je doute qu'ils aient eu cette épreuve là lors du recrutement... Non mais sérieux les mecs.. J'ai pas le temps. Alors retournez faire dodo dans votre alcôve et soyez sage, d'accord ? Ex... Dit-il en faisant apparaître la sainte lame aux lettres féériques : CALIBUR !! Dit-il en lançant une vague de lumière de puissance moyenne, celle qui le fatiguait énormément lorsqu'il n'était qu'un piètre mage. Les statues furent prise dans l'assaut lumineux qui perça jusqu'au mur du fond. Atios se mit à courir à la poursuite de la lumière en sentant que derrière lui, des explosions se mettaient à retenir. En sautant dans le trou, il se plaqua sur le côté, pour éviter que la déflagration ne le frappe. Mais le répit fut court. Il vit au loin une lame fine et horizontale s'apprêtant à traverser le couloir couper l'intérieur en deux, d'ailleurs au sol, pas mal de squelette à la colonne vertébrale coupé en deux. S'abaissant, il se rendit compte que du plafond, des guillotines tombaient du plafond dans un rythme erratique. Et le mur de derrière se réduisait. Il devait avancer, dans cet espace étriqué.

Honnêtement, il n'avait pas le temps de réfléchir ou de choisir quoi faire. Il avait l'impression d'être là pour mourir. Il avait développé un sens du danger et celui-ci s'activait à chaque cliquetis de mécanisme. Il ne fatiguait pas physiquement, mais pour son esprit, c'était pratiquement trop. Il était frustré. Il bondit de piège en piège, perdant quelques cheveux au passage .. Et atteint une sorte de carrefour... Il devait trouver la clef. Il gardait son calme, mais quelque chose en lui voulait exploser. Ce n'était pas juste. Un tel acharnement, ce n'était plus une épreuve, c'était la volonté de le voir échouer, c'était forcé. Une force supérieure ici voulez le voir échouer. Il sentait presque des regards le fixait avec un sourire amusé ... Parmi ces regards, il voyait presque celui de son père... Ses nerfs allaient lâcher. Il ne pouvait pas abandonner maintenant, mais le plafond, de façon globale, avait bien avancé. Alors qu'il prenait une pause haletante, il vit les soldats arriver de plus en plus. Ils étaient là pour le retenir un maximum. Il avait beau être calme d'apparence, la frustration devenait de plus en plus grande, peu importe comment il regardait la situation, cette épreuve avait un goût d'impossible. Il aurait pu remettre n'importe lequel des plus grands mages à sa place, Laxus et Makarov compris, ils n'auraient pas pu la finir de façon loyale cette épreuve.

C'était une épreuve physique, mentale et se battre jusqu'au bout, mais arriver à ce stade, c'était désespérant. Son unique espoir était dans la clef ... Il devait trouver la clef. Où était-elle d'ailleurs ? Et ces conneries de statues qui n'en plaçaient pas une ... D'ailleurs, elles devaient être morte. Il entendit Arès dire alors :

▬ Tu as battu la majorité de tes adversaires, mais le temps presse, petit porteur ... Abandonnerais-tu ?

Tch. Vous allez voir ce que j'en pense de votre labyrinthe. Dit-il en se posant au sol, assis sur les tibias. Il se calmit comme il put ... " Attendez-moi, vous tous.. " ; Il s'imagina, seul dans un jardin, en tête-à-tête avec Lashawn. Son cercle magique s'était répandue à travers tout le labyrinthe. Il rougit. Il ne devait pas abandonner. Pas alors que quelque part, sa bien-aimée l'attendait, aussi aveugle qu'à son habitude; pas alors qu'il avait des tas de gens a rencontré, des tas de gens à aider, une pensée notamment pour Abygail, Alice, Seiren en particulier. Oui ... Il devait réussir. Son plan était simple. Localiser la clef en se concentrant lui et sa magie de télékinésie dans toute la pièce. Le but était de faire léviter le plus d'objets que possible ... Mais pas n'importe lesquelles ... Les petits objets. Les pièges étaient beaucoup plus massif que la clef et celle-ci fut la seule à répondre à sa chasse aux objets ni trop gros ni trop petit. Un claquement au sol le tira de sa torpeur ... Il fit apparaître Excalibur, activa Vortigern et défonça les murs les uns après les autres jusqu'à l'endroit présumer où la clef se trouvait ... Il se retrouva devant elle. Il l'attira dans sa main en se baissant, désactivant Vortigern et para un second coup ... L'avant dernier gardien ... Il n'avait plus le temps de l'affronter en face à face. Il attrapa la clef entre ses dents, leva sa main libre et lança plusieurs projectiles de lumière, le tuant... Mais le plafond était toujours en train de baisser... Il devait trouver la sortie.

Il activa ses yeux et vit dans une direction une colonne d'énergie et de pensée insondable, quelque chose qu'il ne pouvait comprendre aisément malgré ses yeux. Il ne pouvait et ne devait connecter son esprit avec Arès dans cet endroit. Il ne savait pas ce qui se passerait s'il le faisait ... Mais cela lui indiquait la sortie. Réactivant Vortigern, il continua d'avancer de biais vers la sortie détruisant les murs, sautant au-dessus des pièges d'acides, esquivant les sols cloutés, il fonça ... Mais arriver devant la porte, il ne pouvait plus qu'entrevoir l'endroit où placer la clef ... Il était trop tard.

C'est pas possible...

Cela semble être dans ta nature. Alors… Je ne peux que l’accepter. … Merci.

Tu pleures. Si tu pleures, c'est qu't'as mal, si t'as mal c'est qu't'es vivant. T'es vivant, donc t'existe.

Merci. Merci de m’avoir aidé, Atios.

Vais-je ...

Qui es-tu, homme ? Tu sembles savoir ce que tu fais ; que tu t'attaques ainsi à Legion est un blasphème.

Si tu peux m'assurer que tu pourrais rétablir l'ordre naturel dans mon village... Je serais prête à t'aider contre Legion.

Je regrette sincèrement de ne pas pouvoir continuer cette mission et d'avoir échoué aussi tôt. Adieu, mes amis...et...bonne chance.

Atios, ne prend pas d'initiatives à l’instinct, privilégie la réflexion, sinon, tu te retrouveras en mauvaise situation.

Réellement ...

Atios... Je sais que tu ne fais pas confiance à cet homme, mais
moi si. Si tu me fais confiance, à moi, le chef de Phantom Lord ...


Bien au contraire, c'est la première fois qu'un
porteur ... Me donne un prénom ... Qu'il me considère autrement que
comme une magie perdue ... Merci ...


Tu m’as manqué… Pourquoi es tu parti sans rien dire ? Pourquoi m’as-tu laissé derrière !?


Ce qui prouve que tu es bon, Atios ... et que tu as des remords.

Alors déjà, ici, on est à l'infirmerie de la guilde Fairy Tail.

Sois fort et digne de celle-ci, car un jour, tu la lèvera pour sauver autrui...

Mourir ici ?!

Je suis toujours le même. Mais tu ne mérites plus d'être un prince. Je vais te déchoir.


Mais tu vas devoir aussi devenir fort et courageux car Maman ne va pas pouvoir rester avec vous plus longtemps ...

Ex..CALIBUR !!!

Le plafond se mit à remonter lentement sous la force de l'impact continue de l'attaque. Atios arrêta le tir en mettant la clef dans la porte une fois la serrure découverte... Et le plafond remonta, la porte ouverte, il pouvait continuer... Le porteur de l'épée sacrée était toujours haletant, légèrement fatigué et c'était normal au vu de la difficulté de cette épreuve.
 MessageSujet: Re: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptyMer 11 Avr - 13:34

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Arès réapparut devant l'estrade où se trouvait l'épée du dieu de la guerre, il attendit que le porteur d'Excalibur arrive dans la salle avant d'éclater de rire.

Bien joué porteur de l'épée, personne ne m'avait autant divertit depuis un bon millénaire. Je dois reconnaitre que tes capacités physiques et tes capacités techniques de tes armes sont vraiment excellente. Tes remarques lors des épreuves m'ont bien fait rire, tu gardes un sens de l'humour particulier malgré la situation, c'est une bonne chose.

Arès tendit la main vers son épée. Cette se leva de l'estrade pour rejoindre la main de son manieur.

Maintenant tu sais ce qu'il t'attend n'est-ce pas ? Tu vas m'affronter, un combat entre nous.... Pour info, ma forme actuelle possède une réserve magique une fois et demie au dessus de la tienne. Autant dire que ta victoire tiendrait du miracle. Mais après le divertissement que tu m'as offert, je veux pouvoir en profiter personnellement et être en premier ligne comme dans le temps. Une dernière chose, Gungir et Excalibur ne peuvent pas être détruit pas mes armes par contre le bras qui tient l'arme.... c'est une autre histoire... En garde.

Kansō : Gods's Weapons : Winged sandals of Hermes

Arès s'équipa des sandales ailées d’Hermès, le messager des dieux se retrouva en un instant devant Atios. Un mètre séparait les deux combattants. Arès étaient à environ un mètre du sol quand un cercle magique apparut au niveau de son poignet et leva les deux mains au dessus de sa tête.

Kansō : Gods's Weapons :Hephaistos's hammer

L'épée disparu laissant la place au marteau du dieu de la forge de l'Olympe qui a créer des nombreuses armes et armures depuis des temps immémoriaux. Le marteau de taille divine, au dessus d'Arès vint s'écraser sur la zone où Atios se trouvait. Une attaque d'une grande puissance pour rentrer dans le bain de l'action rapidement soulevant un grande nuage de poussière, oui personne n'a fait le ménage depuis mille ans alors forcément, il y a de la poussière.

Atios sortit du nuage de poussière, il avait esquivé avec un peu de retard, la mage d'Angel's sky était pas passé loin de finir aplati comme une crêpe. Il avait réussi à se dégager en effectuant un saut vers l'arrière. Atios, Excalibur à la main, pointée vers le bas, préféra discuter au lieu d'attaquer.

Oulah, vous me fatiguez, vous me privez de mon soutien divin et en plus vous vous jetez sur moi ? Je sais bien que c'est chez vous ici mais la notion de fair-play, vous connaissez ?

Je ne crois que tu aies le temps de discuter Atios, L'échauffement est fini, petit humain chétif !!!

La réponse d'Arès ne s'est pas fait attendre, le dieu de la guerre changea d'équipement :

Kansō : Gods's Weapons : Artemis's Bow ; évite ça.... Rain of arrows !

Les flèches apparurent au niveau de l'arc, avec un débit plus proche d'une MG-42 allemande que d'un véritable arc, puis partirent en direction du garçon à l’épée de lumière, le nombre de flèches approchant la centaine. Elles se déployaient en une volée de flèches pour attaquer la zone tout entière...
Tu parles beaucoup pour un dieu …
Dit le petit humain qui préfère parler que se battre.

Atios esquiva encore l'attaque, il adapta sa vitesse pour échapper à la volée de flèche. Le porteur de l’épée sacrée esquiva de justesse, se déplaçant juste de la distance nécessaire pour ne pas être blessé et garder ses forces. Il agitait par moment Excalibur pour dévier certains flots de flèches. Une fois la volée passée, Atios baissa de nouveau Excalibur, préférant une nouvelle fois la passivité à l'action. Arès lui avait fait le choix de l'action.

Kansō : Gods's Weapons : Minotaur's Axe

Arès courut en direction de l’utilisateur de l’épée sacrée Excalibur avec la hache du Minotaure en guise de cadeau. Il fit une attaque horizontale et continua le mouvement pour enchainer dans une attaque verticale pour faire d'Atios, deux demi-porteur : comme un citron. Le jeune homme avait été touché, du moins, ce fut la première pensée d'Arès, avant d'enchainer son second coup qui finit dans le sol. Il avait vu venir le premier coup et avait anticipé en feintant d'avoir été touché pour partir vers l'arrière. La seule blessée de cette action était son infortunée chemise, déchirée par le passage de la hache. En se relevant, le jeune homme envoya une sphère de lumière explosive en direction du visage du dieu de la guerre. Ce dernier la reçut au visage et se mit à rire en effectuant un saut vers l'arrière. De sa voix grave et puissante, il minimisa l'attaque de lumière de son adversaire.


C'est ça que les humains appellent une attaque de lumière ? C'est tout juste bon à éclairer le couloir ! Je vais te montrer une attaque qui fait de la lumière, moi !! Kansō : Gods's Weapons : Zeus's Lightning !

Arès tendit son bras gauche, sa main, au même niveau que son épaule, se vit doter d'un éclair. Il arma son bras pour jeter la foudre en direction d'Atios. Au moment où l'éclair quitta la main d'Arès, ce fut une tempête d'éclair qui se forma, occupant toute la largeur de la pièce et la hauteur de la pièce. Cela ressemblait une pyramide dont la main d'Arès était le sommet.

Alors qu'en penses-tu Atios ? Ceci ! Est une attaque qui fait de la lumière!!

Atios fit apparaître un magnifique fourreau richement décoré, fait d’or et d’un somptueux émail bleu : Avalon. Cette magnifique apparition, ce trésor divin, sanctifié était un symbole de dignité, plus comme une couronne ou un sceptre qu’une arme. Une création divine, peut-être même supérieure, un objet très puissant qui était en la possession du porteur de l’épée sacrée et qui le protégeait. La foudre, destructrice, vint frapper le fourreau et sa magnifique barrière dorée sans aucun effet, se moquant de l’attaque comme si elle tentait de frapper un endroit qui n’existait pas… Atios se propulsa en avant alors que la barrière le protégeait totalement des éclairs, tout en répondant, en manœuvrant l’épée sacrée Excalibur, entouré d’une puissante couche de lumière qui explosait tel le soleil dans les mains du porteurs :
Faut faire la différence entre l'électricité et la lumière, visuellement c'est la même chose, mais au niveau des effets, c'est loin d'être similaire …
Atios frappe de haut en bas Arès quand ce dernier activa une autre technique :

Gods's Weapons : Athena's Shield

La contre-attaque de l’utilisateur de l’épée sacrée frappa avec une violence inouïe le bouclier, confrontant les deux objets magique dans des étincelles violentes de lumière. Un bon réflexe défensif d'Arès et une belle combinaison du mage d'Angel's Sky. Le combat était monté d'un cran en intensité. Arès, une nouvelle fois, repartit à l'attaque. Le dieu de la guerre semblait vivre un bon moment de pure adrénaline de combat. Aussi, ce dernier parti en arrière, le porteur de l’épée fut entraîné par la masse de lumière pure qu’il tenait entre ses mains et dut désactiver son attaque pour récupérer son équilibre alors que son adversaire préparait son assaut :

Kansō : Gods's Weapons :Poseidon's Trident

Arès se rua sur Atios et l'attaque à de nombreuses reprises avec le trident. Les nombreux coups rapides du dieu de la guerre concentrèrent la magie dans le trident qui commençaient petit à petit à briller alors que le jeune homme semblait danser autour des coups alors que ce dernier faisait des efforts intenses pour ne pas se faire toucher. Après quelques centaines de coups intenses, Arès relâcha l'attaque droit sur Atios à bout portant.

Ocean's impact !!

Un rayon de magie pure à bout portant fut relâcher vers le mage d'Angel's sky qui semblait avoir senti venir cette attaque. Le premier réflexe d'Atios fut de se baisser pour éviter l’énergie qui partait s’écraser loin dans son dos et détruisant tout sur sa trajectoire ; le second réflexe, très humain, fut de se barrer en roulant à terre puis en courant, poursuivi par le trident en mode gros canon qui fait boom. Arès laissa son jeune adversaire et s'éloigner et change de nouveau d'armes. Le dieu de la guerre avait une armurerie odieusement bien fournie.

Kansō : Gods's Weapons : Apollon's Bow.

Nouvel arc utilisé par Arès, les flèches ont l'élément lumière en bonus. Le porteur de l’épée sacrée se retrouvait poursuivi par une volée de flèches lumineuses. Le nombre de flèches était deux fois important que lors de l'utilisation de l'arc d'Artémis. La vitesse des flèches augmentées par la lumière rendait l'exercice de l’esquive beaucoup plus compliqué, obligeant le jeune garçon de dix-huit ans à se déplacer beaucoup plus et à utiliser des boucliers de lumière pour contrer ce qu’il ne parvenait pas à fuir. Concentré sur les flèches Arès en profita pour prendre vicieusement à revers le porteur de l'épée :

Kansō : Gods's Weapons : Winged sandals of Hermes

Utilisant les sandales ailées du messager des dieux, Arès réapparut devant Atios et dégaina sa propre épée pour l'attaquer et le repousser vers les dernières flèches de lumière. Le jeune ange de Fiore fit apparaître ses ailes d'énergies lumineuses pour prendre de la vitesse ; esquivant les flèches dans son dos et prenant de la hauteur, il se mit dans l'angle mort d'Arès, pour mieux canarder de projectiles lumineux et explosifs sur Arès. Arès tourna la tête en direction d'Atios et leva le bras en direction des projectiles lumineux :

Naïf... Heaven's Magic : Cloud's sacred protection.

Ouvrant la main, une petite lumière s’échappa du creux de la main et la seconde d'après, des nuages magiques se formèrent devant la pluie de projectile pour protéger Arès. Les nuages absorbèrent l’éthernamo des tirs qui grossissaient un peu à chaque impact. Atios ré-équipa Gungnir d'une main et l'envoya percer à haute vitesse les nuages. L’Humain et le Dieu eurent la même idée, se servir des nuages denses pour tenter une attaque surprise :

Kansō : Gods's Weapons : Winged sandals of Hermes.

Arès réapparut derrière l’ange avec un large sourire….
Kansō : Gods's Weapons : Ares's Sword !

Arès s'équipa de son épée et attaqua le jeune homme ailé à plusieurs reprises : les deux premières attaques visèrent les ailes, les suivantes se concentrèrent sur le mage d'Angel's Sky. Le duel à l'épée aérien commença. Traversant la salle dans tous les sens, les deux bretteurs s'affrontaient dans un balai aérien violent & épique. Atios qui avait toujours Excalibur en main sous a forme scellée pour parer les coups. L'écart de puissance physique entre les deux se sentait… Les coups d'Arès se faisaient ressentir dans le bras du manieur de l’épée Excalibur. Dans cet échange, Arès dominait sans pour autant pouvoir porter des coups fatals. Atios se défendait très bien et tentait des contre-attaques précises pour se donner un peu d'air sous la pression du dieu ancien. Ce qui sauvait le mage angélique c'était son agilité légèrement supérieure à celle d'Arès. Lors d'un coup puissant qui fit reculer le jeune garçon, Arès utilisa sa magie pour ajouter l'épée du colosse dans sa main restée libre pour mettre le porteur de la plus puissante et connue des épées sacrées en difficulté. Atios passa dans le dos d’Arès et ses ailes devinrent beaucoup plus denses et les ailes grossirent jusqu’à pouvoir envelopper un humain de grande taille. Elles se refermèrent comme une mâchoire sur la forme astrale de l’être divin.

Arès subit le choc sans broncher, le visage du dieu de la guerre avait l'air de dire « ça pique un peu et ça réveille ». Le visage changea juste après ça. Un air sérieux et décidé de montrer la différence de niveau entre les deux opposants. Arès redescendit au sol. Le ton de sa voix n'augurait pas de bonne choses pour le mage d'Angel's Sky…

Suffit de jouer.... Kansō : Gods's Weapons : Hades's Staff.

Arès enfonça le bâton d'Hadès dans le sol, disposa ses mains autour du bâton et de sa pierre rouge flamme. Il concentra la magie sur le bâton. Arès invoqua le jugement des profondeurs, la punition divine de la colère d'Hadès. Le bâton commença à briller, avec une légère teinte rouge magma. Ce dernier était chargé et allait tirer des boules de feu des profondeurs. Leur vélocité élevée, la capacité de suivre les mouvements de leurs cibles pour le pourchasser…. Cette attaque laisse Arès libre de tout mouvement et Atios prenait le rôle d'une proie dans une pluie de sphères enflammées.

Des dizaines de projectiles qui poursuivaient le mage. Des esquives au millimètre près, des explosions tout autour de lui. L'étreinte magique se resserrait autour de lui sous les yeux d'Arès qui observe les bras croisés que l'attaque fasse son effet.

Atios arriva à se sortir du piège qui tentait de se refermer sur lui. Pour pouvoir échapper à l’attaque, il défonça d’un léger tir d’Excalibur le plafond vers l’extérieur… Dans son ascension vers la surface, il lança Gungnir pour ralentir Arès ou les projectiles dans le cas où celui-ci tenterait de le rattraper. Le mage d’Angel’s Sky se mit à faire les sceaux manuel et traça de son doigt pourvue d’une lumière dorée le symbole de la formule numéro 28 de la famille de sort Amaterasu. Le dieu de la guerre laissa à son jeune adversaire prendre de l'avance, ce dernier sentait que c'était un piège et le dieu de la guerre voulait voir ce que le mage porteur de l’épée sacrée lui avait préparé comme comité d'accueil. Quand enfin, il se décida à prendre le tunnel, il remonta à pleine vitesse et s'arrêta juste à la sortie en prenant le temps de s'équiper de l'armure du Colosse et de son épée, pour parer à toute éventualité. Il regarda Atios et attendit, le défiant presque en ne bougeant pas... Gungnir revenait dans son dos, le forçant à invoquer le bouclier d’Athéna pour bloquer la lance. En suivant, les formules étaient tout autour du Dieu de la guerre et se déclenchèrent très rapidement, ne lui laissant le temps que de faire apparaître les nuages pour tenter d’absorber l’explosion qui partit du sol vers le ciel… Atios quant à lui, préparait une nouvelle attaque, bien plus destructrice. Écartant les bras, il bougea ces derniers dans un mouvement circulaire avant de rejoindre ses deux paumes alors qu’il s’était entouré d’une puissante aura dorée diffusant des particules semblable à des lucioles tout autour de lui. Quand ses mains se joignirent, de là où se trouvait Arès, une explosion en forme de pilier qui partit vers le ciel et la terre frappa d’une rare violence le guerrier en armure divine.

Jolie combinaison Atios... Dommage que l'écart entre nous soit si grand sinon la victoire serait pour toi.

Arès fit disparaître l'armure, le bouclier et utilisa l'art martial de Dyonisos : Zui Quan. La vitesse, l'agilité et les réflexes d'Arès mêlée à une technique de combat dite de « l'homme ivre » était imprévisible puisqu’elle n’avait aucune logique, ni aucune volonté provenant de son utilisateur… L’expérience de l’ange en combat à main nue était déjà une grosse faiblesse, couplée à cette façon de se battre à main nue inédite, il fut vite incapable de prévoir d’où proviendrait les coups. Bougeant de manière aléatoire, impossible de prévoir, Arès attaqua Atios au corps à corps, le mage d'Angel's sky en prit donc pour son matricule, encaissant comme il pouvait avec ses bras les coups qui étaient mis en croix devant son torse et son visage. Après un ultime enchainement, Arès le réexpédia en un coup dans le trou direction le temple pour mettre fin au combat.

Le porteur de l’épée sacrée traversa le tunnel en s'écrasant violemment au sol, Excalibur se fichant à ses côté, près de là. Arès le suivit de près et se positionna à une bonne distance du porteur de l'épée. Le jeune homme aux cheveux bruns cracha du sang en se relevant d’abord à quatre patte puis en se tenant debout.

Si tu crois que je vais abandonner maintenant… Cracha le jeune prince fort peu gracieux dans cet état.

Il avait mal. Très mal. Son corps était douleur. Il était vidé. Physiquement, mentalement, magiquement. N’importe qui se serait abandonné à l’inconscience après de tels chocs partout sur le corps, même partiellement bloqué. Mais il avait promis. Promis à Lashawn d’être là pour elle que ce soit dans un ans, dix ans, cent ans… Il avait promis à Alice de lui rendre la voix et son sourire… Il avait promis à Abigail de lui rendre le sourire. Alexandra l’attendait, en compagnie de cette petite peste de Tenshi et de la bienveillante Reimu. Remillia & Arthuria l’attendait à l’extérieur du temple, en compagnie du sépulcrale Dieu de la mort de de l’innocent Pharos, son penchant le plus doux. Marre l’attendait, pour sauver son village, en compagnie de son amie, Jessica. Laxus attendait son retour triomphant de cette mission. Il en allait de même pour Makarov, qui devait sûrement avoir entendu parler de son départ pour Caelum et de son objectif. Il ne fallait pas non plus oublier Seiren, qu’il avait promis de protéger. Ou encore Coloro et Phantom Lord, ses amis. Abandonner maintenant ? Et puis quoi encore ! Il se ressaisit de l’épée sacrée..

Le sceau de vent s’enleva dans une tempête puissante qui battait au rythme du cœur d’Atios. Quand l’épée sacrée fut dévêtue de son masque, le corps d’Atios et l’épée fut lentement prise d’une magnifique aura dorée et chatoyante… Qui vira soudainement au bleu avant de revenir dorée lorsque les yeux cramoisis du porteur s’activèrent. L’épée se couvrait de seconde en seconde d’un manteau de lumière extrêmement dense. Elle débordait mais semblait encore bien vide, un humain ne pouvant pas espérer à ce niveau-là atteindre le point culminant de son potentiel, mais l’énergie qu’Atios leva au-dessus de lui était digne du soleil. Autour du porteur, un nombre incalculable de mage fut visible autour de celui-ci, comme si sa force défiait toute logique scientifique concernant l’énergie magique, comme s’il la tirait de tous les gens qui l’attendait… Que ce soit Lashawn & Weiss, jusqu’à Athanasios, le roi de Dalmascia. Ils disparurent dans une éruption dorée alors qu’Atios était vidé, dans ses mains, sa magie restante toute entière était tenue dans l’épée sacrée qui contenait avec peine ses sentiments et ses espoirs.

Tu as beau être un dieu, même si c’est inutile, il ne sera pas dit que je me suis laisser aller sans tout donner … Que tu me tues ou non, je ne regretterais pas cette première véritable défaite ! Alors trembles face au pouvoir de la lumière d’Earthland, du soleil, des étoiles et de la lune…
<< Lashawn, j’aimerai être avec toi en ce moment … >>

Ex…

<< Je ne regretterai pas quoi qu’il arrive… Tu as beau être imperméable à mes sentiments, ton sourire et ton visage, ainsi que tes mots et ceux de tous les gens que j’aime sont avec moi et font ma force… Je comprends mieux ce que j’ai obtenu à Fairy Tail sans m’en rendre compte… >>

CALIBUR !! s’exclama le jeune homme en poussant la lame sanctifiée vers sa cible, dans un mouvement douloureux et puissant à la fois.

Arès lui fit face sans broncher et dit alors :
Kansō : Gods's Weapons : Protections sacrées des mères : Héra et Déméter !

Le tir de lumière parti vers la barrière. Quelques secondes passèrent, sans que rien ne soit visible. Atios réalisait pour la première fois le potentiel infinie qu’avait l’épée sacrée… Elle n’était pas surnommée l’épée de la victoire promise pour rien. Tenir la garde était douloureux… La barrière ne semblait pas s’effondrer pour autant. Dans un dernier effort, il poussa vers l’avant, en raclant le fond de son corps tout entier pour fournir ce qu’il lui restait de magie … Un hurlement ? Non… Une explosion. Un flash lumineux. Il ne vit rien. Quand le flash disparu, une colonne de lumière s’élevait vers le ciel, comme défiant toutes les déités en crevant le ciel nocturne…. Quand l’attaque se dissipa, sa vue se brouilla. Il avait froid. Il était vide. C’était sûrement la fin… Il tomba a genou, la tête vers le bas, les mains posées sur le sol. Son corps tout entier était malade. Les efforts déployés ici étaient vain ? Il releva le regard cramoisi vers la barrière érigée par Arès qui se brisa dans un bruit de verre. L’ange sourit en tombant sur ses bras, le visage posé dessus. Non, c’était SA victoire dans sa défaite.

- Merci, Atios, je ne m'étais pas battu comme ça depuis mille ans. Tu es un très bon mage, tu fais un très bon porteur de l'épée sacrée..... Je n'ai qu'à te féliciter d'avoir tenu si longtemps, et d'avoir brisé la protection des mères. Tu peux prendre mon épée, elle est à toi.... quoique elle va être un peu lourde.... Va dire à l'homme qui t'a envoyé ici qu'il peut venir. Mon temple lui est ouvert.
 MessageSujet: Re: Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ...   Défier un dieu chez lui ? C'pour les tapettes ... EmptySam 14 Avr - 1:06

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Les paroles du Dieu de la guerre ne le réconfortèrent pas plus que ça sur l'instant. Il avait gagné le droit d'avoir l'épée d'Arès ... Fusse-t' il capable de s'en saisir ... Vu que ce dernier semblait parler de l'épée dans la statue, effectivement, même en passant son temps au club haltérophile d'Era, il ne pourrait pas soulever l'équivalent d'un porte-avion dans notre monde. Ce sentiment de froid en lui, causé autant par l'anémie que par l'éthernaménie lui travaillait les entrailles. Ses muscles tiraient, il était courbaturé comme jamais. Mais il se sentit un peu mieux quand il subit un sort de soin en provenance d'Arès. Il se releva difficilement. C'était juste assez pour permettre ça. Il ne s'en rendait pas compte mais Arès venait de reconnaître sa valeur, ce qui n'était pas si mal que ça. Il se releva difficilement, tenant à peine sur ses jambes. Il rangea Excalibur dans sa dimension personnelle alors qu'Arès venait d'effacer les clameurs du combats. Atios avait peine à se dire qu'il était toujours envie après un tel combat. Une fin si intense à ce duel lui rappelait avec effroi son affrontement avec Candice... Il regarda Arès sur son trône. Que devait-il dire ? Partir sans rien dire ?

Peut-être ... Que nous nous reverrons, alors à la prochaine fois, Arès.

Atios, sourit en faisant un signe de la main. C'était peut-être ridicule dans le cas présent, mais le jeune homme ne se sentait pas partir en disant rien. Il partit du temple et informa le commanditaire des mots d'Arès avant de rentrer à Fiore... Totalement lessivé.
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