Sujet: Le chant de la prêtresse ♫ Mer 4 Nov - 0:49
Isaiah B. Stone
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Titre : Adopte-un-attardé.com Crédit : Déesse Lulu Feuille de personnage Maîtrise Magique: (6200/35000) Mérite: (298/400)
La prière est parfois la plus puissante des armes.
Aurore d’un crépuscule écarlate, le jeune Isaiah venait de se poser sur le tronc d’un arbre abattu par un terrible coup de vent. L’arbre se meurt, l’arbre se pleure, l’arbre est un saule. Un immense et puissant arbre dont l’écorce et le corps à céder contre la puissance d’un vent impétueux que seul Eole a pu souffler contre ce minuscule arbre qui au final n’était rien contre la puissance de la nature lorsqu’elle se déchaînant. Qu’importe son âge, qu’importe son âme, un Dieu plus grand a voulu sa mort et il a fini par devenir un simple stigmate de la puissance de mère nature. Présent dans un décor plus grand que lui, il n’était au final rien d’autre qu’un grain de riz dans une montagne. Si, un arbre si majestueux, si puissant venait de succomber à la fureur de la nature. Qu’est-ce qu’un humain était dans tout ça ? Un simple moustique, un simple furoncle sur le corps inerte d’une terre qui se mourrait. Le jeune brun, était assis fixant la vague, dans une espèce de transe hypnotique, il ne bougeait pas, il ne bronchait pas. Seuls les battements de paupières pour hydrater ses yeux, montraient qu’il était toujours en vie. Il pensait, il pensait à tellement de choses que son cerveau n’arrivait pas à arrêter le flot de pensées qui s’écoulait dans sa pauvre petite caboche de jeune mage. La terreur de la nature qui avait déversé sa colère au sein d’Ajatar, la détresse des gens qui avaient vu leur vie rejoindre la rivière qui s’écoulait au centre de la Terre. Les cris d’effroi des proches perdant leur enfant, conjoints, amis… La douleur d’imaginer la perte d’Abigail avant de l’avoir retrouvé. Sa faiblesse de sa pauvre magie, sans laquelle il ne pouvait rien faire. Heureusement que ses esprits étaient là pour le protéger, mais lui-même, il ne pouvait pas protéger ses esprits. Il était faible, il était loin d’être comme Hyun, comme Yuuki ou bien ne serait-ce que comme Jellal ou ce Damaz ou bien encore Drake. Il n’était rien d’autre qu’une poupée fragile qui essayait de jouer dans la cours des grands.
Il était là, seul regardant le paysage, ne sachant même pas pourquoi il se retrouvait devant cette immense bâtisse dans laquelle un courant d’eau semblait s’écouler à l’intérieur de celle-ci. Il avait simplement entendu une rumeur, comme quoi toutes les personnes qui avaient tenté de pénétrer à l’intérieur avaient fait la malheureuse rencontre d’un esprit assez menaçant qui protégeait quelque chose de précieux à ses yeux. Rien n’était sûr, mais il était venu comme son existence, elle était basée sur des présomptions, des suspicions. Incertain, incapable de se battre par lui-même. Il s’élançait du tronc pour reprendre appui sur ses deux jambes, flageolantes, il manquait de se ramasser sur le sol. Utilisant ses deux bras pour regagner le peu d’équilibre qu’il avait perdu. Il serait le poing droit et se décidait à avancer, dans cette étrange demeure. Une cascade servait de porte, le sol était étrangement sec et fait de calcaire. Le silence était omniprésent. Il s’avançait peu certain de lui prêt à rebrousser chemin à tous moment, mais il essayait de se persuader qu’il n’était pas venu ici pour rien. Son cœur battait à un rythme inhabituel, l’eau s’écoulait sur les murs comme créé pour faire résonner les battements de son cœur dans le réceptacle qu’étaient son corps et spécialement ses oreilles qui vibraient étonnamment tout le temps. Sa tête commençait à lui faire mal. Il avait porté chacune de ses mains sur chacune de ses oreilles pour essayer d’atténuer la fureur de la maison, mais rien ne faisait. Il devait simplement complètement à avancer sans se retourner. Soudain, le sang jaillissait de ses deux orifices auditifs. Comme paniqué, il se mit à courir comme un simple enfant essayant de se sauver d’un fantôme qu’il ne voyait pas. Le liquide rougeâtre s’écoulait le long de son corps avant de ternir son t-shirt d’un blanc immaculé par des légères tâches de rouges. La constellation qui se formait sur ce t-shirt lui rappelait à quel point il était faible. Soudain, le couloir se terminait et avant même de s’en rendre compte, il tombait dans une seconde pièce remplie de poussière.
Il se relevait péniblement à l’aide du mur et époussetait sa tenue avant d’inspecter ses oreilles et son t-shirt et il ne se trouvait plus rien. Aucune trace de sang, il était pourtant sûr d’avoir saigné auparavant, mais avant de pouvoir s’en rendre compte de ce qui se passait une immense coulée d’eau s’abattit sur lui. La force du courant le plaquait contre le mur, ses habits se firent comme déchiqueter par la force de l’eau. La pression qui s’abattait sur lui semblait détruire l’intérieur du corps du jeune garçon. Il était comme impuissant, il souhaitait appeler son esprit de l’eau, mais aucun son ne pouvait sortir de sa bouche, il était comme figé sous la masse d’eau. Quand celle-ci s’arrêtait d’un coup. L’homme retombait sur le sol dans une tentative inespérée de ses poumons pour retrouver de l’oxygène, mais il essayait de faire retirer l’eau de ses poumons rien n’en sortait, le sol était sec comme si l’eau n’avait jamais existé… Le regard du jeune homme portait toute l’incrédulité que la scène pouvait lui donner, mais il ne cherchait pas à comprendre et se levait simplement tout en titubant, car l’effet avait eu lieu. Son corps était lourd et incertain. Où était-ce simplement son cœur ? En attendant, il devait garder en esprit son but, il était là pour devenir plus fort. Il était là pour comprendre ce qu’il faisait dans ce monde. La tête qui se relevait dans un effort surhumain pour regarder ce qui lui faisait face. Une nouvelle cascade, un parterre de fleurs, une stèle au centre et une femme. Une femme d’une beauté renversante qui se tenait en son centre, assise sur les genoux. Ses deux mains étaient entrelacées sa tête posée dessus, elle semblait être en train de prier. Son accoutrement était spécial, on aurait dit une prêtresse d’un ancien temple.
Je passais un pied à travers la cascade incertain de ce qui m’attendait, puis un deuxième. À peine avais-je pénétré dans cet univers de fleurs, le paysage se mis à changer d’un coup. Le sol se remplie de cendre, et un homme apparut une épée en main. Il prit la parole :
« - Toi, jeune homme ! Si, tu souhaites obtenir le pouvoir de ma sœur, tu vas devoir m’affronter dans un duel. Sans magie, rien que toi et moi dans un duel à mort. Je te laisse choisir ton arme parmi les trois suivantes, le bâton arme de prédilection des moines comme ton père, il permet à son utilisateur d’allier vitesse et longue portée, ainsi qu’une bonne distance, mais il amène un handicap dans le combat rapproché et dans la façon de se mouvoir. La deuxième arme est la dague, agile et délicate cette arme est souvent celle préconisée par les assassins, elle ne possède pas une très grande force de frappe, cependant, elle compense par la façon dont elle peut permettre de se mouvoir. En effet, elle est très utile dans un style de combat très rapide et permet d’attaquer de façon peu précise, mais avec une rapidité étonnante. Elle est une arme avant toute faite pour tuer, car enchantée ou empoisonnée elle en fait l’arme idéale pour les attaques éclaire. La dernière arme est celle des chevaliers, comme la mienne, tu peux décider de m’affronter avec une épée, l’arme des preux parmi preux. L’arme qui fait de toi, un combattant avec honneur, elle est l’arme sûrement là plus équilibrée, mais elle ne possède pas vraiment de point fort. De plus, elle s’accompagne à ta guise d’un bouclier ou non. Voilà, fais ton choix. Révèle-moi ce que ton cœur décide. »
Les yeux du jeune garçon s’entrouvrir comme deux billes de surprise. Il ne savait manier aucune de ces armes et ne savait même pas laquelle prendre. Puis, il essayait d’écouter son cœur et une question vint lui brûler les lèvres :
« - Puis-je en choisir deux ou les trois, puisque je ne connais dans aucun cas leur maniement ? - Si, tel est ton souhait. Je pense que je peux te l’accorder ! Allons-y dès que tu es équipé !»
Il s’avançait et prit les différentes armes. Il fixait l’épée et le bouclier dans son dos et la dague autour de sa taille. Puis, il empoignait le bâton, au fond de lui, il se disait que c’était l’arme qui lui était peut-être le plus appropriée. L’homme en face de lui portait une immense chevelure blonde qui lui arrivait jusqu’aux épaules et d’un coup, il se propulsait vers notre protagoniste qui d’un mouvement circulaire du bâton tentait de se protéger. L’épée de l’ennemi parait le mouvement et d’un coup de pied l’homme fit valser son adversaire sur le sol et se mit à éclater de rire :
« - Tu es sûr, que tu veux m’affronter avec ta force ? Tu es faible, jeune homme. Retourne t’entraîner et revient plus tard. »
Le garçon, se relevait à l’aide du bâton et il se lançait à l’assaut essayant d’asséner une sorte de combos d’attaques avec le bâton. Le chevalier qui lui fit fait esquivait aisément et bloquait les quelques coups qui auraient pu l’attendre et il sourit :
« - Bon, je dois avouer que tu as au moins du cran ! Changeons les règles, tu gagnes si tu m’infliges une blessure ! »
Il ne pipait pas mot, le silence était quasiment monacal. Il savait pour sûr que cela allait être très dur de lui asséner qu’une simple blessure. Il essayait quand même, même si c’était en vain, car l’ennemi ne faisait que de se protéger et lorsqu’il contre-attaquait Isaiah finissait sur les fesses. Le combat était inégal et l’ennemi s’ennuyait. Il se décidait à finir le combat et les attaques devenaient de plus en plus brutale et frénétiques. Isaiah ne faisait que se défendre et le bâton finit par céder sous les assauts de son ennemi. Il se retrouvait sur les fesses et il devait réfléchir à un plan d’attaque, car sinon il allait mourir d’une minute à l’autre. Son cerveau paraissait éteint et il ne réagissait qu’à l’instinct de survie et il prit un des bouts du bâton et l’envoyait vers la tête de son adversaire, il reculait pour l’esquiver et balançait le deuxième pour essayer de le toucher si ça marchait, j’avais gagné. Le temps qu’il esquivait, il dégainait l’épée et le bouclier et s’élançait vers l’ennemi bouclier vers l’avant. Le chevalier décontenancé par ce regain d’énergie décalait son appui pour désarmer de son épée le novice, mais celui-ci se laissait étonnamment faire avant de lui asséner un coup de bouclier avec ses deux mains lui permettant de le déséquilibrer. Puis, il lâchait le bouclier et dégainait la dague et s’élançait avec ses deux mains dans une attaque désespérée, cependant l’ennemi contre-attaquait en même temps et dans une dernière estocade. Les deux opposants se retrouvaient chacun d’un côté du terrain. Si, le mage se mit à cracher du sang le t-shirt de l’ennemi s’entaillait. L’homme se mit à rire alors que notre héros s’écroulait sur le sol endolori de tous les coups qu’il avait reçus et l’ennemi s’approchait et dis d’un ton ironique :
« - Bon bah on dirait que tu as gagné, même si t’es dans un piteux état. Je te confie ma sœur, prends en soin, s’il te plaît retrouve-moi. Peut-être que je t’accorderais mon pouvoir, en attendant. Prépare-toi à revivre ce qui s’est passé cette terrible nuit où nous sommes morts tous les deux ! »
Le paysage changeait de nouveau, il se retrouvait de nouveau dans le parterre de fleurs. Puis, il vit que la blessure avait de nouveau disparu, mais il se retrouvait devant cette femme à côté de son frère. Il criait, mais ses paroles étaient inaudibles. Cependant, il avait l’air effrayé, quand soudain la sœur relevait la tête et se mit à sourire vers son frère, cependant au même instant. Une énorme lame, sortit du buste de la femme. Son corps devint inerte et son sourire figé et la douleur d’une épée enserraient le ventre du mage… Puis, le noir.
Soudain, la lumière pénétrait dans les deux orifices visuels du jeune homme. Il se réveillait d’un sombre rêve, il écarquillait les yeux quand il se rendait compte qu’au final, tout cela n’avait été qu’un rêve jusqu’à qu’il vit la jeune femme à ses pieds en train de lui sourire :
« - Tu viens de passer l’épreuve pour obtenir ma puissance. Je me présente, Farranghis. Je suis l’ancienne prêtresse d’un Dieu aujourd’hui révolu. Mon pouvoir, puise sa force dans la force de mes prières et le reste viendra avec la découverte des bribes de mon histoire que tu dois retrouver pour posséder ma réelle puissance. Je resterais en attendant un mystère. Comme tu l’as compris, mon frère en fait partie et pour avancer, il te faudra le récupérer son nom est Narsus un nom qui provient du mythe du célèbre Narcisse. En attendant, je te permets de garder l’arme qui t’a servi pour battre mon frère. La dague du soupir. Tu comprendras son pouvoir, en temps voulu. Tu souhaitais devenir fort, sache qu’à mes côtés, tu pourras le devenir. Comme tu peux le voir, je ne suis pas un priant, je suis assez forte pour conserver ma forme telle qu’elle est. Cependant, sache que je suis avant tout un esprit de support pour l’instant. Je possède trois techniques qu’il faudra apprendre à utiliser avec parcimonie. La première est une technique de barrière. Je peux soit te protéger où me protéger dans une barrière en forme pyramidale. Il faut savoir que cette technique est activée par un hymne spécial en gloire à la déesse protectrice nommé Athéna. La deuxième est un hymne en honneur au dieu des médecins Apollon. Il permet de soigner les blessures de la cible que tu souhaites. Il peut simplement soigner le côté physique des gens, en aucun cas la personne regagne sa magie ou de la fatigue. Le dernier est un hymne particulier, il rend gloire au Dieu de la guerre Arés et il permet de booster les capacités que son l’agilité et la rapidité d’une personne ciblée. Pour l’instant ce sont les seules techniques que ton pouvoir magique peut invoquer. »
Le jeune garçon, emmagasinait les différentes informations comme il le pouvait. Puis, son sourcil s’arquait avant de demander :
« - Je vois et quelle est ton incantation ? - Ô prêtresse des dieux, accorde-moi ton savoir divin et prie avec moi ! »
Sur ces mots, elle disparut ne laissant même pas le jeune garçon rétorquer quelque chose. Le jeune Stone tournait la tête dans le vide pour chercher si elle était toujours là, mais en vain. Avant de se relever et de continuer son chemin la dague à la main. Il pouvait y arriver, il pouvait devenir plus fort et vaincre ses ennemis.
Spoiler:
[HRPG :
Esprit Acquis :
Farranghis : prêtresse d’une civilisation révolue. Elle puise son pouvoir dans des hymnes qu'elle chante, ces hymnes peuvent soit augmenter sa condition où celle de quelqu’un tout dépend de la cible de l’hymne. Elle ne peut combiner deux hymnes en même temps et si elle chante, elle peut combattre, mais comme toute personne normale. Elle possède une simple épée. Elle est d’une beauté envoutante et d’un caractère assez trempée, elle reste froide envers la gente masculine et son histoire reste encore un mystère au jour d’aujourd’hui. Elle reste pour l’instant avant tout un esprit de soutien.
Incantation : « Ô prêtresse des dieux, accorde-moi ton savoir divin et prie avec moi ! » Apparence :
Elle possède trois techniques pour l’instant :
L’hymne d’Athéna :
Cette hymne permet de protéger en créant une barrière pyramidale autour de la cible. Cette barrière est capable d’encaisser pas mal de coups, enfin tout dépend du niveau de l’adversaire. La barrière fais 2 mètres de hauteur et possède un socle. Si elle subit une attaque trop puissante, l'esprit est obligé de recommencer son cantique. L'hymne dure trois posts et donc au bout des trois posts la barrière s'évapore.
Coût en magie : Faible, mais peut devenir moyen si la barrière reste longtemps, car l’esprit puise dans la magie d’Isaiah pendant qu’elle chante. Si l'esprit recommence son hymne le coût est doublé.
L’hymne d’Arès :
C’est un simple hymne qui booste de façon exponentiel l’agilité et la rapidité de la cible. Les stats sont multipliés par deux et tous les 1000 MM on rajoute un 1 au multiplicateur.
Coût en magie : Pareil que précédemment.
L’hymne d’Apollon :
Un hymne qui permet de guérir les blessures au fil de la mélodie, un hymne qui est court pour des blessures légères et un hymne long pour des blessures graves. Cependant, elle affecte que le côté physique, les blessures psychiques, de l’âme et la fatigue, ainsi que la magie ne sont pas touchées. Si la blessure est grave l'hôte garde des cicatrices indélébile. C'est bad ass les cicatrices non?
Coût en magie : Tout dépend du temps nécessaire pour soigner. Si la plaie est profonde et nécessite du temps, on peut compter dans du conséquent.