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«  Mikhaïl ? Sur, que je la connais ! Elle pionce toujours près d'un bar, on sait pas trop ce qu'elle fait dans sa vie. Un jour elle dit qu'elle est serveuse, l'autre elle dit qu'elle est mage ou bien institutrice. On a du mal à la cerner, mais ce que je sais, c'est qu'elle sourit tout le temps et qu'elle est souvent marbrée d'hématomes au niveau des jambes. Et je sais aussi qu'il faut se tenir éloigné d'elle lorsqu'elle est en colère. Il est rare de la voir se mettre dans un état pareil, mais lorsqu'elle pète un plomb, c'est pire qu'un volcan en éruption, un danger cette nana. Mais bizarrement, elle se calme lorsqu'on lui donne du miel. Cette gonzesse est pire qu'imprévisible. » - Nahel Ulzuk, connaissance.

« Lawliet ? Sérieusement ? Qu'est-ce vous voulez savoir sur Lawliet ? C'pour un sondage ? Ah, non...bah, Lawliet elle est loyale. Ouais, nan, je sais j'la connais pas plus que ça. Mais à ma connaissance, malgré son comportement pour le moins explosif, elle est toujours restée fidèle à ses principes et j'la respecte pour ça. Puis elle parle comme un mec aussi, c'te fille. Nan, en fait elle est trop vulgaire quoi. Elle tient tête, elle est effrontée, un peu comme un animal sauvage. Mais derrière ça, je pense que y a un truc plus personnel, mais dans le bon sens, you know ? Je l'ai déjà vu parler quelques fois à une personne sérieusement. Non, je pense que derrière cette facette explosive, il y a quelque chose. Du genre, un esprit de déduction vif, voir même une vivacité d'esprit impressionnante. Pourquoi elle le cacherait ? J'sais pas, moi ! J'suis pas devin non plus, pis t'as qu'à lui demander toi si tu veux savoir. » - Ulrich Déroul, poto de buvette.

«  Si l'on peut reconnaître Mikhaïl, c'est surtout à cause de ses cheveux bouclés roux, et son visage éclaboussé de tâche de rousseur. Et son sourire toujours franc. Mikhaïl est quelqu'un de bien, derrière ses airs tyranniques. Nan sérieux, elle est toujours en train de sourire, et elle garde toujours un œil bienveillant sur les personnes qu'elle juge « proches ». Même si derrière son air blasé, elle vous remballe du style « va voir ailleurs, j'suis pas ton psy ». Elle est toujours là. Bon après, c'est une personne qui a des défauts comme tout le monde. Elle est prétentieuse, cynique et carrément susceptible, mais elle se soigne. C'est pour ça que c'est à double tranchant avec elle, soit on l'aime, Soit on l'aime pas. Mais ça lui est égal, en réalité son sourire peut incarner l'indifférence qu'elle éprouve vis-à-vis du monde qui l'entoure, hormis ses amis.Il n'y a juste que Natsume qui puisse être capable de contrôler ses émotions, ouais c'est un peu catalyseur pour elle. » Suzie Parlemo, amie.

« Cette nana, je la sens pas. Déjà parce que c'est une grosse feignasse qui passe son temps à boire. Et puis, y a vraiment un truc spécial avec elle. Un truc malsain qui m'échappe. Pis, c'est carrément trop louche comment elle me regarde trop mal quand j'vais au bar. D'ailleurs elle me dit qu'elle est mage, mais ça se voit carrément que c'en est pas une. Même si elle fait flipper lorsqu'elle me balance des objets dans la face, elle n'est pas mage. Mais pourtant...y a vraiment un truc qui me dérange lorsqu'elle me fixe. Un truc malsain...j'sais pas comment vous l'expliquer, t'façon y a jamais personne qui me croit quand j'en parle, tss... Pis pourquoi j'parle d'elle moi ? On s'en fout, laissez moi boire ma bière tranquille. »

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Cuius acerbitati uxor grave accesserat incentivum, germanitate Augusti turgida supra modum, quam Hannibaliano regi fratris filio antehac Constantinus iunxerat pater, Megaera quaedam mortalis, inflammatrix saevientis adsidua, humani cruoris avida nihil mitius quam maritus; qui paulatim eruditiores facti processu temporis ad nocendum per clandestinos versutosque rumigerulos conpertis leviter addere quaedam male suetos falsa et placentia sibi discentes, adfectati regni vel artium nefandarum calumnias insontibus adfligebant.

Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.

Quam quidem partem accusationis admiratus sum et moleste tuli potissimum esse Atratino datam. Neque enim decebat neque aetas illa postulabat neque, id quod animadvertere poteratis, pudor patiebatur optimi adulescentis in tali illum oratione versari. Vellem aliquis ex vobis robustioribus hunc male dicendi locum suscepisset; aliquanto liberius et fortius et magis more nostro refutaremus istam male dicendi licentiam. Tecum, Atratine, agam lenius, quod et pudor tuus moderatur orationi meae et meum erga te parentemque tuum beneficium tueri debeo.

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Cuius acerbitati uxor grave accesserat incentivum, germanitate Augusti turgida supra modum, quam Hannibaliano regi fratris filio antehac Constantinus iunxerat pater, Megaera quaedam mortalis, inflammatrix saevientis adsidua, humani cruoris avida nihil mitius quam maritus; qui paulatim eruditiores facti processu temporis ad nocendum per clandestinos versutosque rumigerulos conpertis leviter addere quaedam male suetos falsa et placentia sibi discentes, adfectati regni vel artium nefandarum calumnias insontibus adfligebant.