J’étais maintenant depuis plusieurs semaines dans la grande ville d’Hosenka. Je m’étais attaché à cette ville pour son taux de concentration humaine. Une ressource immense de chaire fraiche pour des expériences plus intéressantes les unes que les autres. J’avais déjà récupéré une dizaine de cadavre de morgue, cimetière et autre sépulture. C’était déjà un beau petit butin. Ben oui, pour moi l’argent m’importais peu. La connaissance était un trésor bien plus précieux que l’or pour moi. Je vivais peut être dans la misère mais mon savoir atteignait des sommets.
J’étais depuis quelques heures sous l’ombre d’un Vieil arbre situé dans un parc du centre ville. Le silence plat. Seul les cries d’enfants jouant au ballon venaient troubler ce calme profond.

Saleté de merdeux.

Même avec ce léger brouhaha, je réussis à m’endormir. Prêt à être bercé par les bras de Morphée, j’allais m’abandonnais aux rêves les plus fous. A vrai dire, de toute ma vie, je me souviens de mes rêves. Même à la minute où je me réveille, ces rêves ou ces cauchemars disparaissaient. Peut être une maladie. Comment le saurais-je, je ne suis qu’un médecin.
Je me réveille lentement. J’ouvre les yeux et je me retrouve debout dans une salle de classe. Avec….avec des mômes d’une dizaine d’années. L’âge où les gosses sont sympas ? Juste après qu’ils soient sortit de l’urètre. Là, tu les revois pas pendants plusieurs mois. C’est après que les ennuis commencent. Neuf mois après les avoir lâchés dans la nature, ils ressortent plusieurs millions de fois plus gros, tout fripé, tout dégueulasse. Mais ce n’est pas finit. Il faut encore se le trimballer pendant une vingtaine d’année pour ensuite le jetait à un coin de rue et qu’il fasse la même connerie que nous : La foutre n’importe où.
Enfin bref, revenons dans la salle de classe. Ils ont l’aire agités. Pourquoi suis-je debout en face d’eux. Je me retourne et regarde le tableau.

Professeur Stein………….Sciences de la Vie et de la Terre

Eh merde. Qu’es-ce qui s’est passé après que je me sois endormi ? Pourtant j’étais ni bourré ni défoncé. Pourtant j’ai un mal de crâne atroce et le bordel incessant des mioches n’aident en rien sa guérison. Je mets ma main dans une de mes poches et y attrape un flacon rempli de petites pilules. J’en prends une et je l’avale. Ce cachet à un effet rapide sur mes maux de têtes mais les gueulantes des merdeux n’allais pas m’aider beaucoup. Fallait que j’y remédie.

Oi, Oi, Oi. Fermez vos claques merde et posez vos culs sur les chaises. Aujourd’hui nous allons faire un peu de dissection.

Heureusement, devant moi il y a une belle table d’opération. Grâce à un tour de magie, je fais apparaitre un cadavre sur cette dernière. Jeune caucasienne avec une longue chevelure blonde. J’entends un bruit de rejet dans la salle. L’un de mes élèves avait déjà renvoyé son déjeuner.

Quand même mon grand. Un peu de respect pour ce cadavre. Es-ce que lui a vomi quand il t’a vu. Bon okay, il peut plus régurgiter grand-chose mais là n’est pas la question.
Vous prenez un scalpel, le planté au dessus du vagin et puis vous remontez en ligne droite jusqu’au menton en passant entre les mamelons. Vous prenez chaque coté de la coupure et vous écartez d’un coup sec. Normalement, sa devrez venir du premier coup. Sinon, acharnez vous jusqu'à ce que sa s’écarte. Mettez la main dedans et puis sortez tous les boyaux et autres aba………..



La plupart des élèves de la classe vomirent. Compréhensible pour des enfants de 10 ans ? Non non. Moi je découper déjà des fibres musculaire à cet âge là. Enfin bref. La principale est rentrée en trombe dans a classe. Dès qu’elle m’a vu, elle ma dit de dégager. Et moi qui voulais simplement instruire des gosses ignares. Encore une journée de merde………