|
Détente dans la forêt de Kunugi |
---|
| Sujet: Détente dans la forêt de Kunugi Sam 23 Juil - 22:42 | |
|
| ♫ Petit thème d'ambiance ♫ "Cette endroit me rappel la forêt où l'autel de l'épée sacrée était.Pleine de sérénité, pleine de vie. Ah, nostalgie... "Par une magnifique journée d'été... un vent frais, des ombres douces... Une forêt, une épée. Un jeune homme au pied d'un arbre, allongé... son fardeau planté à côté. Un fourreau richement décoré allongé près de sa main... les yeux clos, l'air reposé. Atios, était là. Il avait songer à prendre des vacances près de la plage, mais il avait décider de se reposer au calme. Cette forêt lui rappelait sa pré-adolescence... Il avait pour habitude se rendre à l'autel où l'épée de la lumière était plantée, pour s'y recueillir, y prier et aspirer à un meilleur futur. Un endroit où il pouvait se relâcher. Oublier ses soucis, ses tracas; Oublier la dureté de sa mission, de son rôle. Oublier la dureté d'une vie d'adulte. Un endroit où il pourrait s'endormir, le soleil caressant son visage, les ombres des arbres dansant sur sa chemise de pur blanc, sur son pantalon de lin noir. Ici, il était seul ... ici il était libéré. Libéré du rôle de porteur. Libéré de devoir affronter des dangers effrayants ... libérer de devoir risquer sa vie ... libérer de devoir tuer, de devoir en pleurer ... il était seul. Il n'avait plus à réfléchir, à se creuser la tête ... à se remettre en question... Il était libérer du poids des autres, de leurs regards...
Mais tout cela n'était qu'un cours moment de son quotidien. Une paisible et courte aparté, là, allongé et en paix dans cette luxuriante forêt.. Il reprendrait le train dans la ville voisine au soir, irait se coucher et songerai à ce qu'il ferai demain ... mais pour l'heure, il pouvait relâcher les muscles de son dos .. Il n'avait pas besoin d'être droit ... Il n'avait pas besoin de tenir l'épée et de forcer sur ses muscles ... Il n'avait pas besoin d'envoyer la lumière destructrice d'Excalibur en face de lui pour ensuite constater les ravages que ce pouvoir pouvait engendrer ... Ici, il n'avait pas à songer à comment venir en aide à autrui... Il n'avait pas à songer à ce qu'il ne pourrait pas faire ... Il n'avait pas à songer au fait que son corps souffrait ... Il n'avait pas à sentir les souffrances que ses adversaires lui infligeaient ... Il n'avait pas à sentir que ses mains ployaient, que sa peau hurlait ... Il n'avait pas à voir la tristesse et la souffrance ... ni au bonheur qu'il pouvait parsemer sur sa route...
Il se remémorait en silence, dans la quiétude de la forêt, le bruit des épées qui s'entrechoquaient ... le bruit des hurlements de douleurs ... le bruit des gens qui fuyaient ... Il tentait de se souvenir de quelque chose d'inaccessible et de lointain, quelque chose qui remontait à plus loin qu'Excalibur ... mais seul le vide parsemait ses souvenirs ... Arthuria lui avait expliquer que ses souvenirs étaient en partie faux ... Il avait pris peur à cette idée ...cela voulait-il signifier que son enfance n'était pas ... vraie ? Qui était-il ? Il avait peur de le découvrir. Etait-il l'enfant de quelqu'un d'important ? Etait-ce important qu'il récupère ses souvenirs ? Est-ce qu'il portait un terrible secret ? La curiosité et la peur assombrissait l'esprit du jeune homme; il rejeta ses mauvaises idées ... il devait avoir foi en demain. Car demain était forcément meilleur qu'aujourd'hui .. |
| | | Sujet: Re: Détente dans la forêt de Kunugi Mer 3 Aoû - 3:46 | |
|
| Même si Atios ne cachait rien de ce qui avait eu lieu aux autres, il confiait rarement ses craintes et ses lamentations. Pas même à Arthuria, alors qu'il savait pertinemment qu'il ne pouvait rien lui cacher, ses sentiments, ses craintes, ses désirs, sa gêne, son bonheur, ses plaisirs comme ses malheurs; Rien, il ne pouvait rien lui cacher : Avalon, l'île mythique où Excalibur fut créer était maintenant connecter de façon permanente à son âme. Cette île était à l'intérieur de celle-ci. Et à l'intérieur d'Avalon, Arthuria était celle qui résidait depuis longtemps. Comme des pièces de puzzles s'assemblent, comme des plots s'emboîte, tout n'était qu'un empilement à l'intérieur du plus gros des conteneurs : Atios. Elle acceptait tout de son compagnon. Ses haines, ses pires désirs comme ses plus preux actes et sacrifices. Elle qui n'était qu'un esprit sans nom, elle avait reçu de lui un coeur, un nom, une existence, une incidence sur ce monde, une enveloppe pour sentir et frémir au grès du vent courant sur celui-ci. Elle l'aimerai et le soutiendrait peu importe ce qu'il ferait ou deviendrait ; Elle le suivrait partout acceptant toutes ces décisions, bonnes ou mauvaises car elle lui devait tout.
Quant à Viviane, damné soit cette fée, elle et sa soeur Morgane, ne perdait rien pour attendre. Elles-même résidentes d'Avalon sans avoir un accès à son être ( Il remerciait le monde pour ça ..) avaient pour sale habitude de prendre le thé dans son âme et émettant de temps à autres quelques commentaires sardoniques, caustiques, ironiques et en général pas très sympathique. Elle n'avait aucun attachement pour quelqu'un qui n'était là que par chance, par la faille d'un système qui aurait dû être parfait. Malgré qu'elle l'ai rejeté, elle l'avait accepter à contre coeur et ces dernières l'aidaient du mieux qu'elle pouvait. C'est notamment ces dernières qui l'aiguillaient dans la découverte de ses pouvoirs. Mais à présent, il avait atteint les limites de ce système et avait atteint un stade supérieur à tout ce qui avait été vu. Il avait utiliser ce système pour en faire le sien : à présent, il était aux portes de devenir le plus puissant des porteurs ayant jamais exister. Symboliquement, ses ailes étaient la preuve du fait qu'il avait briser ses chaines. Il était le maitre incontesté d'Excalibur à présent. Il avait fait des pouvoirs de cette arme les siens; Mais possédait-il le droit de ne pas être contrôler par le destin et d'utiliser une arme aussi puissante selon son propre code de conduite, selon ce qu'il croyait être bon ?
Enfin, il n'était plus à douter de ça. Il ferait de son mieux pour que ses idéaux soit respectés. Jusqu'à présent, malgré la mort de nombreux criminels, si Fiore était une terre de paix, c'était en partie grâce à sa présence. Certes, il ne pouvait tout changer, certes il ne pouvait pas non plus être garant d'une paix totale, mais là où il passait, les criminels devaient prendre garde ; où ils risquaient le trépas si résistance ils opposaient. C'est à ce moment là qu'Atios se releva pour ranger Excalibur dans son fourreau. Elle émit une douce et chaude lumière qui mourru dans le fourreau à sa ceinture. Si tout jusque là se passait bien, Arthuria, en traîtresse, lui sauta dans son dos ; elle arriva donc, accrocher à son dos. Atios perdit lamentablement l'équilibre, surpris du soudain poids qui l'entraîna vers l'avant. Arthuria venait de réaliser un strike : Atios était tomber en avant sur Lullaby, avec Arthuria sur son dos. Au sol, confus, Atios haussa légèrement le ton, largement réprobateur :
| - Arthuria ... dit-il dans un soupir. Il était en partie allongé sur Lullaby, Arthuria sur son dos. Il se releva et la mit dans ses bras pour la reposer au sol. Excuse-moi, ceci est une amie à moi ... qui ne t'avait sûrement pas vue. Il lui tendis la main pour l'aider à se relever et en profita pour lui demander : Et toi - Car oui, je vois peu l'intérêt de se vouvoyer-, d'où viens-tu, quelle est ton histoire ? |
|
| | | Sujet: Re: Détente dans la forêt de Kunugi Lun 8 Aoû - 16:52 | |
|
| | - Je dois partir. J'ai à faire. dit-il, sur un ton ferme mais tout de même sympathique et chaleureux. Je vais donc vous laisser vous reposer. |
Il avait toujours fort à faire a vrai dire. Mais là, il ne voulait simplement que se balader. Sentir le vent frais sur son visage. Et rentrer. De toute façon, il était 16h. Et avec la vitesse de locomotion qu'il avait prévu d'avoir, il rentrerait vers 20h. Il avait récemment fait l'acquisition d'un second familier, toujours grâce à Excalibur. Avec cette arme, il arrivait à matérialiser les souhaits de son porteur. Cette épée était d'un formidable pouvoir; Peut-être était-il même impossible de la maitriser en totalité. Ou alors ses véritables pouvoirs magiques étaient infinies. A présent, il pouvait utiliser l'épée à son gré, même si les divers pouvoirs de l'arme était une autre affaire. De plus, il avait encore beaucoup à maitriser sur la magie en tant qu'être Humain. Cette mystérieuse présence émanant de chaque être vivant était d'une infinie complexité. Il n'aurait peut-être jamais le temps de tout découvrir sur la magie. Au contact de l'épée sacrée, Atios avait développer sa magie bien qu'il ne l'aurait sûrement jamais fais sans cette arme. La magie était vraiment ... magique. C'était ironique de dire ça comme ça mais elle permettait tout et n'importe quoi. Il ne comprenait pas pourquoi d'ailleurs elle n'était pas officiellement enseignée à chaque enfant. Ah oui ... il était vrai que l'école n'était pas obligatoire en Fiore. Certes, quelques écoles étaient ouvertes mais les plus pauvres n'avaient pas accès à celle-ci. Il était temps de partir à présent. Le ciel bleu, les vertes pleines. Il allait ressentir à nouveau le plaisir d'arpenter celles-ci. Atios leva Excalibur. Elle laissa une trainée lumineuse qui s'élargit un peu comme une porte dorée vers un endroit inconnu. Un cheval, avec une crinière d'or et une peau très sombre, noir. La bête baissa la tête devant celui qui l'avait fait venir avant de se coucher au sol. Le jeune homme lui grimpa sur le dos et la bête se releva avant de se cabrer. Atios s'accrocha au coup de la dite bête possédant huit pattes. Il n'était pas très assuré et il n'avait pas pratiquer l'équitation. Mais merci pour lui, l'épée lui avait fourni une monture et un moyen de locomotion intelligent. En fait, il n'avait pas encore une totale confiance en l'équidé, mais ce dernier était assez compréhensif avec la personne lui grimpant sur le dos. Il semblait même s'amuser de la peur que le celui qui le monter nourrissait sur son dos. Le cheval n'avait rien pour être diriger et Atios n'avait aucune protection. La bête reposa ses quatre pattes avant au sol. Ce cheval était tout en muscle et en même temps il était assez rapide. Trop rapide pour Atios qui s'accrochait fermement à la bête quand elle galopait. D'ailleurs ce dernier était capable de comprendre ce qu'on lui disait et de répondre, à la surprise d'Atios. Le fameux cheval avait du bien rire la première fois qu'il était invoquer; "Tu peux parler ?"; "Tu vas pas me faire tomber hein ?", "Tu iras doucement sil te plaît t...". Et Atios était capable de sauter pour lui grimper dessus, mais le cheval était bien plus grand que son ami porteur d'Excalibur. D'ailleurs, Atios lui avait (de façon irréfléchi) s'il était rapide car il ressemblait plus à un cheval de trait qu'à autre chose. Un coup de sabot dans les côtes plus tard, Atios avait pu grimper sur la bête, une côte en moins. Et il avait compris pourquoi ce dernier s'était énervé. Iln'avait aucun problème quand il allait vite grâce à sa magie, mais là il était entraîner par la bête qui allait à une vitesse folle. Et le jeune homme, une fois descendu, était parti s'allonger dans l'herbe, le bas du dos en compote. Eh oui, Sleipnir était une bestiasse de combat. Et donc, l'arrière train d'Atios en avait fait les frais. Mais là, il avait besoin de rentrer rapidement... Et il n'avait pas de quoi payer le train. | - Lulla-san, j'ai été content de vous rencontrer. Nous nous reverrons, j'en suis sûr ! Jusque là, portez vous bien! | Sur ces paroles, Sleipnir se cabra une nouvelle fois, forçant Atios à s'agripper fermement et parti tel une fusée vers la sortie de la forêt, Atios lui indiquant les directions à prendre. Il ne semblait pas galoper, on aurait dit qu'il planait au sol tellement il allait vite. |
| | | Sujet: Re: Détente dans la forêt de Kunugi | |
|
| | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|