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Noah Aleksandrina Kayuuko

Surnom : The Read Heart

Sexe : ♀

Âge : Dans la vingtaine, en parait la quinzaine.

Pouvoir : Fairy Door

Statut/Guilde : Assassin / Raven Tail (ou, plutôt, la guilde qui en découlera si elle est "dissoute".)

Noah Aleksandrina Kayuuko - Terminée - Descriptionpsychologiqu

Dans une première approche, Noah est quelqu’un de froid et peu bavard. Elle pourrait dissuader quelqu’un de l’approcher rien qu’en plissant les yeux. Cependant, si elle ainsi, c’est parce qu’elle a toujours été élevée dans la solitude et le mépris. Alors elle s’intéresse peu aux autres et à tendance à les prendre un assez hautainement lorsqu’ils viennent la voir. De plus, elle utilise très souvent la menace lorsqu’on tente de l’approcher, un peu comme un animal sauvage qui s’ébrouerait en face de quelqu’un trop insistant. Seulement, si vous l’intéressez assez, elle peut décider de vous laissez approcher et vous parler. Cela dit, elle ne causerait quand même pas plus que d’habitude et c’est vous qui risqueriez de meubler la conversation.

Elevée dans un climat plutôt violent, ses parents étant des assassins plutôt recherchés, elle s’est très vite adaptée à cela. Dès l’âge de six ans elle commençait à suivre l’un de ses parents en missions, c’est vous dire... A cet âge, normalement, les enfants restent à s’émerveiller devant des choses simples de la vie, pas se faire plaisir en regardant des personnes mourir. Et c’est pourtant ça qu’est Noah. Un être presque toujours bestial, assoiffé du sang de ses victimes, toujours en chasse, toujours pressée de tuer sa prochaine victime et souhaitant lui fire le plus de mal possible.

Oui, au premier abord, c’est comme cela qu’on perçoit Noah. Et, pour vous dire la vérité, ça ne change pas vraiment ensuite. Cependant, dans de très rares moments, elle peut être assez sympathique... Enfin, dans sa sympathie à elle, il faut comprendre. C'est-à-dire un léger sourire plutôt qu’un rictus carnassier et deux ou trois gentillesses plutôt que des menaces à la pelle. Au fond, elle n’est sans doute pas trop mauvaise car, parfois, elle peut en venir à regretter tel ou tel meurtre, mais c’est une chose rare. Elle s’oblige à ne pas y penser et se force parfois à se dire que telle ou telle personne l’a mérité... Ce qui marche toujours.

Noah est une personne plutôt intelligente et très observatrice. Elle pourrait presque deviner ce que souhaiterait faire son adversaire pour l’attaquer. Je dis presque parce que ceci est normalement impossible si l’on n’utilise pas la magie psychique. Cependant, la jeune femme mise plus sur ses muscles et sa vivacité en combat, cherchant peu de stratégie et se contentent de se battre et survivre plutôt que rester en retrait à chercher ce qui pourrait marcher ou non et, le plus souvent, se faire blesser. En combat comme dans la vie, elle reste passionnée, se battant avec son cœur –corrompu je l’avoue mais il reste tout de même un cœur !- et mettant toute sa volonté à l’épreuve. C’est quelqu’un qui, si elle commence quelque chose, le fera avec un amour spécial et une volonté à toute épreuve.

En définitive, malgré qu’elle soit violente et un peu bizarre, Noah reste quelqu’un qui a des sentiments humains et qui, même si elle les cache, les ressent. C’est pourquoi elle n’est parfois pas si mauvaise et évite quelques fois de tuer de sang froid et sans raison... Car elle sait qu’un jour elle pourrait le regretter.

Noah Aleksandrina Kayuuko - Terminée - Backgroundso

Confessions à un journal, histoire de Noah Aleksandrina Kayuuko :

Page 1 : Mes premières années.
On m’a toujours dit que j’étais un bébé pas comme les autres. Je suis née, déjà, un 29 février à Oak Town. A ce qu’on m’a dit, je ne pleurais pas et me contentais de fixer d’un regard presque méprisant tout le monde. J’en faisais presque peur, apparemment... Au début, ils me croyaient mort-née tant j’étais silencieuse et immobile. Il parait que j’ai même voulu mordre le premier qui a tenté de me « ranimer »... Et que j’avais fait l’amère découverte que je ne possédais pas encore de dent. Ma mère m’a dit que j’avais des cheveux rouge sang dès la naissance... Alors que les autres se servent souvent de la magie pour changer leur couleur de cheveux.

Enfin, tout ça pour dire qu’à ma naissance, déjà, je méprisais tout le monde et j’étais étrange.

J’ai grandi dans un climat d’extrême violence et, pourtant, de grande douceur. Mes parents, assassins de grande renommée et activement recherchés, m’aimaient plus encore que leur travail qu’ils idolâtraient auparavant. Ca m’a fait bizarre, quand ils m’ont annoncé ça... Bref, j’ai grandi dans un environnement un peu déséquilibré avec, d’un côté, une violence presque atroce du fait des meurtres (dont je connus rapidement l’existence) et de l’autre une magnifique douceur qu’un enfant peut désirer. Seulement, cela s’arrêta trop vite, mais je n’en parlerais pas aujourd’hui.

Donc, j’ai grandis dans ce climat quelque peu étrange. Moi, ça ne me dérangeait pas car, étrange, je l’étais déjà.

Cependant, je le devins encore plus. Malgré l’amour que mes parents avaient pour moi et le fait qu’ils me cachent tout, je compris bien rapidement qu’ils n’étaient pas des gens « fréquentables ». Ils évitaient tout contact avec l’extérieur et ne sortaient que le soir.

* Un soir, donc, alors que j’avais six ans, j’ai suivi mes parents sans qu’ils ne s’en aperçoivent. Je me rappelle très bien de cette nuit. Nous quittâmes Oak Town pour rejoindre Harujion. Même le soir, la ville portuaire était assez active, en été. C’était la première fois que je quittais ma ville natale pourtant, cela ne me choquait pas. Je les ai suivis jusqu’à leur cible, une riche femme nommée Eva vivant dans un grand manoir. Ils se firent passer pour des agents de ménage et on les fit entrer sans se méfier. Quant à moi, j’attendis quelques minutes avant de me faire passer pour une pauvre enfant égarée. On me recueilli toujours sans méfiance, on me nourrit et on me lava. On me laissa ensuite me promener à ma guise. Je me suis rapidement retrouvée au sous-sol sans savoir bien exactement pourquoi. En face de moi, il y avait une unique pièce. La porte, blindée, était encadrée de deux petites fenêtres. Tout enfant normal ne serait pas resté. Pas moi. Je me suis collée contre la fenêtre et ai regardé. Ce que j’ai vu ne m’a même pas choquée. Au contraire... J’ai trouvé ça vraiment... plaisant ! J’étais heureuse de la voir perdre son sang et agoniser ! *

C’est en cela que je devins encore plus étrange. La vue du sang ne m’inquiétait pas et je me réjouissais de la mort de quelqu’un...

Page 2 : The Red Heart.
Depuis cette nuit un peu spéciale, mes parents me voient d’un autre œil. Ils avaient déjà eu une autre fille, que je n’ai pas présentée mais ça m’est égal. Celle-ci avait été dégoûtée par cela et, après avoir juré de ne rien révéler sur sa famille, elle est partie. C’est pourquoi mes parents ont été étonnés de voir que j’appréciais l’art de tuer… Surtout aussi jeune. Bref… Ils ont donc décidé d’attendre jusqu’à mes huit ans, à peu près, voir si mes avis sur la question changeaient. Mais ce ne fut, franchement, pas le cas. Bien au contraire, d’ailleurs ! C’est donc pourquoi ils ont décidé de finalement m’apprendre leur art.

Cela dit, ce n’est pas une chose réellement difficile ! Tuer quelqu’un, c’est facile, le faire avec discrétion l’est souvent moins. C’est pourquoi j’ai du la travailler avant de faire mon premier « petit boulot ». Et ça été dur pour moi. A chaque journée d’entrainement, on travaillait un programme différent soit pour me muscler –car une petite chose d’à peine huit ans c’est plutôt facile à attraper et surtout à maintenir…-, soit pour augmenter mon agilité et d’autres choses du style. Très souvent, lorsque la nuit était bien noire, je me faisais traîner le long des toits des habitations pour apprendre à « m’échapper par les airs » comme dirait ma mère. J’ai souvent failli tomber… Et personne ne m’aidait, je devais « me débrouiller seule ». Alors c’est ce que j’ai fais. Je suis rapidement devenue aussi bonne que mes parents, niveau discrétion et autres. Enfin, rapidement… C’est une façon de parler ! J’ai du attendre mes seize ans avant d’être enfin « apte à travailler ».

On m’a emmené chez notre Patron, que je ne devais appeler autrement que « Monsieur », « Patron » ou, lorsqu’il était vraiment en rogne ou dans ses moments d’orgueil presque incessants, « Votre Eminence »… Ce mot n’a jamais réussi à passer le seuil de ma bouche, cela dit, et il m’a coûté cher quelques dizaines de fois je dois l’avouer. Mais bon, ce n’est pas de ma faute si j’apprécie de passer outre l’autorité des supérieurs ! Bref, je fus donc déclarée comme nouvelle assassin. Il me fallait un nom de code que l’on me trouverait au bout de quelques assassinats. Il « définirait » mon style et on saurait à chaque fois qui a tué. Car chaque assassin possède un style différent et donc un surnom différent –à part pour deux ou trois exceptions. Les professionnels, j’entends bien, pas les petits amateurs qui tentent de nous imiter en changeant de style selon les « modes utilisées ».

Bref, j’ai donc tué ma première victime « officielle » dira-t-on, le surlendemain de mon dix-septième anniversaire. C’était, pour moi, une sorte de très beau cadeau. Tout c’était passé pour le mieux. Je n’avais laissé aucune empreinte ou chose qui permettrait de remonter ma piste à part, seulement, une carte composée d’un As de Cœur. J’avais saigné ma victime lentement, prenant plaisir à la faire souffrir, pour ensuite lui arracher le cœur alors qu’elle était encore vivante. Ce fut, pour moi, une révélation. Je savais que, lorsque je tuerai à nouveau, j’achèverai ma victime ainsi, lui arrachant le cœur et plaçant l’As à la place de l’organe, que je jetai inévitablement. Peu de monde appréciait mes méthodes. Les autres étaient rarement aussi sauvages et brutaux que moi. On dit, chez nous, que la méthode d’assassinat reflète le caractère de ceux qui tuent… C’est souvent vrai, il me semble.

Enfin, tu sais maintenant comment je suis devenue ainsi.

Page 3 : Fairy Door.
Oui, je vais maintenant te parler de ma magie… Ou plutôt, de son apprentissage. Car ce n’est pas une magie que l’on trouve naturellement. Il faut l’apprendre. Cette magie, considérée comme « dangereuse » car elle peut en arriver à changer la personnalité de quelqu’un d’un coup, n’a pas été interdite. On ne peut plus la contrôler de naissance. On ne peut que l’apprendre avec l’aide d’un tuteur.

Le mien était horrible, tu sais. Mais, en soi, ce n’est sans doute pas une chose si terrible maintenant que j’y repense. C’est vrai, je le haïssais parce qu’il me faisait mal, mais je l’aimais car il m’apprenait sa magie. Une magie dite « dangereuse », qui plus est. Quoi de plus excitant, hein ?

Notre rencontre a eu lieu lors d’un nouvel assassinat. J’avais dix-huit ans, à trois mois près. J’étais encore considéré comme « novice » dans le monde des assassins professionnels, mais je faisais mon bout de chemin. Je n’avais encore commis aucune faute et on recherchait « Un assassin violent aux desseins et au visage inconnus »… Si ces idiots savaient que j’étais une femme, que pourraient-ils dire ? Ah… ! Bref, lors d’un nouveau travail, je m’étais assurée qu’il n’y avait aucun témoin. J’ai réalisé mon job comme il le fallait, sans laisser de trace de mon éventuel passage autre que la victime et la carte à la place du cœur. Cependant, je n’avais pas vu cet homme un peu étrange camouflé derrière une brume d’un noir d’encre. Lorsqu’il s’est montré, il a directement capté mon regard. « Veux-tu apprendre une magie qui te permettras de réaliser tes rêves les plus fous et d’assouvir tes plus noirs désirs, jeune fille ? » Ce fut là la seule chose qu’il m’a dit. Je n’ai pas hésité et, après avoir laissé un message à mes parents, j’ai suivi cet homme.

Bien mal m’en prit ! Enfin… Ce fut ce que je pensais au début. Cet homme était un alcoolique violent qui m’avait choisie totalement au hasard. Bien entendu, j’aurais pu le tuer durant ces moments d’alcoolisme pur, mais il comptait trop pour moi : Sans lui, je n’aurais pu terminer ma formation de mage. Elle fut très dur, surtout à cause de cet homme, un dénommé Hachi. Il n’avait pas un faible pour moi… Il me désirait carrément, abusant de moi comme un simple jouet sexuel, une simple fille sur qui on se défoule. C’était ce que je devais « payer » pour qu’il m’apprenne sa magie. Déjà que je n’étais pas vraiment nette au niveau mental, cet homme a réussi à me détraquer encore plus ! Enfin… Je ne pouvais pas parler de cela. Si je le faisais, il me libèrerai de mon apprentissage et me dénoncerais aux autorités comme étant le si recherché assassin « The Red Heart ». Cette dernière chose ne me dérangeait pas, j’étais passée maître dans l’art de la discrétion.

Cependant, je préférais ne pas tenter le Diable, alors je ne dis rien.

Mon entrainement ne dura que plusieurs mois au bout desquels je réussis à utiliser ma nouvelle magie. Je n’étais pas puissante, c’était vrai, mais j’arrivais au moins à ouvrir un portail. Ce premier portail fut un portail d’invocation d’arme. Je m’épris immédiatement d’elle, bien que sachant qu’elle ne me serait pas utile pour mes assassinats… Bref, lorsque j’eus un peu mieux maîtrisé ma magie, il me libéra de mon apprentissage. Je remerciai mentalement cet homme que j’avais tant détesté au début de notre relation « maître-apprenti », qui s’était plutôt transformée en relation « maître-jouet sexuel » mais bon…

Je garde quand même quelques bons souvenirs de cette courte période car, même s’il abusait de mon corps et qu’il me frappait souvent, cet homme pouvait être adorable et nous riions ensembles quelques fois.

Page 4 : Epilogue ? Cela se pourrait…
Après avoir apprit cette magie, je m’en suis donc retournée auprès de ma famille, où je me découvris un nouveau frère de quelques mois seulement, et auprès de l’organisation. J’avais manqué à quelques amis proches et le reste avait regretté cette « disparition temporaire » car ils gagnaient moins d’argent qu’avant. C’était vrai que j’étais une des assassins qui prenait le plus de boulot en un seul mois… Bref, ma vie reprit son cours normal et je refis à nouveau surface dans Fiore. Partout, on chuchotait que « The Red heart » était revenu… J’en ris encore.

Cependant, étant une mage et gagnant très peu d’argent car quatre-vingt-dix pourcents de l’argent qu’on recevait revenait au Patron, je décidai d’intégrer une guilde. J’annonçai donc mon départ et jurai de ne rien révéler. De toute manière, je ne le pourrais pas puisque ma famille fait parti de cette organisation. Je laissai tout derrière moi et m’envolai vers ma nouvelle vie, ne me cachant pas puisque l’on ne connaissait pas mon visage. Partout où j’allais, je voyais des avis de recherche portant mon nom de code mais sans image de moi et cela me faisait rire.

J’arrêtai de tuer durant quelques temps. Au moins jusqu’au moment où j’aurais rejoins une guilde qui acceptait des boulots d’assassinat ! Une guilde sans doute illégale, bien entendu… Bref, ma nouvelle vie commençait. Deux personnages différents dans un même corps : La Mage froide et solitaire et l’Assassin sauvage et sanguinaire. Personne ne pouvait se douter de qui j’étais…

Petit up pour annoncer qu'après un long long moment d'attente, ma fiche est enfin pondue en entier.

Je viens commenter ta fiche Smile

1 ) Niveau construction, esthétique ou orthographe, il n'y a absolument rien à dire. Les images sont, d'ailleurs, agréables Wink

2 ) Ta descriptio psychologique cerne comme il se doit ton personnage, décrivant ces quelques changement d'humeurs préciséent. J'aime

3 ) Ton histoire, montée en journal, est agréable à lire. De plus, tu as introduit de telles horreurs n quelque sorte appliquables de nos jours ( par exemple le fait que l'alcool ai tellement atteint son maître qu'il a transformé sa disciple en jouet sexuel ), et j'adore ça ! Très bien Very Happy

4 ) Ton pouvoir m'a intéressé, je le trouve original Smile

De plus, l'auto-modération est très bien dosé, et le temps que tu as indiqué en fonction du niveau de ton personnage est selon moi, très correct.
Juste une question s'impose, concernant ta cinquième technique. Je cite : "Elle s’ouvre instantanément pour que des ailes de foudre, d’une envergure de trois mètres chacune, apparaissent dans son dos."
Est-ce que cela veut dire que le barème que tu avait indiqué au début de la description du pouvoir ne s'applique pas ici ? Ajouté au fait que les ailes soient elles-même en foudre, je trouve ça un tout petit peu trop Wink

Comme je n'ai peut être juste pas compris, j'attends que tu réponde à ma question pour valider ou non, mais j'aime beaucoup ta fiche !

Déjà, merci d'avoir posté si rapidement ! ♥ (Et heureuse que ma fiche plaise !)

Donc, pour ce qui est du portail des ailes : Le temps d'invocation du portail est le même que pour les autres. L'ouverture instantanée c'est parce que, normalement, Noah doit ouvrir elle-même les portes alors que celle-là s'ouvre d'elle-même. (J'avoue, je me suis assez mal exprimée -autant là que dans la fiche, d'ailleurs ><-)

Cependant, si le fait qu'elles soient de foudre dérange (bien qu'elle ne puisse pas utiliser la foudre dont elles sont composées pour attaquer) je peux changer ! :3

Je comprends mieux maintenant ! ^^
De plus, comme tu n'avais pas préisé non plus que tu ne pouvais pas t'en servir pour attaquer, je ne vois plus d'objections ^^
Rajoute ceci dans ta fiche, et ce sera bon ! ^^

Validée !

Je tiens juste à venir pour dire que ça sent le Gureen Lagan ici Razz

En tout cas je tiens à dire que t'a fiche est ... PARFAITE ! Smile

Je déplace le sujet Wink

Merci beaucoup (autant pour la validation que pour la remarque de Drak ! ^W^)

Modifications faites le 31/05 à 07:30
:3

Sujet: Re: Noah Aleksandrina Kayuuko - Terminée -

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