J'aimerais laisser ma trace sur le sable du temps, savoir qu'il y avait quelque chose, que j'ai laissé quelque chose derrière moi. Que quand je quitterai ce monde, je le quitterai sans regrets. Que je laisserai quelque chose en souvenir, pour qu'ils ne m'oublient pas. Qu'ils se souviennent que j'étais là, que j'ai vécu et que j'ai aimé. Que j'ai fait, et accompli tout ce que je voulais, et que c'était plus que je ne l'aurais imaginé... Je laisserais ma trace, et tout le monde saurait que j'étais là. J'aurais envie de dire que j'ai vécu chaque jour de ma vie jusqu'au dernier, que j'ai représenté quelque chose dans la vie de quelqu'un. Δ Beyoncé.
Vous arrivez à l’entrée d’une mine. L’endroit semblait délabré et totalement abandonné depuis quelques temps maintenant. Alors c’était ici le point de chute hein ? Etrange. De la terre exploitable où tu t’étais imaginé des vergers et autres jardins d’Eden, ton image disparait pour laisser place à une mine lugubre, humide et sombre. Cela a comme un air de déjà-vu, un aspect familier. Adrien semble t’attendre tandis que les gardes se mettent d’accord pour laisser le blessé au carrosse alors que Terence et un autre GI.Joe vous accompagne.
« - Je ne refuse jamais une proposition vers une nouvelle aventure ! Allons-y ! »
Tu es certainement la seule enthousiaste à l’idée de devoir t’enfoncer là-dedans. La légèreté du voyage et la détente semblait s’évanouir, disparaitre dès que vos pas s’enfoncèrent dans l’obscurité de la mine. Des fois, tu entends les gouttes d’eau s’écrasant au sol et d’autre fois, le silence revient régnait en tant que maître des lieux. Un silence pesant. Un silence oppressant. Malgré le fait que tu sois bien entourée, tes yeux font des allers-retours entre chacun de ces hommes, comme s’ils pouvaient ressentir ce qu’il y avait au-delà de l’obscurité. Au-delà des ténèbres vous prenant dans ses bras.
« - Ce que nous trouverons ? Hmm un trésor ?! Ahaha, ça serait bien. Mais j’ai tendance à dire des squelettes, des bêtes diverses et variées… »
Puis un moment tu t’arrêtes et tu repenses à ce mythe que l’on racontait sur la mine prêt du village où tu as grandie à Minstrel.
« - Peut-être…Peut-être un monstre ? »
Cela ne serait même pas étonnant. Cet endroit paraissait désert et dépourvue de toutes formes de vies civilisées….Même si tu as un profond respect pour Batman, cela n’excuse en rien l’état des lieux.
« - Vous savez…Dans mon village, quand j’étais enfant, il y avait une mine du même genre prêt d’ici. Les anciens nous interdisaient de nous en approcher car un monstre terrible s’y cachait. Ils disaient que ce monstre était aussi vieux que le monde…Qu’il était le gardien de quelque chose d’encore plus terrible que lui. On y croyait vraiment…Puis en grandissant on y croyait moins. On savait que cela n’avait pour but que de nous faire peur et de nous empêcher d’aller là-bas. »
Tu continues à avancer, sans faire attention où tu mis les pieds et finit par trébucher sur quelque chose, t’écrasant lamentablement par terre, de tout ton long. Aucun soucis…Tout va bien…Tout.
« - Dites…C’est un bras ? »
Ramassant la chose desséchée entre deux doigts, tu t’interroges sur ce que cela peut être avant de regarder Adrien et les deux autres. Peut-être que…Peut-être que vous n’auriez pas dû venir ici. Mais maintenant, il fait juste trop sombre pour retrouver la sortie. Trop sombre pour savoir jusqu’où vous vous êtes enfoncés parmi les abysses.
J'aimerais laisser ma trace sur le sable du temps, savoir qu'il y avait quelque chose, que j'ai laissé quelque chose derrière moi. Que quand je quitterai ce monde, je le quitterai sans regrets. Que je laisserai quelque chose en souvenir, pour qu'ils ne m'oublient pas. Qu'ils se souviennent que j'étais là, que j'ai vécu et que j'ai aimé. Que j'ai fait, et accompli tout ce que je voulais, et que c'était plus que je ne l'aurais imaginé... Je laisserais ma trace, et tout le monde saurait que j'étais là. J'aurais envie de dire que j'ai vécu chaque jour de ma vie jusqu'au dernier, que j'ai représenté quelque chose dans la vie de quelqu'un. Δ Beyoncé.
Face à vous l’improbable. L’impossible. Une bête hideuse aux attraits d’un canidé se tenait juste-là, gardant le reste de la mine tandis que tu lâches le membre en décomposition, regardant avec toute ton attention l’atrocité présente. Cela aurait été presque trop beau de s’enfoncer dans la mine, dans une exploration simple, non, il faut également qu’il y ait des monstres, comme si vous l’aviez su dès le départ. En quoi cette mine habitée par une telle créature fait d’elle une terre exploitable ? Là encore tu aimerais savoir quel genre d’imbécile donne des informations comme celle-là ?
Devant toi, les trois hommes s’activent même si Adrien reste légèrement en retrait, te protégeant de tout ce qu’il pourrait arriver.
« - Ne vous en faites pas pour moi….J’ai déjà vue quelque chose de beaucoup plus affreux que ce gros chien. »
S’il y avait bien quelque chose que tu ne supportais pas, c’était de jouer le numéro de la demoiselle en détresse, laissant toute la gloire et tout le mérite aux hommes. Il était hors de question que tu laisses ces hommes se sacrifier pour toi-même si tu savais qu’à eux trois, ils n’auraient certainement aucun mal à s’occuper de cette chose devant vous.
« - Adjutorium nostrum in nomine domini que fecit caelum et terram »
Silencieusement tu répètes trois fois cette phrase. Silencieusement, tu pries, tu attends. Tu espères. Tu sais qu’elles ne sont pas pour le combat à proprement parler. Elles ont pour horreur la violence et la barbarie et pourtant, tu ne souhaites qu’une chose, qu’une d’entre elles interviennent maintenant et tu avais même une petite idée de qui pourrait aider.
« - Adjutorium nostrum in nomine domini que fecit caelum et terram….Lustitia. »
Une jeune femme apparait à tes côtés, armée d’une balance. Cela peut paraître étrange pour celui qui ne connait ni ne comprends les principes même de ta magie mais tandis que ton regard croise le sien mécontent, tu l’implores dans tes yeux d’aider ces hommes à se débarrasser de cet ennemi commun.
Alors la jeune femme se mets à contrebalancer les poids sur sa balance, inversant ainsi la gravité vous entourant et le chien, gardien de ce domaine, se retrouve, l’espace de quelques secondes, plaqué et aplatit au sol.
« - Je ne tiendrais pas longtemps...Je vous conjure de vous dépêchez. »
De toute façon, tu te doutes que Vim serait intervenue si ta vie était menacée. Un contrat était un contrat. Mais elle n’a pas daignée se montrer aujourd’hui. Etrange.
Le reste, tu le confies à eux, bien plus puissants et ayant certainement bien plus d’expérience sur les champs de bataille, que toi. Toi ton expérience venait de la fuite en avant et de l’art de l’assassinat. Mercenaire un jour, mercenaire toujours.
J'aimerais laisser ma trace sur le sable du temps, savoir qu'il y avait quelque chose, que j'ai laissé quelque chose derrière moi. Que quand je quitterai ce monde, je le quitterai sans regrets. Que je laisserai quelque chose en souvenir, pour qu'ils ne m'oublient pas. Qu'ils se souviennent que j'étais là, que j'ai vécu et que j'ai aimé. Que j'ai fait, et accompli tout ce que je voulais, et que c'était plus que je ne l'aurais imaginé... Je laisserais ma trace, et tout le monde saurait que j'étais là. J'aurais envie de dire que j'ai vécu chaque jour de ma vie jusqu'au dernier, que j'ai représenté quelque chose dans la vie de quelqu'un. Δ Beyoncé.
Tu eus à peine le temps d’en finir avec Lustitia que la bête était déjà morte depuis quelques minutes. L’agilité et la force de ces hommes n’ont pas leur pareille et quelque part, cela te fais un petit quelque chose au cœur. Tu as toujours aimé cette sensation, celle du travail bien fait, en équipe, la confiance mutuelle qui régnait entre eux, ils savaient exactement quoi faire et n’eut nul besoin de s’échanger quelques mots pour se comprendre. Le seul détail qui semble te surprendre est le fait qu’Adrien demande une de ces têtes dégoulinantes et horribles pour en faire tu ne sais quel trophée et encore.
Le suivant jusqu’à l’extérieur de la mine devant une cabane, tu te retrouves pris en sandwich entre Terence et..ce Jack. Ils étaient différents mais partageaient bien quelques traits communs comme le fait d’obéir aveuglement à Adrien. Une loyauté sans faille certainement. Peut-être qu’un jour, une fois que toute cette histoire sera terminée, tu lui demanderas, à Terence, quelle fut sa première réaction lorsque sa route a croisée celle de se Roi en devenir.
Tu écoutes l’échange, tu écoutes les motifs qui ont poussés cet homme, soit disant mage, à vouloir agir de la sorte. Cette rancune tenace contre les civils. Cette haine que certains en ont tirée. Tes yeux font des allers-retours entre Adrien et lui tandis que ce dernier ordonne à ses hommes de s’occuper de ce pauvre homme et de brûler la cabane.
Sans réfléchir plus d’une seconde, tu t’interposes devant l’entrée, levant tes bras minuscules pour bloquer le passage entre eux.
« - Si on agit de la sorte, on ne vaudra pas mieux que lui. Si nous-même nous ne montrons aucune pitié alors quel modèle de monarchie dressez-vous ? Je pensais que vous vouliez être aimé par vos sujets et que c’est par la force du respect que vous serez ce Roi que je pensais que vous serez mais si vous agissez de la sorte, vous ne vaudrez pas mieux que certains criminels actuels. Vous devriez être clément, patient et compréhensif. »
Tu ne sais que trop bien ce que les civils sont capables mais même avec le temps qui passe tu ne peux leur en vouloir. A Minstrel c’était tué ou être tué. Le premier qui rendait un service au Pape se voyait tranquille pour quelques temps. Tu ne pouvais que le comprendre.
« - Je vous l’ai dis tout à l’heure, Monsieur, je crois en vous, en cette lumière, ce guide que vous serez pour tous mais si vous faites ça…Si vous agissez ainsi alors en quoi est-ce différent des coutumes et pratiques qui se font actuellement dans le pays ? Vous voulez régner ? Alors imposez-vous avec un style différent de celui de la Reine actuelle. »
Cela ne faisait que 8 ans que tu étais à Fiore et encore, tu fis de nombreux aller-retour à travers les Pays voisins et tu ne prétends en rien connaître la situation politique de Fiore ni même de pouvoir comprendre ce que cet homme ressent ni ce qu’il a cherché à faire. Mais tu pouvais comprendre, en gardant l’esprit assez ouvert, cette envie de vengeance.
« - Quant à vous…Vous n’êtes qu’un vaurien. Un brigand. Vous pensez que les humains vont se déchirer parce que vous leur voler une mine ? Non. Vous pensez que leur haine vont s’attiser parce que vous agissez ainsi et qu’ils vont réclamés votre pardon à genoux ? Non plus. Vous devriez voir plus grand…Plus loin. Vous dites qu’ils sont sans pitié mais vous êtes pareils et ne valait, monsieur, pas mieux qu’eux. »
Alors tu détournes les talons, fouettant légèrement le visage des deux gardes avec tes cheveux enflammés par toute cette histoire.
« - Maintenant, je vous suggère de réfléchir messieurs…A comment vous devriez régler la situation. »
Tu les regardes, avec ce regard d’enfant furieuse, poings sur les hanches tandis que la déception l’emporte sur l’ensemble de ce qu’il venait de se passer.
J'aimerais laisser ma trace sur le sable du temps, savoir qu'il y avait quelque chose, que j'ai laissé quelque chose derrière moi. Que quand je quitterai ce monde, je le quitterai sans regrets. Que je laisserai quelque chose en souvenir, pour qu'ils ne m'oublient pas. Qu'ils se souviennent que j'étais là, que j'ai vécu et que j'ai aimé. Que j'ai fait, et accompli tout ce que je voulais, et que c'était plus que je ne l'aurais imaginé... Je laisserais ma trace, et tout le monde saurait que j'étais là. J'aurais envie de dire que j'ai vécu chaque jour de ma vie jusqu'au dernier, que j'ai représenté quelque chose dans la vie de quelqu'un. Δ Beyoncé.
Il aurait pu te répondre, il aurait été dans son droit et tu t’y attendais mais contre toute attente…Il ne le fit pas. Il a été décidé que vous prendriez cet homme avec vous et que vous l’amèneriez certainement vers votre prochaine destination alors que ton soupire semble dissiper ta colère. Adrien requiert ta présence auprès de lui et cela t’amuses. Tu n’es pas conseillère et tu n’en seras jamais une certainement mais réfléchir et permis à tout le monde. Tous ceux munis d’un cerveau et de quelques neurones connectés. Cela ne servira pas ses intérêts que de tuer un homme. Comme cela ne servira pas les intérêts de ce même homme que de s’attirer les foudres d’une foule de gens.
Les hommes oublient parfois de prendre quelques secondes, juste le temps de se poser les bonnes questions.
« - Suis-je devenue conseillère en titre du roi maintenant ? Ahahaha. Vous devriez simplement dire la vérité. Posez les bases d’un Royaume naissant sur la confiance et la justice. Ce n’est pas à vous de faire justice vous-mêmes mais à ces hommes qui ont été trompés et certainement sous-payés alors que la mine regorgée de richesse. Vous devez penser que je vous signifie de laisser un criminel dans la nature mais ce n’est pas le cas. Je vous empêche seulement de vous salir les mains, vous et vos hommes, quand d’autres peuvent le faire à votre place et en ont le droit. N’êtes-vous pas d’accord ? »
Tu lui rends son clin d’œil et son sourire et tu continues à avancer vers le village. D’ailleurs, tu ne sais même pas où est-ce qu’il est ce village. Tu pars devant ces hommes d’un pas décidé sans vraiment savoir si tu pars déjà dans la bonne direction. Tant pis. Tu iras te perdre dans la forêt environnante, ils viendront te chercher après.
« - Plus sérieusement. Vous êtes le futur Roi de ce pays, vous devriez apprendre à ne pas agir inutilement. Sans vouloir être méchante, ce n’est pas mon intention, mais tuer un homme bêtement…Ne vous aidera pas. »
Non. Le peuple en a marre. Marre que de devoir compter sur une milice qui se bouge à peine plus que feu l’ancien conseil. Marre que de devoir compter sur des mages se souciant plus de la gloire et de la célébrité plutôt que des propres besoins des gens. Alors oui, ce râle unanime est légitime et ils ont le droit, eux aussi, d’avoir de temps en temps un petit privilège comme le fait de faire la justice par eux-mêmes. Et puis si cet homme était mort dans sa cabane, tué par Terence et Jack…Quelle preuve aurait eu Adrien ? Avec quoi aurait-il appuyé ses arguments ? Les aveux de cet homme sont bien plus précieux pour lui que sa vie elle-même.
Il fallait juste qu’il apprenne à voir plus loin que le bout de son petit nez rikiki.
J'aimerais laisser ma trace sur le sable du temps, savoir qu'il y avait quelque chose, que j'ai laissé quelque chose derrière moi. Que quand je quitterai ce monde, je le quitterai sans regrets. Que je laisserai quelque chose en souvenir, pour qu'ils ne m'oublient pas. Qu'ils se souviennent que j'étais là, que j'ai vécu et que j'ai aimé. Que j'ai fait, et accompli tout ce que je voulais, et que c'était plus que je ne l'aurais imaginé... Je laisserais ma trace, et tout le monde saurait que j'étais là. J'aurais envie de dire que j'ai vécu chaque jour de ma vie jusqu'au dernier, que j'ai représenté quelque chose dans la vie de quelqu'un. Δ Beyoncé.
Pour une fois, vos avis divergeaient. Tu ne partageais clairement pas son point de vue et sa façon de voir l’héroïsme et le monde à court terme et lui ne partageait pas non plus ta vision. Pourtant, aucun de vous deux n’alla à l’encontre de l’autre. Vous vous respectiez dans vos choix et dans vos décisions et une fois arrivés au village, l’ambiance alors joyeuse disparue pour laisser place à une tension naissante au sein même des habitants.
Les rumeurs ferment la marche derrière vous tandis que les plus curieux s’approchent et posent déjà un millier de questions auxquelles vous n’aurez pas forcément les réponses. Tu recules légèrement, reste en retrait, laisse le Roi faire ce pourquoi il est là et ce pourquoi il t’a entraîné dans toute cette histoire. Parler avec les gens, prendre le temps d’écouter, juger de la situation. Adopter une certaine attitude, choisir entre cette décision ou celle-là. Se décider. Pour rien au monde tu ne voudrais sa place. Que ce soit à cet instant ou dans un futur proche. Tu n’étais pas faite pour être sous la lumière des projecteurs et faire de grands discours. Cela était fait pour des leaders nés, ceux qui avaient cette faculté et cette facilité de ralliés les gens ou de s’adresser à eux. A cet instant, t’en reviens à ce discours qu’il y a eu il y a de cela quelques temps. Tu repenses à celui qui avait bien maintes rumeurs sur son dos. Peut-être que lui, à sa façon de s’adresser à l’ensemble de Fiore, serait un bien meilleur conseiller pour ce Roi que toi.
D’ailleurs la proximité d’Adrien te fit sursauter tandis qu’il te demande quelle réaction veux-tu voir chez ces gens ? Pourquoi serait-ce à toi de choisir ? Et puis même si ton choix l’intéressait, pourquoi le demander ?
Doucement, tu t’approches de son oreille avec de lui susurrer ton avis. Advienne que pourra.
« - Si j’en suis votre logique Monsieur, je dirais que la seconde option serait la plus adaptée à la situation non ? »
Bien-sûr vous pourriez dire la vérité et tu aurais préféré le chemin de cette dernière mais parfois, il s’avère utile de mentir, de tromper. On dit que la vérité blesse, c’est vrai mais serait-ce finalement une bonne chose de dire à ces gens que leur chef les a trompés, dupés et manipulés simplement par vengeance personnelle ? Qu’adviendra-t-il de cet homme si c’est le cas ? Se fera-t-il lapider sur place ? Devant vous ?
Non. Il ne le méritait pas. Aucun homme ne mérite de souffrir même si cela parait justifier aux yeux d’un tel ou un tel.
« - Vous devriez écouter votre cœur au lieu de prendre soucis des paroles d’une pauvre fille qui n’y connaît pas grand-chose à la vie. »
Tu rigoles avant de te glisser derrière lui discrètement à la hauteur de Terence qui te regarde étrangement.
« - Quoi ? Tu veux ma photo ? »
Il détourne la tête en te tirant la langue de la façon la plus infantile qu’il soit et tandis que son geste te choque, ton attention se reporte sur le Roi et ce qu’il jugera le plus apte à dire à son futur peuple. Souverain d’un jour…