Sujet: Et une bouteille de Rhum [PV Tocard heuuu Toki] Jeu 2 Juil - 8:23
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♪ Et une bouteille de Rhum ♪
♦ A la tienne ♦
Il y a des soirs où l'on a envie de tout jeter, de tout oublier, de s'éclater, je me suis déjà éclatée comme une enfant à la foire, j'ai bien appris avec Alouarn, mais qu'est-ce que je peux faire contre moi ? Je peux pas lutter contre ma nature, je peux pas lutter contre quelque chose sur lequel je n'ai absolument aucune emprise, c'est quelque chose d'improbable, Alouarn m'a fait comprendre que les amis sont là pour nous aider, mais quel ami j'ai ? Personne ! Je ne peux pas avoir d'ami, je risquerai de devenir méchante, je risquerai de leur faire du mal, je risquerai tellement de chose. Je rentre dans un bar de la ville de Hosenka. La musique à l'air bonne.
Je me dirige vers le comptoir et je demande pour un verre de ce qu'il à de plus fort. Je prend donc un shooteur que je bois cul sec. Aujourd'hui sera la journée où je vais tout oublier pendant quelque heure, où je vais danser, rire et même me saouler s'il le faut. Je ramène donc mon petit cul sur la piste de danse, et je m'actionne, je ne suis pas seule, nous sommes assez nombreux dans le bar. Puis vient le moment dans la soirée où commence un karaoké, je recommande un shooteur pendant qu'un couple massacre une musique qui était censé être du grand art. Je savais pas que c'était possible de chanter aussi faux.
Je bois encore une fois et au moment où l'animateur de la soirée demande pour quelqu'un d'autre à chanter je sautilles sur place en levant la main, je sens que l'alcool engourdie mes membres, je ressens même plus de sentiment négatif, juste une sorte d'ivresse qui me transporte ailleurs. Je dis à voix haute :
- « Moiiiiiii !!! »
Je sautille presque et je me mets devant pour chanter la première chanson qui me venait à l'esprit pendant que certain danser autours, mes notes étaient justes pour la plupart, mais l'alcool embrouille mon cerveau et c'est pas si simple de chanter en ayant de l'alcool dans le sang. Je finis mon chant et salut maladroitement mon public.
Je retourne au bar m'asseoir et j'hésite entre reprendre de l'alcool où tout simplement boire de l'eau, et je me décide pour l'eau après tout, si je veux boire j'ai encore toute la soirée pour ça. Alors autant faire une petite pause. Je m'assis sur un tabouret restant juste tranquillement dans mon coin. Sans personne autours de moi. Je finis mon eau et restait au comptoir pour regarder ce qu'il se passait autours.
Sujet: Re: Et une bouteille de Rhum [PV Tocard heuuu Toki] Jeu 2 Juil - 9:26
Toki Di Cielo
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Titre : Toki n'a qu'un oeil mais il peint avec ses pieds Crédit : Yuukiël *___* pour le vava, Misto *___* pour la signa, merci à elles Feuille de personnage Maîtrise Magique: (2320/35000) Mérite: (40/160)
Une musique à vous rendre aveugle
with Alice & Toki
Arrosant ton gosier de la liqueur de roi, cette merveille aux huiles de framboises, agrémentée un zeste de citron vert et d'une petite dose de whisky, un crayon de bois et de charbon entre les dents, tu t'amuses à griffonner quelques croquis, sur les notes affreuses des chanteurs ici bas. Tes oreilles doivent, depuis le temps que tu es ici, depuis ces deux petites minutes, être un vraie champ de bataille, et les tympans doivent s'être entretués, tellement la musique te donne la nausée. Le karaoké est sensé être un plaisir, et c'est devenu un ravage. Alors de rage, tu songes à planter un décor plus catastrophique, lorsqu'une hystérique lance une acclamation dans la salle. Tu te défais de cette vision intouchable, et retournes à ta bouteille, pour la vider complètement. Et tu te lèves. La fille qui vient de passer s'est rassise, et le couple recommence ses horreurs. Et toi... tu te diriges vers la scène, et tu y montes. Continuant d'exhaler les paroles digne des plus affutés des lames, la femme te regarde, l'homme t'ignore, et le micro leur est enlevé. Tu marmonnes - Pitoyable..., et tu quittes le devant du public en laissant tomber le microphone sur les enceintes. L'effet est immédiat, le karaoké s'arrête, et, ignorant les réclamations, tu reviens à ta tablée, pour passer derrière le comptoir. Tu as visiblement besoin de t'enlever ces immondices de ta tête, alors, sans aucune gêne, tu pousses le barman, tu lui fais une fameuse clé de bras lorsqu'il tente de riposter, et tu le frappes, pour qu'il comprenne que ce n'est pas ton jour. Il te laisse, et d'un regard de ton unique iris visible, tu le maudis. Et enfin, tu te sers une bière. Puis une deuxième. Puis une tournée générale...
Les habitués du bar vont et viennent en rigolant, les nouveaux sont ravis d'avoir un "barman" aussi cool que toi. Et la fille de tout à l'heure semble devant un verre vide. Alors tu lui jettes la bière, pour qu'elle se réveille... Le pichet part, et le liquide remplit les cheveux de la chanteuse, tandis que tu fais glisser ton cache œil pour ouvrir ta seconde paupière. Ton œil droit, d'un brun audacieux, se plonge dans l'iris en colère de la femme trempée, et dans ta tête tu murmures. C'était le réveillon de Noël, en cette belle année X776. Tout le monde avait quitté les bars et les tavernes pour rentrer fêter ce jour béni. Les rues étaient désertes, et pourtant, dans cette même salle, seize ans auparavant, se tenait contre toute attente deux gosses. C'était toi, le toi d'autrefois, et elle. Elle avait quatre ans, tu ne le savais pas. Elle qu'appelait Alice Kiryu, tu l'ignorais. Et tu étais en train de jouer sur le comptoir du propriétaire quand tu l'aperçus. Aussitôt, voulant t'amuser, tu te présentas et lui demandas son identité et son âge : - Bonjour toi, je suis Toki. Toki Di Cielo, et j'ai eu huit ans aujourd'hui. Et toi, comment t'appelles tu ? Et t'as quel âge ? Et tu fais quoi toute seule ici ?. À la dernière question, ni toi, ni elle, ne pouvait y répondre. La technique que tu lanceras dans seize ans à partir de votre rencontre en bambins sera créée pour ça. Vous ne saviez donc pas comment vous étiez arrivés ici. Vous vous étiez juste réveilles dans cette salle où les tables étaient belles et neuves, et doués d'intelligence, vous devinâtes alors aisément que vous aviez dû vous endormir plus tôt dans la journée, et qu'à peine sorti de votre sommeil la mémoire n'était pas active. - Tu veux jouer ?. Si elle te regardait, cette enfant, elle verrait cette particularité oculaire que tu avais : tes yeux avaient deux couleurs différentes. Ton iris gauche était d'un bleu océanique, tandis que le droit était une couleur semblable au chocolat.
Il n'y avait personne d'autre dans toute la ville. Car tout le monde était dans leur foyer, c'était Noël après tout. Aussi, la question - Es tu perdue ? était inévitable. Mais, voulant t'en faire une amie, tu sauras du bar pour atterrir près d'elle, et tu lui tandis la main, lui assurant que tout irait bien. Elle n'avait pas à s'en faire, elle était avec le plus grand dessinateur de tous les temps... enfin, à l'époque, tu étais le plus grands de tous les temps en e moment précis, et seulement parmi les personnes dans la taverne. Ce n'était guère incroyable. Mais tu ne savais alors pas que tu deviendrais réellement un grand artiste, car après tout, tous les faits s'étant déroulés entre ce 24 décembre X776 et l'époque lointaine dans le futur où tu lanceras ce sort, n'existaient pas encore. Telle était la règle de la magie.
C'est alors que tu soulevas la gamine, et la mît sur tes épaules, pour ensuite courir dans le salon. Tu montais sur les chaises, sur les tables, t'amusant avec ta cavalière, et tu sautais de partout. Lorsque tu renversas cependant, par mégarde, une bouteille de champagne de plus de dix ans d'âge, tu eus la peur de ta vie. Doucement, tu la redescendis, et, gaiement, tu débouchais la bouteille tout juste fendue, et tendis l'embouchure à la petite, en rigolant. Bien sûr, tu n'imaginais pas qu'elle allait avaler deux gorgées bien grosses de champagne.
En t'en apercevant, tu repris la bouteille, et goûtas. - Beeeeeuurk, c'est pas bon ce truc. Ça va ? Tu n'es pas "tivre" ?. Cette prononciation du mot "ivre" te venait de ton père lorsqu'il disait de ta mère "Elle est ivre morte". Tu avais toujours compris "Elle est tivre morte". Puis, comme lorsque ton paternel avait voulu te montrer ce qu'était ivresse, tu monteras deux doigts à Alice et demandas - Combien t'en vois de doigts ? Si t'en vois quatre, t'es "tivre", c'est mon papa qui me l'a dit. Et tu étais fier... fier d'avoir donné de l'alcool à une petite deux fois plus petite que toi et trois fois plus potelée - selon toi-.
electric bird.
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L'italique est la narration lors du 24/12/X776. Pour toute question, ou réclamation, tu as mon Skype.
Sujet: Re: Et une bouteille de Rhum [PV Tocard heuuu Toki] Jeu 2 Juil - 21:49
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♪ Et une bouteille de Rhum ♪
♦ A la tienne ♦
Je regarde autours de moi, j'observe tout ce qui se passe, et je vois cet homme, un homme quelconque qui monte sur scène et qui arrache le micro au couple massacreur de chanson, il laisse tomber le micro ce qui crée un effet immédiat. Déjà les oreilles qui saignent dans la façon de parler parce que le bruit des micros qui tombe, c'est TOUT sauf la joie, ça fait mal, très mal aux petites oreilles, la plupart proteste, mais moi je me mets à pouffer de rire, la scène est hilarante, sa nonchalance, son attitude et l’ébahissement du couple. Oui c'est juste drôle.
Je le suis du regard et sursaute quand je le vois s'en prendre au patron, attend, il est sérieux ? Il agresse le patron comme ça ? Et personne ne dis rien ? Je touche mon sac qui est juste à mes pieds où se trouve mon fusils comme ça je serai prête à intervenir, mais le patron à l'air habitué ça me rassure un peu, peut-être est-ce une sorte de rituel bizarre entre ces deux hommes ? Je baisses les yeux sur mon verre et là, je recule d'un coup et me lève un bon, je venais me prendre du liquide au visage, à l'odeur j'aurai dis de la bière je regarde l'homme en face qui en était le responsable prête à la bagarre s'il la cherche. Puis j’eus la surprise de voir que c'était l'homme qui avait virée leur micro. Qu'est-ce qu'il me voulait ? Puis il releva son cache œil me laissant voir un œil d'une couleur différente, un œil brun et là tout s'éclaircit. Cet homme je le connaissais, de mon enfance quand j'étais petite. Je tente de me remémorer :
C'était dans un bar quand j'avais 4 ans, il s'était approchée de moi, je me souviens que mon père m'y avait conduit pour qu'on fête Noël au chaud vu que tout les hôtels étaient complet. - Bonjour toi, je suis Toki. Toki Di Cielo, et j'ai eu huit ans aujourd'hui. Et toi, comment t'appelles tu ? Et t'as quel âge ? Et tu fais quoi toute seule ici ?. Je le regarde timidement et marmonne : - Alice…, je pointe ensuite 4 doigts pour lui montrer mon âge et la dernière question je savais pas trop quoi y répondre, papa m'avait laissé en disant : « je reviens vite », il était partie acheté un jouet pour moi. Alors je répondis rien. Je hochais la tête quand il parla de jouer mais il me demanda si j'étais perdu alors je répondu : - Non papa dit rester ici…
Alors on a joué ensemble deux gamins qui s'amuse sans se préoccupé de rien, il me pris même sur ses épaules c'était amusant, puis il m'a fait goûté un truc infect, j'avais bu de l'alcool, je me souviens plus trop ce que c'était, je crois que c'était du champagne. J'avais bue beaucoup pour une enfance puis il m'avait retirée - Beeeeeuurk, c'est pas bon ce truc. Ça va ? Tu n'es pas "tivre" ?Combien t'en vois de doigts ? Si t'en vois quatre, t'es "tivre", c'est mon papa qui me l'a dit. Ça voulait dire quoi être tivre j'en savais pas, mais une chose est sur je ne vois plus aussi bien qu'avant… et tout d'un coup le noir.
Je regarde l'homme en face de moi, oui c'était ce gamin qui m'avait donné ma première cuite comme on dit, la première fois que j'étais bourrée.
- Ces yeux… Tu es Toki ? Mon dieu ça fait un bail ! J'étais petite comme ça à l'époque, wha c'est étrange non ? Viens assis toi et pourquoi tu m'as arrosé de bière c'est vraiment pas cool !
C'est vrai qu'il aurait pus attirer mon attention autrement il est vraiment pas gênée, il se croit au dessus de nous où quoi ? Il pourrait au moins s'excuser, le con. Bon allez zen, c'est juste de la bière qui pue et qui va faire coller mes cheveux, c'est rien ou presque...
Sujet: Re: Et une bouteille de Rhum [PV Tocard heuuu Toki] Jeu 2 Juil - 22:52
Toki Di Cielo
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Titre : Toki n'a qu'un oeil mais il peint avec ses pieds Crédit : Yuukiël *___* pour le vava, Misto *___* pour la signa, merci à elles Feuille de personnage Maîtrise Magique: (2320/35000) Mérite: (40/160)
Une musique à vous rendre aveugle
with Alice & Toki
Alors que la technique s'achevait, pour revenir au temps présent, tu souris en te souvenant d'avoir bourré une gosse il y a seize ans. Voyant qu'elle le prenait bien, tu éclates de rire en tergiversant - Alice ! Je ne m'étais donc pas trompé, c'est bien toi... C'est marrant, je t'ai reconnu à la seconde où, couverte de bière, tu m'as rappelé cette petite ivre, et fière de l'être. Comme quoi... Toujours aussi alcolo. Amusé de ce que miniToi avait fait à Alice - tu ne t'y attendais pas -, tu crois bon de rappeler cette anecdote à toute l'assemblée, qui semble à la fois médusée et fière de rencontrer la femme qui fut la plus jeune fille bourrée de l'histoire de Fiore.
Les rires vaquent, et tu sembles avoir oublier la dernière question d'Alice, mais tu préfères attendre le bon moment pour y répondre. Ce moment, situé entre deux tournées, devient alors mémorable. - Est ce ma faute, Alice, si tu es un véritable aimant à alcool ?. Tu éclates de rire, avant de t'asseoir près d'elle, une fois que tu as vidé la caisse du patron parti, et que les saouls et les ivrognes sont trop occupés pour te voir faire. Puis, faisant un clin d'œil à ta connaissance improvisée, tu glisses un billet dans son décolleté, tout en t'excusant : - Voilaaaa, le mal est réparé. Un peu de vin ? J'ai vu qu'il avait une belle bouteille, et une aussi jolie alcoolique ne peut pas refuser, ni ce fric ni ce verre.. Ton sourire est charmeur, et provocateur, tandis qu'une flûte se voit remplie de vin rouge, débouché à l'instant. Et pour achever ta cible, tu finis par une boutade. - Eh ben, t'as fait du bon boulot. T'étais assez grassouillette le jour où je t'ai fait boire, mais t'as une super ligne maintenant. Trinquons !
Il ne te fallait en général qu'une demi seconde, pour descendre un pichet rempli de bière. Mais pour le coup, tu prends ton temps, savourant le goût. Puis tu regardes l'interlocutrice, dévisages ses expressions parmi celles provoquées par l'alcool, et la ressers autant de fois qu'elle en a besoin. - Alors ? T'es quoi aujourd'hui ? Mage ? Danseuse ? Strip-teaseuse ? D'ailleurs je crois qu'il y en a certains qui commencent à voir des putes en chacune de vous, les filles. Le taux d'alcool qu'ils ingurgitent est phénoménal. Alors que tu l'écouter d'une oreille très passive, tu reprends ton crayon, et machinalement, tu dessines le bar, tel qu'il était le jour de ta rencontre avec Alice. Tu dessines chaque table qu'il y avait, usant de ta capacité appelée aussi malédiction, et tu parviens même à retracer les marques de champagnes dans le bois, qui, sous la pourriture du parquet, doivent encore se terrer. Tu retraces la scène, avec un sourire en coin.
C'est seulement lorsque tu as le croquis de base sur le passé du bar, que tu incorpores à ton dessin les éléments d'aujourd'hui. Alors tu te permets de créer les rayures et la rouille, de mettre quelques poivrots et leur kit de karaoké dans le coin, et de rajouter les quelques traces du passage des gardes dans la taverne. Tu modernises un peu l'endroit, rendant la moitié de ton œuvre pleine de nostalgie par rapport à l'autre moitié. Puis tu attrapes une mèche de cheveux d'Alice, alors que tu l'écoutes toujours, et tu éponges ses cheveux pour sortir quelques gouttes de bière. Tu souris en lui faisant un clin d'œil, - Distributeur de bière, ça t'irait bien, non ? dis tu en tirant la langue, puis enfin, tu aplatis le dessin sur le comptoir, te lèves et attrape la tête un client bourré, pour la plaquer sur la feuille. Il s'évanouit aussitôt en demandant une autre tournée, et finalement tous s'en fichent qu'il soit à terre. Mais toi, avec le sang de l'ivrogne sur ton œuvre, tu peux être fier d'avoir recréé la parfaite représentation de ce lieu si pittoresque.
Enfin, tu montes sur le comptoir, pour un peu re divertir. - Mesdames et mess... Mesdames ! Mettons un peu d'ambiance dans ce rade pourri. Et accueillons la plus jeune ivrogne de Fiore, Alice ici présente, qui m'a dit qu'elle ferait un striptease pour le dernier qui restera debout. Alors si vous voulez du cul et des seins... oui bon, les seins faudra pas compter sur elle, certes... battez vous. Égayez nous car franchement, on s'ennuie., et toi et l'ennui, vous ne vous êtes jamais appréciés. Les pourris commencent alors à frapper, et les salops tentent de s'approcher d'Alice. Mais tu es sur le bar, et il te suffit un coup de pied pour les envoyer à terre. Et pourtant, tu as les mains dans les poches. - Hop hop hop, on triche pas. leur dis tu, avant de te tourner vers Alice, Et toi, Alice. Que dirais tu de prendre le micro et d'aller rajouter un peu de musique ?. Sur ton visage, ton sourire charmeur n'est pas parti...
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L'italique est la narration lors du 24/12/X776. Pour toute question, ou réclamation, tu as mon Skype.
Sujet: Re: Et une bouteille de Rhum [PV Tocard heuuu Toki] Ven 3 Juil - 8:20
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♦ A la tienne ♦
- Alice ! Je ne m'étais donc pas trompé, c'est bien toi... C'est marrant, je t'ai reconnu à la seconde où, couverte de bière, tu m'as rappelé cette petite ivre, et fière de l'être. Comme quoi... Toujours aussi alcolo.
Alors là il dépasse les bornes, je sors une fois et m'amuse une fois ça y est je suis alcoolo mais quelle macho, il se prend pour quoi là ? Il croit être le roi du monde ? Il croit que tout lui est due ? Il parle sans gêne, il m'insulte sans me connaître un débile profond en surplus du connard de première, bah bravo, j'aurai pus l'apprécié s'il aurait été gentil, mais je vois bien que l'intelligence n'est pas donnée à tout le monde.
- Comme quoi... toujours aussi con.
Oui il m'énervait et je sentais que je perdais les pédales, je devais me contrôler, je devais la retenir en moi, ce n'est pas lui qui va me faire sortir de mes gongs, je prend mon sac à mes pieds et je me relève tandis qu'il lance une nouvelle pique :
- Est ce ma faute, Alice, si tu es un véritable aimant à alcool ?
Je le regarde alors qu'il s'assit à la table ou j'étais, je suis debout juste en face de lui et il se permet de glisser un billet dans mon décolleté. Il se croit où ce petit merdeux, je vais lui faire voir qui est la patronne, il se croit supérieur ? Je vais le latter tellement fort qu'il va pleurer sa maman, il se croit malin ? Il me connaît pas, je pourrai le tuer, le paralyser, l'empoisonner en même pas quelques secondes, je le hais et je pourrai même de sang froid le faire. Oui je n'étais plus gentille, il avait dépassé les bornes de ma gentillesse de ma patience, il veux jouer au cons, je vais jouer au cons, mais faudra pas qu'il pleure.
- Voilaaaa, le mal est réparé. Un peu de vin ? J'ai vu qu'il avait une belle bouteille, et une aussi jolie alcoolique ne peut pas refuser, ni ce fric ni ce verre..
Il est sérieux là ? Il croit qu'il peut m'acheter ? Il croit que c'est marqué pute sur mon front ? J'attrape le fric qu'il a mis dans mon décolleté et lui lance au visage.
- Écoute le cafard, tu vas me foutre la paix ? Ton vin tu te le fous dans ton cul et j'ai pas besoin de ta charité débile.
Je le toise du regard et me rassois, non je suis pas maso, j'ai envie de rire à ses conneries, c'est impression de savoir qu'une personne peut débiter un nombre incalculable de connerie à la minute, j'ai envie de me défouler, j'ai envie de le blesser dans son petit ego que tout homme ont, chaque homme à sa fierté et il suffit juste de le briser pour le rendre fou de rage. J'aimerai bien, rendre quelqu'un fou de rage, c'est qu'il admet sa défaite fasse à l'autre alors je m’assoies prenant mon aise sur la chaise. Il veux jouer on va jouer.
. - Eh ben, t'as fait du bon boulot. T'étais assez grassouillette le jour où je t'ai fait boire, mais t'as une super ligne maintenant. Trinquons !
Je ricane, et bien voilà un compliment, s'il tente de m'amadouer il rêve, je pense même qu'en rêve je ne lui permettrai pas non plus de m'amadouer, je suis plus que ça, je vaux plus que débile, en fait aucun homme de Fiore ne pourrait me contenter, ils ont tous un niveau d'intelligence trop faible. Pourquoi Fiore est le centre des hommes au faible QI.
- Écoute, j'aimerais pouvoir en dire autant, mais on m'a toujours dis que mentir c'est mal, alors je vais être honnête tu as toujours ta sale gueule d'avant, attend regarde toi on dirait un monstre ta un œil de chaque couleur et tu te crois assez beau pour charmer ?
Boum ça fait mal hein… Je te fais redescendre de ton petit nuage où tu crois être un Dieu. Tu n'auras jamais toute les femmes du monde surtout si tu te crois supérieur, il y a des femmes n'aimerons pas sa sale gueule d'ange. Genre moi, il se donne un genre rebelle pour paraître trop cool, il croit que les femmes ça aime ça ? Il fait pitié.
Je prend le verre qu'il a posé devant moi et le bois, pas pour lui faire plaisir, juste que peut-être l'alcool me fera oublier que des mecs aussi con que lui existe. Il commence à rouvrir la bouche et je m'apprête a écouter toute connerie qu'il pourra sortir aussi tordue qu'elle soit.
- Alors ? T'es quoi aujourd'hui ? Mage ? Danseuse ? Strip-teaseuse ? D'ailleurs je crois qu'il y en a certains qui commencent à voir des putes en chacune de vous, les filles. Le taux d'alcool qu'ils ingurgitent est phénoménal.
Je souris en coin lui en tout cas il devait sûrement pas faire un boulot intellectuelle vu le peu qu'il avait. Je répondis alors calmement :
- Je suis une mage, j'aime mettre hors d'état de nuire les gars de ton genre. En suite je ne te demanderai pas ce que tu fais, parce que pour être franche, ça ne m'intéresse absolument pas.
Il se met à dessiner pendant que je répond et bien… Quelle politesse j'ajouterai ça avec débile et macho ça va bien ensemble non ? Je reconnais le bar qu'il dessine, c'est celui là mais quand nous étions enfant mais il rajoute une touche de modernité. Je l’observe en silence, je ne lui ferait pas le plaisir d’engager les conversations. Il attrape mes cheveux et les essores, ça l’amuse peut-être de faire des trucs comme ça, il est vraiment stupide en fait.
- Distributeur de bière, ça t'irait bien, non ?
Je soupire, oui je commence à m’ennuyer, il me faut plus d’action, il faut que je m’amuse. Puis je le vois se lever et assommer un homme sur comptoir au dessus de son dessin. Il est malade ? Je me lève à mon tour :
- Alors comme ça tu es du genre a blessé des gens ?
Mesdames et mess... Mesdames ! Mettons un peu d'ambiance dans ce rade pourri. Et accueillons la plus jeune ivrogne de Fiore, Alice ici présente, qui m'a dit qu'elle ferait un striptease pour le dernier qui restera debout. Alors si vous voulez du cul et des seins... oui bon, les seins faudra pas compter sur elle, certes... battez vous. Égayez nous car franchement, on s'ennuie.
La plupart se mit à se battre sous mon regard hautain tandis que les autres tenter de m’approcher. J’attrapai mon petit fusils dans mon sac et le glisse à ma ceinture sur l’arrière. Puis je monte à mon tour sur le comptoir après qu’il m’ait demandé de mettre de la musique. Il rêve s’il crois que je suis une petite soumise, il est stupide, je peux le manipuler, mais là voir ces ivrognes se battre pour mon corps, c’était à en vomir, les hommes sont si débile. J’eus alors une idée.
Je m’exclamai alors :
- J’ai une meilleure idée ! Je ferai une petite surprise au gagnant !
Je souris en coin, oui je laissais des sous entendue, comme ça les hommes seront encore plus émoustillée, et ça eut l’effet attendue, ils redoublèrent d’ardeur pendant que je prie un shooteur que le barman me fila. Le dernier debout était un homme qui puait l’alcool et l’odeur masculine dégoûtante, il me donnait envie de le tirer maintenant.
- Alors ma beauté ma surprise ?
Je souris en coin et lui répondit : « tu sais, tu es dégoûtant, te battre pour espérer une femme que tu n’aura jamais tu es pathétique, tu veux ta surprise tien la voila ».
Je sortis mon fusils et lui tira une balle de douleur moyenne dans les cotes, mais le pauvre était tellement ivre qu’il avait du mal à marcher, moi aussi j’étais non plus en très bonne état, mais à peine quelque mètre, alors je le touchais forcément. J’en tirai une autre, une troisième et il finit par tomber inconscient tandis que j’éclatais de rire.
- Hahaha, ils sont si pathétiques, croire que je vais leur offrir mon corps, hahahaha, ils sont tellement idiot que s’en est risible.
J’avais envie de m’amuser, j’avais envie de rigoler, de torturer en fait, des pulsions me prenaient et il se trouve qu’un mec que je n’aime pas se trouve près de moi, je rigole et me tourne vers lui en rigolant :
- Quelle raison j’ai de ne pas tirer ? Jpourrai te faire souffrir pour toute les horreurs que tu as dites hihi, alors tu fais comment là ? Face à l’alcoolique de Fiore. J’ai le pouvoir toi tu es minable !