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Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish
 MessageSujet: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyMar 9 Juin - 1:19

Toki Di Cielo
Toki Di Cielo

Ishtar's Eye

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Di Cielo Toki

" L'Art n'est pas ce que l'on ressent. C'est une idée. "





Informations Générales


Identity

Nom : Di Cielo
Prénom : Toki
Âge : 18 / 24 (avec les six ans)
Date de Naissance : 24 / 12 / X768
Origines : Caelum


Activité(s) : Artiste, Critique d'art, Auteur amateur, Mage
Guilde : Nop
Statut : Légal (personne ne le soupçonne)
Surnom : L'oiseau rouge
Avatar : Toki de Code:Breakers

 






Ce qui vit dans ta tête




Toi qui a consacré ta vie à l'art, toi qui a cherché à rendre le monde plus beau à ta façon, plus attrayant, et moins ennuyeux. Toi qui a toujours eu cette sensation, elle qui palpite dans ton cœur, et qui frétille dans ton corps, te poussant au maximum de tes capacités pour le plus grand spectacle des yeux. Oui, toi, l'homme aux yeux vairons qui crée tant de multiples œuvres pour parfaire un idéal, pour idéaliser la perfection, pour faire ressentir le dégoût ou l'admiration au reste de la population... Tu es l'indescriptible oiseau, le rapace qui fond sur sa proie avant de la mettre en valeur et en charpie, avant de la sublimer devant un public horrifié... tu es un monstre aux yeux du peuple, tu les répugnes en exhibant tes créations originales et inhumaines.
Tes œuvres sanglantes, brûlées, ou statufiées de ces personnes que tu attrapes dans tes serres mortelles, que tu découpes, que tu cuis et que tu vides pour en faire des emblèmes immortels de ta présence en ce monde, sont des spectacles que tous blasphèment. Tes spectateurs sont terrorisés, outrés, ou juste intégrés au flot de révoltants, et c'est dans un sourire blanc, un regard franc et un visage innocent que tu te joins anonymement à eux, te cachant dans la foule qui s'extasie à sa façon devant le tableau signé de cette marque, de cet oiseau de sang qui te vaut ton surnom : l'Oiseau Rouge.

Oh, c'est un bien joli nom pour une personne aussi monstrueuse et inhumaine que toi, mais il semblerait que ce pseudo apaise les regards sur tes écartements du chemin de la loi et de "l'humanité", et permette au ouvriers de la Loi de faire détourner le regard de ces pigeons que sont les citoyens, de tes marques dans leurs vie. Oui, les membres du Conseil cachent tes œuvres le plus possible, sans doute car tu n'es que temporairement criminel, un considéré aussi fou qu'incompris.
Tu n'es, après tout, responsable que de quelques meurtres, dont la plupart orchestrés en tes premières années de vie, après l'accident qui te donna la vision partagée d'un passé oublié et d'un présent faussé.
Discrédité auprès de ces gens par l'exécutif du gouvernement Fiorien, finalement, tes sculptures humaines inhumaines ne sont qu'un court instant admirées avant d'être démolies et analysées. Tu n'as alors aucun mérite, et tous tes efforts se retrouvent rapidement vains, et le quotidien de chacun redevient aussi lassant qu'à l'accoutumée, chose que tu exècres au plus haut point. L'ennui t'étant insupportable, tu détestes les façons qu'a le Conseil de cacher ton talent, et par tous les moyens possibles tu cherches à libérer ton art de cette censure gouvernementale. Voici ce que l'oiseau suggère, en sang sur tes croquis : la Liberté

Kummels, feuilles de khat, kirschs, et autres substances permettant de te plonger dans un état second comme le fameux tabac, sont alors devenus une accoutumance pour échapper à l'ennui mortel qui s'installe à chaque fois que ton art devient scène de crime et que le monde reprend son train de vie quotidien, et lassant. Tu ne supportes pas la répétition, et tu cherches alors à égayer tes journées par ces addictions, et celles ci commencent à te ronger de l'intérieur. Au fur et à mesure que tu tentes de t'amuser, tu finis par t'enliser ironiquement dans une constance horripilante d'addictions, te permettant de sentir un goût différent de la vie, et d'oublier.
Car oublier est la chose la plus normale qui soit lorsque l'on n'est pas satisfait de la vie. Oublier est un mot d'ordre pour toi, et pourtant cela t'est impossible. Car tu le vois sans cesse, le monde d'hier. Ton huitième anniversaire ayant été une lancée dans l'aventure de l'extraordinaire des plaisirs secrets de la vie, à chaque fois que ton œil brun, coincé dans un passé attrayant, s'ouvre, tu retrouves un monde de merveilles... C'est alors que tu remets ça, et que tu choisis de tuer et d'exposer, avant de te voir détrôner par la Loi une fois de plus, et de sombrer dans ces drogues de la vie.
Car si tu ne peux plus te libérer, si ton esprit est emprisonné dans un monde de censures et d'habitudes, tu ne souhaites alors qu'oublier ce désastre humain et te plonger dans ce qui finalement est une bénédiction : la Malédiction du passé.

Il faut avouer que ce n'est pas commun d'avoir tes yeux, toi, l'homme qui voit double. Avoir une vision sans cesse partagée entre passé et présent t'oblige généralement à vivre en cyclope, et à choisir de voir ou la réalité, ou le souvenir. Mais alors que tu préfères voir le monde que tu cherches à changer, il t'arrive d'aimer retourner dans le passé pour ressasser de vieux souvenirs d'enfance... C'est là que ton accident devient chose marrante, et que tu t'en sers. Utilisant toute l'ethernano de ton réservoir magique, tu te retrouves avec la forme incroyable et inattendue de bambin, ton apparence d'enfant de huit ans. Alors, les joies de l'enfance se mélangent à celles de l'adulte, et tu utilises avec fourberie ton expression enfantine et ta bouille d'ange pour parvenir à tes fins, qui généralement, à cet instant, sont la douceur d'un câlin avec une femme aux gros seins.
Et oui, je viens d'annoncer l'une de tes plus grandes passions et faiblesses, et tu ne nieras pas que tu n'aimes pas cela. Caresser les poitrines des filles a toujours été source de plaisir pour toi, et jamais tu ne manques une occasion de le faire.
Parlant des femmes, tu es hétérosexuel et beau gosse, attiré et attirant auprès de ces demoiselles, il t'arrive souvent de sortir au petit matin des draps de la belle qui le soir même t'a dragué ou t'a laissé le faire. Cependant, tu n'envisages jamais de suite à une relation d'un ou de quelques soirs, étant donné que tu ne veux pas tomber dans une routine d'une partenaire sexuelle. Aussi choisis tu de ne pas t'engager, mais tu le sais au fond de toi : un jour, tu rencontreras celle qui te fera comprendre pourquoi avec les autres tu n'envisageais rien... Tu rencontreras celle de toute une vie et à ce moment là, si tu n'as pas choisis de te tirer une balle, tu réaliseras quelque chose : elle sera ta seule Constance dans ta vie.

Mais as-tu toujours été ainsi ?

Dans ton enfance, tu étais un mesquin petit garçon, caché derrière un visage angélique. Coquin, malin, et réputé inconscient, tu étais prêt à tout pour t'amuser, ce qui n'a pas tellement changé. Mais surtout, tu étais d'une cruauté incomparable. Car ton passe-temps était des plus abominables, qui rehaussait le cœur de chaque membre de ta famille qui passait dans ta chambre. Tous ces corps abimés, ouverts et vidés, d'animaux accrochés au mur, étaient d'une répugnance qui te fascinait. D'humeur généralement toujours joyeuse, c'était même toi qui criait et allait chercher ta famille pour leur montrer avec quel soin tu avais enlever l'intestin du chat, pour le remplacer par un tuyau d'arrosage découpé, ou comment tu avais ôter les globes oculaires du colibri entré plus tôt dans ta chambre par la fenêtre entrouverte.
Fourbe, tu as cependant toujours réussi à mettre tes écarts de conduite et tes tueries d'animaux sur le dos de ton père, qui ne savait quoi faire à part accepter et espérer que tu ne deviennes pas un monstre. Pas comme lui.
Oui, ton père était un mafieux, un dirigeant d'un trafic d'humains, chef de gang et propriétaire d'un cartel, si bien que l'on peut se demander si ce n'est pas sa mauvaise influence qui t'a changé en... toi.
Mais que le diable t'emporte, si tu annonces cela, car ton paternel était mauvais, mais un bon père. Il a toujours tout fait pour que ta vie soit lumière plutôt que ténèbres, et nul ne sait comment tu as découvert son activité criminelle. Toujours est-il que tu l'as toujours qualifié d'hypocrite, ce "salopard" se mettant du sang sur les mains pour ensuite te dire d'éviter la crasse. Ah ! Ce que tu as pu le détester ton père, toujours à se montrer bienveillant avec toi, et malveillant avec les autres, toujours à te critiquer sans pour autant faire mieux de son côté.
Est alors né, en même temps que ta passion, une haine douce et un esprit de compétition pour un jour dépasser ton paternel.
Aujourd'hui encore, tu t'attends à un jour, devenir un emblème de fierté pour ce père qui au fond de toi, alors que tu ne l'avouerais jamais, occupe une grande place dans ton cœur, et une seule chose finalement, te vient à l'esprit à l'entente de son nom : Regarde moi, papa.

Il est alors normal de se demander pourquoi ta soeur et ta mère ne figurent pas sur ta liste de modèles, mais remontons quelques années en arrière pour comprendre. Ta mère était de ces femmes qui épousent des connards, des prétentieux égoïstes riches, pour s'octroyer leur carte de crédit et les dépenser jewels par jewels, dans des tenues, des parures, des titres, pour ensuite se produire devant les grands de Caelum, dans les fêtes somptueuses... Jusque là, tu pourrais apprécier ta génitrice, si ces fêtes malheureusement n'étaient pas d'un ennui incroyable. A peine voulais tu t'amuser que tu te retrouvais puni... Le petit toi ne les supportait pas, et finit par éprouver de l'amertume et de la colère pour ta mère. Et ta soeur ne fut pas mieux, toujours à mettre ses atouts en valeur pour se faire passer dessus par les mecs les plus machos du monde. Elle n'était pas un modèle, mais  elle en revanche, tu voulais la protéger, malgré les huit années qu'elle avait de plus que toi. C'est pour cela qu'aujourd'hui, tous les amants de ta frangine se sont retrouvés à cœur ouverts, l'œsophage tranché et les doigts taillés pour y placer des bougies parfumées à la lavande, l'eau de toilette préférée de Kendra, ta sublime grande soeur.
Elle n'était pas un modèle, et elle ne reposait pas au fond de ton cœur, car tu n'as jamais eu à cacher l'amour fraternel que tu éprouvais pour elle,
Tu l'aimes ta soeur, et c'est sans doute l'une des plus belles choses que l'on peut trouver dans ton esprit détraqué, écarté de la logique humaine de la société... Aujourd'hui encore, tu continues à vouloir le meilleur pour ta soeur, et c'est pourquoi nombre de tes tableaux retrouvés par le Conseil et censurés par ces mêmes gardes, ont été réalisés à partir des corps des amants de ta frangine, tous plus horrible envers elle que les autres. Au total : 16 tableaux d'amants pervers, retrouvés en Caelum, faisant accuser à tort ton paternel, ce mafioso.

Et comment te comportes-tu en public pour ne pas éveiller les soupçons sur tes activités... douteuses ?

C'est tout d'abord par la volonté, que tu ne succombes pas comme cet imbécile de Mort Noire, aux carnages et aux spectacles grossiers de violence. Toi, ton art est sublime et significatif, lui, il est juste un exterminateur, et comme eux, il n'a aucune classe. Il est l'exemple même à ne pas suivre, pour tous les... déviants, afin de ne pas se faire prendre la main dans le sac.
Alors toi, tu es discret et normal, intéressant par tes dessins, et ta vision dite artistique dans chaque milieu. Ce n'est pas parce que ton art est sanglants et déstabilisant que tu ne sais reconnaitre les autres pensées. Ainsi, tu es, dans le monde des médias, un peintre reconnu, un sculpteur amateur, un dessinateur de talent, un critique d'art, et tes compétences musicales ne sont plus à prouver. Tu as destiné ta vie à la libération de ton âme par le concept libérateur de la beauté exprimée par les avant-gardistes de touts siècles, de toutes époques. Certains enquêteurs, même, te recommandent et te demandent ton avis sur les œuvres déstabilisantes de ton autre toi, de l'Oiseau Rouge qui sévit, et c'est alors qu'avec une fausse expression de dégoût, imprimée à l'identique de celles que tu remarques toujours sur les scènes de crimes, que tu peux enfin expliquer la signification de ton art le plus provocateur, et que tu te permets de planter un couteau empli de pensées inhumaines dans le corps de Conseil en révélant tout ce que l'Oiseau Rouge dissimule. A la manière d'Hercule Poirot, tu es le critique de tes propres œuvres, l'enquêteur de tes crimes cachés... Et à cela tu ne peux penser qu'une seule chose : le Conseil n'est constitué que d'imbéciles.

Il n'y a alors rien de plus jouissif que de remuer le couteau dans la plaie, en faisant parfois accuser un innocent pour que le Conseil se morde les doigts... Ton but est des plus simples, et pourtant ils ne comprennent toujours pas... Ils continuent de censurer ton art, alors petit à petit, tu espères créer un conflit interne.
Évidemment, il ne va sans dire que tes seules occupations montrées au grand jour ne sont pas que témoin et expert pour les forces de l'Ordre. Toujours dans le même domaine de l'Art, tu as déjà publié plusieurs articles dans le Sorcerer Magazine sur les plus grandes galeries de ce monde, et la rumeur affirme que tu t'attaques à présent à la Littérature, maintenant que tu es pleinement reconnu comme un artiste de talent, malgré que tes merveilles restent interdites au public.
Bref : Tu es une figure publique.

Et ce n'est pas tout. Grand voyageur depuis la crise du palais d'Ajatar Virke, tes passe-temps connus incluent aussi les voyages au travers du monde d'Earthland, et ouvertement, tu parles souvent d'Edolas, dans l'espoir d'un jour être autorisé, être capable de fouler le sol de ce monde si spécial. Bien sûr, l'absence du Conseil dans cet univers sans magie n'est pas étrangère à ton envie de passer dans cet univers fantastique relatant des légendes des Exceeds, que tu n'as jamais vu. Ce mythe affirmant que la Reine Shagotte des Exeeds est capable d'ordonner la mort des humains te fascine, et bien que tu ne le mentionnes pas dans les raisons de cette envie de voyage assez spéciale, tu rêves de voir ce monarque des anges déverser son pouvoir pour tuer, et de voir de tes propres yeux les étranges forces de ces terres, en dehors de ton ordinaire.
Ainsi, pour le commun des mortels, tu es un être tout simplement prodigieux, intéressé et averti des moindres cultures, artiste de renom, et auteur débutant, adepte des soirées organisées par la noblesse de Joya. Car il est une chose à laquelle nous n'avons pas encore parlé : Tu es détenteur de quelques titres que ta mère avait achetés dans le passé, et Joya étant un pays de richesses culturelles, tu t'es souvent aventuré là bas, en y ayant toujours réfréner tes œuvres sanglantes pour n'éveiller aucun soupçon, et ainsi jouir de la connaissance et du savoir des aristocrates. Surtout que les duchesses ont toujours été ravie de t'avoir parmi elles dans les fêtes ou les ébats, trompant sans pitié leur maris pour s'offrir une nuit dans tes bras, et te permettre d'assouvir ton addiction aux poitrines. Pour elles, tu n'es qu'une seule chose : un objet de fantasmes.

Les exemples de vie montrées au grand jour sont multiples pour toi, l'homme prisonnier entre deux époques. Tu as en effet plusieurs visages, partant de celui le plus faux du monde, aux autres tout aussi inventés, te permettant de cacher ton véritable être au fond de toi. De l'extérieur tu es une perle, de l'intérieur, tu es un monstre, qui se considère comme une perle encore plus grande et plus brillante.
Cependant, la vie que nous n'avons pas évoquée, et celle sur laquelle tu te concentres depuis peu, est elle de mage. Tu avais auparavant toujours détester la magie, car tu ne voyais se la malédiction de tes yeux aux couleurs différentes, aux époques différentes. Mais au fur et à mesure de ton histoire, tu découvris des mages aux pouvoirs magistraux, qui ne te firent que trembler de rage envers ceux là qui avaient été gâtés par la nature. Sorciers, tels que tu les nommais, tu les haïssais. Alors quelle ne fut pas ta surprise lorsque tu te rendis compte, enfin, qu'exercer un contrôle et t'entraîner sur ta propre magie, te permettait d'aussi grands prodiges que les personnes que tu avais en horreur. C'est à partir de ce moment là, où tu maitrisas les bases, que tu te rendis compte du paradoxe non temporel de ta vie : Tu étais ce que tu détestais... Un mage.

Oui... Tu étais un être capable de magie, et une fonction totalement incroyable, déstabilisante, et magnifique était issue de ta malédiction. Lorsque tu tombais à court de magie, ton pouvoir saturait, et ton corps reprenait celui de l'autre époque, celui de tes huit ans.
Au début bien gêné, tu te rendis compte de cette aubaine d'assouvir tes désirs et de t'amuser encore plus, et ton âme noyée entre l'enfance et l'adolescence, fut parfaite.
Ta magie incroyable en ta pleine possession, tu devins mage à part entière.
En tant que mage tes exploits sont inexistants. Tu n'as jamais rejoint de guilde, tu n'as jamais effectué une seule mission, tu n'as aidé personne, et tu ne t'es servi de ce pouvoir temporel que pour restaurer des fresques dans les musées, ou des statues en fil de fer. Ta magie étant une essence même de ton être, tu ne t'imagines plus vivre sans, mais tu ne t'aies encore jamais imaginé vivre avec, et en ce moment même, alors que tu t'amuses à la seule pratique de combat que tu connais, le tir, usant du six-coups de ton père, contre une cible humaine non vivante, la tête d'une blonde, tu te demandes si un jour cette magie te permettras d'atteindre ton but et de libérer ton âme, en éradiquant la censure exercée par la Loi.
En attendant, tu es sûr au moins d'une chose : Tu es Toki Di Cielo, un être parfait en tout point, et la feuille de khat enroulée entre tes lèvres réussit à contredire cette dernière affirmation.





Une vie banale non ?




Il existe en ce monde des merveilles incomparables à nulle autre. Ce prodigieux et funeste tableau en est une. Il décrit une vie poussée par l'ennui vers les plaisirs secrets et cruels de l'humain.
Cette aisance et constance de nuances ensanglantées en cette œuvre ensorcelée lance le spectateur dans cette vie monotone de l'oiseau imbibé de sang que devint Toki Di Cielo, unique fils de Tokichi Angelo Di Cielo, parrain de la mafia implantée en Caelum, et Maria Naomi Ester Di Cielo, femme de haute bourgeoisie devenue Duchesse, Comtesse, et même Archiduchesse d'un duché en Joya. Dans ce cadre familial, la tâche rouge de l'oiseau s'effritant contre les bordures de la peinture, tentant tant bien que mal de s'enfuir au delà de la monotonie de son quotidien, est constamment et malheureusement cerné par le parrain en noir, cercle autour de lui pour le protéger de ses opérations mafieuses. Ainsi, l'oiseau en cage ne peut s'amuser, et semble perdre de sa couleur si vive alors que le monde lui est conté, et la noirceur lui est cachée. C'est ainsi que les iris vairons du petit être emprisonné pointent son regard, non vers la mère hautaine et hautement hypocrite, mais vers le premier enfant des Di Cielo, Rui Di Cielo, sublime hirondelle aux allures festives, à la voix d'ange et aux attentions merveilleuses envers l'Oiseau.
Mais ce que voient les yeux de l'être dans la cage n'est pas une unique attention, et la face cachée de la belle se trouve dans ses incessants ébats, avec les hommes de Caelum les plus horriblement machistes qui soient.
Le petit a alors beau crier et appeler Rui, celle ci se laisse faire, sans doute de peur de se faire frapper par la suite, et ainsi, si la noirceur du monde souterrain et mafieux est dissimulée aux yeux de l'Oiseau, d'autres ténèbres envahissent sa vie d'enfant privilégié...

Mer d'ébènes, tout ce noir crée une césure avec le blanc imaginaire autour du petit Toki, montrant la force de l'amour paternel du parrain Di Cielo, alors la surprise se trouve vers les quelques éclaboussure de l'eau de poix frappant la tâche couleur sang, et entartrant les ailes de l'oiseau vif. Huit petites gouttelettes, huit plumes sombres sur le pelage... Il a huit ans, ce bambin, lorsque la maladie appelée magie le prend. Et durant cette même année, tandis que ce mal le ronge comme un chien dévore sa moelle, ce fut l'horreur de la partie de ténèbres qui s'ouvrit à lui. Son père s'aperçoit alors que l'univers mafieux est comme une douce brise face aux tourments de l'âme de son fils, et les malaises des vagues grisonnantes dans la peinture écrasent la cage, tandis que la tâche couleur de la flamme s'évade doucement, s'éraflant de suie, de noir au passage. Et dans ce tableau aux allures tout d'abord idyllique, nous observons une once de terreur qui s'abat sur le bel oiseau.

Mais jamais un mensonge ne sut subsister aussi longtemps que l'on aurait voulu...

Alors que le petit oiseau s'instruit et découvre son plus grand hobby, il est rapporté au parrain les "prodiges" de son fils, et le rouge devenu mat semble pourtant briller de mille feux, alors que la mort parsème ses veines. Toki Di Cielo s'extasie, les cadavres de petites bêtes s'empilent de façon tout à fait saisissante dans ses quartiers, et l'Art secret se crée, tandis que la vision entre deux époques reste cachée. L'oiseau est dorénavant une tâche difforme, dont une partie semble s'épaissir autour du malheur tout en regorgeant de lumière, tandis que l'autre file droit vers l'avenir, avec cette envie de découvrir ce qu'on lui a toujours caché. Libre et emprisonné, il devient un paradoxe en lui même et pourtant parvient à ne pas se briser en chemin. Et dès lors qu'il arrive inconsciemment à persuader son paternel qu'il a une chance de retrouver la sainte lumière sur sa route, il est protégé par celui ci qui assume l'entière responsabilité de la déviance de son petit, tandis que lui, Toki, peut enfin se donner corps et âme à sa passion découverte : l'Art.

Négligeant l'inhumanité de ses actes, tout en susurrant de doux mots aux oreilles du cadre de la peinture qui ravit les yeux de ses admirateurs, la tâche se déforme pour emprunter divers chemins tous lié au concept de l'Art. La musique, la peinture, la sculpture ou même la philosophie et l'étude de ses œuvres et de celles de ses ancestraux mentors artistiques, deviennent rapidement de nouvelles occupations égayant son quotidien et parsemant son ancienne constance par de petits soubresauts destinés à lui redonner goût à la vie, et à tuer l'ennui.
D'un autre côté, c'est avec les armes de son père, qu'il aime réclamer avec ses petits yeux d'anges, qu'il passe son temps, et acquiert sa dextérité et sa précision hors du commun. Sa particularité magique l'obligeant à vivre avec un œil ouvert à la fois, comme la partie de la tâche qui se courbe autour d'un point non recouvert par la peinture de son joli corps le montre, il possède naturellement quelques disposition à l'exercice de la visée.

Malheureusement même l'inconstant finit par devenir lassant a force de ne point changer d'activités diverses...

Arrivé à un âge plus avancé, l'oisillon écarlate apprend à garder la tête sur les épaules alors que son mal va de pis en pis, ses deux yeux lui faisant tout doucement perdre le nord. Et les divers chemins qu'il avait emprunté commencent à se perdre. N'en pouvant plus, la tâche bifurque en hors piste et elle tranche un amas des différentes autres couleurs de l'œuvre pour forcer son propre chemin. La courbe constante est cassée, et l'oiseau devient rapace, se mettant à utiliser les victimes des rues désertes pour exposer l'Art qui crie en lui. Et la tâche grossit et prend de l'ampleur sur le tableau, tandis que les autre couleurs se font infecter par le rouge du sang. Aucune pitié ne peut plus rien pour elles, et l'oiseau prédateur détruit et mélange les couleurs pour former un spectacle incroyable et frustrant. Il s'épand enfin, il s'étend surement. Et l'on peut voir derrière son sillage que les proies sont en premier lieu les amants maudits et brutaux qui autrefois utilisaient sa soeur. Celle ci ne sut jamais ce qu'était son frère...

Risquant sa tranquillité, l'oiseau prend finalement son envol, et la tâche s'enfile doucement, tandis que l'arme préférée de Toki, le Desert Eagle de son paternel, est capturé entre les serres de l'artiste d'horreur.
C'est en parcourant les mers, et les rivières, que le rapace s'éloigne de son nid d'origine, laissant sa famille en paix, et son rival et père sur un autre territoire. Sa destination se trouve au delà de l'œuvre et la peinture écarlate traverse le cadre en une percée fabuleuse pour atterrir sur cette toile vierge, sur laquelle l'Histoire s'écrit au fur et à mesure. Des tâches de multiples couleurs prennent une ampleur démesurée pour celle représentant l'Oiseau rouge, et alors que la goutte de sang éclabousse de ses petites gouttelette le bord Sud-Ouest de la nouvelle peinture, ce royaume dont on dit que le Roi n'a presque aucun pouvoir politique : Fiore, plusieurs mélange colorés parsèment les lieux, répandant le rouge au travers de ce coin de la nouvelle toile...

Toutes ces touches nouvelles ont sauté depuis le centre, Crocus, alors que quelques gouttes d'un violet sombre sont restées, implorées alors par les pauvres treize perdus dans ce point du tableau, de les laisser en vie. C'est un indescriptible spectacle auquel Toki n'assiste pas, mené entre la capitale et Alecksander le terrible, maître sous Black Jack de la dénommée Phoenix Wings, renommée Legion... Une guilde.
Car cette nouvelle toile est sans aucun doute le centre de toute magie, et la tâche, dans son mal inexplicable, est sans doute affiliée à ces créatures que sont les pratiquants... Cela n'étant guère une vie pour elle, la petite touche rouge, virevoltant, se décide à éviter la capitale fleurie et se consacre au voyage entre les tableaux, passant du blanc Iceberg au magnifique Joya, avant de visiter la grande Sin et la lointaine Pergrande...

Il ne faut à la belle écarlate que quelques visites dans les pays ensevelis de peintures et d'œuvres d'art, pour retourner affronter la grande Crocus de Fiore, et son invitation dans le grand Palais Royal, le Mercurius, pour savourer des retrouvailles charmantes entre la magie et Toki. L'Oiseau temporel festoyant lors de cette rencontre magnifique, ne se rend pas compte qu'à son réveil, après un concours de boisson, tellement sa gueule de bois est tenace, que six ans se sont écoulés, et que la magie est la raison de sa survie. Cette nouvelle bien choquante est un point important dans la vie de notre tâche d'encre ou de sang préférée, qui finit par réaliser que pour survivre, sa maladie le coinçant entre deux époques se doit d'être maîtrisée.

Survivre... Un instinct, que tout être possède... C'est cet instinct qui guide l'Oiseau dans un parcours spirituel, traversant les différentes toiles, retraçant son passé à l'aide de sa magie, afin d'en comprendre les flux et le sens. Pour la première fois, ce pouvoir n'est plus contenu, et c'est avec un contrôle peu sûr qu'au fil du temps, Toki remonte, et dresse sa magie, tel un animal de compagnie. Coriace, celle ci ne se laisse pas faire, mais finalement se voit obliger de plier et de s'agenouiller devant le rapace, qui aussitôt exerce sa dominance sur elle. Et ce que l'artiste détestait, il le devient. Oui, l'Oiseau rouge devient un mage à part entière.

Toutefois ce métier ne l'intéressant guère, il préfère continuer son voyage pour découvrir de nouvelles coutumes, et casser de nouveaux squelettes afin de se surmonter plus encore dans son art lugubre, et d'exposer son travail dans différents coins d'Earthland. Oui, Toki Di Cielo, le petit oiseau, a bien grandi, et c'est en artiste et gamin qu'il souhaite vivre sa vie. Néanmoins, sa passion pour le sang d'autrui le guide doucement vers le monde souterrain, tandis que sa finesse et le revers de sa magie lui permettent de jouir de la vie, en toute quiétude... Car Toki est l'enfant adulte, l'homme qui interfère entre deux époques, et personne ne peut s'imaginer qu'un gosse de huit ans est derrière toutes ces horreurs entraperçues au quatre coins du monde. De plus, ce vicieux fils de mafieux est, à la lumière, l'un des experts aidant le Conseil à mettre la main sur l'auteur de ces œuvres répugnantes, et en fourbe enquêteur, il sait mener les gardes et autres faiseurs de Lois, vers les tréfonds, vers les ravins, en leur suggérant à chaque fois, d'une façon plus que subtile, des innocent qui se retrouvent boucs émissaires...
Et durant toutes ces années, le père a continué à croire en son fils, la mère s'est trouvée quelques amants, et la soeur est partie explorer Fiore dans le but de montrer à son frère le pouvoir qu'elle s'est découvert, les fameuses prémonitions des futurs possibles...
Les Di Cielo sont définitivement une famille bien étrange...




Cette foutue magie que tu appelles Times




Qu'est ce donc que cette magie, qui de part sa nature malheureusement, se transforme en véritable malédiction ? Qu'est ce donc que ce mélange de réalités, différentes uniquement de par mer époque, qui trône dans les yeux vairons de l'homme qui voit double ?

C'est une bien belle, ou hideuse selon le point de vue, magie que tu as là, jeune homme, et même si tu en souffres parfois, n'oublie pas que sa rareté et sa puissance, ne valent pas son originalité et ses possibilités. Tu te dis malheureux car chacun de tes iris voit un monde différent, et que la vision en trois dimension t'incombe d'une défaillance au niveau de ce que tu vois, mais t'es tu déjà demandé si ce n'était pas mieux ainsi ?
Toute ta vie depuis ce jour là, tu as été partagé : d'abord ce fut un jour, puis un mois. Ensuite une année et maintenant dix années. Tu as pourtant toujours fais face là où tant se seraient suicidé. Tu es fait pour ce fardeau, car tu le maîtrises désormais, et tu as appris à jouer avec...

D'un œil brun tu le vois, ce monde de tes huit ans. Cette époque est une réalité que tu vois inchangée, car figée en ton iris, elle ne peut évoluer.
Ton œil gauche en revanche, d'un bleu si profondément saisissant, voit le monde que tout être vivant perçoit, ce temps changeant au gré des secondes qui s'écoulent doucement.

Deux réalité, deux époques distinctes pour deux yeux complètement différents et pourtant lié par un seul homme, toi. Tu es différent des autres, tu le sais. Tu as subi un accident, lors de ton huitième hiver, et depuis tu ne regardes le monde qu'avec un œil à la fois.

Voyant deux temps différents, tu peux t'amuser à interférer l'un avec l'autre, en ouvrant les deux yeux. Te rends tu compte à quel point ta malédiction peut être incroyable ? Le passé est présent et le présent est passé, lorsque tu le décides.
Tu as ce don, cet anomalie spatio-temporelle, ce dysfonctionnement magique te permettant de superposer deux époques différentes.
Alors ne crache pas sur ton pouvoir malgré ses faiblesses, et apprends à les utiliser comme une force.

Apres tout, n'es tu pas celui que certains appellent l'enfant adulte ? N'es tu pas celui qui a fait de un des plus grands handicap magiques au monde une force différente ? Ton pouvoir est une altération entre deux réalités temporelle, et lorsqu'il arrive à saturation, c'est le passé qui l'emporte sur ton corps. Alors tu retrouves ta forme que tu endossais à huit ans, et deviens l'enfant... Et pourtant... Combien de fois le fait de revenir à cet état enfantin t'a-t-il aidé ou sauvé ? Combien de fois as tu profité de ta bouille d'ange de gamin pour passer se les genoux d'une belle dame, ou dans la poitrine de jolies filles ?

Tu es vicieux, Toki. Tu es vicieux comme ton pouvoir, celui que tu as surnommé Times.



Techniques





Bebebe - FTRPG
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyMer 10 Juin - 2:56

Enya Taylor
Enya Taylor

Crime Sorciere

Click

Bien le bonjour ! Alors je serais en charge de la modération de ta fiche donc si tu as des questions, ma boîte à MP est grande ouverte.

Commençons donc !



En Résumé :

Un petit peu de blabla magique et quelques points d'éclaircissements concernant l'histoire du personnage macabre que tu nous présentes ! Donc voilà si tu veux revoir quelques points que j'aurais mal interprété, je suis disponible!

Bonne chance ! N'hésite pas au besoin.
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyMer 10 Juin - 7:38

Toki Di Cielo
Toki Di Cielo

Ishtar's Eye

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Hop là, coucou Nyanya Smile

Alors alors, je ne vais pas juste dire "Modifications effectuées", ce serait franchement trop court.

Psycho
Alors que dire ? Merci Very Happy j'ai corrigé les fautes que je voyais, et effectivement, le côté "lumineux", la face montrée de l'iceberg, sera plus vue en rp que dans la fiche.

Background
Ici, j'ai aussi corrigé ce que je voyais, tandis que j'ai rajouté des détails comme le nom et les fonctions dans la noblesse de la mère, ou le nom et les ressentis de la soeur, jusqu'à la magie découverte de la soeur, suivant également un schéma temporel, qui sera du coup une prédéfinie.
Ensuite, j'ai un peu plus mis en avant les enquêtes du Conseil car effectivement, étant donné que Toki sert d'expert aux enquêteurs, il y en a ^___^

Pour les événements, j'étais content d'utiliser celui de la naissance de Legion, et pour le Palais, ce sera expliqué (le pourquoi de l'invitation) dans des rps solos dans lesquels on en apprendra un peu plus sur cet événement.

Effectivement, pour la magie, il n'y a pas beaucoup de techniques, mais n'oublions pas que passivement Toki voit le passé et le présent, et qu'à court de magie, il retrouve un corps d'enfant. Smile

Sur ce, Voila, j'attends que tu repasses dessus ^__^

Au plaisir.
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyMer 10 Juin - 8:12

Enya Taylor
Enya Taylor

Crime Sorciere

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Dans ta tête il y a :

Validé!

Ta vie, ton histoire :

Validé !

Ton pouvoir ta force :

Validé !


En Résumé :

J'invoque mon maître pour qu'il puisse juger ainsi ta fiche mon petit !
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyMer 10 Juin - 18:31

Lisanna Strauss
Lisanna Strauss

Fairy Tail

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Salut, je serais le deuxième validateur, afin de sublimer le travail de ma consoeur Enya. Passons aux choses sérieuses veux-tu?

Dans ta tête il y a :

Bon moi je vais être un peu plus chiant. Enya a fait un bon boulot, mais moi j'ai des petits soucis. Ton personnage est le stéréotype d'un artiste torturé à tendance psychotique voire névrotique. Tu l'as bien décrit et je t'en félicite on comprend bien l'ambivalence de ton personnage. Le problème pour ma part c'est l'histoire du Conseil, le conseil peut à la rigueur censuré ton travail, mais comment expliquerais-tu qu'aucune personne n'est de soupçons sur toi. Un simple mage psychique mettrait en œuvre un interrogatoire de toute personnes qui fait part de l'affaire. Fin bref, à mon sens tu ne peux pas travailler en plus dans tes affaires. Puis pour les amants de ta sœur, je veux dire je veux bien que le conseil c'est pas génial génial, mais ils auraient fait le rapprochement avec ta sœur et toi quand même...


Ta vie, ton histoire :
L'histoire me va dans l'ensemble à part ce point sur le conseil déjà soulevé plus haut.
Validé !

Ton pouvoir ta force :
Là je vais être plus chiant que ma consoeur. En effet, pour moi ta première technique est in-envisageable dans la mesure où un paradoxe est interdit. A partir du moment où tu apparais dans un temps passé. Un paradoxe se créer forcément, car la ligne du temps va être altérer par une suite de lignes envisageables. De plus, je suppose que dans cette technique tu vas combattre, mais si tu vas combattre, il y a forcément un paradoxe qui va être créé. Il suffit simplement qu'un vase se brise et un paradoxe est créer, ce vase peut avoir une altération dans le futur. Chaque chose dans le passé à un lien avec le futur et tu ne peux pas partir du principe que tu n'altéreras pas le futur. Tu vois ce que je veux dire. De plus, j'aimerai bien que tu mettes les atouts offensifs et les points faibles, parce que je ne vois pas trop où tu veux en venir.
A Modifié !


En Résumé :

Le problème du Conseil qu'il va falloir que tu changes et que tu me trouves un moyen de t'échapper ou expliquer comment ne pas te faire prendre. Et du blabla magique
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyMer 10 Juin - 20:16

Toki Di Cielo
Toki Di Cielo

Ishtar's Eye

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Modifications effectuées (je t'ai tout dis par Skype)

Very Happy
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish EmptyJeu 11 Juin - 16:55

Lisanna Strauss
Lisanna Strauss

Fairy Tail

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Tu es validé mon cher Very Happy
 MessageSujet: Re: Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish   Toki, la perfection ( en considérant que la perfection fume, boit, se drogue ) - finish Empty

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