| Sujet: Mes paroles te rongent l'esprit ▬ Kunrad [Fini] Ven 15 Mai - 18:06 | |
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Kunrad Leonhardt III
Informations Générales |
Kunrad Leonhardt |
► Sexe : Homme ► Âge : 23 ans ► Date de Naissance : 13 Février X769 (69 année érotique) ► Lieu de Naissance : Pergrande ► Personnage sur l'avatar: Badou Nails • Dogs : Bullet & Carnage
► Activité(s) : Effectue des petits boulots à droite à gauche pour subvenir à ses besoins en attendant de trouver mieux.
► Statut / Guilde : Indépendant Illégaux - à la recherche d'une guilde.
► Surnom(s) : One-Eye (Parce qu'il possède toujours un bandage sur son oeil droit.) Kurt (c'est son nom quand il effectue des petits jobs, pour éviter de filer sa véritable identité à n'importe qui.)
► Citation : «Parfois on est amené à faire des choses contre nos principes... Vaut mieux oublier qu’on en a...» Turkish ▬ Snatch
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Description Psychologique Je suis un chic type, vraiment ! Dans une cave aménagée, ligoté à une chaise avec comme seul éclairage une ampoule dénudée qui pendait depuis le plafond, un homme regardait Kunrad avec la peur dans les yeux. "Mais vous êtes qui putain?" avait-il balancé.
▬ Qui suis-je réellement? C'est une excellente question. Comme je suis de bonne humeur, je vais t'y répondre d'une manière assez détaillée. En même temps, ton bourreau est sur le point d'arriver, ça nous permettra de faire plus amples connaissances.
S'il devait y avoir un seul mot pour me décrire, ce serait Solitaire. Non pas que je déteste être accompagné - que ce soit des collègues ou une charmante créature - mais je 'travaille' toujours mieux quand je suis tout seul. Après les quelques directives d'une quelconque mission, j'agis de mon propre chef, et c'est mieux ainsi. Au moins, la réussite ou l'échec de la chose ne dépendent que de moi. Car s'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est échouer à cause des autres, et les faire échouer à cause de moi.
S'il me restait cinq minutes à vivre, le seul objet qu'il me faudrait serait une Cigarette. La pire des addictions possible. Plus que le jeu, le risque, l'argent. Le tabac tue, certes. J'en consomme énormément. C'est d'ailleurs très rare de me voir sans. Regarde, je viens d'en jeter une, et j'en allume déjà une autre. J'ai toujours une réserve incroyable avec moi, et s'il y a quelque chose qui me fait pas rire dans la vie, c'est être en pénurie de clopes. Je pourrais tuer un être humain de mes propres mains pour une tige de tabac. C'est certainement un de mes plus grands péchés mignon.
S'il y a bien quelque chose chez moi qui vous énerve, c'est certainement ma façon de parler. Je provoque, énormément. Je me complais à rabaisser les gens, ils se croient bien trop souvent dressé sur un piédestal et vous regardent de haut. Bien évidemment, il y aura une poignée de personnes envers qui je me montrerais toujours fidèle et respectueux. Mais ils pourront se compter sur les doigts d'une seule main. J'aime taquiner, j'aime énerver, j'aime provoquer. Il m'arrive aussi d'être plus agressif, moins poli, plus brutal avec les termes, voir très vulgaire.
Si j'étais un animal, je serais forcément un chien. J'exécute les ordres sans broncher, tant qu'il y a os à ronger en récompense. Je suis fidèle et loyal envers les personnes que j'apprécie. Et bien évidemment, il m'arrive de mordre. Je serais le garde parfait. Et une fois que la laisse est détachée, tu connais cet adage non ? Celui qui se transforme en bête, se délivre de la douleur d'être un homme.
Si j'avais une couleur préférée, ce serait le noir. A l'image de mon âme et des crimes crapuleux que je serais capable de faire pour une quelconque somme d'argent voir pour des clopes. Mais également, parce que je suis un chien errant qui vis quasi exclusivement que la nuit. Car la nuit, tout les chats sont gris et je pourrais me confondre avec d'autres personnes plus aisément. Le noir est également la couleur de mes vêtements, car comme précisé, je vis la nuit. Elle m'apporte un camouflage bien pratique, ne tape pas à l’œil et me permet de m'intégrer plus facilement.
Après ce court monologue décrivant ma personnalité, je me présente à toi jeune inconnu : Je suis Kunrad Leonhardt. Mais aujourd'hui pour toi, exceptionnellement, je serais l'épée de Damoclès qui siège au-dessus de ton crâne, attendant le bon moment pour t'empaler. Paix à ton âme, tu avais l'air d'être un chic type, tout comme moi...
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Background | Test RPG Un noble enfoiré | Nuit noire. Histoire : Un noble enfoiré A Pergrande, il ne se passe jamais grand chose. La vie est platonique. Les hommes se lèvent le matin pour partir travailler et rentrent le soir après le boulot. Ils embrassent leur femme, couvrent les gosses, mangent les restes et partent au lit. Quelques mages peuplent le royaume, mais ils sont en minorités contrairement au reste de la population. Au sommet de la chaîne alimentaire se trouve le roi. Ma famille possède du sang royal, je m'appelle Kunrad Leonhardt III, mon père est donc Kunrad Leonhardt II. Et de vous à moi, avoir le même prénom que cette raclure est tout sauf plaisant. Ceci étant, mon père n'est guère le Roi. Il compte cependant avoir accès au trône sur un malentendu. Façon de parler. Moi ? Je n'ai jamais eu l'ambition de gouverner un royaume. A quoi bon ? Le Mardi nous sommes conviés à exposer nos problèmes au Roi. Il nous reçoit pendant deux heures. Vous imaginez ? Pendant deux heures, vous avez le cul vissé à une chaise, et on vous emmerde avec nos problèmes, nos idées, nos suggestions pour un monde meilleur. Je suis donc né dans une famille noble. Mon père Kunrad est un membre du conseil Royal. En gros, c'est lui qui est chargé de résoudre certains problèmes mineurs. Ma mère dirige une équipe de cuisiniers qui luttent chaque jour pour faire les meilleurs repas de tout le royaume. C'est un club très fermé et très sélectif dans lequel je suis certain que vous n'y trouverez jamais votre place. Et pour finir, il y a moi. Le maillon faible. Kunrad III. Depuis la nuit des temps - je veux dire mon enfance - mes parents ont essayés, et j'appuie bien sur le terme essayé - de m'inculquer les bonnes valeurs. Être gentleman, courtois, manger proprement à table, utiliser une tonne de fourchettes différentes lorsque je mangeais différents plats, savoir parler à autrui de manière distinguée. Mes couilles. J'en ai rien à foutre de ce genre de vie. Cela ne m'a jamais intéressé. Si vous voulez que votre vie soit un conte de fée barbant, prenez ma place. Je vous la donne volontiers. Car chez moi, les deux seules questions existentielles que l'on se pose dans tout une vie c'est : 1) Avec qui mes parents vont me forcer à me marier -et accessoirement, est-ce qu'elle va me plaire? 2) Si la réponse de la première question est non, comment dois-je réagir ? Vous imaginez un peu l'angoisse d'être un gosse de bourge ? Vous arrivez un bon matin, et on vous dit "Kunrad, tu vois cette fille là?" "Celle-là, la toute moche ?" "Dans dix ans, vous allez vous marier ensemble. Son père est un homme d'affaire très respectable et compte sceller des accords sur son patrimoine que si sa fille se marie avec un des fils Leonhardt. Et tu es le seul fils Leonhardt." Et du coup, tu prie pour qu'elle soit comme de l'alcool, qu'elle se bonifie avec le temps. Ce qui bien évidemment, n'arrive pas. Mais bon. J'étais gosse, jeune et insouçiant. Je pensais que les voies de mon père était impénétrables. Ce qui avec le temps, s'était estompé petit-à-petit. A l'abri des regards indiscrets, j'ai commencé à m'intéresser à la magie. Mon père est humain, ma mère était mage - j'insiste sur le mot était car d'après ce que j'ai compris, elle a arrêté d'utiliser ses pouvoirs il y a fort longtemps et depuis, elle ne sait plus si elle y arriverait. J'ai tué mon animal de compagnie avec ma magie. Je ne la maîtrisais pas. Ses tripes étaient à l'air. J'aurais bien voulu dire que ce n'était pas de ma faute et que quelque chose l'avait attaqué mais... Le hic, c'est qu'il était dans ma chambre, dans mon lit. J'ai été dans un espèce de camp de concentration pendant deux ans. Je devais apprendre à utiliser mes pouvoirs à l'abri des autres. Croyez-moi, j'en ai chié. On s'entraînait à tuer des chatons malades. Le pire dans tout ça, c'est que j'en ai très vite trouvé un certain plaisir. Ôter la vie d'autrui, c'est assez excitant, et on y prend goût. J'avais fais des rencontres. Des bonnes, et des mauvaises. Timmy le hachoir était une bonne rencontre, étrangement. Timmy était un gars sympa, petit, frêle, et avait le cœur sur la main. Enfin... Il avait VOTRE cœur sur SA main. Je l'ai perdu de vue après lui avoir ôté la vie lors d'une nuit d'hiver. Nous ne nous sommes plus jamais parlé. Au bout de mes deux ans d'internat - ou de prison - je suis revenu chez mes parents. J'étais un autre homme. Ils voulaient que je fasse parti de la garde de Pergrande. Vous savez, les connards qu'on fout devant les portes du royaume, et qui attendent qu'une attaque extérieure arrive ? J'ai évidemment refusé. Et évidemment, un soir, ils sont venus chez moi. Ils m'ont pris le peu de dignité qu'il me restait. Ils m'ont fait sortir de mon lit en slip, et j'ai monté la garde devant les portes du royaume avec d'autres idiots sans cervelle. Le temps, était, beaucoup, trop, long. Je m'étais demandé s'il ne passait pas plus lentement. J'ai passé deux ans comme ça. De mes dix-huit à mes vingt. Puis un jour, j'ai pété mon plomb. On devait être un mardi, c'était l'été. Le soleil me brûlait le crâne, je suis devenu dingue. J'ai voulu partir, mon supérieur m'a dit de rester, je l'ai attaqué. Il m'a rendu la monnaie de ma pièce. Je lui ai pris la vie, il m'a prit la vue de mon œil droit. J'ai enfourché une bécane magique, et j'ai roulé tout droit pendant des heures. Et voilà comment j'ai commencé mon périple. J'ai fais plusieurs villes, j'ai croisé plusieurs guildes sur mon chemin. Mais aucune m'attirait réellement. Je ne me considère pas comme un bon gars, ni comme un mauvais. Cela dit, si on devait choisir mes actes pour me définir, alors je serais catalogué du côté des méchants. Des actes de barbarie extrême comme tuer des chatons, c'est jamais bien vu. Aujourd'hui, je suis arrivé à Fiore. Un endroit charmant. Charmant si des guildes n'avaient pas projeté de détruire le coin. Mais qu'est-ce qu'ils ont les gens à vouloir tout casser ? Sérieusement, c'est loin d'être une idée de génie. Malgré qu'on peut rebâtir une civilisation et réintroduire une monnaie courante. Parce que ouais, dans ce genre de villes, pour un type comme moi il y a certainement moyen de se faire de la maille. Et ça, c'est un truc important pour ma survie. L'argent, c'est le nerf de la guerre. Et pour rebondir sur ma phrase, je finirais en disant qu'une guerre approche, et il va falloir que je me trouve des alliés, une famille, une guilde dans laquelle je pourrais continuer à prospérer sans avoir la crainte d'être un jour, sans toit, sans argent, et sans vie. Test RP : Nuit noire La nuit, tout les chats sont gris. La missive qu'on lui avait glissée sous la pas de sa porte, scellée dans une enveloppe était aussi simpliste que viser l'intérieur des toilettes après trois litres de bière : Trouver un individu. Par la suite, toute une mise en scène allait devoir se dérouler sous un angle précis. Ligotage dans une salle insonorisée et aménagée pour. Une autre personne allait tenter de le faire parler, et une fois tout cela terminé, Kunrad devait le terminer à sa manière : la mort. La traque fut assez simple dans son ensemble. Trouver l'individu ne présentait aucune gêne. Il suffisait de payer quelques coups à certaines personnes, et voilà. L'alcool délie les langues, même celles des moins bavards. Maintenant qu'il avait trouvé sa cible, il fallait exécuter le reste de la mission. C'est-à-dire le kidnapper et l'emmener dans une pièce - en l'occurrence une cave aménagée - sans éveiller le moindre soupçon. Car c'est sûr qu'en le tabassant dans la rue et le transportant vivant dans un sac à patates, ça allait éveiller quelques soupçons. La mise en scène fut des plus sympathiques. Le gars en question était un habitué des bars. Il suffisait de remplir un rôle - celui du barman. Bonsoir monsieur, qu'est-ce que je vous sers ? Ensuite, une fois l'individu légèrement éméché, ses envies primitives allaient refaire aisément surface. Là, à ce moment précis, on lui dit que la jolie fille au fond du bar - celle-là même qui est en train de partir au moment où je vous parle - vous trouvait charmant, et aurait dit à Kunrad de lui filer son adresse. L'adresse en question se trouverait pas loin de la cave. La fille était bien évidemment une complice, payée allègrement pour jouer le jeu. Et bien sûr, elle ne savait pas non plus de quoi il s'agissait. Par la suite, une fois le type dehors et livré à lui-même, il allait se rendre docilement jusqu'à l'appartement. Une fois devant celui-ci, il regarde son petit papier et cherche le nom de la jeune femme sur la sonnette. Il remarque qu'à ce moment précis qu'aucune sonnerie ne correspond. Une barre de fer, un crâne, des étoiles qui tournent autour de la tête. Il se réveillait quelques heures plus tard, dans une cave, ligoté à une chaise. Le sang coulait du côté du crâne jusqu'à l'oreille, et depuis l'oreille, les gouttes tombaient les unes après les autres sur le sol immaculé, laissant un petit "plouc" à chaque fois. A cet instant précis, dans ce moment présent, le type n'a qu'une seule question à la bouche. Qui tu est. Et pourquoi tu fais ça. Les explications fusèrent pour la première question. Car Kunrad est un type franc et généralement, lorsque ses cibles sont sur le point de crever, il ne s'amuse pas à les tourmenter davantage. Puis, il lui avait demandé pourquoi il avait fait ça. La réponse était toute simple. ▬ On m'a filé un contrat qui comprenait ton enlèvement, ta séquestration, le passage à tabac. Par la suite, tu auras le droit à un petit interrogatoire. Mais c'est à moi de poser les questions maintenant. Pourquoi on m'a demandé de te faire ça ? T'a du faire un truc grave pour qu'on te veuille autant de mal. avait-il dit en laissant apparaître un petit sourire en coin. La porte en métal s'était ouverte, et une autre personne était apparue. Elle posait les questions pendant que docilement, Kurt de son surnom, était adossé contre le mur, un pied contre celui-ci et bien évidemment, clope au bec. Le tortionnaire posait ses questions, qui demeuraient sans réponse jusqu'à ce que celui-ci sorte un petit coutelas et s'amuse à scarifier le type ligoté. Après les réponses, il l'avait exécuté. Kunrad attendait gentiment le moment opportun, celui où le type lui demandait sans aucune émotion dans le visage ou les actes "Nettoie la scène de crime." et disparu juste après sans laisser de traces. Une nuit noire, une nuit où le sang avait coulé. Une dernière nuit pour un habitant de Crocus. Une énième nuit pour Leonhardt. |
Magie Principale Ryuusan no Mahō La magie de l'acide -sulfurique en l’occurrence - permet à Kunrad de créer et contrôler des projections dudit acide en consommant son énergie magique. Il ne peux en aucun cas utiliser d'autres acides que celui-ci. L'originalité du pouvoir de Kunrad est qu'il ne peux pas retourner son pouvoir corrosif contre lui, ayant une pseudo-immunité à sa propre magie (ce qui signifie qu'il reste totalement exposé aux autres acides de la vie courante, et ceux d'autres mages, il est immunisé uniquement au sien). Les vertus corrosives de son pouvoir lui permettent, à plus bas échelle, de dissoudre des tissus (vêtements - coton - laine) de brûler la peau, obstruer temporairement la vue (le fameux syndrome des yeux qui piquent et qui brûlent - ceux qui passent des heures devant un écran doivent connaître ça). A plus grande échelle - et avec plus de Maîtrise Magique - Leonhardt pourra dissoudre le verre, les métaux, brûler grièvement la peau, et gêner les voies respiratoires. A noter : (pour ceux qui connaissent pas Breaking Bad) Le plastique est le meilleur allié contre l'acide. C'est la seule matière qui résiste à de l'acide.
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