10h00 Sur les toits de la ville la petite silhouette reste là. Imperceptible pour la plus part dans le vent de panique ayant envahie la ville d'habitude si tranquille. Assise elle reste là, léchant son poil avec une nonchalance presque scandaleuse avant de s'arrêter dans son mouvement au coup raisonnant de l'horloge de la ville. 10 heures. Lentement le chat noir s'étire en baillant avant d'enfin entrer en mouvement avec un calme impérial.
10h20 Une explosion à déjà retentit, la nouvelle tombe très vite, plus aucun trains ne peut circuler, la gare est attaquée. Et comme un troupeau d'agneaux apeurés le centre de Shirotsune se remplit de la marée humaine fuyant les événement. Sur la place la foule se masse et sur le toit de l’hôtel de ville c'est un sourire qui semble se dessiner sur la gueule d'un chat aux couleurs de nuit.
Blue Pegasus a reçu des ordres des plus clairs suite à l'annonce ayant ébranlé Fiore face au désastre imminent : Protéger Shirotsune peut importe le prix. Et c'est sans trop savoir par où commencer que Drake Fulgur s'est retrouvé noyé par la marrée humaine, essayant de calmer la population, de les rassurer alors qu'il s'apprête à prendre la parole sur la place de l'hôtel de ville.
Dans la foule deux âmes se sont laissées embarquées par le tumulte. L'une fragile, l'autre sanguinaire aux piquants acérés de la rose. Il semble que dans les pires situations parfois certains décident de changer de camp, qui eut cru que la tueuse se serait un jour préoccupé de la menace planant sur tout Fiore.
Sur le toit de l’hôtel de ville l'étrange spectacle commence alors que neuf chats couleur d'ébène en bondissent pour se noyer dans la foule. Rapidement le premier cri d'effroi retentit alors qu'une silhouette tombe au sol, la gorge ouverte en une marée sanglante provoquant un nouveau mouvement de panique tuant dans l'oeuf les efforts du pauvre Fulgur. Puis c'est un deuxième, un troisième, un neuvième. Alors que la place se vide les corps égorgés se révèlent, jonchant la place de leur traîné sanglante. A leurs côtés neufs chats semblant vous sourire alors que leur corps entre en mutation pour révéler un homme nu au regard bestial et griffes aiguisées, sur ses neufs nuques trônant le triskel sombre d'Ajatar Virke.
Ordre de poste : Isaïah Stone – Akane Honoka – Drake Fulgur - Damaz Elandez – Isaïah Stone ...
Dans le cas où le PNJ devrait jouer, vous serez prévenus par un message à la suite de votre RP. Vous avez un maximum de 10 jours pour répondre, avant de vous considérer hors-événement.
♦ ♠ ♦ ♠
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Dim 1 Mar - 14:17
Isaiah B. Stone
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Titre : Adopte-un-attardé.com Crédit : Déesse Lulu Feuille de personnage Maîtrise Magique: (6200/35000) Mérite: (298/400)
Stop swaying when the moon is shaking thou
“I hear and I forget. I see and I remember. I do and I understand.” .
Le vent hurle, le vent souffle de son requiem douloureux. La nature a peur, elle souffre, elle ne comprend pas ce qui se passe. Elle demande aux humains. Personne ne répond, personne ne l'écoute trop absorber par ses propres peurs. La société, cette immense unité qui venait de succomber à la panique. Le hurlement de l'air qui venait de se voir défigurer par une explosion. Tout venait de se mettre sur pause, excepter les gens qui couraient autour de moi. J'étais là, immobile, témoin des humains et de leur folie. Je voyais tout le monde courir autour de moi, comme s'il ne me remarquait même pas. Personne ne me touchait, personne ne m'effleurait, car je n'étais rien d'autre qu'un obstacle pour eux, un obstacle qu'ils devaient contourner. J'étais comme le cœur d'un monde qu'on n'écoutait pas, qu'on évitait pour ne pas avoir trop de regret. Leurs buts, c'était de rester en vie, mais ils ne se souciaient de rien d'autre. La terre pleurait de ce martèlement de pas, la terre pleurait de ces débris qui l'avaient blessé de son intimité. Vous qui vous croyez plus fort que l'animal, vous ressembliez en cet instant à un simple troupeau de proies qu'un lion allait manger. Entendez-vous le rugissement magique qui s'annonçait. La violence du son de ce requiem qui faisait frémir la rivière de la vie.
Mon corps semblait ne pas être présent dans cet instant, j'avais l'impression d'être une personne au ralenti et que tout le monde autour de moi était en accélérée. Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait, mais la marée humaine venait de me recouvrir comme le tsunami d'un océan qui venait de me bercer en son lit. Un tsunami destructeur et poétique qui dansait à mes côtés. J'étais ce petit électron qui ne voulait pas s'agiter. J'étais cette personne qui venait de s'agripper auprès d'un morceau de bois pour ne pas céder à ce tsunami. Cette marée humaine, quand soudain le tsunami venait d'absorber la vie de neufs personnes. Le flot de sang venait de souiller la terre. Les larmes de celle-ci perlaient aux côtés des corps. La terre hurlait à la puissance destructrice qui se tenait sur elle. La foule venait de s'enfuir. Il ne restait que moi, stoïque, un blond et une jeune femme. Devant nous, les corps des personnes qui venaient de mourir se révélaient. . Leurs visages gardés dans cet effroi qu'ils ont ressenti avant de mourir. La tristesse de leurs vies prise dans cet étau qu'était la magie, la rivière de la vie les réclamaient.
Devant nous neufs chats, neufs chats qui souriaient, ce sourire qui faisait penser à Cheshire ce chat que ma mère me contait avec Alice dans mon enfance. Cette bouffée de nostalgie ne durait pas longtemps, lorsque les chats mutèrent en humain. Un humain qui ressemblait plus à un animal qu'un homme. Son corps, cette position féline qu'il possédait encore, le fait qu'il était nu ses longues griffes, ses dents ou plutôt ses crocs. Les courbures animales de son corps, ce tatouage sur sa nuque. Ce tatouage que je ne connaissais pas, il était d'une beauté. Il me rappelait étrangement un signe que j'avais rencontré auparavant dans un des temples que j'avais visité. Il était d'une aura bestiale et pétrifiante. La pression magique qu'il nous infligeait était énorme. Je ne savais même pas ce que je faisais ici, je ne connaissais même pas l'ennemi. La jeune femme et le blond semblaient connaître notre ennemi. J'aurais bien aimé qu'Abi soit là pour m'expliquer ce qui m'attendait. J'avais cette peur qui naissait dans mon ventre comme des petits papillons qui s'amusait à passer dans chaque partie de mon corps. Les papillons de la mort qui planaient sur moi. Je ne savais rien, j'étais perdu, j'étais comme une boussole qui n'indiquait plus de direction. Je m'approchais de l'ennemi et le regardais :
« - Trop cool ta magie ! Tu peux rentrer en contact avec des chats comme ça ? Et ton tatouage, c'est un triskèle non, cela veut dire que t'a un lien avec la nature, non ? Et au passage, peut-on m'expliquer ce qu'il se passe ? Pourquoi avoir tué ces personnes ?»
Je passais pour un ignorant, je passais pour l'inutile vagabond en cet instant, mais je ne connaissais rien. Je ne savais même plus quel langage utilisé. Je passais simplement pour un enfant. Je ne savais même pas si cet homme était mon ennemi ou si le blond et la jeune femme l'étaient également. Première chose avant tout, trouver ma place. Je regardais le blond et voyais son tatouage :
« - Avez-vous un lien avec Abigail Phobos ? »
Pour la femme, je ne savais pas trop quoi dire. Je lui dis simplement :
« - A qui ai-je l'honneur ? »
Le vent me soufflait dans les oreilles, me soufflait d'une puissance protectrice. Il me soufflait de fuir, il me soufflait de comprendre que je n'appartenais pas à ce combat, mais malheureusement, j'étais en son sein. Je m'étais allègrement laissé attraper par ce tsunami qu'était la vie ou la destiné dirait d'autres personnes. Alea Jacta est... [HRPG : Damaz m'a dis que je pouvais posté.]
crackle bones
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Dim 1 Mar - 20:43
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Requiem of claws
Feat. Isaïah Stone – Drake Fulgur - Damaz Elandez
Les ordres d'Enya étaient clairs. Récolter le maximum d'informations et semer la pagaille. Faisons les choses dans l'ordre... Akane s'était rendue à Shirotsume, comme annoncée lors de la réunion -très- matinale de la chef'. Sur le toit d'un des plus haut bâtiment de la ville, elle observait ces insectes courir pour leurs vies, s'enfuir loin, diriger par quelques mages qui les guidaient. Les cries sifflaient de partout, tandis qu'en quelques heures la ville fut évacuées. Ceux qui restaient était là pour protéger où détruire la ville... De quel côté était Akane ? Nul ne le savait. Pour le moment, elle restait, assise sur le bord d'un toit, observant ce qu'il se passait autour.
Son attention se portait sur un endroit où il commençait à avoir un truc intéressant. Des corps gisaient au sol dans une rue. Ils n'avaient pas été piétiné dans la panique, c'était évident. Au vu de la façon dont les corps étaient placés, au vu des tâches rouges qui gisaient les pavés, elle était sûre qu'il s'agissait de meurtres. Mains dans les poches de son pantalon de cuir, elle s'avançait de toit en toit pour se rapprocher du lieu. Restant toujours en hauteur, elle observait ce qui pouvait ressembler à deux mages. Où plutôt, un matou et un gamin. Elle levait un sourcil et soupirait de déception. Elle se laissait tomber au sol pour s'asseoir et observer ce qui allait se passer. Toutefois, les choses prenaient une tournure intéressante. Devant le gamin, les chats changèrent, pour laisser chacun d'entre eux, un homme nu, tous identiques. La rouquine s'en léchait les babines. Ils étaient assez bien bâti, un regard bestial mais à en tomber par terre et plutôt bien garnit là où il faut. Et bien, les gars d'Ajatar ont des canons dans leurs rangs ... Chose qu'Akane ne savait pas. Elle note.
De sa poche, elle sort un sachet de bonbons sucrés, et posée sur le bord du toit, elle continuait à les observer. Pas assez prêt pour gêner un éventuel combat mais pas non plus assez loin pour ne pas entendre de potentiels dialogues. Elle ne semblait pas cacher sa présence et continuait de reloquer le corps de rêve de ce mage, mi homme, mi chat, tout en laissant son imagination travailler, créant ainsi des scènes plutôt ... étranges dans son esprit. D'ailleurs, si un combat devait avoir lieu, elle pariait pleinement sur la victoire du bel apollon.
Une voix la sortait de ses fantasmes les plus impurs. Ce n'était pas celle du membre de la guilde d'Ajatar mais bien du gamin. Elle levait un sourcil... A vrai dire, il lui faisait un peu de la peine. Elle l'imaginait déjà entre les griffes de cet homme. Elle lâchait un nouveau soupire.
" Je m'appelle Akane Honoka ... Mais je ne pense pas que c'est moi dont tu dois te soucié le plus, gamin ... "
Elle l'avait entendu poser ses questions, ses multiples questions enfantines. Que faisait-il là ? La rouquine sentait de l'énergie magique en lui, mais de ses yeux, elle ne voyait qu'un gamin ayant perdu son chemin...
" Comme tu sembles l'ignoré, on est en guerre... Idiot. Ces gens " Ajatar Virke", portant ce signe "
Pour appuyer ses paroles, elle pointe l'une des queues de l'homme chat.
" Veulent détruire le centre de Fiore."
Elle observait les réactions de chacun, restant sur son perchoir.
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Mer 11 Mar - 21:22
Drake Fulgur
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Titre : La lumière qui met du temps à s'allumer Crédit : Moi Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11605/30000) Mérite: (512/800)
Brûme matinale d'un songe animé par les élans de ma magie, voile appliqué à mes yeux alors que je me réveille sous les coups d'alarme de la guilde. C'est l'heure de partir. Le maître nous avait ordonné de nous préparer et j'en ai profiter pour faire une sieste, oui, une sieste pour oublier le chaos et le stress de la situation en Fiore. Le repos, c'est si calme et relaxant, mais ce qu'il y a de mieux c'est surtout le fait de ne plus sentir ressentir le surplus d'animosité de la vie. C'est comme si à nouveau prisonnier dans ce cristal de glace je pouvais me sentir mieux qu'en vie. Que dis-je ? Je n'ai jamais été prisonnier comme tous ces autres, mais j'en ai rêvé pourtant. Et je crois que c'était un message de la part d'Ajatar, ils veulent peut-être m'offrir la quiétude.
Je ris alors en repensant à cela, à l'ironie de la vie ainsi qu'aux illogies de ma façon de penser. J'aspire à quelque chose de parfait et de baroque à la fois, j'aimerai que dans mon excentricité il y ait un ressentiment d'appartenance à quelque chose de normal. J'aimerai qu'on me comprenne ou qu'on m'ignore, un mélange entre les deux qui aux bonnes doses me suffirait. Seulement avec tout ce chaos et toutes ces divergences qui pèsent sur notre monde, il est difficile de commencer par le comprendre. Pourquoi la guerre ? Pourquoi la douleur ? Ces problèmes sont les majeurs mais ils ne sont qu'une infime partie de ce tout qu'est nos soucis. Je lutte pour ne plus connaître de guerre depuis quelques semaines maintenant et ce n'est donc que le début de mon épopée. Ce combat sera long et peut-être même plus long que ma vie elle-même, ou celle de mes enfants, mais il engendrera un fruit qui sera au meilleur des cas la paix. Au pire, il créera plus de haine...
Enfin, nous nous dirigeons vers Shirotsume avec la guilde. Et c'est bien la première fois que je ne reconnais plus le silence hivernal de cette ville. Il est pesant cette fois, même toute cette pureté lavée par la neige qui est passée le mois dernier n'a pu faire se soustraire les tensions règnantes. Mais cela ne m'étonne pas tant que ça, c'est normal, nous sommes des humains après tout la peur est la seule qui peut nous dénaturer aussi vite. Elle peut nous changer, nous retourner le cerveau en quelques secondes et ce, en passant par des stratagèmes les plus perfides. Et j'en ai un petit souvenir de ce vaurien de Yoite. La peur qu'il essaye d'instaurer se base sur la disparition de toutes ces bonnes émotions : l'espoir, l'amour, l'empathie. Elles sont celles qui nous permettent de vivre et la peur les fait disparaître pour que notre but, notre instinct se réduise à celui de l'animal. Se nourrir pour vivre, survivre, tandis que le partage a perdu tout son sens.
On me demande alors de vérifier un des quartiers de Shirotsume où la foule se fait grande, les gens avancent dans des sortes de filées qui se croisent à contre-sens mais ne s'entre choquent pas. Bien organisées. Je me poste sur la pointe des pieds pour voir par-dessus les têtes si quelque chose d'étrange se passe, baisse les yeux et examine entre les pieds des passants car le danger provient souvent des airs ou au sein même de la foule puis je ressens la panique naître. Elle croît, elle fait s'entre-mêler toute cette élégance qu'avaient les différentes files et je cours parmi tous ces gens pour chercher la source du désordre, seulement je ne vois que de la panique, le tumulte d'une cible apeurée, quelques animaux : des chiens d'une part qui suivent leurs maîtres, des chats d'une part qui guettent et se faufilent entre les jambes des passants avant de disparaître de ma vision. Quelles étranges bêtes, elles dorment vingt heures par jour pour se réveiller lorsqu'on les attend le moins. Mon attention se défait rapidement des chats quand je vois le cadavre d'une femme à mes pieds, la gorge coupée. C'est le moment... Je m'écarte pour discerner le coupable et lorsque tout le monde a presque disparu, je remarque les neuf chats postés au sol et lorsque ma mémoire m'aide à me rappeler des griffures douloureuses, je revois le visage de Damaz dans mon esprit, lequel s'installe sur le corps mutant des neuf chats.
Damaz hein...
Je ressens sa puissance envahissant tout l'espace et je grimace à la vue de son tatouage de guilde, quelques souvenirs amers refaisant surface. Et alors que j'étais focalisé par le métamorphe, je perçois un gamin qui a d'abord parlé à Damaz puis me demande alors si je connais l'une des membres les plus importantes de ma guilde. Bien sur que je la connais, je lui réponds alors en arquant un sourcil qui se poursuit d'un sourire.
"Oui, nous sommes dans la même guilde. Mais c'est marqué sur mon front ou... ? Enfin, je peux comprendre que mon tatouage dépassant le col de ma chemise puisse te mettre la puce à l'oreille mais tu as l'air d'en savoir pas mal sur les guildes petit !"
Il m'intrigue ce jeune, c'est un mage sûrement et j'ai toujours appris à ne pas me fier aux apparences mais l'envie de lui demander de partir sur le champ me vient en tête plutôt que de converser tranquillement en présence de la menace toute prête. Finalement il lève les yeux et interroge une femme qui s'était soustraite de ma vision depuis le début. Impressionnant. Et aux paroles de celle-ci il semble que l'équipe soit définie. Nous trois, contre eux neuf. Il y a longtemps j'avais l'occasion de m'attaquer à deux d'entre eux mais aujourd'hui ce sera trois. J'ai l'avantage de connaître le point faible de cette technique mais l'inconvénient c'est que je me retrouve avec de parfaits inconnus. Avec des coéquipiers et une stratégie bien fondée c'aurait été mieux mais bon, on fait avec ce qu'on a. Je dégaine mon épée de son fourreau et la pointe en direction d'un des hommes-chats.
"Toi, je t'ai..."
Et comme si cette phrase n'avait pas de fin, l'instant d'après un faisceau de lumière jaillit du bout de la lame en direction d'un des Damaz. Le projectile suit une ligne droite avec pour seul but de faire disparaître sa cible à son contact, telle est la loi du mirage qui le constitue. Et j'espère en attaquant l'ennemi, faire comprendre à ceux qui se battront à mes côtés le principe de la technique de Damaz. Seulement je sais qu'il est rapide et que même l'effet de surprise que j'ai pu créer en engageant le combat ne suffira peut être pas à rivaliser avec les réflexes d'un chat.
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Ven 13 Mar - 15:10
Damaz Elandez
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Drake, Isaïah, Akane & Damaz
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Sam 14 Mar - 0:42
Isaiah B. Stone
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“I hear and I forget. I see and I remember. I do and I understand.” .
La douleur, la douleur des âmes qui ont trépassé. Le cri terrifiant qui sort des entrailles de la terre. Le géant, qui implore Gaïa d'apparaître et de ravager ce monde qui est le nôtre. Il hurle, il souhaite sortir de la cage dorée qu'on lui a créée. Titan de la peur, titan protectrice de la nature, ton souffle nous arrivent à nos oreilles comme le cor de guerre sonnant l'avertissement d'un monde qui se meurt. Pour se protéger, il se défend, de son fruit est apparu plusieurs fléaux. Des fléaux que nous homme, nous souhaitons combattre, mais il aurait simplement fallu comprendre la raison de l'apparition de ce fléau. Nous étions en tort, mais nous étions aveugles et sourds de ce qu'est notre vie. Nous nous disions acteur principal de celle-ci pourtant au final, nous ne sommes que des figurants contemplant une puissance qui se trouve représentée par des femmes. Dame Nature, Dame Fortune, Dame Destinée et j'en passe, nous ne contrôlons rien. Même l'illusion du sexe fort en l'incarnation de l'homme n'est rien. En effet, nous dansions dans les paumes de ces femmes.
La femme qui se tenait en notre présence me parlait de son ton avertissant. L'homme au tatouage celtique, au tatouage dont la forme me faisait penser aux motifs que Leia dessinait. Cet homme selon les propos de la jeune femme veulent détruire les centres de Fiore. Détruire pour reconstruire, ils étaient peut-être bien plus intelligents que le commun des mortels. Ils voulaient peut-être simplement rendre à la nature sa puissance d'origine. Un paysage vierge, un paysage offert en tribut pour que la flore reprenne sa place. Je ne savais pas, s'il fallait avoir confiance en cet homme. Je ne savais pas, s'il fallait avoir confiance en cette ou en cet homme. Cet homme qui avait simplement attaqué, il n'avait même pas daigné me répondre. Il semblait si prétentieux, il semblait si différent de la douce et légère brise qu'était Abigail. Tu arquais un sourcil à ses propos:
"-Soit, tu possèdes son tatouage. Cependant, tu es bien différent. Tu es d'une politesse et d'un langage à couper le souffle, même Molière n'aurait pas pu faire mieux."
Alors que les hommes rentrent en action. Je ne bougeais pas, je ne réagissais pas. J'étais déjà le cadavre de ce que j'avais pu être auparavant. J'étais perdu, je ne savais plus vers qui me tourner. Mon visage, reprenait sa froideur habituelle. Son éloquence, son instinct bestial. Il me tenait en joug avec sa griffe, il ne faisait pas peur. Bizarrement, je me sentais en sécurité avec cet homme, plus qu'avec ce blondinet. Il avait attaqué, il n'avait même pas essayé de comprendre. La violence engendre la violence. De plus, il m'expliquait que sa magie représentait les esprits des félins. Il était comme le représentant humain d'une race qu'on ne pourrait comprendre. Interprète et protecteur des animaux, ton esprit est bien plus pure que celui des deux autres personnes qui se trouvent en notre présence.
Je répondais au premier clone qui m'était apparu :
« - L'homme que tu es pourrait être assimilé au catalyseur de l'essence même de l'âme féline. Tu as tué, certes ceci est un acte selon les livres que j'ai pu lire d'irréparable, mais cet homme t'a attaqué sans raison apparente, sans connaître tes intentions. Cependant, je pourrais tuer, si la nature me l'exigeait. De plus, détruire le centre de Fiore, quels sont vos buts ? Rendre le monde à son état d'origine ? »
Le cœur battant, tu te contentes de regarder la scène comme le spectateur que tu es pour l'instant. Pour l'instant, ce cœur te pousse vers cet homme, vers cette personne qui te fait penser au représentant de Dame Nature. En effet, celle-ci semble avoir fait un cadeau à ce monde et elle a enfanté d'une personne capable de communiquer avec elle. Soudain, un autre clone vient s'accouder à ton épaule comme s'il était blasé. Blasé de devoir combattre, blasé de la souffrance qu'il était obligé de commettre. Je souriais à ses paroles :
« -Tu aurais neufs vies, comme tes neufs clones. Je suppose que chacun de tes clones représente une infime dose de ton fluide vitale. Perds en un, ton unité s'essouffle. Ton être cri, ton corps souffre. Le risque de diviser sa vie en neufs flammes. Ai-je tort ? »
Ma magie crie. Ma magie veut sortir, elle veut comprendre ce qui se passe, elle veut être le témoin de ce qui se passait en cet instant. Elle hurle au creux de son ventre. Elle demande de sortir, mais je ne veux pas. Je me dois d'analyser la situation avant toute chose. Le vent souffle, le vent cri sa vengeance.
crackle bones
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Mar 17 Mar - 3:52
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Requiem of claws
Feat. Isaïah Stone – Drake Fulgur - Damaz Elandez
Les deux mages commençaient un duel auquel Akane ne restait que spectatrice. Le blondinet invoquait sa magie lumineuse qui filait vers deux des nombreux hybrides chats qui tel l'éclair, s'éclipsait. La rouquine n'avait eu le temps de les tous suivre du regard. Soudain, une présence derrière elle, une présence qui lui décrochait un frisson tandis que son paquet de friandises lui échappait des mains. L'hybride avait fait place à un humain, il était à côté d'elle. Son air bestial s'entendait dans sa voix aguichante et provocatrice. Ses paroles la firent frémir d'excitation.
"Sachez que la décence et moi-même, cela fait bien longtemps que nous ne sommes plus très ... amies"
Son ton était serein, non sans un souffle un peu plus haletant, bien qu'il aurait fallut être un expert en langage corporel pour le détecter...Elle fit un pas pour se rapprocher d'avantage du bord du toit, voir la ville se loger sous son regard qui se volait puissant, sous sa botte, ses bonbons tombés précédemment furent brisés en milles éclats. Briser en milles éclats ... le jeune égaré semblait l'être. Ses yeux de jades s'attardaient quelques instants sur lui. Qu'allait-il faire ? Lui aussi, allait-il attaquer ce membre d'Ajatar Virke sans aucune réflexion ? Sans aucune préparation. Non ... Ses gestes, ses paroles, Akane n'aurait pas pu les prédire. Elle les écoutait, les yeux écarquillés par la surprise. Son discours n'avait ni queue ni tête pour la tueuse. Toutefois, elle écoutait attentivement les réponses aux questions du petit égaré. Les questions qu'ils avaient posées étaient précisément la raison de sa présence dans ces lieux. Etre une femme était un atout, pouvoir faire plusieurs choses en même temps, ses yeux dévorait le corps qui s'était rapproché, ses oreilles attendait une quelconque réponse... Elle se pinçait la lèvre inférieur, il n'était pas aisé de faire ses deux choses en même temps, d'autant plus lorsqu'un simple regard sur le torse de cet homme suffisait à la faire fondre d'envie.
Son attention fut très vite attirée par la beauté fatale que représentait l'homme chat. Si un quelconque démon de la luxure existait, Akane en serait sa fidèle servante. Et elle y succomberait bien en compagnie de ce bel homme. Elle savait croquer la vie à pleine dent, en profiter un maximum . Elle était si éphémère, Akane en avait bien conscience, pourtant la Faucheuse ne le faisait pas peur. Lorsque son heure viendra, elle l'accueillera comme une vieille amie... Pour l'heure, elle n'était pas venue répandre chaos et désolation. Elle était simplement là pour avoir des informations. Elle ne comptait pas sortir les armes, a moins qu'on le lui oblige.
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Mer 25 Mar - 18:55
Drake Fulgur
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Titre : La lumière qui met du temps à s'allumer Crédit : Moi Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11605/30000) Mérite: (512/800)
Le rayon fuse mais n'est clairement pas assez rapide car ce n'est pas au millimètre près qu'il rate sa cible. En quelques secondes, l'animal l'a esquivé et a bondit bien plus haut. J'observe, admire et constate les faits sans y prêter trop de temps. Le mur face à moi se voit marqué par l'impact et avec la perte de puissance sur la distance il parvient toujours à maintenir son équilibre, seul un vulgaire creux a marqué son front. Et soudain les souvenirs me reviennent quand je vois le style de combat qui me semble à nouveau familier : celui du chat, fourbe et insidieux. D'un œil douteux j'observe ce que je pense être des alliés et je me dis que je ne peux sans doute compter que sur moi-même tant que je ne les connais pas alors je lève les yeux pour rencontrer le regard de Damaz et affronter mon ennemi d'un jour. Mon corps ne bouge pas, ne semble pas bouger puisqu'il reste sur place telle une statue alors que je l'ai déjà délaissé la seconde d'avant pour m'éloigner du jeune garçon et de la femme sur le toit.
Oui, je m'éloigne de mes alliés car j'aime beaucoup les psychologies inversées, instaurer le doute sur ma position et cela même si mon adversaire n'a peut-être toujours pas compris l'illusion. Finalement adossé contre un mur, je me contente de regarder mon corps se faire traverser de coups et attirer l'attention de ces Damaz. Il te semble sûrement qu'il évite tes coups puisque tu ne ressens pas même le contact puis doucement s'affiche un sourire sur son visage. Et l'illusion semble être rendue absurde lorsque l'un de tes corps s'écrase lamentablement contre le sol, ayant traversé entièrement l'hologramme dont la vision des pieds est interférée avec ce avec quoi il est en contact. Il s'avance délicatement pour réapparaître comme un homme entièrement composé et remets en place le col de sa chemise d'une manière provocatrice. De son corps, c'est sept autres qui naissent, brillent de mille feux le temps d'une seconde puis patientent sur place pour examiner les agissements de l'adversaire. Huit contre huit on dirait si l'on met de côté celui qui s'est écrasé au sol. Les corps ou plutôt les images, puisqu'elles n'ont rien de matériel, se mettent en mouvement et se dirigent chacune vers un adversaire en les suivant dans le simple but de les attraper.
Un coup et ils meurent si je me souviens bien... C'est un sacrifice qui vaut son coût. C'est un peu comme un jeu d'échec ou de jeu du chat et la souris. Mais qui joue le rôle de la souris, qui joue le rôle de l'appât ? Nous sommes un peu des deux chacun de nous et à chaque fois qu'un clône mourra, cela nous redéfinira plutôt chat ou plutôt souris.
Spectateur à même titre que cette femme, je tire tout de même les ficelles de chacun de ces fantômes de moi-même. Sans voix, sans odeur, c'est souvent ce qui fait leur faiblesse mais pas tant que ça puisque me chercher revient à être quelque chose de tout aussi périlleux que de s'attaquer à eux, ou pire, ce serait avoir les neuf sur le dos. Je continue alors de regarder cet énorme festival où dansent les copies de Damaz et de moi. Après tout, c'est comme si l'on se rencontrait huit fois dans huit dimensions différentes et dans chaque cas le destin avait une autre issue. Tu attaqueras peut-être mais auras peur de voir le même résultat à chaque fois, une image impénétrable dont l'origine n'est pas encore localisée, et peut-être même encore tu te demandes si l'original fait partie des huit. Tant de questions, seulement je te connais, tu ne resteras pas là à rien faire, tu passeras sûrement à l'action. Mais ce que je ne t'ai pas dit, c'est qu'en chacun de ces corps repose une bombe.
Spoiler:
Contrairement avec le premier clone, s'il y a contact avec quoi que ce soit, l'image explosera sur un rayon d'un mètre. Deux images par contre ne peuvent exploser entre elle, il n'y a pas de vrai contact et donc ca ne suffit pas à provoquer l'explosion.
Sujet: Re: 10h25 ♠ Requiem of Claws Mer 1 Avr - 18:19
Damaz Elandez
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Titre : Chaton frisé Crédit : Bebebe Feuille de personnage Maîtrise Magique: (23560/35000) Mérite: (855/1600)
"Destruction Centrale"
Drake, Isaïah, Akane & Damaz
" Requiem of Claws "
Six dont le corps se fracasse au sol alors que tu passes à travers Drake comme si il n'existait pas. Huit vies alors que la sixième éclate et que son énergie vient se redistribuer dans chacun de tes corps alors que l'assaut dévastateur de tes corps rate lamentablement alors que tes mais et tes griffes, tes jambes et tes crocs percutent traversent Drake sans qu'aucune blessure ne vienne l’érafler.
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Un dont le feulement excédé s'élève face au spectacle alors qu'une part de l'énergie de la vie brisée vient le nourrir. Huit qui fait comme si de rien n'était alors qu'il reste yeux écarquillés devant le brun dont les questions s'enchaînent à la vitesse de l'éclair, des questions provoquant un rire rauque et sauvage alors que tu restes concentré sur ta proie, la faille s'élargissant à chaque mots s'écoulant de sa bouche d'enfant. Seul à seul alors que ta première vie s'élance vers tes autres toi.
Huit susurrant alors que ses yeux de chat se figent dans les yeux céruléens avec malice, ses lèvres frôlant le cou du jeune ingénu comme pour chuchoter le plus précieux des secrets. " Notre but est des plus simple, réparer la plus grosse erreur que ce monde n'ait jamais porté. Une erreur que l'on ne peut plus défaire : l'humanité. Et comme toute chose trop abîmée, il ne reste alors qu'une solution pour la réparer : s'en débarrasser pour tout recommencer. Rendre à mère nature sa gloire perdue, ses droits bafoués et sa vie piétinée par des siècles de monstruosité humaine. " Un silence alors que tu diminues encore l'écart vous séparant, tes lèvres effleurant son oreille dans un souffle chaud, un murmure. " Neufs vies qui n'en forment qu'une, une partagées en neuf n'attendant que de réunifier, tel est le secret le plus jalousement gardé du chat depuis des milliers d'années. " Un rire alors que ton visage se redresse pour rompre la proximité d'un mouvement vif et sauvage.
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Deux dont le sourire s'élargit alors qu'il s'approche d'avantage de la rousse pulpeuse. Imperméable aux événements alors que du dos de la main tu viens lentement caresser son épaule avec un regard avide. Perfide alors que tu étales tes atouts, un mouvement sec pour plaquer son corps contre le tiens de ta main libre, ton visage venant s'engouffrer au creux de sa nuque en ronronnant alors que ta langue vient délicatement gouter sa peau sucrée avant de se retirer, ton visage se redressant pour susurrer. " La décence n'est qu'une odieuse pétasse jalouse de ce qui lui est interdit. " Le jeu s'instaure, continue alors que soudainement ton corps se décolle du siens, comme un enfant qui s'est déjà lassé de son jouet, désintérêt pour exciter alors que tu te détournes pour lui exhiber ton dos, tes lèvres lâchant d'un air navré. " Néanmoins la décence n'en est que plus excitante dans sa capacité à dire non." Tes yeux félins se braquant à nouveau sur elle alors que tu te retournes avec un sourire mutin. " Tu ne crois pas ?"
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Les assauts ratent lamentablement alors que la révélation s'impose à vous devant les Drake naissant du premier. Un grognement s'élevant de tes gorges alors que vos nez se plissent, que vos oreilles se focalisent, révélant ainsi la mascarade. Nulle odeur ne venant chatouiller vos narines, nul bruit de frottement des vêtements, nul battement de coeur retentissant parmi les sept Drake vous faisant face. Tu contre-attaque alors que les combats s'enclenchent, infériorité numérique alors que trois des tiens sont toujours occupés. Trois dont les griffes fusent pour attaquer malgré tout dans le besoin grandissant de chasser la frustration provoqué par le blond, les griffes traversent l'illusion alors que retentit l'explosion t'assourdissant. Sept alors que l'énergie se redistribue dans les toi restant. Un sourire malicieux se dessinant sur tes lèvres alors que quatre et sept échangent leurs placent pour bondir sur leurs adversaires respectifs, plantant leurs crocs dans l'irréel avant de disparaître à leur tour dans les explosions, leurs énergies se redistribuant dans les cinq toi restant.
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Neuf qui semble sourire alors que sa gueule féline émerge de la fenêtre ouverte de l'habitation où tu attendais patiemment. Données changeante alors que tu bondis, tes pattes venant heurter le sol avec souplesse alors que tu sais ce qu'il te reste à faire au moment où deux autres de tes vies trépassent dans une explosion, l'énergie se redistribuant dans les trois toi restant. Trois devenant un alors que huit et un disparaissent comme si ils n'avaient jamais existé, leurs énergie réintégrant ton corps où les os éclatent déjà alors que tu le chat redevient humain, humain aux crocs saillants et aux yeux d'ébènes alors que l'âme du chien à remplacé celle du chat. Un sourire carnassier s'élevant alors que l'odeur de Drake s'impose à avec netteté à ton odorat canin, le meilleur que le monde n'est jamais porté, capable de tracer une effluve sur des kilomètres. Un sourire qui grandit d'avantage alors ton regard se braque sur le réel Drake, tes yeux se noyant dans les siens alors que s'établit le lien.
Et tu ne bouges pas alors que les Drake se précipitent vers toi, pensant certainement avoir gagné, un assaut que tu ne tente même pas d'éviter, que tu précipites même alors que ton bras les balayent d'un mouvement circulaire provoquant les deux explosions. Deux explosions venant meurtrir ton corps et ta chaire d'une douleur vive et intense, une douleur dont tu jubiles alors que ta magie même impose la douleur de ton corps explosant. Et tu la sentis Drake n'est-ce pas ? La douleur vive et intense de deux explosions heurtant ton corps et ta peau au moment où tes clones ont cessés d’exister.
Dans la poussière ta silhouette masculine réapparait après quelques secondes, le corps couvert de plaies et brulures, vacillant après l'attaque encaissée de pleins fouet. Et pourtant tu souris, tu souris alors que tes yeux toisent Drake avec mépris alors que tu décharges ta magie, ton corps s'affaissant à terre alors que tes os craquent et se déplacent, que ta peau se déchire et tes organes se transforment dans une douleur pire que la mort, comme éclatant de l'intérieur alors que tu deviens en quelques secondes le doberman au pelage d'ébène. Et tu le sens Drake, cette douleur de ton corps entier en train d'imploser, comme si cette dernière n'allait jamais s'arrêter, à vouloir mourir, hurler pour qu'elle puisse enfin s'arrêter.
Et c'est un aboiement presque semblable à un rire qui retentit alors que tu restes statique, l'âme du chien vibrant en toi alors que ton corps mute à nouveau dans la douleur de tes os se disloquant et tes organes implosant pour redevenir humain, excité et impatient de voir jusqu'à quel point Drake était capable de la supporter.
Ton rire raisonnant alors que tu es redevenu quasi intégralement humain.
" Voyons Drake tu n'es pas sans savoir que le chien est le meilleur ami de l'homme, leurs douleurs à jamais liées. "
Spoiler:
Comme vous l'avez certainement compris Damaz et Drake sont liés dans la douleur, quelle soit physique ou psychologique l'autre la ressentira à l'identique même si il n'en aura pas les séquelles physiques. Si vous avez la moindre question n'hésitez pas. (pour les vies de Damaz j'ai gardé les chiffres attribués au poste précédent pour plus de clarté.)