The world is a target.

Description Psychologique
Why does the sun rise at the East ?

Tapez votre description psychologique à la place du faux texte.

S'il nous fallait résumer Teneo en quelques mots... Il est avant tout un homme de paradoxe. Il n'est pas bipolaire, loin de là, simplement, il est complexe à appréhender. Après tout, qu'il le veuille ou non, il est un tueur. Non seulement il est doué, au niveau des compétences j'entend, pour ôter la vie humaine, mais de plus, il est parfaitement conditionné pour cela. Ses Crystal Pistols le représentent bien : il est autant blanc que noir, autant feu que glace. Il est à la fois cet homme chaleureux, qui vous gratifie toujours d'un sourire lumineux, qui ne sent pas la moindre gêne à vous poser une main sur l'épaule ou à vous serrer contre lui s'il pense que ça peut vous rassurer -et ce que, vous soyez un homme ou une femme, il ne fait pas de différence à ce niveau-là- en cas de problèmes, qui accorde une importance capitale à la vie. Peu importe les peines, tant que l'on vit, ça peut aller mieux. Il respire la vie, la prône, la respecte au-delà de toute valeur. Mais ça, c'est avant qu'il ne doive lever son arme pour se battre.

Il n'est alors plus que le tueur froid. Son visage se ferme, son sourire s'abaisse. Il n'est même pas nécessaire de bien le connaître pour le voir. L'avoir vu une seule fois dans son état "normal" suffit pour juger d'à quel point il change en quelques instants. Même ses yeux, d'habitude si pétillants de gaieté, semblent se ternir, se vider de toute émotion. Il n'est alors ni plus ni moins qu'une arme de forme humaine. Il se fait silencieux, discret, ne parlant que si nécessaire. La notion de travail d'équipe lui est très difficilement accessible : sous ses airs de nounours gentil et accueillant, il a du mal à accepter la force des autres. Les êtres humains sont soit des cibles à abattre, soit des civils à protéger. Vous faire accepter en tant que son rival, ou même son allié, est un véritable tour de force. S'il devait rencontrer des psychanalystes - ce qu'il ne ferait jamais, il est trop fier pour ce genre de choses -, ceux-ci lui expliqueraient probablement qu'au fond, ce qui lui manque, c'est la rencontre de quelqu'un de plus fort que lui. Quelqu'un qui pourrait le vaincre, le remettre à sa place, lui apprendre cette humilité qui lui manque tant.

Ce n'est pas spécialement évident ou visible, pourtant, cette fierté qui bloque tant ses rapports humains. Il n'est pas méprisant ; à peine condescendant, éventuellement. Il sous-estime ces "autres", dont il ne se reconnait pas comme membre. Et pourtant, il les envie. Ils ne savent pas, pour la plupart, ce que c'est, que de prendre une vie. Ils n'ont pas mis le pied dans cette spirale infernale dont il ne peut se dégager. Il ne tue pas couramment, non. Mais le meurtre est comme une drogue. Même sevré, un junkie reste toujours un junkie. Et un junkie n'est jamais à l'abri d'une rechute. C'est pour ça que Teneo aime autant l'utilisant des armes à feu, notamment de son sniper : derrière une lunette de visée, il ne voit plus l'humain, l'alter ego. Il ne voit que la cible. Et alors, l'envie de la tuer, si elle ne disparaît pas, s'atténue. Il vise les jambes, les côtes, les bras : il la neutralise sans la tuer. Et le job est fait, le méchant mage noir part pour les prisons du conseil. Mais lorsqu'il se bat au corps à corps... Il a été également entraîné pour tuer quelqu'un avec ses mains et ses pieds. Contre un adversaire inexpérimenté, il peut placer une clé de bras en quelques échanges de coups et, sauf si la force de celui-ci compense son manque de technique, lui briser un bras. La neutralisation, encore une fois, est aisée. Pourtant, lorsque son adversaire est au sol, lorsque Teneo lui a saisi la gorge pour l'immobiliser, le violent tremblement qui le prend alors qu'il se mord l'intérieur des joues pour ne pas serrer, toujours serrer, serrer plus fort encore et, une fois de plus, sentir la vie glisser doucement entre ses doigts, ce tremblement-là laisse apparaître ce qu'il appelle "sa vraie nature".

Cette "vraie nature" de tueur. Il a oublié ce que c'était, être innocent. Il lui semble avoir toujours été ainsi. Il lui semble être né ainsi. Être né tueur, assassin, meurtrier. C'est cette "vraie nature" qu'il affronte en permanence, arrachant un sourire à ses doutes. Il sourit en appuyant sur la gâchette. Sourit en passant les menottes. Sourit en saluant un ami, ou même un inconnu. "The Smiler". Ainsi l'ont appelé les criminels, et ainsi le connaissent les autres mages. Celui qui sourit lorsque le bruit de son coup final déchire l'air. Tout comme il a perdu son sourire en un éclair en saisissant son arme, ce sourire est revenu, plus rayonnant que jamais, lorsqu'il finit le combat. Son adversaire est en vie. Une fois de plus, il a échappé à la tentation. Il a vaincu, mais son adversaire est en vie. Alors, il sourit, comme pour se féliciter lui-même, ou peut-être pour remercier le destin qui, une fois de plus, a repoussé d'une chiquenaude le moment fatal où il craquerait et tuerait de nouveau, ce moment fatal où le junkie rechute, retombant de plus belle dans sa drogue, dans ce cycle continu que seule l'overdose brise un jour. Voilà le destin que Teneo attend. La rechute, puis l'overdose. Cet instant où il franchira la ligne jaune, où le sol se dérobera sous ses pieds pour le laisser tomber dans un abyme d'où il ne reviendra pas.

Background | Test RPG
Why does the sun set at the West ?

Tapez votre Background à la place du faux texte.

Il est parfois étonnant de voir comme les souvenirs s'effacent avec le temps. Comme un parchemin au dessus d'une flamme, la mémoire se noircit petit à petit, et bientôt l'encre des premières lignes n'est plus lisible du tout. Teneo Bluespringer ne se souvient pas de ses premières années. Il les a passées dans un orphelinat, dans le royaume de Pergrande... Ou ailleurs, peut-être. Il ne sait pas. Il ne sait plus. Il ne se souvient même pas de ce fameux jour où quelques hommes sont venus pour recueillir les cinq petits garçons qui semblaient les plus robustes dans ce fameux orphelinat. “Le Général” ne s'était pas déplacé en personne – il le sait parce qu'on lui avait conté ce jour des douzaines et des douzaines de fois, pas parce qu'il en garde le moindre souvenir. Il avait fait partie des cinq heureux élus, si l'on peut les appeler comme ça. Il était le plus jeune d'entre eux, à vrai dire. Quatre années derrière lui, une bonne résistance aux maladies, tels avaient été les critères de choix. Il y avait avec lui deux garçonnets de six ans, un de huit et un de dix. Ce dernier était grand et fort – pour un enfant de dix ans, hein – et, même s'il était déjà trop âgé pour être facilement endoctriné, cette force avait poussé les recruteurs à tenter le coup. Il ne tint pas deux semaines chez le Général.

Le Général – qui n'avait que le grade de caporal dans l'armée, soit dit en passant - appartenait à un groupe de soldats carriéristes, qui étaient prêts à tout pour monter dans la hiérarchie militaire de Pergrande. Doté d'une grande fortune familliale, c'était lui qui avait été décidé pour accueillir leur petit projet. Enfin, petit… Ils avaient décidé de mettre en place une force spéciale qui leur vaudrait une sacré récompense de leurs supérieurs. Une unité magique, en fait. Sur les cinq premiers enfants, il ne devait en rester qu'un. Le premier membre de cette unité, ainsi que son chef. De nombreux exercices physiques, ainsi qu'une batterie de tests magiques, utilisant des lacrymas, furent infligés aux orphelins. Ceux qui résistaient, périssaient dans la seconde. L'enfant de dix ans tenta le coup. Il regarda le Général dans les yeux, et prononça un simple mot alors que l'homme l'avait appelé pour son exercice suivant. Un seul mot. « Non. ». En un éclair, la main calleuse du Général avait entouré sa gorge, et il se trouvait vingt centimètres au dessus du sol, ses jambes battant vainement l'air. Il mourut lentement, étouffant sous l'étreinte du militaire. Lorsqu'il cessa de bouger, son visage violacé, l'étreinte se reserra d'un coup net, et un craquement glaça le sang de Teneo. La nuque du gamin s'était brisée. L'homme lâcha le cadavre.

« Mettez-vous bien ça dans le crâne, les mioches. Légalement, à Pergrande, vous n'existez pas, jusqu'à ce que cet entraînement soit fini. Autrement dit, tant que vous ne m'aurez pas suffisamment satisfait par vos progrès, j'aurais droit de vie ou de mort sur vous. A vous de voir si cette situation vous convient. »

A compter de ce jour, et ce malgré son jeune âge, Teneo cessa de se plaindre, même en son for intérieur. Il tut sa conscience, littéralement. Sans être toujours le premier, il se débrouilla néanmoins pour ne jamais être le plus mauvais aux divers exercices. Contrairement aux autres enfants, qui avaient été brisés par la peur, le garçonnet avait été renforcé par elle. Elle avait fait naître en lui un désir de vivre plus fort que toute fatigue. Bien sûr que cette situation ne lui convenait pas.

Aujourd'hui, Teneo ne se souvient même pas de la façon dont sont morts les autres enfants. A l'époque, ils ignoraient qu'un seul d'entre eux survivrait. Ils ignoraient même qu'ils seraient suivis d'autres enfants, au fur et à mesure, jusqu'à ce qu'il y ait suffisamment de mages à la botte du Général pour envoyer ce petit corps d'armée au combat. Tout cela, Teneo ne l'apprit que lorsqu'il avait 15 ans. Il était déjà le dernier de tous. Il avait fini par développer une magie lui permettant de stocker des armes dans une dimension parallèle à la notre et de les appeler à lui. Arsenal. La magie idéale pour un soldat, avait dit le Général. Grace aux moyens financiers de ce dernier, ils avaient rapidement accumulés plusieurs armes, avec lesquelles Teneo passait tout son temps à s'entraîner. L'augmentation brute de sa magie avait été laissée de côté – temporairement – jusqu'à ce qu'il devienne le parfait tireur d'élite. La première arme qu'il avait obtenu, le Maximum Range Sniper, devint rapidement un emblème de la puissance montante du Général. Celui-ci avait décidé qu'il n'avait plus besoins des autres membres de son groupe, maintenant qu'il avait Teneo. En quelques semaines, tous les autres furent éliminés. Les forces de l'ordre ne retrouvèrent jamais l'assassin. Tout ce qu'on sait, encore aujourd'hui, c'est qu'ils ont été abattus par un tir magique d'une grande puissance. Cependant, peu importe à quel point le périmètre était sécurisé, surveillé sur des centaines de mètres, le tir venait toujours de plus loin. Et les seuls qui pouvaient savoir pourquoi étaient justement les victimes de cette série d'assassinat.

A ses quinze ans, donc, Teneo apprit qu'il ne serait bientôt plus seul. Le Général lui tournait le dos, écrivant une missive pour dire à ses hommes, maintenus par la peur que l'exécuteur blond leur tombe dessus à tout moment, d'aller lui chercher une nouvelle fournée de bambins. Encore quelques années et il serait l'homme le plus puissant de Pergrande, se disait-il. Il expliquait son plan à voix haute, ne voyant pas le visage de Teneo, ne le considérant de toutes façons pas plus dangereux pour lui qu'un meuble. Il était son chien, point. Un contact froid contre sa nuque le fit tressaillir. Une arme.

« Je peux pas te laisser faire ça, le vieux.

- Comme si tu avais le choix. Range ce pistolet, Teneo.

- Non. Tu te souviens de ce mot ? Non. Il t'a suffi pour tuer, la dernière fois.

- Tu veux peut-être me forcer à faire la même chose avec toi ? Tu es précieux, mais pas irremplaçable.

- J'compte pas te laisser le temps de me remplacer.

- Oh, donc tu vas me tuer ici et maintenant. Fort bien. Et après ? Comment comptes-tu vivre ? Tu vas te faire arrêter par mes hommes, ou bien par la police, si je ne te couvre plus. Tu es fini à l'instant où tu tires.

- Tu l'as dit toi-même. Légalement, dans ce pays, je n'existe pas. Il n'y a aucune trace de moi chez toi. La police cherchera l'assassin parmi tes hommes. Et aucun d'entre eux n'a les tripes pour essayer de m'arrêter. En plus de ne pas être mage, ils sont faibles à en pleurer, l'épée en main.

- …

- Et pour ce qui est de vivre… Tu as fait de moi un mage. Je vais tout simplement faire ce que les mages font. On n'est pas très loin de la frontière avec Fiore ici, je la passerai sans problèmes. Et de là… Je rejoindrai une guilde de mages, j'imagine. Une vie vertueuse n'effacera pas ce que j'ai fait pour ton compte, mais je pourrai au moins vivre en harmonie avec ma conscience. On se revoit en enfer, et dans longtemps, j'espère. »

Le coup de feu retentit dans la pièce, résonnant avec le carrelage froid du sol et des murs. Saisissant la missive inachevée, Teneo la chiffona et la fourra dans la poche de son treillis. Il ouvrit prestement la fenêtre, descendant dans la rue le long de la gouttière. Des hommes accouraient déjà dans le bureau du Général. L'un d'eux passa sa tête par la fenêtre. Le tireur blond, déjà sur le sol pavé, prêt à partir en courant, s'arrêta un instant. Un presque imperceptible sourire de soulagement étirait la bouche du garde du corps. Teneo le regarda droit dans les yeux. Un petit sourire étira son visage et il lui fit un clin d'oeil. Sa voix retentit dans la rue, trop basse pour réveiller les voisins endormis.

« De rien. »

L'instant d'après, se glissant dans une ruelle, il s'était évanoui.

Nous sommes douze ans après cette histoire. Jusqu'ici, Teneo s'est tenu à ses dernières paroles à l'homme qui a volé le peu d'enfance qu'il pouvait espérer dans un orphelinat. Il est parvenu à passer la frontière, a rejoint Fiore. Il s'est rendu dans un petit village du sud du royaume, où un fonctionnaire compréhensif l'enregistra dans les dossiers comme un campagnard dont on aurait oublié de signaler la naissance aux registres royaux. De son histoire, lorsqu'il la lui raconta, Teneo n'avait passé sous silence que les meurtres qu'il avait lui-même commis. Il rejoignit une célèbre guilde du coin, Lamia Scale, assez rapidement, et ce pour la simple et bonne raison qu'elle était la guilde de mage la plus proche du village dans lequel il s'était fait enregistrer. Il ne se voyait pas parcourir tout le pays simplement pour rentrer dans une guilde considérée comme plus forte, ne prêtant pas la moindre espèce d'importance à cet aspect-là du classement entre guildes. De plus, s'il y avait eu des soupçons sur son apparition, à bientôt seize ans, dans les registres royaux, ceux-ci s'étaient dissipés en le voyant rejoindre une guilde fiable et tout ce qu'il y avait de plus légal.

La suite de cette histoire, c'est à vous de la découvrir. La vivre aux côtés de Teneo. On n'écrit pas ce qui n'est pas encore, n'est-ce pas ?

Magie Principale
Arsenal : armes "à feu".

Cette magie pour le moins commune permet à son utilisateur de faire venir des armes magiques d'une dimension parallèle qui lui sert d'armurerie géante. En soi, sa magie consiste simplement à ce transport dimensionnel d'objets ; toutes ses attaques utilisent une magie inhérente à l'arme qu'il invoque : c'est d'autant plus vrai dans le cas présent, où l'utilisateur n'invoque pas des épées ou des lances mais bien des armes "à feu" (qui utilisent des Lacrymas, en fait), qui n'ont donc pas d'effets offensifs par leur seule existence (pas comme une épée qui est tranchante, par exemple).

Techniques
Arsenal : armes à feu.

• Arme 1 : Crystal Pistols (www)
  Ce duo de pistolets a cela de spécial que la magie qui l'infuse est une magie de mimétisme. Autrement dit, pour pouvoir utiliser ces pistolets à plein régime, l'utilisateur doit les faire entrer en contact direct avec un mage capacitaire (un mage utilisant des objets, comme un constellationniste, ne lui apporterait rien). Tant qu'il ne le fait pas, les pistolets lancent des jets de magie brute dont la puissance est amortie par rapport à ce qu'ils peuvent délivrer une fois la magie copiée. Leur puissance relativement faible ne les rend efficaces que sur une courte portée (moins de quinze mètres).
  
  
  
• Arme 2 : Maximum Range Sniper (www)
  Ce sniper est doté d'une longueur incroyable, ainsi que de plusieurs lunettes de visée, chacune s'accordant à une échelle de distance différente. C'est une arme de très longue portée (s'il n'y a pas d'obstacles, Teneo peut l'utiliser pour abattre une cible qui se trouverait à 850 mètres), mais elle est extrêmement lourde et lente à tirer (2 minutes entre le moment où Teneo presse la gachette et le moment où le tire part, 3 autres minutes de rechargement, donc 5 minutes complètes entre chaque tir dans l'optique où Teneo tire en continu). Elle est donc complètement bannie en corps à corps (inutilisable en dessous de 50 mètres de distance contre un adversaire qui se dirige vers le tireur) : même Teneo, qui est pourtant plus qu'entraîné à le manier, a besoin de cinq minutes pour être prêt à tirer avec, plus si la cible bouge. Cependant, une fois que le sniper a verrouillé sa cible, les chances d'y échapper sont infimes. Les chances d'y réchapper aussi, d'ailleurs.
  
  
  
• Arme 3 : Moving Fortress (www)
  Cette arme est très lourde, nécessitant deux mains pour être portée, et réduit donc la mobilité de son utilisateur ; cependant, elle tire à une vitesse folle, et cette même vitesse donne aux projectiles magiques une puissance qui va au-delà de celle que fournit Teneo à l'origine. Cependant, cette importante vitesse a par là-même l'inconvénient de réduire la précision des tirs ; c'est donc une arme de moyenne distance (après trente mètres, la précision est trop réduite pour être appréciable, à moins de tomber sur quelqu'un qui s'enfuit en courant tout droit bien sûr).
  
  
  
• Arme 4 : Bloody Jaw (www)
  Outre le fait que ce pistolet d'apparence classique a un calibre non-négligeable et une puissance largement appréciable, elle a de précieux pour Teneo que c'est l'arme qu'il a utilisée pour tuer le Général. Le sang s'est depuis longtemps effacé, mais l'impact reste le même pour Teneo. Le Bloody Jaw a un peu plus de portée que les Crystal Pistols, pour un peu plus de temps de rechargement. Du haut de son semi-automatisme, ce pistolet n'est pas porté vers un combat de mêlée où Teneo devrait tirer rapidement sur de nombreux adversaires, mais est idéal pour un combat rapproché à un contre un.
  
  
  
• Arme 5 : Golden Night (www) (deux côtés de la même arme)
  Ce fusil à pompe est l'une de ses armes préférées, à mi-chemin entre la puissance de la Moving Fortress et la maniabilité des Crystal Pistols. Ses deux côtés sont ornés de lacrymas, une verte à gauche et une violette à droite. Son fonctionnement est celui d'un fusil à pompe "basique" : il le recharge en tirant la pompe vers lui brusquement, et tire en appuyant sur la gachette. De par sa grande imprécision, c'est une arme de corps à corps exclusivement.