La Lune rouge, a pris les reflets du sang versés dans une vie ! Aujourd'hui elle sera d'une teinte rouge vive.

Jellal ∞ Alek

Le vent, le silence. Les mages avaient pris la poudre d'escampette, plus aucune âme qui vit. Au fond de cette guilde se trouvait simplement la maîtresse, la maîtresse de ces lieux. Elle nous attendait. Alek et moi serions les armes de la vengeance pour toutes les âmes des damnés qu'ils ont tuée. La guilde, tombait, le sang avait volé, les corps s'étaient retrouvés sans vie, ils étaient inconscients pour la plupart sur le sol. Aucun n'était mort, mais tous finiraient prisonnier par le conseil. Mon cœur vibrait, mon âme sentait l'écho de la rédemption s'écouler dans mes veines, dans leurs veines. Après être celui qui avait causé tant de maux, j'essayais de rendre ce monde plus pur, plus lumineux qu'il ne l'avait jamais été. Nous étions des sorciers ou sorcières qui cherchaient à nous libérer de nos crimes. Notre bannière, notre drapeau, nous allons faire ce que pour quoi nous avions été réunis.

Je regardais Alek, lui souriais et lui dit sur un ton neutre :

« - Prêt pour la dernière manche mon ami ? »

D'une main franche et fière, je poussais la porte. Celle-ci s'ouvrit, devant nous une personne. Elle se tenait devant nous prêt à en découdre. Je regardais mon camarade, mon nouvel ami. Il était devenue une personne en qui j'avais confiance. Il était devenu comme nous, un instrument de la rédemption. Et de cet instrument allait naître la symphonie de l'expiation de nos péchés. Confessons nous, nous sommes en la présence d'une force quasi-divine. Devenons, simplement l'apôtre d'un Dieu que nous ne comprenons pas. Devenons, les prêtres magiques prêchant la bonne foi.


[HRPG : Je ne sais pas quoi dire, je ne sais même pas à quoi ressemble la maître qu'on va affronter... Désolé pour le post merdique. J'ai honte...]

Les sorcières brûleront

Jellal x Purple Bugloss

Une décharge de coups violents contre le blond avec toute la force que la queue de scorpion peut me léguer. Il pare il esquive et d'un soupire désespéré il s'échappe dans l'ombre de la grotte... ou bien est-il KO dans l'ombre? Je ne suis pas certain de ce que j'ai vu, mais Jellal me demande de le suivre pour l'étape suivante. Nous marchons dans la grotte côte à côte. J'ai rangé ce qui me sert de manche dans mon fourreau. Je me dis que si mon maître perçoit un quelconque mouvement dans cet endroit, il m'avisera. Plus on avance, plus j'ai l'impression que ça s'assombrit. Je me tiens prêt parce que n'importe quoi pourrait nous sauter à la gorge sans avertir dans un endroit pareil.

Nous arrivons au fond du couloir où trois portes s'offrent à nous, allumées de torches. Laquelle des trois? D'ailleurs, il y en a une où de la fumée en sort. Apparemment, c'est celle-là que Jellal veut. Il n'a pas l'air de se soucier de ce que ça peut bien être. Et bien... C'est pas moi qui commande alors je le laisse prendre les décisions. Il se tourne une dernière fois vers moi pour me demander si je suis prêt et je me contente de hocher la tête. Mes muscles ont repris leur grandeur normale et en ce moment, je suis en train de récupérer de cette baisse d'adrénaline intense. Je sens mes muscles endoloris. Je ne peux pas me concentrer là-dessus. Je secoue la tête, dégaine mon arme et me tiens prêt lorsqu'il ouvre la porte, la fumée s'écrasant contre nous. Plus j'avance dans vers cette pièce, moins mes muscles répondent jusqu'à ce que je me fige sur place.

« Mais qu'est-ce que?! »

Je force dans tous les angles possibles et pourtant, j'ai l'impression de m'être transformé en statue. Même ma bouche se fige... Il n'y a que mon sang et mes organes qui fonctionnent normalement. Mes yeux s'arrêtent devant la séduisante femme. C'est elle qui a fait ça? Je savais bien qu'à quelque part, cette fumée n'était pas le signe du hasard. Mes yeux continuent de parcourir la pièce et je perçois cet améthyste au mur, brillant de magie. Mais qu'est-ce que c'est? J'ai envie de poser la question, mais je n'y arrive pas. Rien ne fonctionne... et maintenant, on fait quoi Jellal?

La Lune rouge, a pris les reflets du sang versés dans une vie ! Aujourd'hui elle sera d'une teinte rouge vive.

Jellal ∞ Alek

Lune au manteau rougeâtre. Dans ton linceul mortuaire, tu nous contemple de ta plus élégante forme sanguinaire. Tu souris, tu rougis, tu t'enivres de cet affrontement. Tu nous contemple de ton piédestal, amorçant une victoire et une défaite, tu paris sur une victoire, mais toi seul sait sur qui tu as parié. Tu entends le cri d'une vengeance, mais tu souris à la réponse du rugissement de l'ennemi. Tu es mystérieuse, mais tu nous englobe de ta lumière divine. Ton apparition à soit semer le déclin d'une guilde ou à marquer la sauvegarde de celle-ci.

Mes muscles, mon corps. Chaque parcelle de celui-ci semble dans une transe quasi-divine. Chaque pore, chaque effort m'est vain. Je ne bouge pas, figé dans cet éternelle étreinte de cette couverture qu'est ce brouillard. Une neurotoxine, un poison, ce brouillard acide qui rongent nos muscles pour les mettre dans cet état statique qui nous paralysent. Seul mon visage, mes yeux semblent encore pouvoir se mouvoir. La femme devant nous, elle nous fait face, elle nous juge de son sourire. Elle ressemble à cette femme sortie d'un vieux film, belle, classe, sexy, envoûtante, sensuelle. Cependant, elle a cet air qui vous glace le sang qui vous encourage à y goûter. Goûter à chaque parcelle de son corps, avant de la prendre dans une étreinte mortelle. Elle ressemble à une vipère qui vous charment de sa danse avant de vous embrasser de son baiser mortelle, mais celle-ci elle était sombre. Trop sombre, elle jouait avec nous comme si nous étions des simples jouets pour elle. Elle nous ressemblait, elle ressemblait à ce que nous étions dans le passé. Des hommes et femmes dont la vie étaient régit par la mort. Cette entité qui dansait autour de nous en son accoutrement de faucheuse. Titillant notre gorge de sa lame divine. Elle se jouait de nous, comme elle se jouait de cette femme, comme l'instrument qu'elle était devenue. Rien qu'un simple instrument pour donner la mort. Futile devait être sa vie, mais innocente était son âme en train de danser dans une paume bien plus grande qu'elle. Hadès dieu des enfers avait fait de toi sa poupée, ma chère Amy et tu t'en rendrait compte tôt ou tard.

Tu te jouais de nous, tu t'amusais à essayer de nous torturer. Tu voulais que je te répondes, tu voulais que je répondes à ton attaque. Je ne trouvais pas, vraiment d'intérêt. Tu voulais t'en prendre à mon ami, cette personne qui souffrait autant que moi d'un passé révolu et tu te croyais fière de toi. Je souriais, souriais d'un sourire nerveux, tu me faisais pitié. Puis, je pris cette voix ironique :

« - D'accord avec ce tissus d'ineptie. Vous me croyez d'une stupidité assez affligeante, pour m'abaissez à jouer à un jeu d'une gamine qui a envie de succomber à un de ses caprices. Je trouve vos propos assez risible. De plus, vous nous sous-estimer énormément pour croire que nous sommes assez faible pour mourir de vos mains en cet instant. Au lieu de nous sermonnez, confesse toi, en cet instant tu vas affronter le pouvoir de la rédemption. Si, tu me convaincs, il y aurait une chance de te voir nous rejoindre. Si non, ta place sera auprès du conseil. »

Je tournais la tête d'un mouvement automatisé. Mon esprit se focalisait sur le femme qui menaçait mon camarade, ma famille aurait dit un membre de Fairy Tail. Je poussais mon esprit à son paroxysme, lançait d'abord une première vague télépathique comme un énorme bruit strident. Puis, je projetais mon esprit contre son Saï sur la poignée pour le renvoyer vers l'épaule de son utilisatrice. Maintenant, il fallait s'occuper de cette fumée. Je récupérais avec ma télékinésie l'arme après voir si le coup fonctionnait ou non. Puis, le fis tournoyer à une vitesse hallucinante afin de dégager la fumée autour de nous. Puis, je regardais notre ennemi alors que mes muscles semblaient moins endolories qu'avant. Puis, je lui souriais :

« -On en était où ? »

[HRPG : Désolé pour les fautes, le correcteur ne veut pas '--]

Les sorcières brûleront

Jellal x Purple Bugloss

La femme au charisme particulier fait son entrée dans la scène. Alors que nous sommes figés comme des statues de sel, la voilà qui se joue de nous à rôder autour comme un rapace bas-de-gamme. La salope contourne Jellal dans une sorte de danse de la séduction avant de se diriger vers moi... et tout ça en parlant de sorte que ça me donne envie de dormir. La voilà qui déchire ma chemise avec son arme... Ah bah ouais... TE GÊNE SURTOUT PAS HEIN! J'ai la veine au bord de la tempe qui bat au rythme de mon coeur, sur le point d'éclater violemment et pisser le sang partout. Puis, les menaces débarquent. Elle pointe son arme au niveau de mon coeur. C'est ça ta grande puissance? J'arque un sourcil avant de clore les yeux et de sourire pour moi-même. Et bah vas-y, fais-toi plaisir! T'as pris la meilleure cible pour ce genre de menace... ça ne fonctionne pas avec moi ça.

Jellal répond à la femme... et l'invite même à rejoindre nos rangs. Disons que... je trouve ça bizarre comme façon de penser, mais c'est notre guilde et c'est comme ça. Les méchants, s'ils veulent devenir des gentils, ils ont qu'à convaincre Jellal et lui dire « Oui je le veux ». Je crois que je m'y habituerai jamais... Puis le sai se défait des mains de la femme pour se planter dans son épaule. D'un autre mouvement de la pensée, Jellal fait repousser la fumée colorée et lentement, mais sûrement, nous reprenons la motricité de nos muscles. Je bouge la tête, puis mes épaules et la motricité reprend à travers tout mon corps. Me voilà enfin libre... et elle va regretter de m'avoir privé de ma liberté.

« À la scène où... la garce se fait choper... ACTION! »

D'un bond, je me retrouve juste en face d'elle pour la prendre par la gorge à une main et la soulever. Ma marche se poursuit pour l'appuyer contre le mur derrière elle pour lui montrer que la menace est toujours bien présente et que ce contrôle qu'elle pensait avoir depuis notre entrée... et bien c'était qu'une illusion. Ma poigne autour de sa gorge se referme un peu plus juste pour dire qu'elle la sente et que l'air se fasse un peu plus rare dans ses poumons. Je sens un courant d'air frais me parcourir le torse. En baissant la tête, je me rappelle soudainement qu'elle a détruit les boutons de mon uniforme.

« Si tu nous rejoins... je te forcerai à recoudre ces boutons... Si tu ne nous rejoins pas... Je t'enverrai la facture. »

Puis je me rappelle aussi cet espèce d'améthyste anormal au mur du bureau. C'est sans retourner la tête que je demande à Jellal:

« Tu sais ce que c'est que ce truc? Et toi? Tu nous dis ce que c'est? »

La Lune rouge, a pris les reflets du sang versés dans une vie ! Aujourd'hui elle sera d'une teinte rouge vive.

Jellal ∞ Alek

Air morose, simple harmonie d'une fin de vie. Climat tempéré, brumé par la puissance d'une âme. Cette âme sanguinaire qui se débat dans la valse fantomatique de la déesse de la vengeance. Cette femme dont le sourire ferait défaillir quiconque y succomberait. Cette succube aux allures dangereuses. De son déhanchement cynique et mortel, elle nous tient en haleine. De ses courbes voluptueuses, elle nous aère d'une simple symphonie aphrodisiaque. De sa puissance, elle nous réfute, de son aura, elle nous exècre. De sa position, elle nous condamne. Elle et son monologue de deux phrases aux accents provocateurs. Aux accents de vipères qui nous susurrent comme les lames d'un poignard qui nous transpercent de part en part.

Alek, dans ta souffrance, tu nous as comblées de ta puissance de ton sang est né la puissance de la vengeance. De mon corps, de ma voix s'est levé la rébellion. En cet instant, la femme, venait de réfuter notre opportunité. Nous pouvions nous lâcher, nous pouvions faire en sorte d'être ce géant qu'était la justice. Géant dont la puissance nous échappait à nous. Géant qui d'un pas, pouvait annihiler des choses comme la tour du paradis. Ce géant qui prenait bien diverses formes, parfois pleines d'espoirs, parfois pleines de peurs voire angoissantes et terrifiantes. Ce géant imposait le respect, ce géant était devant toi Amy et il allait t'aplatir. Il n'était pas chose aisée de se débattre dans ta propre situation.

Tu convoquais de nouveau ton pouvoir, ton gaz aux vertus si puissantes. Ton gaz qui reflétait ton apparence délicieuse, mais piquante. Tu étais de ce genre de fleur venimeuse. Je n'avais certes pas de technique pour pouvoir dissiper directement ton gaz, mais il y avait un moyen. Un simple moyen, mon acolyte s'occuperait de toi, pendant que moi. J'allais m'occuper de ce gaz qui restait bizarrement sur le sol. J'activais mon meteor et je m'envolais dans le vent et vers le ciel de la grotte. Je commençais alors à l'aide de ma vitesse extrême, je poussais la vitesse à son paroxysme et créais un cercle que je faisais et faisais provoquant une minie tornade qui aspirait le gaz. Cependant, je n'aspirais pas que le gaz, mais je retirais également l'oxygène de l'intérieur du cercle.

La vie était quelque chose d'unique, mais tu allais goûter à cette vie en prison. Senji ou Alek, à toi de me dire ce que tu voulais qu'on fasse. Je ne pourrais pas continuer cette attaque longtemps, sinon le gaz allait remonter et attaquer mon corps.