Titre : L'émo rejeté du forum Feuille de personnage Maîtrise Magique: (23850/35000) Mérite: (1113/1600)
If i burn, you burn with me
I’ve tried to make this life my own, to find myself, I’ve searched alone. To let love go and let it in, I found it burning like a sin. I’ve worked it out, but learned it hard, it’s sad inside and life is out. Till I won’t settle down and watch either way.
Damaz Elandez & Jellal Fernandez
Les nuages, cet amas de fumée volubile qui agrémente notre ciel d'un somptueux tableau. Une toile grandeur nature dans lesquelles les formes délicates et raffinées de ces nuages qu'on dirait faits de coton alimentent de forme qui varie au gré du vent. Ces nuages qui ressemblent à de la fumée, la fumée qui s'échappe lors d'un feu cet épais nuage condensé de particules de cendres et de Co2 qui nous brûlent la gorge même si on emploie le terme nuage pour la définir celle-ci n'a rien de belle et elle est souvent responsable de l'horreur d'un tableau. Elle s'agrémente souvent de cri, de pleurs, de tâches, d'une odeur âpre et perfide de brûlé ainsi que de la chair calcinée. La fumée n'est autre que présage d'une douleur bien trop importante, mais elle peut-être aussi splendide, lorsque mélanger à la lueur des flammes, elle prend son envol dans le ciel et prend sa teinte orangée. Elle devient un immense écran sur lequel se reflète le spectacle à la fois splendide et terrifiant des flammes. La dernière forme des nuages et celle de la plus volubile de toute celle de la vapeur de l'eau, celle communément appelé « brume » ou « brouillard », ce type de nuage est celui qui amène le plus de mystère. À la fois, fin et épais, il peut dissimuler plusieurs choses grâce à sa couverture qu'il applique sur les objets. Souvent, d'un aspect esthétique plutôt beau, car il est souvent comme le délicat drap de soie qu'on applique sur des objets, il ne déforme pas, il camoufle juste d'un fin manteau.
Vous allez me dire, pourquoi ce charabia sur les nuages ? Ils n'ont rien avoir dans notre univers, ils n'ont rien à voir avec notre protagoniste. Pourtant, détrompez-vous, ils ont bien un rapport avec notre Leader de la guilde Crime Sorcerer. En effet, ce lien prend sa source dans la guilde qui fait étrangement parler d'elle dernièrement, cette guilde se nomme Ajatar Virke. Une guilde qui a secoué le monde magique à cause de sa prise d'otages dans lequel plusieurs mages furent emprisonnés durant des années. Ces mages possèdent une magie qui défie l'entendement et notre personnage principal semblait penser qu'ils avaient peut-être un lien avec le mage noir Zeref ou qu'ils pouvaient être une menace bien pire et c'est pour ça qu'il était parti à la quête d'informations. Il avait su d'une source sur qu'un mage de Blue Pegasus était resté dans ce palais et il avait appris par une autre personne que cette personne n'était pas morte dedans, mais qu'elle semblait dorénavant avoir un lien avec cette guilde et qu'il était de cette façon la personne la plus adéquate à pouvoir être interrogé, afin d'avoir des informations dessus.
Le mage à la cape avait revêtu son accoutrement de Mystogan, il ne voulait pas éveiller trop de soupçons, mais il se baladait avec les divers bâtons. Certains étaient au courant que l'ancien mage de rang S de Fairy Tail avait pris son envol pour Edoras. Le mage hors-la-loi se dirigeait vers un bar dans lequel on lui avait dit qu'il pourrait trouver ce mage de Blue Pegasus sous une forme différente de sa forme originale. Il ne savait pas vraiment à quoi il ressemblait, mais il pénétrait dans le bar, vêtu de son couvre-chef. La pluie tombait au-dehors du bar et l'homme était recouvert de la tête au pied d'un liquide froid et humide qui coulait le long de sa cape. La pluie, ces diverses molécules de H2O qui époussetait délicatement chaque pli de la cape de l'homme, elles perlaient également le long des joues de l'homme. L'ancien mage sacré s'approchait du bar et tombait nez à nez avec une jeune femme d'une beauté rare. Soudain, il ne pouvait s'empêcher de la regarder, elle était comme magique, il en avait presque oublié pourquoi il était là...
Titre : Chaton frisé Crédit : Bebebe Feuille de personnage Maîtrise Magique: (23560/35000) Mérite: (855/1600)
" Le danger pour te consumer "
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Sujet: Re: Burn baby Burn (Pv: Damaz Elandez) Dim 11 Jan - 21:55
Jellal Fernandes
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L'existence, un propos qui était quelque chose d'assez conversé. Étions-nous seuls sur terre ? N'existait-il qu'un seul monde, où d'autres mondes parallèles comme pour Edoras. Notre existence, c'était la seule chose qu'on considérait de réel, enfin, c'était la seule chose qui nous faisait dire que nous étions réels, mais au final, notre vie ne pouvait-elle pas n'être qu'un songe ? Une entité vivante qu'on considérait comme âme, une entité qui pourrait rêver et qui rêverait simplement de notre vie qui nous ferait agir à sa façon. Quand elle en aurait marre de jouer avec nous, elle nous tuerait de la façon la plus amusante pour elle. Une simple entité bien supérieure à nous, une entité qui exploiterait la totalité de son cerveau et qui serait immortelle. Nous ne serions alors que ce que nous appelons des rêves et le monde dans lequel nous vivons serait assimilé au monde que nous aimons appelé monde onirique. Ce qui voudrait dire que la personne qui s'amuse avec notre vie serait une personne qui vivrait à notre place lorsque nous dormions et nos rêves seraient la réalité, cela voudrait dire que tout dans notre monde ne serait pas vrai. Plus aucune norme, plus de sociétés et comment nous pouvions être plusieurs à rêver ensemble dans un immense rêve, peut-être que ces personnes qui nous ont conçues dans leurs esprits possèdent un intellect commun et peut-être que c'est le cerveau pousser à son paroxysme qui serait capable de ça. Pourquoi, vous allez me dire suis-je en train de me poser ce genre de question ? Peut-être simplement, car en cet instant dans ce bar, en la compagnie de cette femme, je n'ai pas l'impression d'être moi-même. J'essaye de me souvenir de celle que j'aime, de sa couleur de ses cheveux, de son regard. Rien, je ne me souviens de rien, chaque image dans ma tête est en train de se remplacer par la silhouette de cette femme à croire qu'elle venait de me jeter un sort. Je ne ressentais pourtant pas de magie en cet instant. J'étais simplement perdue, comme si j'étais devenu une boussole, mais que j'avais perdu le Nord, c'est pour dire.
Un Rhum, devant moi se trouvait un verre de rhum. Ce délicieux nectar qui me demandait simplement de boire. Mon gosier s'asséchait rien que la pensée de me forcer à ne pas boire ce liquide. Pourquoi voulais-je boire ? Quel était mon but en cet instant ? J'avais peur, pour une des premières fois de ma vie, j'avais peur. Je me sentais faible, faible devant la beauté de cette femme. Faible devant le creux de ses hanches, mon regard se perdait dans le canyon que m'offrait sa généreuse poitrine. Son regard me donnait des envies de métamorphoses, quelque chose m'intriguait bien trop fort à mon goût. Rien que me faire sentir aussi faible, j'avais envie d'anéantir cette demoiselle, mais je n'étais plus cette personne. Soudain, je me sentais encore manipuler par une entité qui m'utilisait comme une marionnette, ma bouche s'activait par elle-même et les cordes vocales se mirent à vibrer d'un coup :
« - J'adore le rhum, je vous remercie Mademoiselle ? »
Je me souvenais qu'il y a un temps de ça, j'étais un mage. Un mage en quête de réponse, un mage qui était venu interroger une personne, mais c'était avant en ce moment, je n'étais plus rien qu'un homme répondant à surplus d'hormones.
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Sujet: Re: Burn baby Burn (Pv: Damaz Elandez) Mar 13 Jan - 1:06
Jellal Fernandes
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Damaz Elandez & Jellal Fernandez
L'ivresse, ce parfum délicat et enivrant qui anime ton âme, lors d'une soirée qui grisé par l'alcool, tu te laisses aller. Parfum qui par son odeur suave te prend aux tripes et s'amuse avec tes neurones en obligeant cet organe, cette machine a envoyé des courants électriques dans tout le corps de manière à te faire comprendre que tes gestes, oui tes gestes étaient une chose que tu ne contrôlais pas forcément. Il est clair que sans cet organe, tu n'es rien. Rien qu'une âme dans un corps, rien qu'une pauvre âme dans son véhicule et qui a perdu les clés. Clés d'un cœur, d'une boîte à idée qui ont été corrompues par les effluves d'un breuvage au combien délicieux. Le Rhum, ce liquide ambre d'une puissance dévastatrice, plus puissante que parfois, le plus puissant des sorts. J'étais là, en compagnie de cette mixture et de cette femme. Cette femme qui me donnait de plus en plus envie de l'attraper et de lui déchirer les vêtements, pourtant, je luttais. Je faisais tout ce que je pouvais en mon for intérieur pour ne pas céder. Céder à cette pulsion bestiale, comme si aux côtés de cette femme, j'avais l'impression de redevenir un Bonobo. Cet animal qui ne pensait qu'à assouvir ses plaisirs sexuels, un conflit, une dispute, une discussion tout était bon prétexte à pratiquer le coite. J'avais l'impression d'être redevenu un des premiers stades de notre évolution. Mon cerveau ne fonctionnait plus comme je l'entendais, nous étions deux personnes distinctes. Le Grand Jellal et mon entrejambe cet organe qui demandait à mon cerveau de produire toujours plus d'hormones et qui m'amenait à devenir fou. J'étais tendu, très tendu. Je sentais chaque circulation de mon sang dans mes veines comme les battements d'un tambour. J'avais mal, mal au corps, car j'essayais de lutter contre le désir, le désir charnel que le corps de cette femme me provoquait.
Soudain, elle me parlait me demandait si je n'avais pas trop chaud. Chaleur, oui j'avais bien chaud, et même plus que jamais, mais ce n'était pas pour des raisons thermiques, mais plutôt parce que mon corps entier était devenu un immense radiateur. Une chaleur immense qui partait d'une partie en dessous de ma ceinture qui s'étendait tel un flux dans tout mon corps. Cependant, je ne pouvais pas me dévêtir, j'étais recherché par tellement de gens qu'en enlevant simplement mon capuchon, je pouvais être repéré voire pire être tué. Je ne pouvais pas me permettre de telles choses, il me restait encore un peu de jugement. Enfin ça s'était avant de voir cette donzelle qui demandait un autre verre de ce breuvage qui ressemblait du poison, un poison qui se transformait en drogue. Cette drogue que j'avais envie de boire d'une traite, ce poison qui s'amusait à titiller mon cerveau. Alors que je souriais, un sourire automatique, un sourire de complaisance, car en cet instant, je n'arrivais à rien faire d'autre que de sourire. La femme, reprit la parole, sa voix aux accents orientaux voire bestiales me ramenait à la réalité en une seule seconde. Mon cerveau se remit à fonctionner, comme si l'interrupteur s'était fermé et que le courant était passé dans toute la tuyauterie. Elle venait de prononcer mon nom, ce nom marquait une souffrance, mais il était avant tout un déclencheur. Une marque de la rédemption que j'incarnais. Il venait de me faire comprendre que la jeune femme me connaissait et que ce n'était pas bon. Mes sens s'affûtèrent, comme si mon corps par lui-même rejetait les effets de l'alcool ! Soudain, je me relevais l'air méfiant, le regard et les traits plus durs. Je ne pouvais plus être faible, je ne pouvais plus me permettre de me laisser séduire par une femme. Erza, j'aimais Erza et je m'en voulais d'avoir oublié son image rien qu'un instant. Je me souvenais de ma présence en cet infâme endroit, j'étais venu pour enquêter sur Ajatar Virke. Cette femme avait-elle un lien avec toute cette histoire ? Ma bouche s'articulait pour une fois en accord avec ma pensée :
« - Qui êtes vous ? »
Elle était l'incarnation de la luxure du péché, mais elle semblait être bien plus.
Titre : L'émo rejeté du forum Feuille de personnage Maîtrise Magique: (23850/35000) Mérite: (1113/1600)
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Damaz Elandez & Jellal Fernandez
Âpre, c'était le parfum délicat de cette femme qui ressemblait de plus en plus à une succube. Succube, car son côté attirant me paraissait de plus en plus, comme un mirage. Mes sens s'alertaient de plus en plus, j'avais l'impression de revenir à la réalité. Je me sentais enfin redevenir vivant, je me sentais en train de me désenvoûter de son charme. Le fait qu'elle puisse me reconnaître, me disait qu'elle devait être un mage. Je ressentais cette magie, je ressentais le cri de mon être qui m'invitait à ne pas la suivre. Il avait peur, j'avais peur de retomber dans les filets de cette araignée qui tissait la toile autour de moi. Je me levais, mais j'étais intriguée, elle s'était jouée de moi jusque là. J'avais simplement été la proie depuis le début. J'allais maintenant renverser les rôles. Je me souvenais de pourquoi j'étais venu ici. Je me souvenais des rumeurs qu'on m'avait indiqué. Cette femme, était bien trop parfaite pour être réelle. Elle était un mirage et je m'étais fais bêtement avoir.
Nous étions dorénavant dehors, le froid commençait à me revêtir. De son délicat manteau qui mordait chaque partie de mon corps comme la petite chauve-souris qui tournoyait autour de moi, mordant petit à petit chaque pore, chaque partie qui respirait l'air frigorifié. Je lui souriais, elle jouait et elle se délectait de ce jeu. Je posais mon regard dans le sien, un regard franc, un regard beaucoup plus fier qu'il n'avait jamais été auparavant dans cette discussion. Il la regardait, il lui dit d'un ton joueur :
« -Ajatar. Je suppose que tu le connais, jeune mirage ? De plus, pour mon manteau qui a dit que je ne voulais pas qu'on me reconnaisse aujourd'hui ? »
Elle avait raison, mon accoutrement de Mistogan était dépassé. Je savais qu'il n'allait pas m'aider à me fondre dans le décor. Il était fait dans cet occasion pour débusquer les mages, car seuls les mages savent que Mistogan n'est plus. Que Mistgun était partie dans le monde d'Edolas. Tu t'es fais avoir, car peu de gens me cherchent à part le conseil et ces mages. De plus, je te cherchais brebis, je te cherchais cacher dans les bosquets, mais en tant que loup. Ton délicieux parfum m'a amené directement à toi. Le destin c'était joué de moi, mais je n'allais pas me laisser avoir. Je n'avais pas dis mon dernier mot. J'allais devenir le loup et je vais te dévorer pauvre créature que tu étais. Je lui souris et d'un ton distinct, mais lointain comme la lune qui nous regardait à chaque endroit où nous nous trouvions. Distante, mais présente. Courageuse, mais pas téméraire, elle se moque d'un écho glacial et frivole. Il est temps, ton bonobo ne te gênant plus, tu lui souffles à l'oreille. Et d'un ton monacal tu lui dis :
« - La magie que tu emplois est spéciale et difficile à percer, mais au final tu es comme tout le monde humain. Les rumeurs me parlent d'un Damaz, mais à chaque fois qu'une piste se concrétise, il se volatile. Je pense qu'au final, c'est parce que ce Damaz peut se revêtir d'une autre forme. Qu'en penses-tu ? »
Je n'en étais pas certain, mais tout était trop parfait, trop mystérieux, quelque chose était louche. J'avais simplement besoin d'ouvrir la pensée qu'elle puisse être cet homme pour m'immiscer dans son esprit.