| Sujet: Y’a pas de sentiments, que des centimètres. → Owen B. Dickman Dim 21 Déc - 6:35 | |
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OWEN B. DICKMAN . AND IF WE SHOUDL DIE TONIGHT THEN WE SHOULD ALL DIE TOGETHER RAISE A GLASS OF WINE FOR THE LAST TIME - CALLING OUT FATHER OH PREPARE AS WE WILL WATCH THE FLAMES BURN AUBURN ON THE MOUTAIN SIDE DESOLATION COMES UPON THE SKY... NOW I SEE FIRE |
AMERICAN PSYCHO
Owen. Owen, il est tout feu tout flamme - il est tout feu tout flemme. Pourtant, il est toujours bien prompt à faire l’une de ses petites scènes devant tous, sans même flairer le ridicule. Toujours le premier à se lever et à crier injustice. Côté cours, côté jardin, son regard avide de celui des spectateurs se nourrit de leur attention, de ce simple instant auquel il en devient le centre d’attention. Repu, il descend son poing qu’il ne cessait d’agiter pour accompagner sa tirade révélatrice de sa personne – sa personnalité. La foule, le regarde, silencieusement. Puis, tous l’ignore retournant à leur discussion – retournant à leur occupation. En chuchotant à droite qu’il n’est qu’un gamin, en chuchotant à gauche qu’il est encore bien trop jeune. Soudainement, Owen se sent petit. Il se sent maintenant à la hauteur de trois pommes où une telle tante ou un tel oncle venait lui tirer les joues et lui rappelait à quel point il était jeune. Il se sent maintenant comme lorsque son père ne voulait pas qu’il l’aide à réparer tel meuble parce qu’il était encore trop petit. Il se sent jeune, il se sent faible, il se sent inutile. Ce sentiment enflamma d’un seul coup tous ses barils de poudre à canon qui ne cessait de s’accumuler les uns à côtés des autres pour maintenant donner ce qu’il est aujourd’hui, ce qu’il est maintenant. Devrait-on dire indépendant ou peut-être est-ce mieux d’employer le mot emmerdé, mais pourtant conservateur dans ses idées lui corresponds bien ? Et pourquoi pas c’est trois mots ? Indépendant et emmerdé pour finalement se réserver et converser ses idées.
Gollum et son précieux avec un soupçon de Gandalf « You shall not pass » résumant à la perfection son côté bien isolé dans ses idées. Elles sont uniques, elles sont impénétrables, elles sont à lui. Lui qui a toujours prôné la liberté d’expression, le voilà réduit au silence sous les regards provocateur de ses interlocuteurs. Maintenant, il ne fait que sourire lorsque l’un émet son avis et que l’autre renchéri. Pour lui, l’humanité reste une diversification incomparable, unique et stupide. La rancœur au travers de ce qui lui tient à cœur, le voilà à la porter de ce qu’il a toujours aimer pour s’éloigner de ce qu’il a toujours détesté. Ce dilemme nullement plus difficile qu’il n’en reste de le dire, le voilà serein. À réprimander sous un regard effacé les moindres opinions de d’autres s’exprimant comme un vulgaire être l’ayant autre fois exilé d’avoir exhibé les siennes. À travers ce néant qu’il évoque sous un simple sourire, il crache un rire suivi d’un désespoir ne souhaitant lui répondre plus que cela. Entre l’option d’user de sa salive pour en démanteler les faits ou encore de se taire et de laisser flotter le peu d’importance qu’il accorde, il optera pour la deuxième. Toujours aussi sympathique.
L’ironie de son jeu, c’est qu’il reste susceptible au travers de sons silence. Par un simple froncement de sourcil, un simple mouvement de lèvre, un simple détournement de regard, un simple soupir, vous comprendrez à ce moment que dans sa tête, un débat s’est produit. N’aimant nécessairement pas faire part de son opinion, il se relancera vos arguments, ses arguments à travers son esprit pour finalement en arrivée à une conclusion. Parfois se trouve-t-il qu’elle est bien d’autre fois, moins. Soit par le simple «body langage» est-il perceptible de voir qui a eu tort, qui a eu raison. S’il arrivait qu’un jour, Owen retrouve sa langue, il serait bien chiant, bien emmerdant. Pourtant, il brûle sa langue sous ses idées et ses opinions qui défilent à travers son esprit, bien réservé sans toutefois manquer de répartie.
Il vous répondra toujours, comme s’il avait mieux à faire. Il vous répondra toujours de façon à vous faire fuir le plus vite possible. Il vous répondra toujours de façon à vous contredire. Si malgré tout cela vous restez toujours là, à le regarder, peut-être se retournera-t-il et parlera.
#TRUESTORY
Je déballe mon cadeau en sachant pertinemment ce qu’il se trouvait sous ces tonnes de papiers cadeaux. LA voiture ou plutôt MA voiture. Flambant neuve, un seule modèle, L’UNIQUE modèle. Celui que mon papi à fait par lui-même, une Chevrolet Impala 1967. Sculpté dans du bois, il m’avait promis de m’en faire cadeau pour mon prochain anniversaire. Peinte noire, vernis, je n’avais jamais vu quelque chose d’aussi magnifique (mais moins que ma maman). Je saute dans les bras de mon papi et l’embrasse sur sa joue toute fripée, comme lorsque mon papa sort ses chemises de la sécheuse. Le lendemain, je me levai comme si c’était le plus beau jour de ma vie. Je me dépêchai pour m’habiller, faire mon lit, descendre pour manger, me brosser les dents et finalement je courrai ma petite voiture au fond de ma poche pour aller rejoindre mes amis. Au lieu de cela, j’eus la surprise d’arriver face à face avec l’antonyme (comme dans le dictionnaire) de mes amis. Mes ennemis. Un grand roux, qui ne se laissait personne rire pour longtemps de lui. Non seulement par sa taille de géant (pour moi), mais également en raison de sa famille. Des mages faisant partis d’une guilde très forte. Comme la tradition des bébés le veut, lorsqu’un papa mage est avec une maman mage, il est évident que le bébé sera un mage, or tous le redoutait. Moi aussi mes parents étaient comme ça, mais eux, ils ne font pas partis d’une guilde forte, ils n’y voyaient pas l’intérêt. Comme une roche rebondissant sur l’eau, je retombai aussitôt au fond de la rivière ou plutôt le sol. Ma voiture, ma belle jolie petite voiture, elle tomba hors de ma poche et cela attira davantage l’attention de Gary, que ma propre personne. La peur m’envahit aussitôt. Je me jetai pour la reprendre, mais il était trop tard. Il l’a leva haut dans l’air, tellement haut que j’avais l’impression qu’elle volait. Et c’est à ce moment, où il commença à m’énerver en ouvrant sa bouche. « Alors ? La petite voiture à son Owen chéri fait en bois ? Ça serait si dommage si elle tombait dans l’eau n’est-ce pas ? » Un cadeau. MON cadeau. Il continua à me lancer ses petites flèches m’utilisant comme cible. L’intérieur de mon ventre bouillait, tout mon corps bouillait et mes poings se serrèrent sans même que je ne le remarque. Maman appelait cela la rage. Moi qui croyais que c’était une maladie transmise par les morsures d’animaux, j’avais tort. Maintenant je comprenais mieux ce que maman me disait à propos de ça, lorsqu’elle a découvert qu’elle était une mage. Un même sentiment aussi concentré que le jus de citron pur, voilà ce que l’on ressentait lorsqu’on avait la rage. Voilà ce qui est arrivé, alors que je renvoyai les flèches que m’avait envoyées Gary. Alors que j’élançais mon poing pour le tendre et récupérer ma voiture, à la dernière seconde, une toute petite flamme quitta ma main pour se coller contre le tissu du chandail à Gary. La surprise me coupa le souffle. Je ne réagis que lorsque je vis son autre main en mouvement pour tenter d’éteindre la flamme. Mais rien. Cette flamme, elle était noire. Noire comme de l’encre, noire comme lorsque mes yeux sont fermés, noire comme du charbon. Une toute petite flamme, inoffensive, restant pourtant là. Après m’être attardé de surprise sur cette flamme, elle cessa. Gary me regarda. Je le regardai. Il me regarda. Je le regardai. Il fuit, laissant tomber ma petite voiture. Je fuis reprenant ma petite voiture. Je retournai chez moi, m’enfuyant dans ma chambre les larmes aux yeux, le regard ennuagé comme lorsqu’il pleut. Personne n’osa me déranger. Peut-être savaient-ils déjà que d’étranges flammes noires sortaient de mes mains. Peut-être avaient-ils peur de moi. Peut-être n’oseraient-ils jamais venir à nouveau vers moi. Puis, la porte de ma chambre s’ouvrit. Mon papi, vint me rejoindre s’asseyant sur mon lit avec moi. J’avais peur qu’il ait peur de moi et pourtant, il déposa sa main emplit de tendresse sur mon épaule. Il me sourit. Puis, il me donna un mouchoir et sorti. À travers ce sourire, je compris que malgré ce que j’ai fait, mal ou bien, jamais ma famille n’allait pour autant m’exclure. J’étais un mage, tout comme eux. _______________________________________________ Owen n'a jamais eu une vie à en écrire des romans. Il y a quelques anecdotes, par-ci et par-là que l'on peut raconter à son sujet, mais pour a suite, il n'y a rien de fascinant. La vie banal d'un gamin qui ne se méprenait pas de ses journées et qui adorait la présence de sa famille. Toujours à ses affaires, toujours aussi timide, il s'effaçait tout de même de la population et rêvait en douceur de pouvoir un jour devenir un mage, un héro à ses yeux. Tout début à partir de ce moment, lorsqu'il découvrit sa propre magie. Il était clair et net dans sa tête qu'il ne ferait pas partie d'une guilde ou du moins pour l'instant, préférant rester vagabond et donc Indépendant Légal. Sa mère se fait toujours du soucis à son propos, de peur qu'il ne trouve de mission, d'endroit où aller et aucune famille.
NOM ✘ Dickman PRÉNOM ✘ Owen Benedict ÂGE ✘ 19 ans LIEU DE NAISSANCE ✘ Fiore Nord MAGIE ✘ Utilisation de flammes noires, ne pouvant s'éteindre que par la volonté d'Owen (#tmtc Itachi). Il ne peut que les créer à partir de la paume de ses mains. | ACTIVITÉ(S) ✘ Vagabond, Chieur STATUT/GUILDE ✘ Indépendant Légal AVATAR ✘Jean Kirschtein SURNOM ✘ Onyx
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| Sujet: Re: Y’a pas de sentiments, que des centimètres. → Owen B. Dickman Mar 6 Jan - 23:08 | |
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Daryan C. Illunar
| Eh Monsieur Phallus ! Je crois que tu as tellement bien cacher ta magie que même moi je la vois pas. D: Envoie moi un MP quand tu l'as ajouté et je reviens modérer ! |
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| Sujet: Re: Y’a pas de sentiments, que des centimètres. → Owen B. Dickman Ven 30 Jan - 15:56 | |
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Senji Kiyomasa
| Des nouvelles concernant cette fiche? Si il n'y en a pas, elle sera archivée d'ici 48 heures.
Merci de ta compréhension. |
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| Sujet: Re: Y’a pas de sentiments, que des centimètres. → Owen B. Dickman | |
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