Sujet: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Lun 15 Déc - 14:11
Zadig Cavalli
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Titre : Mon pain dans tes reins grrr Crédit : un chat sauvage qu'on appelle Damaz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11360/35000) Mérite: (465/800)
La neige a répandu son manteau de givre au-delà des vallées, les nuages extirpent des soupirs – des flocons qui tournent dans une valse tortueuse. Zadig a décidé de bouger, être enfermé dans les entrailles d'Ajatar l'étouffe, il se sent suffoquer un peu plus. Il n'y a que Damaz pour faire passer le temps, Lydia est bien trop occupée avec les ruines de son frère pour lui accorder ne serait-ce qu'une once d'attention. Les mains plantées dans les poches de sa veste en jean, un bonnet sur la tête, une cigarette au bout du bec. Zadig arpente les rues – personne ne connaît son visage, ni son nom. C'est encore facile de voyager discrètement. Puis qui pourrait imaginer une seule seconde que cet idiot pourrait être un haut-membre d'Ajatar Virke ?
Arrivé à un bar au hasard, éclairé. Il entre et se dirige vers le comptoir pour commander une bière. Peut-être qu'il s'amusera aujourd'hui. Zadig est un enfant qui se lasse très rapidement, les gens sont comme des jouets à ses yeux. Il s'en lasse aussitôt que son intérêt se dissipe. Il entends des éclats de voix – tiens, une bagarre de mage général. Il reconnaît un mage illégal très recherché. Mais il ne bouge pas – il la sent au loin. La terre rugit de jalousie. Le conseil va arriver sûrement sous peu. Elle va arriver.
3...2...1...
En quelques secondes à peine, la bagarre est maîtrisée. Bien sûr qu'elle serait maîtrisée. C'est de elle dont il s'agit. Zadig exhibe son dos contre son regard. Il l'a provoque, il sait qu'elle est au conseil mais se délecte du fait qu'elle le reconnaisse.
Son ombre diffuse sa beauté à chaque bruit de ses pas, ses hanches outrageantes exhalent le scandale et l'envie, sa poitrine galbée inspire les baisers, ses jambes sveltes qui ne demandent qu'à être entourées autour de la taille d'un homme. Circé n'est pas une magicienne ; c'est une sorcière qui envoûte. Tout son corps n'est que les mœurs de l'enchantement pour faire défaillir le plus censé des hommes. Circé ne s'arrête jamais – elle engloutit les hommes, énuclée le conseil, se moque des hauts-membres d'Ajatar Virke. Circé est une stratège, c'est le pouvoir engloutit derrière ce visage superbe. Circé, c'est comme l'enfer, mais en pire. Tout le monde s'y consumera.
Moiteur et chaleur envahissent les paumes de Zadig qui se retourne. Posant ses deux coudes sur le comptoir du bar, ainsi que son dos dans une attitude nonchalante. Il peut la voir de loin, avec son allure de tigresse, se déplacer avec aisance. Il la voit et dresse légèrement son bras en guise de salut. Son menton se baisse légèrement, échappant un sourire amusé – non,aiguisé.
— Hey, Circé. J'imaginais pas te voir aussi vite.
Il ne la touche pas, il laisse ses bras toujours suspendus. Toujours provocant – Zadig sait très bien que jamais il n'échappera à Circé. Elle lui a offert ce qu'aucune autres femmes sera capable de lui promettre. Circé, c'est comme ta première cigarette, ta première bière – une nouvelle marque de drogue dont il n'arrive pas à s'extirper. Un sourire, à nouveau tandis qu'il se tourne à nouveau face au comptoir. Posant ses deux coudes détendus dessus alors que sa bière foule à nouveau ses lèvres. D'un regard en biais, il l'observe toujours. Se penche à son oreille et murmure.
— Alors, comment ça se passe au conseil ? J'resterai toujours aussi épaté par ton jeu de comédienne.
Et il se penche légèrement en arrière pour rire comme un enfant. Un rictus qui aiguise ses lèvres – il ne s'est toujours pas approché d'elle. Oh non, cette fois-ci il la ferait languir. Et il sourit ; mais pour combien de temps encore ?
Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Mar 16 Déc - 5:42
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La pluie tombe en fines gouttes sur les vitres du Conseil tandis que tu les regardes. Elles naissent, s'écoulent et meurent en touchant le sol. Elles éclatent une à une tandis que la météo ne prévoit rien de bon, du moins ce sont les bruits de couloirs. Encore un week-end pluvieux hein ? Encore un week-end ennuyeux ?
Tu restas face à la fenêtre, entendant une voix derrière ton dos. Une voix lointaine dont il te fut facile de faire abstraction. Encore un de ces assistants qui te rappels sans cesse à ton devoir. Encore un de ces premiers de classe ne succombant à rien. C'est sûrement pour cela qu'il te suivait comme ton ombre. Il était embêtant.
« - Vous m'écoutez au moins ? Vous semblez ailleurs alors que je vous parle d'une affaire dés plus urgente ! Dit-il d'une voix presque énervée - Cela fait approximativement dix minutes, depuis que vous êtes rentré dans ce bureau, que vous me harcelez avec vos histoires d'arrestation. Ce n'est pas parce que je ne vous regarde pas, que je ne vous entends pas. Par ailleurs, même si je le voulais, il me serait difficile de vous ignorez...répondis-tu en croisant les bras et en soupirant - Cela vous ennuie t-il ? - Aucunement, faites un rapport de suite pour annoncer mon départ. Je m'y rendrais moi-même. »
Selon les derniers rapports de la garde locale, un mage illégal que vous recherchiez depuis un bon bout de temps se serait retrouvé à Shirotsume. Ce n'était clairement pas la porte d’accotée mais il fallait absolument s'y rendre et puis, cela te donneras une bonne excuse pour prendre l'air.
« - Dois-je vous accompagnez Madame ? - Nullement, je suis une grande fille et je pense que je pourrais très facilement trouver le chemin de la gare toute seule et puis vous êtes jeune, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur là-bas. Je demanderais à des gardes de la ville de m'accompagner. Restez ici, je vous contacterais dés que j'en aurais finis, cela ne devrait pas très long. - Très bien, j'en informerais le président lui-même. »
Tu doutes que Marcus ai un quelconque intérêt pour cette histoire mais si cela lui plaisait d'aller rapporter tes moindre faits et gestes..Qu'il en soit ainsi.
Ce fut dans l'optique de la capture de cet homme que tu partis en direction de Shirotsume où la pluie laissa très vite la place à un manteau de neige doux et paisible.
A la gare, tu fus attendue par des gardes, deux molosses imposants n'ayant rien de charmant mais tout de suite près à décrocher la lune pour te faire plaisir et obéissant à tes commandements. Aaah les hommes, ils sont d'une simplicité étonnante.
Ne souhaitant guère perdre ton temps, ils t'accompagnèrent dans le bar où des témoins auraient vue l'homme en question y entrer. En discutant à l'extérieur, tu pus entendre les éclats de voix à l'intérieur et tu y entras. Tu n'étais pas du genre à te lancer dans le tas et te salir les mains donc c'est sur le seuil de la porte que tu ordonnas l'ordre à tes deux compagnons de s'occuper de la bagarre et du mage tandis que tu ressentais une présence familière.
Cette présence que tu avais ressentie en t'approchant de l'endroit. Il était là.
Tout de suite, ta journée pris une toute autre tournure. On dirait qu'il est de sortit et qu'il tente sa chance à l'extérieur. Lui. Zadig.
Zadig était un membre d'Ajatar et pour toi ce n'était pas qu'un homme. Zadig c'était celui qui savait t'amuser. C'était celui qui savait lire entre les lignes en toi, c'était celui qui avait changé ta façon de voir les hommes car Zadig il sait y faire. Il avait ce don pour mettre le feu dans le sens propre du terme car Zadig on savait pas comment le prendre et ça, c'était ce qui te plaisait en lui. C'était ta came, ton chouchou à Ajatar et sûrement le seul que t'aimais bien.
Parce qu'il savait y faire.
Tu le vis au bar. Accoudé à ce dernier et te regardant. Lui aussi t'avais certainement sentie venir et ta position t'empêchais de l'approcher et il le savait, il en jouait parce que Zadig c'était ce gamin qui s'amusait de tout.
« - Madame ? Vous rentrez à Era ? - Excusez moi, je vais restée ici, disons que je n'ai pas eu l'occasion dernièrement de profiter du tourisme local. Je vous confie le criminel. - Vous restez ici ? - Je préfère m'assurer que tout est en ordre voyez-vous ? On ne sait jamais quel criminel peut traîner dans le coin, dis-tu en souriant, amusée, tout en regardant dans la direction de Zadig »
Et justement, tu en avais un beau devant toi.
Il te salua et tu en fis de même jusqu'à ce qu'il t'adresse enfin la parole. Zadig c'était un jeu entre vous..Le chat et la souris et étrangement aujourd'hui c'était toi le chat.
« - Disons simplement qu'un étrange concours de circonstance m'a fait venir ici aujourd'hui comme tu as pu le voir. Et toi ? Que fais-tu ici ? Je te pensais..occupé ? »
Il était vrai que depuis les événements du Palais et des mages kidnappés vous n'aviez pas eu l'occasion de vous voir.
Tu le regardes et tu comprends son jeu. Cette position arrogante, ce sourire charmeur. Tu savais qu'il avait envie de jouer et justement toi aussi mais autant tu étais joueuse, autant tu détestais perdre et il le savait.
Il vient te murmurait des mots à l'oreille et cela te fis rire. Il savait pratiquement tout ou presque de toi..Dont le fait que tu étais un haut membre du Conseil...Tout comme d'Ajatar.
« - Comment ça se passe ? Ils ont l'air occupés entre Eagle's Claw, Enya Taylor et...ce chaton que l'on a recueillit..Comment s'appelle t-il déjà ? J'ai oubliée son nom. Et puis la flatterie ne te mèneras à rien mon cher, tu le sais n'est-ce pas ? »
Toi ? Comédienne ? Quelle insulte ! Pour jouer la comédie il faudrait y mettre les sentiments qui vont avec or tu n'avais rien à donner au Conseil, seulement de la patience et une haine profonde pour le président. Voilà tout ce que tu avais à offrir à ces gens.
Tu t'approches à ton tour de son oreille parce qu'il n'était pas le seul à pouvoir jouer à ça...
« - Et si nous cessions de nous préoccuper de la pluie et du beau temps à Fiore ? Parce que tu sais très bien que tu ne gagneras pas à ce petit jeu, pas avec moi. »
Le regardant avec ce sourire provocateur, tu n'attendais que ça, comme une enfant. Tu attendais que les choses sérieuses commencent car vous n'en étiez qu'à l’apéritif mais Zadig..c'est ton désert.
Alors autant sauter le plat de résistance non ?
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Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Dim 21 Déc - 19:01
Zadig Cavalli
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Titre : Mon pain dans tes reins grrr Crédit : un chat sauvage qu'on appelle Damaz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11360/35000) Mérite: (465/800)
Les doigts de Zadig pianotent avec négligence contre le comptoir miteux, elle te ronge Circé, comme si c’était plaie qui n’arrive jamais à cicatriser. Elle est cette brûlure entre tes omoplates, ce souffle chaud qui te calcine les lèvres, elle t’a gravé avec le fer rouge de ses lèvres vermillon. Occupé ? Pas vraiment, en ce moment, l’ennui s’est tailladé sur son visage – mais tout s’effondre quand il lui sourit.
_ Occupé, tu dis ? Tu parles, j’me suis jamais autant emmerdé. Alors… Je comptais trouver une distraction, puis t’es venue. Comme quoi le concours de circonstance ça paye.
Un clin d’œil complice, presque enjôleur. Sa main dérape presque sur les cuisses sveltes de Circé, mais il se retient. Juste encore un peu. Elle parle d’Enya Taylor, il réfléchit. Une fille aux cheveux de feu qui sème la discorde, avec l’appui des sept péchés capitaux et démons qu’elle porte en son sein. Elle est bien bonne d’ailleurs, Zadig songe à la rencontrer, histoire… d’approfondir les choses dans le creux de ses reins. Ou de ses seins, qu’importe. Circé est là, c’est l’important. L’œil embué et le sourire confiant, il sourit de toutes ses dents.
_ Enya Taylor m’intéresse, faut que je la trouve histoire de m’amuser un peu. Damaz, c’est le chaton enragé, pas méchant, il griffe mais je pense qu’il est fou de moi.
Il sourit et se passe la langue sur ses lèvres, à vrai dire il n’en sait rien et s’en fout. Il baisse son regard sur Circé, la regarde du coin de l’œil – un sourire en coin s’esquisse.
_ J’avais oublié que t’étais pas ce genre de femme à te laisser avoir aussi facilement.
Et pour se rendre désirable, plus qu’elle ne l’est déjà, elle susurre à son oreille. C’est comme un ronronnement et il se mord sa lèvre, bien sur qu’il n’échappera pas. Comme elle. Il sait qu’il est marqué autant qu’elle, il sait qu’elle reviendra, même si un mur de haine s’érigerait entre eux. Parce que vous avez fait enfreint la loi des proximités, vos chaleurs se sont mélangées. Zadig laisse sa main dégringoler sur sa cuisse, discrètement, tout en buvant sa bière de l’autre main, l’air de rien. Sa main remonte, remonte comme un serpent.
Il lui sourit, ses iris scintillent comme un volcan en éruption. Il retire sa main et cesse ses caresses.
_ Aux choses sérieuses, tu dis ?
Il se redresse d’un coup, lui saisit le poignet pour l’attirer contre lui, glissant son bras comme une ceinture de fer au niveau de son bassin pour la coller plus à lui. Le bar s’anime encore, encore invisible aux yeux des autres, Zadig égare ses lèvres dans le creux du cou de Circé, jusqu’à remonter dans les courbes élégantes de ses lèvres.
_ J’avoue que ça me plaît, ce genre de chose.
Et avant d’attirer l’attention des autres, il la dévérouille de son étreinte. Quand il fait ce genre de chose, Zadig l’enfant s’évapore et fait place à un homme. Il chuchote à son oreille, ronronnant presque.
_ Je t’attends dehors.
En posant quelques pièces nonchalamment que le rebord, il s’enfuit. Il l’attend dehors, rien n’y fait. Elle l’a éveillé – la terre gronderait presque de jalousie sous Circé et à chacun de ses pas. La magie de Zadig, la terre, ne l’aime pas. Elle a trop d’importance, trop de touché entre Zadig et elle.
La magie gronde sous Circé dans un élan de colère douloureux.
Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Lun 22 Déc - 13:09
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♦ Baby One More Time ♦
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Il était ce feu ardent brûlant dans ton cou. Il était ces flammes dansant sur tes hanches. Il était ces cendres fumant sur ton corps. Zadig c'était le maître dans l'art de la torture corporelle. C'était celui qui te donnait envie. C'était celui qui allumait en toi le désir pour l'éteindre ensuite. C'était le coup de vent sur la frêle flamme de l'amour. Parce que Zadig l'amour il le consumait. Il le fumait et il s'en débarrassait dans des cendres qu'il jetait par la fenêtre. L'amour et lui...C'était comme l'eau et l'huile, ça ne se mélangeait pas.
L'amour à vrai dire, tu ne savais pas non plus ce que c'était. Il jouait ça et là sur ton corps et tu souriais, faiblement car tu tentais de cacher ce que tu ressentais à cet instant. Si il n'y avait pas tout ce monde dans ce bar, tu l'aurais mis là sur le comptoir encore chaud de sa présence. Zadig c'était le feu.
Le feu qui faisait fondre la glace.
Mais restons correct, il y a des âmes sensibles ici n'est-ce pas ? De plus il l'avait dit, tu n'étais pas le genre de femme à te laisser par tes pulsions et ton désir, tu savais te retenir et c'est comme ça que tu l'auras. Celui qui venait de lancer ce jeu pervers et malsain à la fois. Celui qui venait d'ouvrir les hostilités avec toi sur ton terrain de prédilection mais ça, il le savait et c'est certainement ça qui l'amusait parce que Zadig adore jouer. Comme toi.
Tu es joueuse et si il est cette flamme au creux de tes reins, tu seras cet incendie jusqu'au bout de ses doigts.
Il était ce feu ardent brûlant dans ton cou. Il était ces flammes dansant sur tes hanches. Il était ces cendres fumant sur ton corps.
Il t'avait planté là, alors que monsieur est partit à l'extérieur, t'attendant certainement pendant que tes fossettes s'éclaircirent d'un rose léger, à peine distinguable de la couleur habituelle de tes joues. Parce que oui, il avait cet effet là sur toi. Il avait cette emprise sur toi.
Tu pris ton manteau et sortie comme une reine alors que la moitié des hommes te regardais encore. Tu sortis alors que certains se seraient entre-tués rien que pour t'ouvrir la porte mais les manants ne t'intéressais guère. Toi, tu étais là pour l'homme en dehors. Celui qui t'attendais sous la neige alors que les flocons semblait le frôler, l'évitant.
Ainsi, le voyant attendre dehors tandis que ta respiration fait naître et disparaître des nuages de buées, tu le regardes et tu ne pus t'empêcher de sourire amusée. Si il s'agissait là d'un enfant, tu l'aurais de suite adopté pour le garder chez toi.
« - On dit que le sexe masculin est ce qu'il y a de plus léger au monde parce qu'une simple pensée le soulève, remarquas-tu amusée »
Dehors la température était insoutenable mais vous vous teniez là comme si de rien n'était car au fond de vous, vous la sentiez mutuellement cette flamme ardente. C'est elle qui vous maintenez face à face dans une rue presque déserte alors que des regards curieux vous fixe de part et d'autres des bâtiments se tenant autour de vous.
Hmm assez gênant de se voir épier de partout. Mais qu'importe, le jeu avait commencé et tu ne lui laisseras pas le loisir de remporter la première manche tranquillement.
Dans la neige tes pas s'entende à peine alors que tu t'approches de lui, confiante. Tu t'approches et tu te sens attirée comme par enchantement mais votre relation n'a rien de magique. Cela se rapprocherait plus à de la sorcellerie. Un mauvais sort avec pleins d'avantages, comme tu les aimes.
« - S'il n'y avait pas autant de regards sur nous en ce moment même, je serais bien tentée par deux ou trois petites choses, murmures-tu alors que des passants vous regarde étonnés »
Oui, il y a des gens assez fous pour rester dehors par un tel temps. Oui, il y a des gens assez fous pour jouer au jeu de l'amour et du désir.
Oui, il y a des gens assez fous pour jouer avec le feu en sachant qu'ils s'y brûleront les ailes.
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Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Mar 23 Déc - 19:53
Zadig Cavalli
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Titre : Mon pain dans tes reins grrr Crédit : un chat sauvage qu'on appelle Damaz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11360/35000) Mérite: (465/800)
ELLE EST CETTE BLESSURE QUI TE RONGE
Elle scintille comme la lune, au milieu de ce ciel de coton limpide. Mais cette chevelure de feu embrase tout rien qu’à son touché. Circé ; elle est plus envoûtante que les autres femmes. Le pire, c’est que c’était le cœur même qui faisait vibrer sa magie des charmes. Elle était séduisante, le regard des hommes lorgnaient sur elle comme s’il s’agissait d’une de ces statues antiques, dont les affres ingrats de l’âge n’auraient pas même endommagés. Zadig sentait ses dernières défenses s’effritaient à chaque pas qu’elle faisait pour s’approcher de lui. Bien sûr que oui, Circé, il ne lui échapperait jamais. Elle avait cette emprise, elle tenait ses désirs et ses envies dans le simple creux de sa paume de main. Elle pouvait se jouer de lui rien qu’avec un simple ondulement de hanche. Les hommes devenaient si faible quand une Circé traînait dans le coin d’une rue, emportant ses sourires envoûtants à chaque coin des lèvres. Toutes les femmes avaient une part de Circé dans leurs esprits, mais elles étaient toutes si différentes d’elle. Circé était pire qu’une magicienne, la beauté avait fait d’elle sa propre arme. Sculptant un regard émeraude perçant, tissant chaque fil de ses cheveux dans les braises de Vulcain, sa peau diaphane était comme les restes d’une poussière de lune. Et ses regards envieux qui dévoraient leur intimité, tandis qu’il s’imaginait déjà comment lui faire l’amour. Elle le ronge Circé, comme un stigmate imbibé dans sa chair. Comme une blessure qui ne se referma jamais. Circé elle lui faisait penser à tout ça, quand il la regardait un peu trop. Il lui sourit comme un Zadig, son air joyeux, et ses ambres liquides pétillaient. Elle le faisait languir, elle devenait intense ; il poussa un soupir exaspéré, comme un caprice.
_ Si tu savais ce que je te réserve une fois qu’on sera tous les deux dans un endroit tranquille.
Un clin d’œil, tandis qu’il prend appui sur la poutre au-dessus du bar pour se pencher vers elle, frôlant les lèvres carmins de Circé. Il s’infligeait un supplice, sa bouche vermillon l’appelait dans sa respiration. Elle était un blasphème, un scandale. Savait-elle au moins le pouvoir qu’elle détenait sur les hommes ? Zadig ferma les paupières. Trop dur. Sa main se glissa derrière la nuque de Circé, balayant ce léger teint rosé à l’aide de son pouce. Il se pencha au-dessus d’elle et l’embrassa. Ce n’était pas un baiser amoureux, c’était un baiser passionné. Celui qui compresse vos poumons et broie le cœur, celui qui éveille cet incendie dans le creux des ventres. Il l’embrasse comme ça, Circé. Puis il se décala en éclatant d’un rire franc, son souffle devient de la brûme blanche opaque devant ses lèvres.
_ Eh bien, à croire que j’ai déjà perdu.
Il étira ses lèvres vers elle en un rictus coupable comme s’il avait fait une bêtise. On aurait dit un enfant encore. Il jeta un regard à droite, à gauche.
_ Il faudrait que tu m’apprennes à résister autant. Je vais finir par croire que mon sex appeal n’a jamais d’effet sur toi.
Et il se décala vers elle en une mine déçue mais joviale, lui tendit son bras pour l’intimer à marcher afin qu’ils s’éloignent. Elle le rendait fou. Pas de ces folies saines, de ces folies où il sent son âme se perdre dans les courbes de Circé. Elle le rendait désespérément fou.
Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Mer 24 Déc - 12:57
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♦ To Love You More ♦
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Cela faisait combien de temps que tu n'avais pas ressentie ça ? Combien de temps que le feu s'était éteint en toi ? Trop longtemps. Jouer les yeux et les oreilles d'Ajatar au Conseil c'était beau mais il te manquait l'excitation. Zadig était ce qui t'excitais et rien n'y personne ne pourrait prendre sa place. Zadig c'était celui qui avait un don fous pour te rendre folle mais ça, jamais tu ne le lui diras. De toute façon, tu n'en avais besoin, il le savait. Il était bien trop malin pour savoir où il fallait frapper et quand il fallait frapper.
Tout n'était que neige et glace autour de vous et pourtant, vous restiez-là, vous murmurant mutuellement les promesses d'une nuit éternelle. Vous restiez-là, dans cette rue gêlée consummant le feu que vous aviez animé chez l'autre. Vous restiez-là, vous dévisageant et jouant à ce jeu qui vous étiez propre. Vous restiez-là, vous regardant attendant que l'autre amorce le premier pas, le premier geste car l'un et l'autre vous aviez trop de fierté pour vous abaissez à faire le premier pas et finalement...Il craqua.
Il ne plus retenir plus longtemps ce qu'il cachait depuis le début et lâcha toute sa frustration de ne pas avoir fait ça plus tôt, dans un baiser. Mais un baiser d'amoureux, pas ce truc tout mignon et contrôlé mais ce baiser passionné qui vous embrase l'intérieur. Ce baiser qui vous fait soulever le cœur, qui vous donne des ailes et qui vous promets tant de choses.
Il était doué. Malgré le fait qu'il reconnaisse sa défaite dans votre duel, au fond tu n'étais pas gagnante pour autant car ce qu'il venait de faire à l'instant c'était plus qu'une simple rédition. C'était une invitation pour une autre partie, dans un autre genre.
Zadig le joueur. Zadig l'homme. Zadig l'enfant. Il était toutes ces facettes à la fois, toujours surprenant.
Tu ne pus t'empêcher de rire à sa remarque mais il était hors de question que tu t'abaisses à lui dire que pour cette fois, ce fut un match nul. Non, non, non. Hors de question qu'il le sache même si ton sourire en disait plus long que tu ne voulais bien l'énoncer.
« - L'élève est encore loin de dépasser le maître, chéri ! Peut-être qu'un jour tu perceras tous mes secrets à jour. Ce jour-là, il me tarde de le voir arriver, répondis-tu en fixant la neige sous tes pieds »
Tous tes secrets...Au fond personne ne les saura jamais car personne n'a à te connaître plus que ce qui n'est déjà fait. Personne ne devait savoir qui était la véritable Circé. Personne ne devait savoir que tu enchaînais les masques et les costumes pour plaire à qui le voudra.
Mais peut-être qu'un jour, lui le saura. Peut-être qu'un jour viendra où il apprendra la vérité sur la femme que tu es..sur celle que tu étais et sur celle que tu seras.
Il t'offrit son bras, tel un gentleman et tu parus désabusée. Comment pouvait-il dire qu'il n'avait pas de sex-appeal ? N'importe quelle fille se serait battue pour s'accrocher à ce bras en ce jour. Tu ne connais pas beaucoup de monde à qui Zadig ne fait pas de l'effet mais tu en connais beaucoup que tu serais prête à encastrer dans un mur car elle ne le mérite pas. Aucune d'elle ne saurait en tirer le meilleur. Cela serait du gâchis de laisser Zadig au commun des mortelles. Aux femelles n'ayant que pour but d'avoir un beau mec pour elle.
Pourtant Zadig, il n'était pas à toi, tu le savais. Ce n'était pas ta propriété, il était libre d'aller où il le voulait. Il était libre de faire sa vie mais jusqu'à présent, il est le seul homme qui sait allumer ce feu ardent en toi. Il est le seul à savoir lire entre les lignes. Et il est également le seul homme capable de changer ton humeur en quelques secondes.
« - Un jour serons nous capable de nous lasser l'un de l'autre ? Pensas-tu à voix haute pendant que tu marchais silencieusement à ses côtés. »
Parce que Zadig il est unique.
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Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Mar 30 Déc - 15:10
Zadig Cavalli
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Titre : Mon pain dans tes reins grrr Crédit : un chat sauvage qu'on appelle Damaz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11360/35000) Mérite: (465/800)
ELLE EST CETTE BLESSURE QUI TE RONGE
Circé était une femme de secret. Les rouages de son cœur était un mystère, même si Zadig connaissait les courbes de son corps à merveille à force de l'avoir effleurer, elle avait toujours été hors d'atteinte. Circé était une femme de secret, un mystère pour lequel aucune solution n'était envisageable. Circé est couverte d'un ciel d'étincelle, elle illumine, subjugue, hypnotise d'un battement de cils. Elle est une sorcière, celle dont on ne peut détourner le regard, elle anime les passions et attise les pulsions, et les courbes de ses traits et de sa beauté ne sont guère des légendes. Une armée d'homme serait prête à se damner le corps et pervertir leurs esprits pour mourir entre ses bras d'oiseau. Elle est bien trop belle Circé pour que Zadig ne puisse s'en détourner. Elle lui plaît beaucoup trop, Circé. Jamais il se lassera de tes hanches exquises et de ton regard dans lequel on a enfouit des pierres précieuses. Jamais il ne se lassera de toi et de tes souffles quand tu lui murmures à l'oreille tes gémissements. Jamais il ne se lassera de toi et de tes cheveux de coquelicots, jamais il ne pourra étreindre une femme comme il te tient les hanches quand alors vous ne faites qu'un.
Circé, il aimerait tellement que tu lui appartiennes. Si tu savais ce qu'il pense quand il te voit, s'il savait ce qu'il pense quand il t'embrasse. Ce n'est pas de l'amour, non, Circé. C'est de la passion qui dévore, tu es pire qu'une drogue, non, tu es un mystère qu'il rêve un jour de briser.
Zadig la contemple d'un regard en biais, d'un air mi-amusé, mi-étonné. Se lasser, Circé ? Il laisse un sourire à moitié discret soutenir ses lèvres, il y glisse sa lèvre, lentement. Pourquoi est-ce qu'elle pensait à ça ? Zadig n'en avait aucune idée, ses pensées avait jaillit de ses lèvres comme un songe, un mystère encore. Zadig ne comprenait pas. Il était un homme, ils sont tellement plus maladroit que les femmes dans ce genre de choses. Ce genre de choses que personne ne sait contrôler. Il rit légèrement. Son bras se glissa autour des épaules de Circé comme pour la réconforter – c'était la seule chose qu'il s'était imaginé être capable de lui offrir. Une sorte de réconfort enfantin. Il se pencha et murmura à son oreille, dans un souffle amusé.
_ Tes pensées te jouent des tours ?
Sans même demander son reste, il l'embrasse sur le creux de sa joue. Se lasser ? Jamais. Il se consumerait avec elle, jusqu'à ce que l'un d'entre eux ne devienne que cendre. Peut-être, était-ce ça, le danger ? Peut-être était-ce ça, qui lui plaisait chez Circé ? Le fait qu'elle pouvait à chaque étreinte, réduire en cendre son corps et effriter son esprit avec ses reins. Elle était un danger des plus précieux qu'il avait rencontré, un jeu des plus miteux et meurtrier. Une passion qui dévore les reins et détruit l'esprit. La passion.
_ Circé...
Il secoue la tête en souriant tandis que son bras la ramène plus près de son torse.
_ Jamais. On s'amuse, on se plaît, pourquoi tu te poses des questions qui ne devraient même pas se poser?
Il ponctue sa phrase d'un rire franc. Pour lui, c'était évident. Mais il est un homme, il y a beaucoup de choses qu'il trouve évidentes sans qu'elles ne le soient vraiment. Circé est une évidence à ses yeux, un jeu dont il ne se lassera jamais. Non, jamais il ne pourrait jamais se lasser de Circé. Il se racla légèrement la gorge comme s'il se préparait à dénouer sa gorge avant de lui faire un aveu. Il rit encore un peu avant de se lancer.
_ Je vadrouille pour que des mages soient recrutés à Ajatar. J'ai besoin des noms d'illégaux pour mes recherches, Circé, pour qu'on ait des mages de talents dans nos rangs.
Parce que le conseil devenait trop fort, il implantait fermement ses racines dans la terre. Si une guerre pulsait dans leurs cœurs, Zadig s'apprêtait à lancer une offensive de son côté. Dans le coin d'une rue, à l'écart, il se glissa près de Circé. Pas sûr qu'elle apprécie ce détournement de sujet, mais c'était important et elle savait que c'était important, il n'en doutait pas. Il lui sourit légèrement et remit l'une des mèches de ses cheveux en place, avant de s'éloigner puis de la regarder. D'un air toujours enfantin, d'un air de Zadig.
_ Et après, je te promets qu'on oubliera tout ça.
Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Jeu 1 Jan - 1:17
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♦ On n'oublie jamais rien, on vit avec ♦
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Zadig l'enfant. Zadig l'homme. Il était cet amalgame de deux êtres cherchant à cohabiter dans un même corps. Il était cet amalgame de passion et de frustration. Il était ce doux compromis entre réalité et rêverie. Parce que même à cet instant, ses mots parvinrent à te toucher, toi que l'on dis de glace. Il était vrai que tu avais pensé ces paroles à haute voix et que la plus part des choses que l'on pense nous échappe toujours. Parfois, tu ne te comprenais pas toi-même mais cela ne t'as jamais déranger. Comme cela ne te dérangera jamais. On disait les femmes compliquées. On disait les femmes incompréhensibles. On disait beaucoup de choses mais combien d'hommes se sont lancés dans le décryptage et la résolution de ces mystères vivants ?
Un mystère. Tu en étais un, pour sûr. Tu étais cette feuille volante dans le ciel, virevoltant, dansant au gré de la brise, ne t'arrêtant jamais sur un arbre bien longtemps. Tu étais celle qui faisait danser passion et désir dans une valse. Tu étais celle qui n'avait qu'à tendre les bras pour que quelqu'un te prenne dans les siens.
Tu étais beaucoup de personnes à la fois et lui..Il n'était que lui. C'était sans doute pour cela que tu te plaisais autant avec Zadig. Parce que malgré son côté coureur de jupon, bien malgré lui, il y avait quelque chose qui s'opposait à la personne que tu étais. Bien malgré lui, il était ce feu contrant l'iceberg que tu étais. Bien malgré lui, il savait parfaitement lire ce que tu glissais entre les lignes.
Bien malgré lui, il était cet homme envoûtant et passionnant. On te dit sorcière mais Zadig est ce magicien jouant avec l'illusoire et la promesse d'un monde meilleur. Zadig, il te faisais rire, te vendais du rêve et réussissait à te sortir du noir dans lequel tu te plongeais toute seule.
Comme il venait de le faire. Sa douce et chaude proximité enivrante. Son bras protecteur et ses mots réconfortant. Parce qu'il avait toutes ces choses dont tu avais besoin. Il était ce phare éclairant ton chemin et te promettant la sortie d'une tempête qui se préparait. Parce que oui...La tempête se préparer. Le Conseil se réunissait, se renforçait. Le Conseil prenait en puissance. Tu le savais, toi qui joue sur les deux tableaux...Tu le sentais. L'affrontement entre la mer dansante et la roche perçante est proche.
« - C'est vrai. C'est juste que ces derniers ne sont faciles pour aucun d'entre nous. J'aimerais tellement partir loin d'ici, tout recommencer, encore. Mais ce n'est pas possible n'est-ce pas ? Tant que l'on aura cette flamme brûlant en nous...On ne pourra fuir. »
Tu souris tristement en le regardant alors qu'il souriait comme cet enfant amusé mais à la fois inquiet par ton comportement. Que se passera t-il le jour où la tempête éclatera ?
Puis ses mots te rappelèrent à l'ordre, une nouvelle fois. Si le Conseil se renforçait, vous aviez besoin de faire de même. Des noms d'illégaux hein ?
« - Dis donc toi ! Tu ne chercherais pas plutôt une nouvelle conquête d'une nuit ? Fis-tu en rigolant. Tu pourrais regarder près d'Oméa Shizuka, des rumeurs disent qu'elle est de nouveau à Fiore et puis il y a bien Enya Taylor aussi mais cette femme un danger, même pour toi. Elles ne sont pas à prendre à la légère Zadig. »
La guerre est proche. La guerre est à vos portes. La guerre est là. Oméa, Enya, Legion...Ajatar. Tout le monde le savait. Il n'y avait pas eu de mouvements de mages illégaux depuis bien des années et le fait qu'ils refassent tous surface n'annonçait rien de bon. Ils le savaient sans doute eux aussi...Depuis l'annonce du Conseil, la plus part d'entre eux ont dû prendre cela comme une déclaration de guerre.
Tant mieux. Ça en était une.
Tu soupires en t'arrêtant alors que la neige semble continuer de tomber en petit flocon. Tu regardes le ciel en fixant les nuages gris.
« - On ne peut pas oublier. On peut seulement vivre avec. Tu devrais le savoir mieux que quiconque Zadig. »
Et toi Zadig ? Sauras-tu toujours cet homme insouciant et intrépide ? Sauras-tu toujours cet homme libre comme l'air et volant comme ce flocon de neige, sans te préoccuper de ta chute ? Qu'adviendra t-il de toi dans toute cette histoire ?
Qu'adviendra t-il de vous ?
Tu finis par sortir de tes pensées et lui passa devant en prenant sa main alors que tes doigts commencés à geler.
« - Je connais un endroit, un petit chalet, à la sortie de la ville ! Dis-tu amusé en l'entraînant. Peut-être qu'il serait temps de voir si tu as bien réviser les leçons que j'ai donnée ? »
Sourire provocateur. Parce que tout n'était que provocation et envie. Désir et impulsivité. Tout n'était que pour une journée.
Et puis..La météo n'a-t-elle pas prédit une tempête pour la journée ? Il serait dommage que tu ne puisses pas rentrer à Era à cause de la neige.
Alors leçon n°2 : L'élève réussira t-il à battre le maître ?
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Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Mer 7 Jan - 16:43
Zadig Cavalli
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Titre : Mon pain dans tes reins grrr Crédit : un chat sauvage qu'on appelle Damaz Feuille de personnage Maîtrise Magique: (11360/35000) Mérite: (465/800)
ELLE EST CETTE BLESSURE QUI TE RONGE
Circé était une femme. Une femme fatale, aux lèvres gonflés comme des cerises, mortelle. Celle qui vous apporte des problèmes quand elle pose ses lèvres sur les vôtres. Circé c'est ce bruit de tâlon sur le parquet, c'est cette nymphe sculptée par sa propre destruction. Circé, il sent l'abysse d'une angoisse qui se serre en elle comme si on cherchait à l'étouffer, il voit dans ses yeux comme la naissance d'un typhon prêt à tout engloutir dans son ventre. Il a envie de glisser ses mains dans les arabesques de ses reins pour lui dire que tout va bien. Il a envie de l'embrasser et de la rassurer, que tout ça passera, que l'émergence de la guerre est une nécessité. Il a envie qu'elle s'abandonne dans ses bras pour exorciser cette tempête qui s'attise, s'agite dans son cœur. Mais Circé est une femme forte, jamais elle ne dira quoi que ce soit, jamais elle ne soufflera un « aide-moi », bien trop fière. Elle est de ces fiertés magnétiques, tout le monde se pencherait pour écouter Circé, le monde se mettrait à ses pieds pour la consoler. Les hommes ne savent pas que Circé est un pêché. Ils ne savent pas que Circé est celle qui s'incruste dans les cœurs, qui s'injecte dans votre cerveau et en déplace tous les meubles. Circé est un pêché. Une femme fatale. La fuite est une option qui s'est anéantit dès que Zadig s'est abandonné pour la première fois avec elle.
_ La fuite n'est plus possible, Circé, tu le sais. Ca fait bien longtemps qu'on l'a abandonné.
Pourtant Zadig n'a pas l'air apeuré. Zadig n'a jamais eu peur, en réalité. Il a toujours affronté chaque épreuves comme s'il s'agissait d'un jeu. Zadig a très tôt jouer avec la vie, comme si la vie n'était qu'un fil étendu dans le vide. Zadig se plaisait à marcher dessus, l'adrénaline plein les tempes, menaçant de s'écrouler dans le vide. Peut-être que ça arrivera au final. Zadig est un enfant.
Elle te rappelle à l'ordre par le rire, mais Zadig sait très bien que même s'ils ne s'appartiennent pas, que même si le contact de leurs chairs est ce qui les relient. Le courroux de Circé s'abattrait comme une cisaille sur sa tête s'il faisait un faux pas. Il se contenta de rire tandis qu'elle plaisantait.
_ Justement, le danger est quelque chose de bien pour une guerre, et c'est ce genre de mages qui irait parfaitement à Ajatar. Chercher une conquête ? Mais elle est en face de moi.
Il la désigna d'un clin d'oeil, Circé est celle vers laquelle il reviendrait toujours. En un sens, il lui avait laissé une partie de son âme, il s'était consumé dans les enfers, elle l'avait engloutit comme les autres. Zadig se laissait guider par ses pulsions qu'elle attisait en des flammes rien qu'en soufflant dessus. Elle était tellement désarmante, tellement douée dans le charme. La séduction s'était faite chair et avait crée Circé. Elle l'entraîne et il la voit sourire, alors il sourit comme un con, en retour. Il lui emboîte le pas, comme un gosse tout excité et impatient. Ses mains commencent à caresser le corps de cette nymphe aux cheveux de feu, ses lèvres se perdent sans son cou tandis qu'il commence à la suivre.
_ Je sais pas si j'aurais la patience d'attendre d'être dans un chalet.
Au loin, la tempête de neige résonne. Les gens s'agitent dans les rues. Zadig se décolle légèrement de Circé ; un sourire charmeur cisaillait ses lèvres.
_ J'en ai même appris des nouvelles, je suis un élève plutôt entreprenant tu sais ?
Il la suit, et regarde ses cheveux flottant derrière son dos. Il se perd à moitié, rêve de la voir se dévêtir, et les minutes se consumèrent dans le néant quand ils se retrouvèrent devant le chalet. En entrant, la fougue de Zadig ressortit. Il l'embrassa, à nouveau, avec plus de passion cette fois-ci.
Ils n'étaient que tous les deux. Ils avaient toute la journée et la nuit devant eux. Toute la nuit pour lui montrer qu'il devenait chaque fois un peu plus un véritable homme.
Au loin la tempête gronde.
Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé Ven 9 Jan - 10:32
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♦ Passion ♦
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Zadig. Un son envoûtant. Charmeur. Il était toutes ces figures que tu aimais et il était ce marque-page au milieu du livre de ta vie, celui que tu poseras à chaque nouvelle page que tu écriras. Zadig. Tu parlais de conquête qu'il retournait la situation en te désignant et tu ne pus t'empêcher de sourire amusé. Chaque mot était voulu, chaque mot avait un but et tu le savais. Zadig il était cet enfant capricieux qui arrivait toujours à ses fins et dont une lutte avec serait une perte de temps. Il était cet homme entreprenant ayant un côté aventurier, partant toujours à l'aventure. L'aventure d'une vie, l'aventure d'une nuit.
Zadig il était ce baume sur ton coeur mais aussi ce moteur dans ton plaisir. La flamme crépitait d'impatience, dansant et virevoltant, parce qu'il était temps. La flamme du désir. La voilà bien incontrôlable pour que vous restiez tous les deux dans cette rue bientôt déserte alors que la tempête approche et que vous vous dirigiez vers cette nuit sans fin, cette vie sans promesse. Vous vous aimiez..Mais ce n'était pas de l'amour. Il n'y avait rien qui vous rattachez l'un à l'autre. Aucune promesse, aucune parole en l'air, aucune bague, aucun signe. Rien. Vous étiez des électrons libres et propres à vous-mêmes. Rien ne vous liez mais tout vous rapprochez. Vous n'aviez pas besoin de parole pour vous rassurez. Vous n'aviez pas besoin de promesse comme le commun des mortels. Votre seule existence à tout les deux était ce qui maintenez l'un et l'autre en orbite autour de l'autre.
Pourtant, à cet instant très précis, l'orbite ne tiens plus. La gravité n'existe plus. Il n'y a plus rien qui vous retient. Vous êtes seuls, tout les deux dans cet endroit presque noir et bientôt recouvert totalement de neige qui semble vous maintenir en capitivité. Cette neige éternelle qui semble vous laissez votre journée et votre nuit.
Vous voilà à l'intérieur de la passion elle-même. Celle qui vous brûle et vous consumme alors que vos cheveux sont blancs. Vous voilà entrant dans cette danse que vous connaissez tant parce que vous ne saviez faire que ça et parce que vous ne cherchiez que ça. Le jeu était finit, la provocation touche à sa fin.
Tu rentres, tu enlèves tes gants à l'aide de tes dents et tu as à peine le temps de finir qu'il t'embrasse avec plus de fougue, plus de passion. Zadig l'élève surdoué. Tu lui avait appris des choses sur la vie et en échange, il avait partagé plus qu'une de ces nuits avec toi parce que cela marcher comme ça entre vous.
Tu te souviens ? Pas de promesse.
Lui rendant son baiser, tu avances tes bras pour lui enlever manteau et tee-shirt, le dévoilant progressivement et tu arrêtas ton baiser pour regarder l'homme et non plus le joueur. Tes doigts parcourent délicatement son torse pendant que tu souris amusée, en te mordant la lèvre.
"- Montre ce que tu sais faire."
Tu le plaques contre le mur, lui rends son baiser avec passion en laissant une de tes mains parcourir son torse de long en large, faisant des aller-retour parce que ça t'amuse. Parce que malgré le froid, il était chaud.
Parce que malgré toi, tu te sentais irrésistiblement attirée.
La tempête est maintenant au dessus de vos têtes, la neige recouvrant portes et fenêtres. Vous voilà piéger.
Alors il est temps de montrer tes progrès chéri.
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Sujet: Re: elle est cette blessure qui vous ronge •• circé