« Shagass »

Le temps est vraiment changeant, il pleut des t ...

La bibliothèque du coin n'est pas d'une grande qualité, je pense d'ailleurs qu'elle ne soit pas digne d'une école élémentaire, mais elle a eu deux mérites. Elle existe et m'a permis de relire cette histoire aussi congrue que grotesque. Pertinente pour la simplicité et la logique qui en découle. Ridicule parce qu'un tombe sur votre tête alors que celle-ci est ailleurs, c'est peu probable. Heureusement que le ridicule ne tue pas. Je ne jette pas la pierre à ce dernier, parce que comme moi, c'est un visionnaire, comme moi, c'est un génie. C'est autant un avantage qu'un inconvénient. Je m'explique. Non, je me mets au niveau du commun des mortels, des simples d'esprit. Je vais tenter de prendre une image simple, je sais. Imaginer un monde où des machines complexes réalisent des calculs complexes à la place des hommes. Nous appellerons leurs corps, le hardware et leur intelligence le software. En temps normal, le hard est dénué d'intelligence et laisse cette fonction au soft. Dans certains cas, le soft ne peut assurer la sécurité du tout. Du coup, le hard prend le relais et assure le minimum vital. Ces créatures que l'on va appeler robot peuvent dans ce cas de figure survivre dans un environnement hostile en évitant tous les dangers probables, de cette manière le cerveau central peux penser l'avenir entre autres choses. Les limites du hard sont dans la prédication de l'imprévu ce que peu faire le!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.

BING-BANG !

Black out. Reboot. Pour commencer, mise en tension automatique du système par l'envoi d'une impulsion électrique vers  la carte mère qui active le bios, lancement du boot, ok, MBR, ok, NTLDR, ok, noyau , ok, opérating système opérationnel. Chargement des drivers, chargement de l'antivirus. Conclusion, taux d'opérationnalité 100%. Accès à la mémoire autorisée et traitement des données lancé. La météo du jour a été fixée au grand soleil. Il n'a pas été prévu du chute de météorites. Le système n'est pas capable de fournir une explication cohérente. Le software autorise l'activation du son et de l'image. La connectique et les pièces sont fonctionnelles. Holmes est de retour.

« "Eh bien, il faut dire que j'ai eu de la chance " »

Chance, c'est moi. Je ne crois pas ce qu'on se connait, j'aurais gardé en mémoire une voix si shagass, si péremptoire, si ch... Par contre, il me semble que tu pèses au moins le poids d'un thon, voir d'une baleine... Newton, nous ne sommes pas si différents. Si tu as été capable d'émettre une théorie pertinente, je devrai être capable d'en faire de même avec cette...

« Tsss... Ça fait mal... HumHHum... Vous savez faire des entrées en matières...Fracassantes par leur poids. Votre sortie est légère comme une plume, c'est moins pesant, mais froissant. Il serait bien d'apprendre à faire dans la juste mesure, un entre-deux. Un truc ni trop lourd, ni trop léger...Quelque chose comme des excuses. Qu'en pensez-vous ? »

Lentement, calmement, sûrement, tu prends le temps de lui apprendre la vie tout en vérifiant que tes vêtements sont corrects, pas sales, ni déchiré. Dans le cas contraire, tu aurais dû lui faire payer la remise en état et ton instinct te dis que cela risque d'être dur. Elle a cette démarche scandaleuse, certaine et supérieure. Celle qui dit, j'existe, mais pas toi. Elle a une plastique et aura de ce type. Tu doutes qu'elle possède ces cellules appelées neurones, tu n'es même pas certain qu'elle comprend le tiers de ce que tu lui dis. Pauvre de toi, tu vas encore faire dans le social... Tu aurais dû te taire.

Codage by TAC

«Milady, savez-vous que …»

Les bons éléments sont ceux qui trouvent les solutions, les mauvais sont ceux qui trouvent les excuses.

« Des excuses ? Je ne crois pas vous en devoir. Aucun idiot ne reste planter au milieu du chemin quand quelqu'un lui arrive dessus. Ceci s'appelle la logique très cher. De plus vous devriez être assez heureux, vous ne semblez pas être aussi blesser que ce j'aurais pu le croire donc à part un peu de poussière sur votre col blanc, je ne vois rien qui doivent des excuses de ma part. »

L'hôpital qui se moque de la charité. Il est logique de ne pas s'attendre à ce qu'une personne tombe des toits. Comme je ne suis pas blesser, je devrais encore remercie mon interlocutrice pour sa bienséance et son comportement. Si tu résumes ce qu'elle vient de dire, tu dois être son débiteur. Un exemple flagrant de la logique féminine. Celle qui défie tout fonctionnement rationnel et productif. Celle qui est plus une anomalie systémique qu'autre chose.

« Vous voulez des excuses ? Venez donc les chercher. Je vous propose un petit défi simple. Vous avez l'air d'être un gentleman alors soit vous repartez sans vos excuses, soit vous venez les chercher mais je ne compte pas m'excuser pour un fait que le genre humain considérerait comme idiot. La faute qui si vous restez planter là, comme un idiot ? Certainement pas à moi. Cela dit votre intervention inconsciente m'a permis de m'en sortir facilement je dois dire. Peut-être devrais-je vous remerciez, mais certainement m'excuser. Vient donc les chercher tes excuses darling. »

Soit, du tapis de sol, tu viens de monter en grade, tu es le bouffon de sa majesté. Ce n'est pas comme si, tu n'avais ni dieu, ni maître, seulement, toi. Ce n'est pas comme si elle venait de te considérer comme le commun des mortelles. Ce n'est pas comme si elle venait de te rabaisser à son niveau. Il est logique que ce type de personnalité t'approche de cette manière. Il est plus facile d'atteindre l'inaccessible si l'on réduit l'écart entre soi et lui. Bien qu'elle commence à te taper sur le système avec ses airs arrogants et supérieur, tu ne peux qu'admette qu'elle se démarque du lot dans sa manière de faire. Serait-elle une partenaire de jeu qui puisse te satisfaire ? Te permettrait-elle enfin de terminer ton équation sur le genre féminin ? Quand bien même, tu es piqué. Te faire faire troller n'est pas du tout de ton goût. Tu observes ton environnement à la recherche d'une réponse adéquate. Il te fallait quelque chose qui refroidisse ses ardeurs, quelque chose qui soit à sa hauteur... Comme ce magnifique réservoir d'eau située juste au dessus d'elle et qui menace de céder.

« Les gentleman ne sont pas censés se présenter avant de faire une leçon sur le poids de la dame ?
»

En plus de te prendre de haut, chose que tu ne te permettrais jamais de faire sur personne, elle te signifie un manque courtoisie et de politesse... Comme dire, c'est la goutte qui fait déborder le vase. Ton « Scan On » du réservoir moribond est fini, tu passes à l'action.

« Je me dois de situer les choses dans le contexte. Tout idiot que je suis ne pouvait penser que les gens tombent des toits. Tout idiot que je suis peut éviter les excréments d'oiseaux parce qu'il sait qu'ils tombent du ciel, mais pas les autres. Toute serpillière que je suis doit rappeler qu'il est coutume de la nettoyer après usage. Je vous enverrais donc la note du pressing. Tout bouffon que je suis se propose de satisfaire à votre demande de divertissement. Votre débiteur que je suis commence par un simple numéro de jonglerie. J'espère qu'il vous plaira. Je vous donnerais mon nom seulement si j'arrive à piquer votre intérêt. »

Tu ramasses toute une série de pierres de la taille d'une boule de pétanque. Tu commences à jongler avec une, puis deux, trois, puis quatre... Tes yeux sont fixés sur sa majesté quand par manque de chance ou pas, tu trébuches sur le trottoir. Tu perds l'équilibre, tombes et au passage les pierres partent dans plusieurs directions. Te voilà parterre, recouvert de poussière, quelques vitres cassées autour de toi. Tu t'attends à ce que le voisinage se défoule sur toi...Bien que tu ais l'air d'un clown raté, ce qui te fait jubiler intérieurement et que l'une de ces pierres a atteint le point G du réservoir. Elle ne l'a pas percutée violemment. Elle a tant bien que mal rebondi et refoulé ici et là pour le titiller mollement. C'était suffisant pour atteindre le point de rupture, celui où la paroi rouillée se brise et relâche son eau directement en dessous... Si elle n'avait pas pris sa douche...

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Deuxième effet kiss-kool

L'effet papillon où le pouvoir d'un battement d'ailes ridicules

« Belzebuth ! »

Décidément, moi et la magie ça fait quatre. Il faudrait peut-être que j'arrête de la considérer comme un plus lié aux arts du spectacle. Non pas que je n'aime pas ceux-ci, au contraire. Ils nous font rêver, nous occupent l'esprit et attirent notre attention ailleurs. De cette manière, nous sommes sans défense. Sauf qu'il va falloir vraiment que je potasse la question pour me sentir un peu moins surpris à chaque fois que je croise une nouveauté. En fait, ça me démange de poser des questions, mais c'est jamais le bon moment. Les questions ont juste pour objectif de confirmer ce que je pense et ce que je suppute. Enfin, là, elle mérite mon intention. Elle vient de nous faire une invocation sympa. Le truc fonctionne comme un tampax, il absorbe le liquide. Il n'est pas du modèle super absorbant au regard du filet qui coule de sa bouche.

« Eh bien monsieur, je dois dire que votre distraction fut un échec total à votre petit complot contre ma personne mais je tiens quand même à vous rendre la pareille... »

Non pas du tout madame. Je suis un exemple de moralité et d'honneur. Je n'oserais jamais prendre les gens par derrière, ni en traitre. Je suis la noblesse incarnée. Chacun de mes actes, mes pensées, mes paroles est guidé par la noblesse qui oblige. Initialement, cela s'appliquait à toutes personnes ce prétendant être noble qui devait se conduire comme tel. Depuis, l'expression s'est un peu modernisée et s signifie que l'on doit agir en conformité avec la situation qu'on occupe, quelle qu'elle soit, avec la réputation qu'on a acquise. Moralité ? Que l'on soit baron, plombier, policier, psychomotricien, maîtresse en maternelle, éboueur, maréchal-ferrant ou encore caissière, l'expression peut être employée par tous sans discrimination aucune. Faut que j'arrête de penser comme cela, je pourrais m'étouffer. Vite, un truc pour m'enlever ce chat dans la gorge... Non pas ça. D'un coup, le tampon sur patte recrache la flotte directe sur moi. Attend, je ne sais pas ce que tu as avalé avant, tu es peut-être bourré de saleté ? Tu t'es brossé les dents... Là, c'est moi l'hôpital qui se fout de la charité. La pression est telle que je suis propulsé dans cette échoppe d'antiquaire. Oh la vache, mais ça fait mal. Sérieux, je n'ai pas été agressif, moi. Je suis un gentleman. Il faut encore que je tombe sur un dérangé de la tête. Qu'est-ce que je sens ? Au purée, cette lampe, cette espèce de tige en fer, je ne sais pas quoi encore, mais purée, je vais avoir encore plein de bleus. Je me relève titubant, je me regarde de la tête au pied et je sens cette odeur nauséabonde de l'eau croupissante... Mes habits...

« " Vous vouliez m'envoyer la note du pressing il me semble non ? Eh bien on peut dire que inutile maintenant. " »

Plutôt deux fois qu'une. Si j'ai choisi cette citerne, c'est parce qu'elle était sur le point de céder. Quel était sur un immeuble en ruine qui commence déjà à se fissurer sous l'effet crescendo de l'impact de cette dernière. Si, il y le panneau attention danger, faut faire attention. Au départ, je pensais t'aider, mais pour le besoin de mes expériences et ma connaissance de la magie, j'ai besoin de savoir si ton tampax peut absorber un immeuble de quatre étages qui de devrait faire des dégâts sur un cercle d'environ cinq mètres autour de lui... Si je n'ai pas encore pénétré toutes les lois de la magie, celle de la physique et de mathématique, ça fait très longtemps que je les ai fait mienne.

« Permettez moi de me présenter. Je suis Enya Taylor, mage de Raven Tail et je vais vous faire sécher car ça serait dommage que vous preniez froid non ? Léviathan !  »

Oh la belle bleue, et puis la jaune et la verte. Non, je ne suis pas à un feu d'artifice, mais en train de me faire dévêtir par un espèce de poisson, verre, reptile, serpent géant... Oh, je suis tout nu. Ah non, il me reste mon caleçon. Arf, si au passage, tu avais pu me sécher et m'enlever cette odeur. Tu aurais une option femme au foyer ? Ça tombe bien, je cherche une remplaçante pour ma gouvernante lors de ses congés. Il est difficile de trouver du personnel qualifié de nos jours. Non, Raven Tail n'est pas une bonne référence du tout, je ne peux pas d'embaucher, je suis totalement désolé. Il est vrai que j'ai manqué à tous mes devoirs et omis de me présenter.

« Donc où en étions nous déjà ? »

« Reprenons. Je me nomme Chance Holmes, j'exerce pour Sabertooth. Enchanté de vous connaître. Je viens de m'apercevoir que j'ai oublié ma crème solaire. C'est un peu gênant, vous ne trouvez pas. Je pourrais attraper des coups de soleil. L'avantage est que d'ici, je vais sécher et je ne sentirais plus cette odeur d'eau croupie sur ma peau. Je vois que vous êtes résolu à prendre soin vous-même de mes vêtements. J'en suis honoré, mais votre référence professionnelle est un peu légère dans ce domaine, je ne pourrais pas vous embaucher avec toute la bonne volonté du monde. Les guildes illégales ne sont pas des références. J'attends de voir d'ailleurs comment vous allez me divertir et gérer ce qui arrive. »

Alors que je parle, l'immeuble s'effondre des blocs plus ou moins gros tombe directement sur toi. Quelques poutres et autres gravats. Heureusement pour moi, j'ai ce sublime toc d'analyser tout ce qui m'entoure. Entre ces tentures, ces vieux tableaux, affiches ou autres, j'ai largement de quoi me protéger contre une attaque ou un détour des gravats dans ma direction. Ce à quoi je rajoute quelques vieilleries qui étaient de magnifiques armes à l'époque. Tant qu'il y a de la matière, je ne serais jamais nu. Je suis certain que j'ai ce petit sourire amusé...Je suis prêt ma grande.

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Pierre qui roule n'amasse pas mousse

« Lilith ! »

Toi, Lilith, je t'aime moins que l'autre d'un coup. L'autre ami de la belle était plus drôle. Stop ! Qu'est-ce que je viens de dire là ! J'ai sans doute attrapé une insolation. Holmes ressaisis-toi ! Ce n'est pas parce que la garce en jette qu'elle doit susciter une once d'intérêt. Pour le coup, je ne sais pas trop ce que t'est Lilith, mais t'est pratique comme moyen de transport. Je mets un dix sur dix à ton lancer de poids. C'est que l'arrogante n'est pas une plume, je compatis à ta douleur. Un spectacle qui me permet de préparer une suite acceptable ou pas...

« « Bien. Je pense que votre tentative a été très explicité mon cher mais je ne compte pas jouer à ce petit jeu toute la journée. Il est grand temps qu'on passe à un niveau supérieur non ?Tu vas lui faire quoi au pauvre petit ?...Rentre. Je n'ai plus besoin de toi, je vais régler ça à ma façon »

Hum, un court résumé de mes dernières aventures pour préciser que je ne suis pas masochiste. J'accepte éventuellement le terme suicidaire, mais j'émets des réserves quant à la définition courante. Premièrement, je n'ai aucun problème avec la vie. Elle m'aime, je la tolère. Oui, je sais dit comme cela, c'est presque présomptueux, mais bon, je suis Holmes et je n'ai pas égal. Je tolère, c'est tout. Du coup, je n'ai en aucun l'intention d'attenter à la fin de ma vie. Deuxièmement, il existe de nombreuses étrangères et inconnue qui n'auront jamais de passeport pour pénétrer sur mon territoire, dont la peur. Dernièrement, je suis totalement rationnel, une mécanique parfaite. Le résultat de cette alchimie haute qualité est que si nécessiter fait besoin, je peux me couper un bras. J'évite quand même les options handicapantes, c'est nuisible à mon image de play-boy. Ce n'est pas que plaire aux autres soit un besoin, c'est juste que cela peut être utile. Il est logique que je préserve mon capital dans cette optique. Tout ça pour dire que dernièrement, j'ai la côte auprès des psychopathes magiques. Le premier a été ce chat. Le second, ce mégalomane impuissant qui se fait appeler la « Mort Noire ». Toi, tu arrives un peu comme la cerise sur le gâteau. Tu remportes largement la palme.

« Vous souhaitez aussi vous dévêtir et profiter des joies du soleil ? C'est vrai que je vous trouve un blanche. Avez-vous manqué de lumière récemment ? Si c'est le cas, je ne peux que vous conseiller de prendre une crème avec un indice maximal. »

« «Aaaaah bon, bon, bon...J'en ai perdu le fil de ce que je voulais faire à la base avec tout ça et honnêtement, cela m'embêterais franchement que la garde arrive sur les lieux avec ce qu'il vient de se passer. Donc faisons ça vite et bien. »

Si tu insiste, en tant que gentleman, je ne peux qu'accéder à ta requête. Si tu es du genre à aimer ce qui est court, je ne sais pas si je pourrais te satisfaire, mais je ferais de mon mieux.

« Noblesse oblige, si vous insistez... »

« Athéna !...Faisons un pari car tu me plais bien. Si je gagne ce combat...Tu quittes Sabertooth et tu viens jouer avec moi, tu as l'air d'avoir du potentiel que tu refoules ce qui m'amuse d'autant plus. Si tu gagnes..Hmm...Tu as le droit de..Pas de me mettre en prison ça m'embêterais mais je te devrais un service. »

Arf... C'est un coup-bas, tu viens de me prendre par les sentiments. Par contre, le reste, tu oublies. D'une part, mon potentiel se porte très bien et en a strictement rien à faire de toi ou des autres. Lui et moi, on s'autosuffit. T'amuser pourquoi pas. Après, je suis jouet qui ne porte pas la fameuse NF (norme de Fiore), si tu blesses avec moi, tu assumes et tu me laisses en paix. D'ailleurs, j'irai bien déjeuner en paix. Genre, je quitte Saber et tu me dois un service... C'est tout simplement impossible possible dans les deux cas. Oui, tu me plais bien. Ne t'emballes pas non plus, c'est juste que tu sors du lot, tu peux prétendre marcher derrière moi. Ton potentiel est intéressant, il ne demande qu'à être développé. Je peux m'en charger si tu veux. Je te proposes autre chose. Je ne suis pas pressé.

« Vendu a deux détails près non négociable. Tu gagnes, je te dois un service. Tu perds, tu me dois un service. Le gagnant invite le perdant à manger. »

Sur ces mots, je m'enveloppe d'une aura jaune. Dans ma main, je joue avec cinq cailloux. Je te souris. Je les envoie dans ta direction au passage ces derniers grandissent, grossissent pour reprendre leur taille taille d'origine. Cinq rochers foncent t'embrasser. Deux se proposent de venir par le dessus. Les trois autres foncent en ligne droite directement sur toi. Tu es pressé. Je fais de mon mieux.

Codage by TAC