Cette nonchalance captivante imbibait chacun de ses gestes, y avait de la lenteur dans ses mouvements, les mains plantés dans les abysses de ses poches, les yeux un peu mi-clos et sa bouche qui se déformait pour simuler un bâillement. Il entendait les grondements capricieux et tumultueux de Volcanos - il fallait vraiment qu'il s'active un peu plus s'il ne voulait pas se faire balayer quand Volcanos échouera ses soupirs de cendres contre le palais. Il n'aimait pas non plus trop jouer à cache-cache. Dès que ses pas percutaient les dalles, la terre frissonné, comme si elle était séduite par Zadig entièrement, comme si elle lui était dévouée.
_ Trouve-moi le minou qui s'est paumé là, je commence à me perdre dans ce truc trop grand pour moi.
Carrément trop vaste pour lui, les couloirs étaient toujours trop grands, toujours trop emmêlés et lui il s'égarait dans ses espaces trop grands. Du coup il pouvait errer des heures et des heures pour chercher des choses, alors autant dire que l'envoyer chercher quelqu'un qui s'était perdu alors que lui même s'égarer tout le temps. Bref, la tâche s'annonçait ardue. Des fissures le guidèrent vers le coin du mur et s'arrêtèrent là – le chat errant devait sûrement se faufiler dans des lambeaux d'ombres. Zadig renifla bruyamment et plissa ses genoux vers les bouts d'ombres, il voyait deux billes d'émeraudes le fixer comme s'il allait le décortiquer. Il avait cet air un peu nonchalant et il bailla.
_ Eh bah putain, ça fait 10 minutes que je te cherche, tu pouvais pas te planquer à un endroit moins chiant à trouver ?
Il glissa une main dans ses cheveux clairs et ses yeux ambrés ne le lâchèrent pas du regard. Il eut un léger sourire et s'assit en tailleur face à lui. Il s'alluma une clope comme ces penseurs et il dit sur un ton presque sérieux.
_ Si t'as décidé d'quitter ton équipe c'est pas pour rien et j'connais ce regard, j'le connais trop bien. Alors j'vais te proposer un marché,
Il souffla la fumée par le nez et cendra sur le parquet.
_ T'as un truc en toi qui a besoin de s'exprimer, ils voudront toujours t'enlacer de leurs chaînes qu'on appelle les lois. Jamais tu pourras exprimer, tu seras toujours enclavé au sol, alors mon poulet j'te propose une chose cool, si t'acceptes pas, perso j'men carre l'oignon.
Il tira à nouveau sur sa cigarette.
_ Ca te dit de foutre un peu le bordel avec nous ?
Il sourit.
_ Ca te dit de montrer au monde le regard que tu lui portes ? T'inquiète, ça fait kiffer.
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Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Ven 30 Mai - 17:16
Damaz Elandez
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Ajatar Virke
Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Mar 3 Juin - 14:34
Ses vociférations allaient crever le ciel, y avait ce trop de haine qui écumait ses lèvres sèches, y avait cette fureur qui asphyxiait l'éclat de ses pupilles animales. Les murmures de colère de Damaz lui étaient étrangers et le rendait maladroit, parce qu'il n'était qu'un enfant encore, Zadig. Une âme d'enfant prisonnier dans la carapace de son corps d'adulte. Il se heurtait à ce corps chaud de Damaz, il sentit son dos rebondir au sol, et la terre hérissait déjà la chair, prête à répliquer aussitôt qu'on s'attaquait à son protégé – jalouse aussi peut-être de cette proximité provocatrice qu'instaurait cet être – il était même nu.
Un sourire étrange caressa les lèvres de Zadig.
Il paraissait tellement décontracté et son regard paraissait si enjoué. Ca ne l'avait même pas effleuré, ni même énervé, il était imperméable, c'était comme si tout lui coulait dessus et s'écoulait à ses pieds sans même qu'il ne s'en rende compte.
_ Me baiser ?
Ricanement moqueur. C'était foudroyant presque.
_ Tu devrais te relever, sinon elle va pas être contente.
Un grondement sourd semblait résonner des entrailles de la terre. Zadig ne bougeait toujours pas. Puis son front se releva subitement et alla s'éclater contre celui de Damaz. Zadig était monstrueusement solide comme une montagne, et leurs deux fronts s'entrechoquèrent dans une collision douloureuse. D'un mouvement d'épaules sec, Zadig échangea les positions, du sang s'écoulait de ses avants bras. Ses mains saisirent les poignets de Damaz et les clouèrent de chaque côté de sa tête. Là, ce fut lui qui rapprocha de son visage, de cette expression moqueuse et hautaine.
_ Vengeance ? Bah elle est où, là, ta vengeance ?
Il força sa prise sur ses poignets.
_ J'vois rien d'autre qu'un chaton en colère.
Ca c'était fait exprès, lui aussi il pouvait pousser les âmes au dessus d'un précipice, c'était fou comme ce qu'il sortait était doux et amère à la fois. C'était comme une caresse parfumée d'un coup de poing. Il se releva en évitant soigneusement que l'autre déchire sa peau en lambeaux avec ses paroles ou avec ses griffes.
Sa peau un peu trop immaculée de blessures.
_ Si tu veux ta vengeance, viens la chercher.
La terre semblait appuyait les propos de Zadig.
_ À Ajatar, on l'offre qu'aux plus méritants.
Il rit presque amusé.
_ Alors, amène-toi, et jouons.
Damaz, ce n'était qu'un test, le test de ta puissance, si ta haine pouvait insuffler une nouvelle force à Ajatar.
Effleure tes poings contre la peau de Zadig, déchire le de tes griffes vengeresses. Déferle tout ce qui est resté cloîtré dans ton ventre trop longtemps. Montre lui ce que tu vaux.
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Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Mer 4 Juin - 19:02
Damaz Elandez
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Ajatar Virke
Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Lun 9 Juin - 22:29
Il s'irritait. C'était comme si les paroles provocantes et acides de Zadig fissuraient son visage tanné, déjà déformé par le courroux d'une colère. Il le sentait à ses tremblements, comme si la fureur de son cœur résonnait en un écho incompris chez Zadig. Ces battements qui pulsaient de rage, la manière dont il avait d'écorcher son visage qui réclamait vengeance. Puis il s'était éparpillé, dans un élan furieux et impétueux, en neuf âmes qui arpentaient la salle. Zadig étira un sourire, il passa son index sous sa lèvre inférieure pour essuyer une tâche de sang. Il se plissa légèrement, pliant les genoux et courbant le dos, pour poser ses mains sur ses genoux. Il y avait un éclat espiègle qui luisait, étincelait dans ses iris féroces et innocente comme un incendie.
_ Cool, cool, ça s'annonce bien.
Un bout d'âme de Damaz surgit sur la gauche de Zadig – qui esquiva de peu en sautant un peu plus loin. Deux autres attaquèrent sur les côtés, il recula à nouveau et manqua de tomber à la renverse. Un autre profita de cet instant pour lui bondir dessus, et dans une étreinte violente, ils roulèrent sur plusieurs mètres au sol, Zadig parvint à le maintenir au sol, mais la mâchoire carnassière de Damaz se planta dans son épaule avec cette fureur gourmande. La chemise à carreaux de Zadig commença à s'empourprer d'une flaque presque pourpre et le mage retroussa les lèvres pour refouler un gémissement de douleur.
_ Aïe, aïe... merde, tu m'as eu. C'était bien joué !
La terre semblait gronder plus fort, et n'avait pas le même sens d'enthousiasme que son protégé. Alors que les autres clones s'apprêtaient à fondre sur Zadig, un rempart s'érigea et ils s'écrasèrent contre. Elle semblait rugir, et bientôt, celui qui avait toujours la gueule dans la chair de Zadig fut victime de son courroux furieux. La terre se fendit sous la position du clone, et comme un linceul, elle remonta de part et d'autres de son corps et le broya. Il disparut dans un nuage de poussière. Et comme une mère, elle sembla s'être inquiétée pour Zadig, parce que ça se sentait dans la manière qu'elle avait de rugir comme une mère en colère, comme si Zadig était l'objet d'un amour défendu. Comme si Zadig...
La barrière de roche qui avait servit à le défendre s'effrita et tomba en lambeaux. Les clones étaient toujours là, ça commençait vraiment à l'embêter sérieusement. Il posa sa main sur son épaule ensanglantée, sa chemise avait été déchirée à ce niveau là.
_ Ah bah t'as détruit ma chemise préférée, tu sais combien ça coûte ça sérieux ?
Mais chaque syllabe était lente, presque nonchalante, il était blasé. Il s'occupait plus de sa chemise à carreaux déchirée que son épaule où trônaient encore la marque fraîche des crocs de Damaz.
_ Comment je vais faire, Lydia va me tuer, c'était son cadeau pour mon anniversaire...
Il sourit à nouveau l'air de dire
_ Bah au moins elle m'en trouvera une autre.
Les clones n'avaient pas entendu qu'il finisse de sceller ses lèvres pour lui bondir à nouveau dessus, comme le feraient des météorites. Ils étaient coordonnés et Zadig fut contrait de se reculer contre un mur. Il frappa dans ses mains et se concentra, sa magie, non, son aura grandit violemment. C'était rouge, rouge sang. C'était violent, c'était violent ce qu'il dégageait Zadig à ce moment là, c'était comme si un cascade l'enveloppait, un vrombissement houleux fit gémir les murs dont les pierres menaçaient de s'effondrer. Ca grondait de partout, Damaz tu n'es plus en sécurité. Zadig releva le menton et fit un clin d'oeil ainsi qu'un haussement de sourcil sexy.
_ Burn.
Et son aura qui était condensée, se libéra d'un seul coup, et comme un ras-de-marée, elle emporta dans le sillage de son souffle calciné les autres bouts d'âmes qui se ruaient sur lui. Elle avait un quelque chose d'animal son aura, quelque chose de bestial. Il s'essuya les mains comme s'il venait de faire la poussière.
_ Bon, ça, c'est fait !
Il n'en restait plus beaucoup, de clones. Puis d'un coup, il planta son pieds au sol, et les craquements déchirés de la terre résonnèrent comme une complainte meurtrie, comme si tout s'effondrait, mais le but était unique : les bouts de terre et leurs hurlements fracassés s'échoueraient contre les tympans sensibles du chat.
_ Allez chaton, épate-moi. Tu sais que si tu veux baiser à un moment ou un autre, va falloir passer à la vitesse supérieure.
Sourire mutin et regard enjoué. Décidément il semblait bien s'éclater.
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Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Mar 10 Juin - 8:57
Damaz Elandez
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Ajatar Virke
Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Mar 10 Juin - 16:26
Il y avait eu quelque chose de dérangeant – comme un aveu camouflé, quelque chose d’empoisonné dans le regard qu'il lui avait lancé. Et cette douleur vie à la jambe lui fit baisser les yeux, la douleur éclata comme les éclairs et la foudre, puis il sentit quelque chose de sourd, comme un écho inlassable qui se frottait contre ses tympans. Puis la sensation désagréables que tous ses organes s'emmélés entre eux, comme si son cœur était à la place de ses poumons, les poumons à la place des intestins.
Il avait le cœur au bout des lèvres et lorsque ses yeux s'abaissèrent, il ne s’aperçut d'aucunes blessures. Alors comment ? Comment ça pouvait arriver ? Le sol semblait frémir, comme si elle était réceptive à la douleur de Zadig. Mais ça faisait mal, ça restait. Une illusion peut-être ? Non, impossible, ce n'était pas un tour de passe-passe, le matou ferait mieux que ça. Alors d'où ce mal émergeait pour lui qu'autant de douleurs s'élance à un rythme saccadé dans son corps, sans qu'il n'y ait de blessures ?
Sa jambe faillit défaillir, Zadig scella sa mâchoire pour ne lâcher aucun mot, pas même offrir la satisfaction à Damaz de le voir chanceler. Oh ça non. Alors il se pencha à moitié vers l'avant, d'un geste un peu vif, comme un clignement de paupières. La douleur augmentait au fur et à mesure qu'il sentait ses craquements d'os, il sentit à nouveau la nausée lui venir, quelque chose de brut qui lui fracturé son corps de partout sans laisser de marques. Ses quelques mèches de cheveux s’aplatirent contre son visage, des gouttes de sueurs jaillissaient au niveau de ses tempes et dégoulinaient au niveau du bas de ses joues.
_ Ah je sais pas ce que tu m'as fais là, mais ça m'fait sacrément pas du bien.
Il se redressa tant bien que mal, son souffle était devenu irrégulier mais son sourire enjoué ne quittait pas ses lèvres. Zadig, Peut-être était-ce un choc mental, mais s'il ne ressentait pas de douleur physique, il ne devait pas s'arrêter. Il n'était pas venu là pour rien.
_ Bon, t'es en train de testé ma motiv' là ? C'est parti.
Il se recourba à nouveau, réprimant à nouveau un rictus douloureux. Puis d'un coup, il la murmura, cette sentence.
_ Embers of vulcain.
Et tout s'embrase dans un souffle à nouveau brûlant, qu'il calcine tout sur son périmètre. Les flammes s'élèvent et étouffent Zadig comme un cocon protecteur. Mais ça s'élève, c'était comme si les flammes le brûlaient, le rongeaient. Tu le sens toi aussi, Damaz, n'est-ce pas ? Cette chaleur ardente qui te frôle la peau, comme si tu allais prendre un feu, comme si tu étais prisonnier des flammes sans y être dedans. Comme si le lien que tu venais de créer prenait feu, comme si tu prenais feu. Comme si tu n'étais qu'un objet. Tu sens cette douleur vive, comme ce feu ardent que tu ne veux qu'éteindre, cette incendie qui t'enflamme le corps alors qu'aucune flamme ne te touches. Et Zadig augmente la température, toujours, toujours, et il comprend alors que vous êtes liés. Alors il décharge encore plus la rage et les flammes le contournent toujours, comme s'il n'était plus qu'une flamme.
_ Ah c'est pas vraiment cool ce que t'as fais, ni vraiment loyal, enfin bref si on est liés je vais te montrer.
Les flammes gravitent toujours autour de lui, et se transforme en magma, comme si Zadig déchargeait sa puissance. Comme s'il se transformait en un monstre exquisément puissant. Comme si l'enfance s'était mué en adulte. Comme pour asseoir sa domination sur Damaz, dire qu'il ne fallait pas qu'il continue, sinon il allait le tuer. Puis d'un coup, il stoppa tout. La plupart de ses vêtements étaient en lambeaux, il était torse-nu, son pantalon avait encore quelques flammes et il se le tapa nonchalamment à l'aide de ses mains.
_ Eh merde, je savais que j'aurais jamais dû faire ça.
Une de ses basquettes étaient brûlées, il tapa avec le reste de sa chemise sur ses cuisses pour éteindre les quelques flammèches qui persistaient.
_ Bon sinon moi c'est Zadig. Je pense que les autres t'aimeront bien aussi. C'est quoi ton nom à toi ?
Il s'étira lentement et bailla, baissant un œil sur Damaz.
_ T'es sûr que tu veux continuer ? Parce que faut vraiment pas m'échauffer, sinon j'm'arrête plus. Tu comprends ? J'ai pas trop envie de tuer quelqu'un aujourd'hui quoi.
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Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Jeu 12 Juin - 14:35
Damaz Elandez
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Ajatar Virke
Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance Lun 30 Juin - 8:57
Zadig haussa les sourcils à l'annonce du mage face à lui. Il enlaça ses bras sur son torse en baillant légèrement.
_ T'es pas très sympa de pas me dire ton prénom. J'sais pas c'est quand même la moindre des choses, t'imagines même pas l'angoisse dans laquelle je suis, là. (notez l'ironie.) Bref, pour répondre à ta question ouais, le conseil devrait y passer à un moment ou un autre. Et puis t'es pas non plus très cool de dire que tu veux me buter, je sais pas, on se connaît pas et tu souhaites déjà ma mort ?!
Il soupira tandis qu'un sourire langoureux s'esquissa sur ses lèvres ;
_ Que d'attention, j'en serais presque touché...
Il s'avança vers lui et décroisa ses bras pendant que la distance qui les éloignaient se réduisait, il enfonça ses mains dans ses poches. Puis les retira à nouveau, il était front contre front face à Damaz. Et là, il baissa la tête, et quand il releva le front. Que c'était perturbant, Damaz, tu avais l'impression de faire face à un démon. Un démon qui s'était insinué dans les traits angéliques de Zadig. Tu le vis dans son sourire, dans ses yeux qui luisaient de manière espiègle. Ce démon attendrissant. Sa main se posa contre ta nuque, sur la marque des Pégases. Et de l'énergie chaude, presque brûlante, vint s'apposer contre le stigmate de ton ancienne famille – c'était douloureux, peut-être parce que Zadig voulait te faire connaître la gravité de ton choix. Abandonné ta guilde au profit d'une autre parce qu'elle déversait tes propres intérêts. Cette douleur qui ne faisait que croître, c'était pour que tu te rendes compte de la violence du choix que tu avais fais.
_ Voilà.
Il rangea sa main nonchalamment à nouveau dans les poches. D'un pas, il se recula et lui tourna le dos. Le grondement de Volcanos se fit plus puissant.
_ Bienvenue à Ajatar, on devrait pas tarder à y aller.
Et dans l'ombre, il continua à s'avancer. Ne se souciant même pas si tu le suivais, ce fût au bout de quelques mètres qu'il se retourna.
_ Allez, bouge-toi, ça commence à craindre ici.
Et Zadig attendit que tu t'avances, avant de continuer de marcher, les mains dans les poches. S'enfoncer dans les ténèbres du palais pour préparer leur fuite et celle des autres. Volcanos perdrait bientôt patience.
♦ ♠ ♦ ♠
Sujet: Re: Les Méandres de la Vengeance
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