Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Dim 29 Juin - 18:03
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Deux frères
En talon aiguille
Tu sais bien que toutes les femmes aiment les diamants et qu'elles peuvent résister à son attraction. Sauf que tu n'es pas du sexe faible, tu es de l'autre, tu restes insensible à cette beauté froide et étincelante qu'elle dégage. Tu ne paniques pas parce que comme tout bon professionnel que tu es, tu avais réalisé une analyse fine et parfaite de chaque particule de matière que tu portes. Tu aimes particulièrement transformer tes vêtements en armes ou en tout autre chose même si en même temps, tu n'aimes pas les abîmer. Tout le monde sait que le diamant est l'un des minéraux le plus résistant, voire tranchant en fonction de la taille. Taper direct dedans, c'est se briser un la main, se prendre une droite s'est se faire fracturer la mâchoire. Autant utiliser la relation de force, de masse et de mouvement générée par ta camarade de jeux. Alors que ce corps aux reflets aveuglants fonce sur toi, tu altères ta robe serrée lui donnant la flexibilité et le ressort de cet élastique. Tu as fermé les yeux pour ne pas te faire déconcentrer par ce jeu de lumière et te centrer sur le son. Chaque pas, chaque résonnance est un indice sur la trajectoire de ton adversaire. Au moment où elle fonce sur toi, tu lèves, écartes tes jambes à bonne hauteur et suffisamment pour que notre précieuse en devienne ridicule.
Elle a mis tellement d'amour et d'affection dans son approche que ta robe tendue à l'extrême pris peur et l'envoie valser dans le mur en face.Tu entends se bruit une série de bruit sourd. Tu rouvres tes yeux. Tu vois ta nouvelle amie encastrée dans le mur. Sa transformation se dissipe, la tension qui parcourt son corps aussi et la voilà qu'elle tombe comme une loque par terre. Tu espères ne pas y être allé trop fort. Tu as autant de question à lui poser qu'à ce détenu qui vient de perdre le sourire. Elena semble avoir fait de même avec sa bête. Décidément, elle a ce côté animal des plus surprenant, elle te fait penser à un tigre en cage qui se jette sur sa proie dès qu'il le peut. Tu t'actives et détaches deux bandeaux de ta taille si joliment dessinée. Il mesure un bon mètre chacun, c'est avec une application des plus consciencieuse que tu leur donnes une élasticité prodigieuse. De prime à bord vu, leur finesse personne n'aurait pensé qu'ils sont en latex. C'est une matière qui peut paraître des plus fragile parce qu'elle se déchire, mais elle aussi des plus solide tant elle capable de résister à une forte traction avant de rompre. Tu attaches la bête de foire et la précieuse pendant qu'ils sont encore inconscients ou somnolants. Tu en profites pour répondre à la chaleureuse invitation de ton assistante de circonstance. Au delà d'être... Ce qu'elle est, tu n'arrives pas encore à mettre des mots pertinents pour la décrire avec exactitude. Elle est quelque peu sucpétible.
" Je n'en ai pas finis avec toi, on réglera nos comptes quand on en aura finit avec tout ceci. "
" Sauf erreur de ma part, je ne pense pas avoir commencé quoique ce soit avec toi. Si tu dois terminer des choses avec moi, fait le seule. Je ne suis pas intéressé."
Tu dis le tout le plus calmement alors que tu en profites pour mettre un savant coup de genou dans l'entre-jambe du détenu témoin que vous êtes venu interrogé et qui vient de tenter de se faire la belle en douce comme si de rien n'était. Alors qu'il est parterre, tu enchaînes avec lui sur le ton de cet automate froid aux rythmes mathématique qui analyse tout en posant des questions.
"Bien maintenant que nous sommes entre amis sans gêne extérieure, nous allons pouvoir travailler. Avant toute chose, je vais mettre une ou deux choses au point. Un, je ne suis pas adepte des plans à plusieurs, je vous prierais de prendre en considération que tout le monde n'est pas fan de ce genre de pratique dans votre avenir, cela vous évitera quelques douleurs inutiles. Je vous demande simplement par me répondre par oui ou par non et de me donner le nom de ma véritable cible."
Il te rit au nez. Tu ne réagis pas à cette provocation inutile par la parole. Tu ramasses ce scalpel qui a atterri à tes pieds, tu ne sais pas comment. Tu le regardes et tu lui tranches le poignet.
"Voyez-vous, je ne suis pas un meurtrier, ni un violent. Cependant, je peux vous trancher les veines les plus importantes de votre corps. Vous attachez et vous laisser pourrir quelques heures avant de signaler votre présence plus tard. De cette manière, vous allez sentir le mort s'approcher à grand pas. Pouvez-vous nous reprendre ou dois-je continuer ?"
"Oui"
" Vous m'envoyez ravi. Au départ, je pensais que vous étiez la victime d'une homme influent de la ville. Probablement, un politique. Pourquoi je vous dis cela. C'est élémentaire, pour laisser pénétrer les deux personnes là-bas, il faut une influence suffisante. Je pense que l'adjoint à la sureté urbaine est cette personne. Initialement, vous étiez une victime involontaire. Il est fort probable que pour éponger des dettes et garder votre ex-femme auprès de vous, vus avez acceptez des missions douteuses. Ex-femme, parce que la maque de votre anneau de mariage est encore visible sur votre main. Vous êtes tombé par négligence comme votre employeur va tomber sous peu. Votre femme vous a largué, vous êtes parti en dépression. Votre patron a profité de vos faiblesses encore une fois. Il a envoyé ses hommes à peine avant notre arrivé et vous proposer un nouveau deal. Ce que vous avez accepté au regard de ce sourire arrogant à votre arrivé. Vous n'avez plus d'informations utiles à notre affaire, vous pouvez retourner moisir en prison. Nous allons concentrer notre attention sur vos acolytes pour savoir où trouver votre employeur et son niveau de protection. N'est-ce pas Elena ? Tu veux interroger où je le fais ? Confirmez-vous ? "
"Oui"
Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Dim 6 Juil - 7:44
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Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Mer 9 Juil - 12:47
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La positive attiude ?
Lorie a ses règles et toi tu bulles...
Travailler, c'est le bien. Tu pourrais presque être adepte de l'une des doctrines de ton ancienne famille, travailler plus pour gagner plus. Sauf que ce qui suscite ton intérêt dans cette activité est l'intelligence que l'on y met. Chose que ta partenaire de circonstance semble manquer. Tu exagères un peu. Ce n'est pas parce qu'elle dégage un mélange dont seuls les adolescents en le secret, beaucoup de « j'ai envie de tuer », un peu de « tu me les brises sévères », un peu de « tu me blases ». Tu as omis ce détail sur Elena, elle n'est pas qu'un outil plus moins maniable, elle une adolescente. Tu as le double de son âge. Tu te retrouves presque dans une situation que tu aimes temps, celle du baby-sitter. Dans ces coups de temps, un parent aimant et attentionné, chose dont tu ignorais le concept jusqu'à Watson, aurait enfermé la boutonneuse dans sa chambre jusqu'à ce que la furie se soit calmée. Elle a au moins sa capacité de mage qui n'est pas à prendre à la légère et des aptitudes aux combats intéressantes. Cela remonte sa note qui sert proche du zéro selon tes critères. N'aurait-elle pas ses règles au passage ? Tu ne le sais pas, mais cela pourrait être aussi à l'origine de son instabilité émotionnelle. Les hormones quand ça les tient...
Tu ne fais pas plus attention à elle que cela. C'est à peine que tu la vois s'absenter pour se changer, c'est à peine si tu la vois te rejoindre. Tu es train de réfléchir à comment atteindre rapidement ta cible. Tu ne souhaites pas trainer plus longtemps une affaire que tu as déjà résolue. Dans l'idéal, c'est que l'autre se point faire une visite surprise dans la prison. Cela te permettrait de le mettre sous les barreaux directement. Tu ne serais pas un peu fainéant pour le coup ? Totalement, mais tu assumes. Tu penses que fainéantise est l'expression de l'intelligence, réaliser un minimum d'effort pour atteindre ces objectifs, briller par la stratégie employée, tu n'as pas tort. Tu sais que ce n'est pas donné à tout le monde. Tu ne fais pas exception à la règle. Ce n'est pas comme si pour toi la magie avait nécessité de travailler. Tout beau génie que tu es, tu n'es pas parfait. Tu ne démens pas. Tu penses juste comme cette discipline est de mineure parmi les autres. Elle nécessite que tu t'abaisses à ce niveau. Tu estimes que c'est un travail des plus difficile pour toi. Tu devrais penser à la considérer différemment, un jour ce point de vue de jouera des surprises. C'est ta vie, tu fais bien comme tu veux après tout.
Ces considérations n'occupent que peu ton esprit. Tu restes concentré sur la meilleure manière d'attirer ta proie. Il faudrait une raison pour la faire venir ici. À cet instant, tu te figes dans ton palais mental. Cet endroit où seul toi as accès. Telle, une machine aux capacités de calcul infini, tu fais défiler toutes les données. Tu zoomes sur certaines, en mets certaines dans la corbeille, ouvrant plusieurs dossiers simultanément, tu traites les sons, les images, les odeurs, les archives de presse, les faits divers, les ragots du coin... Tu passes tout au peigne fin. Pour ne pas être gêner durant cette période, tu t'es posé assis parterre contre le mur entre ses deux grilles. Ce n'est pas comme si tu en avais pour une bonne vingtaine de minutes que le monde pourrait s'effondrer, que tu pourrais mourir ou être torturer, tu ne le sentirais pas. C'est autant une faiblesse qu'un formidable bouclier, être capable de se couper entièrement du monde. Avec tes yeux dans le vide, un corps immobile, tu ressembles à un autiste dans son monde. Quand même dans un couloir de sécurité qui est à deux pas, deux portes du bureau du directeur, tu aurais pu attendre.
Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Dim 13 Juil - 0:04
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Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Lun 4 Aoû - 23:23
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Le sport c'est la santé
Mais biensûr, et la marmotte, mais le chocolat dans le papier d'alu...
Te voilà enfermé dans ton palais mental. Te voilà en train de retraiter toutes les informations que tu as récoltées. Tu commences par te remémorer toutes les notes de frais, livres de comptes, factures et autres pièces comptables que tu as récupérées auprès du juge local. Celui qui a enfermé cet homme. Tu avais demandé le dossier complet avant de te rendre sur les lieux. De ces dernières, tu notes un détail récurrent. Tous les jeudis, il mangeait dans un restaurant différent. Tous les jeudis, il réglait la note pour quatre alors qu'il était, qu'il est fauché et endetté. Tous les samedis, il se rendait dans cette boulangerie et commandait les mêmes produits en même quantité. Il prenait des viennoiseries diverses pour une trentaine de personnes. Il a réitéré cette opération pendant six mois. Durant son interrogatoire, il a prétexté que c'était pour un chantier au noir. Sauf que lorsque tu as vu ses mains, tu as su qu'il mentait. Il a des mains de pianiste bien entretenues sans aucune musculature. Le juge a poussé son investigation à peine plus loin. Il a rencontré une dizaine de gars qui ont confirmé la version de notre ami. Il n'y avait aucun lien apparent entre eux à part le besoin d'argent. Les écritures comptables indiquent simplement la remise de fortes sommes d'espèces sur son compte. L'enquête a déterminé qu'il était le chef nigaud d'un réseau, c'est pour cela qu'il est tombé. La réalité est autre.
Toujours avant de venir, tu avais obtenu par un sombre chantage dont tu as le secret la liste du personnel municipal et celui de la prison. Tu as lu plusieurs fois la liste du personnel carcéral, certains noms te disaient quelque chose. Tu as fait les cent pas dans ton appartement au grand damne de Mme Doubtfire qui n'en pouvait plus. Sans faire exprès, tu as fait tomber la liste des personnes qui travaillaient au noir avec votre ami incarcéré. C'était les mêmes noms. Ce soi-disant chef de réseau a pendant six mois emmenés des croissants à ses gardiens de cellule. C'était tout sauf une coïncidence. En comparant les noms de certains avec le registre des employés de la ville. Tu as vu que leurs femmes travaillaient pour la municipalité, soit au service de sûreté, soit au service d'urbanisme. Ce dernier délivre les autorisations de construire, gère les biens immobiliers, les travaux municipaux... Suite à cela, tu as obtenu légalement les comptes de la ville en t'adressant au service des impôts. Pour aller un peu plus loin, tu as graissé la patte du trésorier en chef et obtenir certaines pièces comptables. La facilité avec laquelle tu l'as acheté et les preuves obtenues t'ont permis de déterminer que la ville à acheter des matériaux de construction. Achats que tu as jugé inutile au regard de ses stocks et de l'absence de travaux municipaux. La question qui t'est venue à ce moment était à quoi cela pouvait-il service ?
La réponse est élémentaire à l'heure actuelle. À ton arrivée dans la prison, tu as remarqué diverses traces résiduelles significatives. La zone a été en travaux, il y a peu. Sauf que la prison n'a jamais eu de permis de construire, ni aucune autorisation d'extension délivrée. Elle n'a même jamais fait la demande. Il y a aussi cette odeur qui flotte dans l'air. Elle est à peine perceptible, mais pour le chimiste et le drogué d'élite que tu es, ces effluves te rappellent tes tests sur certaines substances, certains composants employés dans la fabrication de certaines drogues. Tu analyses ces odeurs avec plus de finesses et estime qu'il s'agit des composants employés pour fabriquer cette drogue magie, celle issue de cette fleur bleue. Elle a deux effets, le premier est de conférer une force sur-humaine à des personnes qui ne pratiquent pas la magie. De cette manière, leur masse musculaire augmente considérablement. L'effet est si puissant qu'il transforme son utilisateur en golgoth. Une espèce d'homme vert ou bleu qui peut faire s'effondrer un mur du bout de ses doigts. Leur rapidité et leur résistance sont également accrues. Néanmoins, si leur peau est dure comme le cuir, dès que cette dernière est percée, c'est une vraie fontaine. L'autre effet est moins sympa. Celui qui a pris cette substance, une fois passé l'effet Berserk, meurt violemment. L'effet dure trois minutes. Ces derniers équipés, d'une tenue protectrice, deviennent des armes efficaces durant ce court laps de temps. Notre commanditaire final, celui qui tire les ficelles dans l'ombre, ce politique responsable de la sûreté locale voudrait-il se faire une armée personnelle ? Un réseau de kamikazes ?
La question est de savoir où tu mettrais un laboratoire. Tu passes en long et en large toutes les données sensorielles que tu as enregistrées. Tu t'arrêtes sur ce son creux à chacun de tes pas. C'est comme si tu marchais à l'étage. Les plans de la prison n'ont jamais fait mention d'un sous-sol. Tu cherches dans tes images des éventuelles grilles d'aération. Par chance pour toi, un est posée juste derrière toi. Comment tu l'as remarqué ? C'est élémentaire. Théoriquement au regard des marques du sol, il devrait y avoir un banc fixé. Sa présence masquerait la grille. Là, ce n'est pas le cas. C'est ce qu'on peut appeler avoir ou manquer de chance, selon le point de vue. L'usine est sous tes pies. À cet instant, tu sors de ton palais mental.
"Et maintenant ? Qu'est-ce que l'on fait ? "
" Parfait timing Elena. Je te propose d'échanger des mots un peu plus tard. Je pense nous proposer un peu de sport dans les minutes qui vont suivre. Pour faire simple, sous nos pieds se trouve une usine de production de drogue magique. Nous allons la faire sauter. Il suffit juste de te retourner et les réactions chimiques devraient faire le reste. Après, on court tout droit jusqu'à la sortie de la prison. Je pense qu'une fois dehors, nous devrons faire face à une trentaine de mecs dopés. Je dirais trois ou quatre fois la force d'un catcheur. Plus quelques gardiens équipés de matraques. Il nous faut juste tenir trois minutes avant que ces supermen crèvent. "
[Sur ces mots, tu déchires ta robe sur les côtes pour avoir la plus de libertés possibles. Tu enlèves tes talons. Un cercle magique jaune apparaît au sol. Une aura jaune t'entoure. Tu tapes sur le sol avec l'aiguille des talons. Il s'effondre. Fier, tu te relèves et tu t'adresses à Elena avec le sourire.
"Je pense pour le coup que tu es armé de la meilleure manière qu'il soit pour cet exercice physique. "
Tu te jettes dans l'antre fonce tout droit et renverse tout ce que tu peux au passage. Des flammes naissent ici et là, deux ou trois petites explosions pour le plaisir des yeux. Tu croises quelques chimistes, gardes que tu assommes au passage. Enfin la porte, tu l'ouvres, te voilà dehors. Tu entends des pas. Ce ne sont pas seulement ceux de ta partenaire, ils sont trop lourds et manquent de grâce. Tu entends la porte de la prison qui s'ouvre. Tu vois une bonne trentaine d'homme se ruer vers toi avec quelques golgoth. Ils t'atteindront dans trente secondes au regard de la distance. Tu te retournes et espères qu'Elena n'est pas escortée de la même manière...
Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Ven 8 Aoû - 7:25
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Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Ven 8 Aoû - 17:10
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Perdu
moi et l'orientation ça fait 1000
Et voilà, je me suis encore perdu. Je cherchais la guilde de fairy tail quand je me suis perdu dans une forêt sombre et voilà que maintenant je me retrouve à l'arrière d'un bâtiment sinistre formée par de grands murs effrité par le temps surmonté de divers barbelé et une lumière faible jaillissant d'une des pièces de ce sinistre bâtiment.
Je tente d'appeler:
Il y a quelqu'un ?
Je continue mon chemin faisant le tour de cette étrange bâtiment le vent souffle très fort et je commence à m'ennuyer je me surprends même à espérer que quelque chose se passe que je puisse me défouler un grand coups'il vous plait un monstre un mage noir ou même un voleur je m'ennuie trop.
je ne suis pas arrivé à la fin de mon chemin que je sens une odeur de bruler je m'écarte du bâtiment et arrive face à un grand homme vert et très muscler qui essaie de me frapper j'esquive son coup et m'équipe de mon speed story et empoigne les deux épées que je viens de créer le géant vert se rue sur moi et manque de me renverser .D'un coup sur son flanc gauche je le tranche en deux. Je continue alors ma course fonçant vers-le devant de ce bâtiment.
j'arrive enfin devant ce bâtiment et je suis stupéfait de voir deux femmes encercler par des monstres du mêmes types que ceux je venais de combattre. Les deux femmes sont essoufflées et leur vêtement sont en piteux états ils ont l'air d'être en mauvaise posture. Je m'avance alors et crie.
HEHO. Auriez vous besoin d'un coup de main ?
je coure alors vers euh.
bonjour je me nomme iroki yammoto cependant les présentations peuvent attendre apparemment vous avez de nombreux fanes.
je me mets alors à aller vers les monstres en tailladant deux ou trois au passage.
Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Ven 15 Aoû - 1:04
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Jeux de main, jeux de vilains alors...
Parle à ma main...
"Coucouuuuuu je ramène des copains !! "
Tu n'as jamais douté de sa capacité à séduire la gente masculine. D'ailleurs, avec un brin du recul, tu penses qu'elle a mal compris ta demande initiale, celle de porter une tenue désarmante et bandante pour l'homme des cavernes. Tu vas lui passer pour plusieurs raisons...Premièrement, tu as apprécié de travestir, par contre après se fight, tu vas ressembler à un travelo mal fagoté et cela te dérange au plus haut point. Ce n'est pas la seule chose d'ailleurs, il va falloir que tu retournes faire les magasins pour te racheter ton équipement. Parmi les choses qui t'insupportent parce qu'elles t'étouffent, parce que tu as l'impression d'être contaminé par le genre humain, il y a faire les magasins... Deuxièmement, elle semble s'amuser avec ses nouveaux amis. Pour le coup, tu avais raison, elle était et est parfaite pour ce style de sport. Tu ne comptes pas la laisser s'amuser seule. C'est sur le ton d'un gosse aux yeux qui pétillent que tu lui dis...
"Tu aurais pu attendre que je sois changé avant de remener du monde à la maison. Tu t'etonneras pas si je passe pour une Tatie Danielle après."
Sur ces mots, tu récupères ces deux petites pièces de métal qui servait d'accroche à tes bas résilles. Aussitôt, ton corps se pare d'une aura jaune. De ces pièces naissent deux magnifiques haches. Tu décides de jouer aux cowboys et aux indiens. Ils seront les gardiens du troupeau, après tout, c'est ce qu'ils sont à la base. Tu ne vas pas les contrarier plus que nécessaire. Tu seras cet autochtone réducteur de tête.
"HouHUhouo HHUUU"
C'est avec une joie non dissimulée que tu te jetes dans la mêlée. Quelques coups ici et et là. Ta belle robe tout déchirée se teinte de rouge... Ton rouge à lèvre semble bien fade face à ces traits rouges qui marquent peu à peu ton visage. Soudain, arrêt sur image.
HEHO. Auriez vous besoin d'un coup de main ?... Bonjour je me nomme Iroki Yammoto cependant les présentations peuvent attendre apparemment vous avez de nombreux fanes...Je prends ce groupe-là . occupez vous des autres.
Tu n'as qu'une chose à dire, c'est la fête au village, c'est une vraie partouze. Euh, lui il n'est pas majeur à vue de nez. D'un coupe du scandalisé par le laxisme évident de ces parents. Tu es rassuré, il semble que ces derniers lui aient appris à sortir couvert. C'est important, un imprévu est si vite arrivé... Tu ne peux t'empêcher de lui dire …
"Oui, je sais. On vient juste de finir notre concert. Ils demandent une rallonge, mais ils n'ont pas payé pour... "
Comment dire, tu viens de te transforme en une formidable quille. Un trio de géant vert vient de faire un joli strike avec toi... Après un vol plané de plusieurs mètres, tu embrasses le sol avec un amour inconditionnel. Là, tu douilles puissance dix. La caresse de l'un d'eux t'a gentiment déboîté l'épaule. Tu n'as pas le temps de savourer les bienfaits de leur affection que l'un des trois fonce sur toi. Les deux autres ont glissé sur tes saints siliconés perdus au passage. Si tu n'as pas eu de chance en perdant ces pièces d'une rarissime qualité, les deux autres géants non plus. Ils ont glissé sur ta poitrine et se sont empalés sur les haches que tu as lâchées en route. Vert, tu es vert. Tu aimais particulièrement ces siliconées. Tu libères ta magie comme tu ne l'as jamais fait. De ta ceinture sort une lance qui transperce le dernier. Un cercle magique se dessine sous toi. Tu restaures ta tenue à l'initiale. Un autre apparaît sous Elena. Tu restaures la sienne. Tu cibles le puceau et fait de même. Tu n'as pas seulement rendu neuf leur vêtement, enlevé toute tache ou déchirure. Eux comme toi êtes doté d'habit indéchirable et d'armes boostée. Le tout est plus souple et plus élastique. Temporairement la lance d'Elena à sa souplesse d'un fouet. La résonance des coups sur le bouclier de la tigresse disparaît. L'équipement de combat sorti de votre compagnon de fortune reçoit le même traitement. Tu confères un bonus défensif non-négligeable. Par contre, là tu es vidé...
Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance] Ven 15 Aoû - 5:11
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Sujet: Re: Un classique du genre [PV Elena & Chance]