Filature obnubilée [PV Willy]

Sujet: Filature obnubilée [PV Willy] Mar 11 Juin - 9:13

Apprends-moi ♫

WILFRIED & DAMAZ

Part en chasse, suit sa trace, alors que dans la foule le géant avance derrière lui minet danse, tente sa chance. Crinière blanche qu'il repère pour suivre la proie dans son repaire... Pourquoi ? C'était plus fort que lui voilà pourquoi, malgré son combat l'image était resté gravé, petit être qui l'avait obnubilé, animal dont il avait rêvé, pour qui était nait une passion irraisonnée... Il voulait savoir, voulait pouvoir, comprendre et accepter, dans la communion se lier, qu'en lui il puisse sentir cet être vibrer, renforcer plus encore son animalité... Et plutôt que de demander un entretient avec son maître bodybuilder il avait décidé de les chasser. Une heure maintenant qu'ils les suivaient depuis que les locaux d'Angel Skye ils avaient quittés, évitant de se faire repérer pour lui sa taille et son agilité jouait, alors que le géant partait clairement désavantagé... Clairement, avant. Il s'était trop rapproché alors que dans une ruelle il avait continuer sa traque sans aucun plan pour lui succéder, Fennec qui hume l'air et lève la tête, saut alors que par terre il s'est posé, que dans sa direction il a filé, réflexes du demeuré qui plonge derrière un baril abandonné tête baissé...

Raté. Poussée alors qu'il se sent du sol levé par une poigne des plus affirmés... Que son regard parcourt l'albinos légèrement intimidé, sourire gêné, rire grossier... Oups... Il était temps de se justifier... Comment ça il ne le savait... Regard qui semble implorer Anubis de l'aider, il semblerait que celui-ci n'était pas décidé, pire la situation semblait l'amuser... "Bonjour" lâché alors que sur le sol ses pieds ne sont toujours pas posés, que mentalement et vue leur première rencontre il se prépare pour le vol plané... Ca va ? qui vient lui succéder d'un air pseudo-assuré, à dire vrai il en mène pas large alors que comme un vulgaire pantin dans le vide la main le tient... Yeux qui se teinte de vert alors que les iris se fendent dans la foulée, âme animale lâchée pour se préparer à sur ses pattes retomber dans le vol plané qu'il sentait arrivé... Dernière essais, sait-on jamais. [color]"Dis tu me reposer ?[/color] Il sert les dents, il aurait mieux fait de demander, ou mieux d'attirer Anubis loin de son maître pour jouer... Hum idée qui germe et nait dans son esprit étriqué, il n'oserait jamais ? En tout cas il espérait... Os qui craquent dans la foulée, craquement glauque alors que dans la transformation aux bruits grimaçant au sol tombe ses vêtements, que d'humain agrippé, en chat tenu par la peau du coup il s'est changer dans une effrayante rapidité, yeux de chat potté activés alors que de la gueule émerge un "Miaou ? se voulant le plus attendrissant qu'il pouvait... Les jeux étaient faits.

Fiore avait la chance d’être riche en paysages, offrant un plaisir visuel des forêts verdoyantes à la toundra en passant par les côtes ensoleillées, un véritable plaisir pour les yeux. Probablement que des peintres appliquées s’étaient avachis sur ces routes désordonnées afin d’affiner leurs talents inégalés, portant avec eux un patrimoine, une culture de lourde implication, de messages portés à travers les époques, mémoire humaine externe secrète de mystères humains. Ou peut-être pas. Le corsaire traversait ces lieux pour se rendre à Shirotsume en en ayant, expression pardonnée, rien à battre, pas même des moules. Tout ce qui l’importunait en ce moment-même était ce mal de crâne qui ne passait pas, fichue migraine dont il ne retrouvait pas l’origine. Il ne remarqua même pas qu’il était suivi, trop perdu dans ses considérations de marin et d’anti mage suite au tournoi d’Angel’s Sky. Il devait avouer qu’il avait assisté à une véritable démonstration de puissance, dont l’ostentation le poussa à juger à une compétition pour savoir qui règnera sur l’empire des imbéciles magiques, certes, mais puissance tout de même. Son talent d’antimage était mis à défaut par tant de flux désordonnés, il avait réalisé que son orgueil absolu avait pris une douche froide. Dans ce pays, la magie florissait, de nombreuses têtes talentueuses s’étaient dévoilées à lui, Misto la première avait eu droit à un regain d’estime pour son niveau incomparable. Il était motivé à venir à bout de tous ces apprentis Merlin, lui aussi progresserait pour réduire leur pouvoir à néant d’un claquement de doigt.

Désormais, il se baladait dans les rues de la ville, cherchant un bar où se soûler au rhum avant de repartir en laissant la note à un nigaud bonne poire. Néanmoins, Anubis qui d’ordinaire était un être relativement discipliné était de plus en plus agité, poussant Wilfried à faire attention à quelques détails, quelques inattentions abandonnées de ci et de là par son traqueur, vraiment doué, il n’aurait rien remarqué si ce n’était pour le fennec. La corsaire dévia sciemment vers une petite ruelle, après tout il n’avait pas de destination précise alors cela n’aurait rien de louche. Il s’arrêta subitement, à l’ombre des murs, savourant la petite brise rafraichissante de ces architectures étroites qui aident à lutter contre la chaleur estivale, puis il se retourna sans expression particulière, décidé à mettre fin au bal masqué. Il fit quelques pas et ce ne fut pas bien dur de dégoter le petit chenapan de sa cachette. Il l’agrippa par le col et jura intérieurement contre sa migraine qui ne s’arrangea pas, jouant la carte de l’intimidation il le fixa d’un air froid où l’on ne pouvait lire aucune pensée, aucune rancune, simplement ce regard animal et viscéral de l’être humain qui défend son morceau de vie. Il lui fallut un certain temps à reconnaitre cet homme qu’il avait vu combattre au tournoi, sa voix nasillarde si particulière lui mit la puce à l’oreille.

Damaz, penaud : Bonjour. Ca va?

L’œil du Léviathan détailla la carrure de l’homme qui se changeait en animaux. Il se rappela d’un combat sur des plateformes et d’une dextérité hors norme, s’il venait à l’idée du colosse de le jeter contre un mur, ce bout de chair s’en sortirait à coup sûr sans grief. L’albinos abaissa sa paupière et se massa les tempes de sa main libre, non qu’il fût blasé mais surtout qu’il eût aimé être tranquille. Qu’est-ce qu’il me veut ce bougre de crème d’emplâtre à la graisse de morue? Le coupable demanda à être reposé à terre, ce à quoi le guerrier répondit en le toisant à nouveau, son facies exprimant parfaitement qu’il n’avait aucune intention de s’exécuter face à ce poids plume. La suite provoqua une violente nausée en Wilfried, sentir la magie se modeler entre ses propres mains avait un effet répugnant sur son organisme, fort heureusement la transformation fut brève et c’est désormais un chat qu’il agrippait par la fourrure, carrure diminuée pour une tentative d’attendrissement du gros tas de muscle. Qu’espérait-il ainsi, trouver au fin fond du Neptus un cœur attendri par ses adorables moustaches, ses émouvants pupilles brillantes de vie et son tendre museau. L’amiral tira la grimace, ç’aurait pu être une réussite mais il s’y refusa, s’apprêtant à se débarrasser de la boule de poil avant d’être interrompu par son compagnon. Anubis s’avança avec grâce et agilité sur le bras tendu de son propriétaire pour rejoindre l’otage, collant sa petite truffe à la sienne l’espace d’un instant. Un signe d’affection d’un niveau relativement haut dans l’échelle du canidé, son maître en était bien conscient, il se contenta donc de poser le félin noir sur le tonneau qui trainait là. Il durcit sa voix, du haut de ses deux mètres il se tenait droit comme un piquet considérant la petite créature devant lui.

Wilfried, distant : Je peux savoir pourquoi tu me suis matelot?

Ses souvenirs sur cet homme n’étaient pas des plus glorieux, vomi nauséabond et débilité profonde était deux étiquettes accolées à son palmarès. Etait-il encore ivre, prêt à dégueuler à la moindre pichenette? Le marin songea un instant que ce mage pourrait faire un bon compagnon de beuverie pour la soirée, à mauvaise fortune bon cœur, Anubis venait de lui interdire de lever la main dessus. Mais cela, le minet l’ignorait, le langage entre le fennec et lui découlait d’une alchimie profonde et incoercible. Il se secoua l’esprit, sa trempe d’antimage lui interdisait ce genre de considération hâtive et rapidement, cet indécis tourna le dos à l’animal pour s’en aller, il venait en effet de réaliser qu’il ne risquait pas d’obtenir de réponse de la part d’un miaulement. Il fut étonné cependant de devoir s’arrêter au bout de quelques pas car son compagnon quitta son épaule pour s’opposer à ce départ, filant entre ses pattes. Le pirate tapa du pied avec une certaine animosité avant de faire volte-face.

Wilfried, résolu : Je n’sais pas ce qu’il a avec toi, mais ça schlingue le coup d’foudre. Donc, on va oublier cinq minutes que tu fais couche-commune avec ces putains de mages. Si je peux t’aider, parle maintenant, sinon j’irai picoler. Libre à toi de te joindre à moi.

Il croisa les bras, impatient et irrité du manque de réactivité de son interlocuteur. Au moins, la migraine s’était envolée.

Apprends-moi ♫

WILFRIED & DAMAZ

Il s’était attendu à effectuer un vol planer malgré sa tentative des plus inventives, enfin il trouvait. Puis il était arrivé, avait glissé le long du bras tendu dans son action, au muscles et à la chaire en ébullition, contacte humide alors que ce dernier frotte son museau contre le siens. Joie qui l’envahie, but atteins ? Regard qui s’était plongé dans celui du petit canidé, cherchant à comprendre, desceller, étrange créatures aux queues entremêlées, regard qui se déporte alors que raisonne la voix rauque du maître du canidé. Maître ou allié ? Amitié ? Le chat hausse la tête d’un air des plus bêtes, boule de poil niaise à souhait, image qu’il choisissait de renvoyer alors que par la peau du cou le capitaine le suspendait, image qui sembla payer alors que sur le tonneau renversé il l’avait déposé, piquet intimidant et légèrement déconcertant pour le minet qu’il était alors que l’autre le toisait. [color =#1895D4] Je peux savoir pourquoi tu me suis matelot ?[/color] Il hoche la tête sur le côté tout en s’asseyant d’un air nonchalant, matelot ? Arrogant et affligeant alors que succombant à ses instincts premiers le chat commence à se lécher, provocation voilée pour le géant aux stéroides gonflé. Proie devenu assaillant des plus clément qui finit par se retourner, fait volte face pour s’en aller, raté. Qu’il finit par céder au plaisir du canidé, qu’excédé il finit par se retourner, croisant les bras, impatient marin. [color =#1895D4]« Je n’sais pas ce qu’il a avec toi, mais ça schlingue le coup d’foudre. Donc, on va oublier cinq minutes que tu fais couche-commune avec ces putains de mages. Si je peux t’aider, parle maintenant, sinon j’irai picoler. Libre à toi de te joindre à moi. »[/color]

Il allait satisfaire sa curiosité, mieux il allait lui donner de quoi mater. Chat qui semble sourire alors que la magie se déverse, renverse alors que le premier craquement d’os se met à raisonner, corps qui se tord, organes qui implosent, l’humain revient sur le devant alors que tout explose, nu comme un vers, fier de son savoir faire, animal incarné alors que seul ses yeux trahissent le chat qui l’habitait. Ronronnement qui s’élève satisfait alors qu’accroupie sur le tonneau sa tête il a redressé, qu’il bondit souplement du haut de son perchoir improvisé. « Pour tout te dire je ne te suivais pas réellement. » Sourire qui se dessine sur les lèvres amusés alors que son regard se pose sur le petit canidé, aguicheur qui aime jouer, scandaleux provocateur, orgueilleux séducteur, chat dans toute son horrible splendeur. « Je veux simplement essayer de comprendre, le comprendre. Il semblerait qu’il ne soit pas contre l’idée et puisque tu propose de m’aider alors je n’ai plus qu’à m’exécuter. » Lèvres à peine fermé que le minet à commencé, que sur ses quatre membres il s’est laissé tombé devant le canidé qui semblait tout sauf apeuré, regard qui le transperce, yeux qui plongent dans l’âme pour la sonder, un et un, un plus un, un contre un. Un pas sur le côté, un pour deux, deux pour un. Le regard canin le pénètre et le transperce, regard humain qui se laisse noyer dans le sien, qu’il cherche les réponses hors de l’humain. Pas alors qu’ils s’avancent, mutuellement efface la distance. Un pour un, un dans l’un. Unicité d’une dualité qui nait, unicité éphémère de deux individualités, il le sent, il est. Appréhende et comprend ce qu’il est, ce qu’il fait, pourquoi il le fait. Communion qui sonne le glas, communion de leurs états alors que le temps passe et les minutes trépasse, apothéose. Désert qui les animés, liberté d’un être qui choisis d’être dompté, dompté dans l’amitié, solitaire et unitaire, réfractaire, lâche qui ne l’est pas, survie qui dépend de cet état. Corps qui se figent alors que leurs souffles se mêlent et ‘enivrent. Un. Communion dans l’instant, communion au présent alors que s’entame la litanie aride.

Transe sauvage des animaux volages. Etre et bête, il est la bête, elle le subjugue et le transperce, fait naître l’ivresse, os qui craquent, humain que l’ont délaisse, que sous les yeux du marin l’humain devient la pièce, sosie du compagnon funeste. Taille réduite et queues qui s’agitent, que devant l’anti-mage impatient deux Anubis sont présent en même temps. Regard moqueur qui se tourne vers l’auteur, humain qui les jauge de toute sa grandeur, nouvel âme qui entre dans le ballet de son intériorité. Que sous la forme de son compagnon à sa jambe il vient se frotter avant que dans l’instant il ne reprenne dans une succession de craquements son humanité, faisant basculé le géant incarné. Rire moqueur alors qu’il se relève de son air joueur. « Maintenant que tu m’as aidé, si on allait picoler ? »

Ce fut sans aucune sensibilité que le marin lorgnât la transformation glauque du mage aux talents animaux. Ces craquements douloureux ne lui arrachèrent aucune compassion, c’était un prix à payer pour prétendre à ce genre de facultés inhumaines, jamais il n’éprouverait de quelconque pitié pour un être comme celui-ci, bien que son don (pour ne pas dire magie) lui parût bien plus naturel, bien plus dans l’ordre des choses que tous ceux qu’il eût pu connaitre jusqu’à ce jour. Le colosse ne broncha pipe face à ce qu’il considéra être une intimidation provocante, bien décidé à conserver le peu de crédibilité qu’Anubis lui avait épargné en se montrant intransigeant en cas de négociations. Il ne comprit pas tout à fait la demande du pré pubère en manque de caresses affectueuses et se contenta d’admirer la valse qui démarra à ses pieds. Ces deux-là semblaient venir d’un autre monde, du même monde, un lien se tissait entre eux, le fil tendu entre leurs yeux brillants servit bien rapidement de base à une broderie de leurs deux âmes, un art déchainé où la soie rousse s’entrechoquait avec le tsunami de laine dorée. Il n’y avait là qu’un simple échange qui échappait totalement à Wilfried dont le regard blasé se posait, énigmatique, sur le mage brun dévêtu accroupi devant lui ; scène cocasse pour le commun des mortels dont le Léviathan faisait partie, rabaissé par son incompréhension à rire de ce tableau pourtant magnifique pour ceux qui savent en percer le canevas.

Une gêne commença à envahir le démon des mers qui songea à interrompre cette transe lorsque subitement, le mage brun disparut pour laisser place à un animal identique en tout point à Anubis. Il ne put retenir une bouche béate, pouvait-il vraiment faire cela? Etait-ce pour cette raison que le petit fennec appréciait autant cet homme, pour sa capacité à communiquer, à copier ces êtres purs dénués de toute raison malsaine et donc d’intérêts pervers? L’antimage était impressionné, il lui fallu l’admettre, il fut d’autant plus décontenancé de voir qu’une complicité sans nom était née entre les deux canidés qui s’amusèrent à le faire tourner en bourrique tel un voilier sous les vents capricieux des mers de l’Ouest. Lequel était le vrai ? Anubis aurait pu se faire remarquer mais il sut au regard des deux mammifères aux multiples queues qu’ils étaient contre lui pour ce tour-ci, qu’ils s’amusaient l’un comme l’autre à le voir perdu dans toute sa solitude humaine. L’un d’eux finit par l’approcher avec affection, provoquant un véritable malaise chez le colosse qui, s’il n’en laissa plus rien paraitre, était indéniablement dépassé par les évènements. Il n’avait aucunement le vent en poupe, c’en fut l’apogée lorsque la supercherie lui fut révélée, le mage brun reprit son apparence originel et fit perdre l’équilibre au puissant tas de muscle qui tomba à la renverse, s’appuyant au dernier moment contre le fameux baril qui se brisa sous son poids. Oser s’en prendre ainsi à l’albinos était un pari risqué, une manière de voir les choses qui fut appréciée par celui-ci qui se dressa dans un rire sourd.

Wilfried, s’approchant dédaigneusement de Damaz : Mazette, viens donc voir par-là toi.

Sans prévenir, il souleva du sol ce mage qui ne le dégoutait point et le trimballa ainsi jusqu’à la taverne la plus proche tel un sac de viande avant de le balancer sans tendresse inutile sur une chaise. Il commanda une chope de rhum et but comme un trou, sans retenue, poussant son compagnon à en faire de même. L’alcool descendit vite et bien, Wilfried n’était guère un adepte du lentement mais sûrement, au contraire, il entrainait Damaz sans sa décadence, ce fut à qui eut du vent dans les voiles le plus rapidement. Il tenait à ce que celui-ci prouve sa résistance à la liqueur des poivrots, nectar ivre qui poussa le corsaire à faire part, comme à son habitude lorsqu’il se retrouvait sous l’influence de ces substances, de son répertoire de chant pirate. Il fut entendu que l’albinos ne possédait aucun don pour le chant, absolument aucun, aussi si un orage tempétueux venait à frapper la ville de Shirotsume cette nuit, il serait une des origines potentielles à évoquer. Pour toute défense, soulevons que le taux d’alcool dans le sang de l’homme-chat devait être assez proche de celui du chanteur marin, peut-être ferait il abstraction de ce souvenir embrumé d’un parfum de catastrophe. Contre toute attente, ils passèrent un bon moment à s’enjailler, moquant les autres clients de remarques acerbes mais drôles, au moins pour eux deux, plaisanteries ironiques, le courant passa entre eux comme il traverserait un paratonnerre si bien que l’on pourrait décrire encore longuement leur échanges et confessions. Néanmoins, étant donné qu’aucun d’eux deux ne se souvint avec exactitude (pour ne pas dire, ne conserva aucun souvenir) de tous ces évènements effacés par le surplus d’alcool, un voile pudique fut jeté sur la scène. Fermeture du rideau, entracte, la suite très bientôt.

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