| Sujet: [Mission de rang C] La cave de l'auberge d'Oaktown Ven 22 Juil - 13:52 | |
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| Crocus, quelques jours auparavant, dans l'hôpital national de Fiore. Atios se réveilla dans un lit, son torse couvert de bandage, son bras gauche dans une attelle. Que s'était-il passer ? Il se souvient qu'il avait libérer la lumière d'Avalon pour se sauver, lui, le preneur d'otage, Arthuria et la fille du maire de Crocus. Ah oui ... Akane Resort. Il avait réussi sa mission, presque seul. Mais pour la première fois, il avait aussi était envoyé dans un hospice. Il se releva. Son corps était endoloris, il tremblait... Son bras gauche était toujours engourdi. Il se souvint de la chute depuis le haut de la tour d'observation dans sa course pour aller sur la deuxième. Il frissonna. La vie de mage était plus qu'intense, parfois. Il avait cru mourir cette fois-là. Mais il avait réussi à calculer sa descente cette fois-là et ne s'était rien casser; Tout comme quand il avait attraper au vol l'otage qui tombait depuis le haut de la tour. A droite, les journaux affichaient une photo de lui tombant du ciel en déployant Avalon. Qui avait bien pu prendre en photo ça ? " Un membre de Fairy Tail sauve en secrets six otages d'Akane Resort."
Il n'était pas fier d'être dans le journal mais il en s'en retrouvait plutôt gêner; Il ne voulait pas devenir célèbre : le devenir, c'était perdre sa liberté. Tout du moins, c'est qu'il pensait. Son bras gauche avait bien récupérer et ses blessures au torses lui faisait moins mal qu'à son réveil. Il décida de se lever. Il enfila ses vrais habits bien que sa chemise blanche soit tâchées de sang ça et là. Il ouvrit la fenêtre et pris un grand bol d'air frais. C'était déprimant de rester dans un hôpital alors qu'il faisait si bon à l'extérieur. C'est à ce moment là que les médecins et Arthuria rentrèrent. Arthuria soupira et les médecins paniquèrent.
- Vous devriez vous reposer ... vos blessures ne sont pas guéries !
- Je vais bien, rassurez-vous. Je n'ai plus mal nul-part, mon bras est comme neuf et mes blessures sur le torses ont disparue. Je veux rentrer à Magnoria et trouver un peu de travail. Je ne supporte pas l'inactivité.
- Mais ça ne fais qu'un jour que vous êtes hospitalisé ... Enfin, c'est votre droit. Nous avons des papiers à vous faire signez si vous voulez partir ...
Arthuria ne dit rien : Elle savait qu'au final, Atios aurait le dernier mot et s'il avait envie de partir, il partirait. Par ailleurs ce dernier avait envie de se dégourdir les jambes et il trépignait d'impatience en remplissant les papiers. Le soleil à l'extérieur était doux et sa peau renaissait. La douce sensation qui parcourait ses bras, son dos et ses cheveux lui donnait envie de s'allonger au sol pour en profiter. Mais ils n'étaient pas sur la plage et il voulait avoir un travail relativement calme. Il décida donc d'aller à la gare, Arthuria sur les talons. Elle le suivait partout dans ses voyages, ça devrait être relativement embêtant de faire cela. Ils rentrèrent à Magnoria où Atios pris un travail au hasard dans la catégories des missions C. C'est à la gare qu'il lu qu'il allait devoir faire de la dératisation. Il soupira : Il ne s'attendait pas à ça. De plus, il fallait qu'il se rende à Oaktown : c'est à dire à l'opposé de là où il était. Il rentrerait tard et il allait sûrement ne pas se reposer avec un boulot pareil.
Le voyage en train était toujours aussi agréable. Arthuria était restée à Magnoria. Besoin de se reposer semblerait-il. Il soupira en regardant par la lucarne du train le paysage défilant. Peu importe combien de fois il avait pris ce dernier, c'était toujours rafraichissant et agréable de sentir le vent caresser son visage alors que le train avançait dans un agréable son de locomotive à vapeur. C'était reposant. Heureusement pour lui, il n'avait pas le mal des transports. Donc il pouvait profiter de ce genre de voyage. Il se rappelait du voyage en bateau avec Natsu et de l'épique bataille sur l'île de Galuna contre les monstres de la lune. Le plus compliqué avait été encore de faire monter Natsu sur le bateau. C'était compliqué pour ce dernier de grimper sur des moyens de locomotions mécanisés car il était atteint d'une profonde cinétose. Nom barbare qualifiant ce genre de problème. Il connaissait des cataplasmes et des méthodes pour mieux faire passer ce genre de mal mais la dernière fois, il n'avait pas réussi à en concocter, les herbes nécessaires étant trouvables dans la nature ou dans une boutique spécialisée, une herboristerie, un labo d'alchimiste.
Il avait travailler énormément en solo à Fairy Tail, si bien qu'il ne passait que très très peu de temps dans le QG de Fairy tail. Il n'avait pas réellement envie de s'approcher des autres. Il n'avait pas envie de se mêler avec les autres. Il avait l'impression que la joie qui habitait la guilde où il était inscrit lui était inaccessible. Il n'était pas capable de participer de rejoindre moralement cette guilde .. Il devait fonder la sienne pour rassembler des gens sous ses propres idéaux. Il était le solitaire de la grande famille qu'était celle des membres de guilde connue du conseils pour ses destruction notoires là où elle opérait. Il allait bientôt atteindre le rang supérieur. En moins d'un ans, il allait atteindre le rang A. Il ne savait pas sil atteindrait le rang S. Il était long et compliqué à décrocher. Il allait avoir du pain sur la planche si c'était son objectif. Mais il était actif. Et l'avantage de travailler en solo, bien que cela rendait les missions plus pénible, c'était qu'il était plus simple de travailler seul.
Le revers, c'était qu'on ne pouvait compter que sur soi-même. Sur ses propres capacités. Il avait vécu des tas de situation les plus folles les une que les autres. Il ne doutait pas que son expérience de la guilde l'avait grandi. Il existait aux yeux de Fiore dorénavant. Il n'était pas malheureux, mais était-il heureux ? Qu'est-ce-que le bonheur ? Et quel forme avait-il ? Selon lui, il était transparent.. comme du verre. Et il luisait quand on cherchait à le voir. Il reflétait la lumière. Et au travers, nous pourrions voir la source de cette lumière. Et lui, où était cette lumière ? Elle était faible. En fait, il ne devait pas être heureux. Il lui manquait un entourage complet sûrement. Il en avait aussi besoin pour créer sa guilde. Une guilde n'est pas qu'un chef. Et être chef de guilde devait être vraiment compliqué. Comment ferait-il ? Il faudrait qu'il puisse canaliser ses membres. Qu'il se fasse respecter.... obéir. Etait-il prêt pour ça ?
Il fut sorti de ses songes par l'arrêt brusque du train :
- Nous sommes à Oaktown. Nous sommes à Oaktown. Prochain arrêt : Shirotsume . Prochain arrêt : Shirotsume.
Atios descendit du train et ouvra la feuille de requête et chercha le nom de l'auberge. Une fois celle-ci localisé, il rentra à l'intérieur, présenta son tatouage de guilde et il s'enfonça dans la cave. Il fit luire Excalibur pour éclairer la pénombre et il envoya une vague de lumière sur un groupe de rat. Les rugissements des nuisibles se dispersèrent alors que le groupe se dispersa lui-même. Quelque uns d'entre eux n'eurent pas ce loisir. Il y en avait partout ... Mais au loin, un rugissement et une silhouette plutôt grande s'avança vers lui en rugissant d'une horrible façon. Il s'approcha de lui en pestant et lui dit :
- Partez, pauvre fou ! Je ... ne ... contrôle plus mon corps ... je vais ... vous .. aargh !
Atios para un coup de poing et lui fit un croche-pied. Les Rats-garou étaient vecteur dune infection aussi virulente que la lycanthropie. Atios battit rapidement en retraite. Arrivé à l'étage, il demanda si quiconque s'était fait mordre. Il alla à l'herboriste du coins et et se mis à concocter le cataplasme contre ce genre de problème. Il fit passer les dépenses en note de frais pour la mairie locale. Il s'empara d'une seringue, écrivit sur un papier la recette qu'il transmis à l'herboriste, pris une dose de l'antidote, puis il retourna dans l'auberge et dans la cave. Le l'Homme-rat se jeta sur lui. Atios bloqua plusieurs coups d'affilés. Il profita d'une faille pour le repousser contre le mur et il en profita pour le faire tomber au sol, le maitriser contre celui-ci et lui injecter dans les veines du bras le vaccin. L'Homme-rat se mit à hurler. Il souffrait le martyr. L'injection de l'antidote était risqué pour une victime aussi contaminé. Il pria pour que le malade s'en sorte. La transformation s'inversa lentement. Il retira la seringue et s'éloigna du malade. Atios alla lui chercher des vêtements à la taverne et les ramenas.
Il avait survécu. Ce dernier était très reconnaissant envers Atios et s'excusa auprès du tavernier. Ce dernier était surpris de retrouver l'employé de la dératisation qui avait eut le malheur de se faire mordre. Ce dernier pu néanmoins finir son travail car il était à jamais un Homme-rat. Mais l'antidote lui avait permis de prendre contrôle de ce don. Grâce à ce dernier, l'employé de la dératisation était devenu un fleuron en ce domaine : en effet, il pu relâcher dans la nature tout les rats grâce au contrôle qu'il exerçait en tant que Rat alpha. Ce dernier était une sorte de rois des rats, ce qui était loin d'être un compliment cependant. Au final, la journée s'était bien dérouler; Pour une fois il avait réussi à terminer sa mission autrement que par la magie, le combat et la violence. Il rentra sans encombre. |
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