Douce journée estivale ensoleillée que voilà. Depuis le levé, Atios s'était entraîner comme à son habitude aux divers mouvement d'escrime qui composait son art qu'étais l'épéisme. Ses matinées était une répétition de ces actions. Un jus de fruit, une tartine beurrée tôt le matin, six heure, place centrale et entraînement. Mais ces derniers temps, Atios, se sentait un peu triste. Le moral dans les chaussettes. Notamment parce que son projet se heurtait au problème du manque de recrues potentielles, ensuite de la construction du fameux château-fort. Et après, il faudra lancer le fond de commerce pour embaucher du personnel et faire travailler des gens pour que la guilde fasse des bénéfices. Il n'avait pas songer à la difficulté de lancer une guilde... c'était comme une sorte d'entreprise. Question fond, il n'aurai pas de problème pendant un petit moment, de plus il allait se remettre au travail après une petite période d'inactivité.

Histoire de réfléchir à ses prochaines actions, il avait décider qu'une séance de prière dans la cathédrale lui permettrait de méditer. C'est donc ainsi, que vers 11h de la matinée, Arthuria était assise sur un banc, alors que notre jeune adulte aux bruns cheveux était sur les genoux, les mains jointes devant le haut de sa poitrine, les yeux clos. Intense introspection. Questionnement. Réflexion. Soupir. Il lui fallait, peu importe comment, des gens avec qui fonder la guilde. Il ne pouvait créer une guilde pour son seul compte directement. Il lui fallait remplir des conditions pour rejoindre le conseil des mages. C'était assez ironique quand on connaissait ses projets. Que faire.... ? Si seulement il pouvait trouver des compagnons en dehors de Fairy Tail.... La douce lumière traversant les vitraux filtrait sur sa peau et la chauffait agréablement, comme il fallait .La cathédrale n'était pas le lieu le plus chauffé. Non, il faisait même très sombres si on omettait la lumière vive et coloré exultant des fins ouvrages.

Malgré son visage et son regard préoccupé il avait quelque chose de pur et de serein, quelque chose de calme et de tranquille. Il portait l'habituelle chemisette blanche avec un pantalon noir qu'on lui connaissait si bien. Un jour, Arthuria avait parler de le faire se rouler dans sa réserve, puisqu'il aimait tant ses bouts de coton blanc et noir. Il sourit dans sa prière. C'est vrai que l'attachement que les humains portaient aux habits était parfois assez ridicule. Mais il aimait bien porter des vêtements qu'il appréciait. Comme tout le monde, il imaginait.

C’était censé être une journée banale, le temps était doux et agréable, on pouvait retrouver les personnes habituelles se promenant dans la ville. Cain sortit dans l’espoir de trouver de nouvelles informations sur les Southern Wolves, la guilde de mercenaire ayant assailli le manoir, bien qu’au cours de ces derniers jours il apprit une information majeur : ces mercenaires aurait était engager par la famille royale de Fiore. Mais pourquoi des gens si haut placé se serait intéressé à une famille telle que les Heartgraves.. ? Il entendit au fur et à mesure de la matinée le même refrain que chaque jour : « Je ne sais pas. Laissez-moi tranquille. Je ne veux pas d’ennui ! »
Il était presque midi lorsque Cain envisagea d’abandonner ses recherches et rentrer. Mais sur la route du retour il eut une drôle de sensation. Il sentit une certaine aura qui émanait de la Cathédrale Caldia, il décida d’entrer, il longeait les rangs en cherchant cette fameuse aura, c’est alors qu’il vit un étrange personnage portant une chemisette blanche avec un pantalon noir. Le jeune garçon priait intensément genoux à terre et on pouvait lire sur son visage un mélange de satisfaction et de doute. Il s’approcha du jeune garçon et s’assit a côté de lui et lui murmure à l’oreille :
« Dieu peut parfois être cruel, n’est-ce pas ? »

Il ne savait pas comment .... Son but était de libérer le pays voisin, de mettre fin à l'esclavagisme. Oui, il désirait aussi mettre fin à toutes les guildes noires de Fiore et des pays voisins et d'unifier les pays sous une seule et même bannière ... pour que jamais plus le monde ne soit en guerre et diviser par la haine... Une utopie lointaine ... Que faire ? Pour créer la guilde, il fallait des signatures de la part d'au moins quatre membres en plus de la sienne. Où trouverait-il quatre puissantes recrues ? Allait-il devoir devenir le professeur de quatre débutant et les mener sur les sentiers de la magie ? Il ne savait pas comment s'improviser professeur alors qu'il n'était ni débutant ni expert. Il était juste un utilisateur confirmé de la magie.

<< Mais l'ambition seule ne mène à la victoire. Il me faudra aussi beaucoup de force pour vaincre .... >>

Oui ... la force ... la force de briser la roue du destin, de choisir lui-même son futur et peut-être celui des autres; Le pouvoir éloignait en général son possesseur des autres. Excalibur, l'épée des rois ; la lame de la victoire promise.

<< En retirant l'épée, tu t'engageras seul sur la voie des rois... seul tu lutteras contre la corruption de ce monde et contre ta nature même d'être humain ... trouver des alliés te sera difficile car chacun d'eux devra avoir la volonté d'apporter la paix et la lumière ... >>

Oui ... apporter la paix, l'égalité, la prospérité à tous était son objectif à long terme. Il ne désirait pas le pouvoir plus que cela. Sa vie actuelle était parfaite. Une sorte de long rêve qui se prolongerait s'il ne faisait rien pour changer sa situation. Il pourrait rencontrer des tas de gens. Rire avec les gens de Fairy Tail. Et laisser le monde évoluer de lui-même... Mais c'était juste de l'égoïsme et l'irresponsabilité... Soudain, un homme vint lui murmurer à l'oreille. Il était tellement pris dans ses pensées qu'il en tomba sur un côté, les yeux grand ouvert, cherchant à comprendre à qui la voix appartenait. Un Homme habiller comme un bourgeois se tenait, le dos plier vers lui.

« Dieu peut parfois être cruel, n’est-ce pas ? »

- Les mauvaises expériences sont situation intégrante de la vie. Sans elles, comment apprécier celle-ci à sa juste valeur ? Il n'y à pas de cruauté, il n'y à que la vie.

Il se releva, de toute sa hauteur, pour toiser la personne qu'il avait en face avant de dire, neutre :

- Que me voulez-vous ?

Tout ce que Cain voulait au départ c'était sa vengeance, envahi par ses souvenirs passé, troublé par la mort des êtres qui lui était cher. Mais maintenant son objectif avait changé, ce qu'il veut ce n'est pas une vengeance mais des réponses, pourquoi lui, que voulez-t-on a sa famille. Pour cela il avait besoin de compagnon qui l'aiderait à se rendre au château de Fiore, de là il pourrait avoir une réponse de l'antagoniste principale. Après avoir suivi cette aura et s'être retrouvée face à cet étrange garçon, il le regarda de haut en bas, de par sa description physique, il reconnut le petit héros local dont parlais certains villageois. Tout ce qu'il savait à propos de ce garçon était que c'était un homme juste et qu'il avait lui aussi besoin de compagnon pour un projet inconnu.

Cain chercha comment aborder le jeune garçon, il le sentait clairement préoccuper, Cain joua carte sur table et se décide à révéler son projet au jeune garçon, si celui-ci l'écoutait il pourrait peut-être s'arranger dans le cas contraire il n'aurait qu'à fuir loin de magnoria.
« Que me voulez-vous ?»

Cain se lança et lui souffla à nouveau dans l'oreille :

« Êtes-vous bien atios ?, le jeune homme voulant fonder une guilde ? J'aurais à vous parler. »

« Êtes-vous bien Atios ?, le jeune homme voulant fonder une guilde ? J'aurais à vous parler. » murmura l'Homme à l'oreille du jeune porteur d'Excalibur. Atios fut surpris et ouvrit grand les yeux, littéralement, il regarda en arrière la jeune fille aux blonds cheveux assoupie sur le banc. La prière n'était pas la chose de plus palpitante, il fallait l'avouer. Il focalisa à nouveau son attention sur le jeune homme aux étranges habits ; Il savait qu'on parler un peu de lui dans Fiore, notamment parce qu'à force de bourlinguer à droite et à gauche, son nom était retenu, mais à ce point ... A moins que .... Arthuria avait encore frapper : elle lui avait parler de lui faire un peu de pub, mais il ne pensait pas qu'elle était sérieuse quand elle lui avait dit ça. Enfin bon, soit. Cet personne était ... légèrement plus petit que lui. Il lui ressemblait un peu, en plus pâle et ... plus fourbe. Il ne savait pourquoi il pensait cela. Question magie ... un débutant. Son aura magique était faible et possédait une étrange odeur qui lui rappelait celle des mages constellationistes.

Si ce dernier voulait le rejoindre et l'aider dans la fondation de sa guilde, Atios était preneur de toute recrue motivée, toute fraîche et toute moulue. S'il comptait bien, il lui faudrait trois personnes supplémentaire pour la fonder. Il serait compliqué de créer la guilde ... trouver quatre recrues motivées serait compliqué. Qui sait, avec un peu de chance, cet jeune adulte serait l'une des premières.

- Eh bien, j'écoute ? lui dit-il, une expression neutre sur le visage.