Atios, alors que la lumière porteuse de destruction et de mort, ainsi que de salvation apportait la justice devant lui, Atios se souvenait de ses précédentes utilisation de l'épée. Bien qu'il comprenait le mécanisme en théorie, la pratique était plus complexe et il sentait que l'attaque manquait de stabilité ; Bien qu'il avait peur de ce qu'il déchainait il savait pertinemment qu'il y avait sûrement moyen d'augmenter la destruction, la zone d'effet et la portée maximale. L'arme qu'il possédait n'était pas forgée par l'Homme. Certains l'appelait l'épée des rois. D'autres l'épée du diable. Forgée par la planète et des fées, Excalibur était une arme divine qui était prêtés aux hommes dans le but de protéger ce monde et les hommes des ténèbres. Il n'était qu'un Homme. Sa compréhension de l'épée était encore incomplète. Il en allait de même du fourreau. Le premier tir qu'il avait utiliser .. c'était dans une mission de routine avec quelque voleurs.

Quand il l'avait utiliser sur eux, Atios s'était senti .... si ... ridicule. Un enfant, un être minuscule tenant dans ses mains quelque chose d'énorme, de trop lourd pour lui. Une force de la nature dans des mains minuscules. Les hommes n'étaient que des êtres avec une compréhension limitée des forces supérieurs à l'oeuvre. Atios s'en était bel et bien rendu compte à ce moment là. Il s'en rendait encore compte à présent. Il avait dans les mains une armes de destructions massives et il ne comprenait pas complétement de l'étendue des pouvoirs de cette arme. Il ne comprenait pas pourquoi il l'avait dans les mains car il n'était qu'un minuscule être humain. Cette fois-ci, il espérait qu'il ne mutilerai personne. La nature elle-même était prise dans le fléau divin, le courroux lumineux de la planète. Comment pouvait-il, lui qui n'était qu'un pauvre être sans droit sur la nature, pouvoir causer tant de dévastation sur un caprice, à cause d'un adversaire aussi ridiculement pitoyable ? Il regretta. Il n'aurait pas dû faire ça. Il l'avait sûrement tuée. Et il avait sûrement tuée beaucoup d'autres vies, beaucoup d'autres choses. Il fit une courte prière silencieuse en guise de repentance.

Au sol, le corps de son adversaire gisait au milieu de la dévastation, du sol en ruines, des débris de terres soufflés qui retombaient, des arbres allongés au sol, de cadavres d'infortunées créatures ayant était pris dans le souffle destructeur de l'épée purgatrice. Dans le déluge de sa propre énergie magique, Atios ressenti celle de son adversaire. Elle était toujours là. Donc elle n'était pas morte. Une vie de moins de perdue, aussi futile et misérable soit-elle. Un peu de sang en moins sur la conscience. Mais comment ? Une attaque comme cela ne laisse pas place à l'échappatoire. Et il doutait que quiconque puisse bloquer un tel flot de magie sans qu'il n'ai détecté une puissance nécessaire avant. La fumée dissipée laissait place à une carcasse calcinée, craquelée, avec un visage défigurée ; Alors quand elle parla, Atios ne montra rien, mais ce dernier était légèrement surpris. Il se ressaisit en entendant la voix aigu d'une enfant. Il ne saurait l'expliquer, mais il allait sûrement avoir la réponse au mystère sous peu.

«Mon petit Atios, je te félicite. Tu es une des rares personnes qui ait réussie à l'endommager à ce point. Tu remarques que j'emploie la troisième personne; franchement, Atios, qu'est-ce que tu croyais ?»

Atios resta de marbre quand le corps troué et craquelé se mit debout. Il fallait qu'il améliore son attaque ; pour son hygiène visuelle. S'il devait tuer, il valait mieux ne laisser aucune trace. Cela allégerai sa conscience. Des lambeaux de peaux brûlés tombèrent et révulsèrent Atios; Mais encore une fois, il resta neutre, stoïque et inflexible. Il ne montrait rien. Ni son dégout, ni sa fatigue. Il ne devait montrer aucune faiblesse. Cette fatigue serait temporaire. Malgré que le paroxysme du dégout le saisit, il resta silencieux et inflexible, fixant l'horreur devant ses yeux : le corps se sépara en deux, laissant tomber une fillette et faisant disparaître le corps en poussière. Atios ne sourit pas, mais à l'intérieur de lui, il était optimiste. Elle était trop sûre d'elle ... peut-être pensait-elle qu'Atios serait trop fatiguée pour continuer de se battre ... Peut-être était-elle certaine de ses propres capacités. Il l'écouta parler, sans cligner des yeux :


- Je me rends. Tu es la plus forte et j'ai utilisée toute ma magie. Atios, corroborant paroles avec actions, planta Excalibur dans le sol et plaça les mains en l'air. Je serai ton esclave et je te donnerai le plan du conseil en prime. Je sais quand ils vont tirer, ce qu'ils veulent et quand, pourquoi ils ne l'ont pas encore fait. En guise de bonne volonté d'ailleurs, je te mener là où sont nos infirmiers et là où est notre camp de base, histoire de couper tout point de retraite possible.

Atios baissa la tête, fit une révérence, s'approcha d'elle et se mit à genou.

- Voulez vous que je vous mène à un de vos alliés, maitresse ?

«Atios, tu es mage aux ordres du fameux Conseil Magique, tu te présentes pour me tuer, mais al orsque tu as perdu, tu acceptes d'être mon esclave ? Ne te fais pas d'illusion, espèce de gamin : je ne veux pas d'un lâche et d'un traitre parmi mes esclaves. Tu es bas, vil envers tes camarades. Jevais te confier quelque chose : je tue tous mes adversaires, aucun n'a le mérite de me servir. Et je vais en finir avec toi dès maintenant !»

- Ah, c'est dommage. Si tu avais accepter sagement, non seulement je n'aurai pas eu à te tuer, mais en plus tu m'aurai été utile. Et maintenant que tu n'es plus qu'un fardeau au lieu d'un avantage stratégique, je vais donc devoir me débarrasser de toi. Rassures-toi, même les gens comme toi, je regrette de les tuer. Mais il y à des fois où il faut faire des sacrifices pour aller là où on veut. Et tu est un des sacrifices nécessaires à mes objectifs. Tant pis, ma volonté d'épargner mes adversaires me filera toujours des problèmes ... Atios soupira, se tenant d'une main le visage, le regard embêté.

Atios n'avait pas tenter cette approche sans aucune garantie. Il aurai voulu se servir de son adversaire pour en apprendre plus sur Légion ... tant pis. Il allait se débarrasser d'elle et il allait chercher un de ses alliés, l'aider, capturer son adversaire et le faire parler. Mais d'abord, la présomptueuse gamine qui n'était pas assez méfiante. Dans son psyché, une personne riait de façon démente. La situation l'amusait plus que tout au monde. Il avait apprécier l'audace de son autre personnalité mais lui n'aurait pas chercher midi à quatorze heure. Il l'aurait tuer avant de se mettre à genou, de ses propres mains.

<< Tu me laisses le plaisir de la finir ?

- Nonon, j'ai commencer ce combat, je le finirai moi-même.

- Même si tuer t'es si désagréable ?

- Il faut que je prenne mes responsabilités des fois.

Un profond rire secoua la voix froide, dure, sadique.

- Comme tu le souhaites. >>


Une tempête de sable se mit à l'étouffer et le découper. Il fut soulevé dans les airs par l'attaque. Elle était coriace, c'est le moins qu'on puisse dire. Il se demandait ce qui pouvait faire d'une enfant une mage de ce niveau et un tueur de sang froid odieux et dément ; En effet, derrière le bruit constant de la tempête, Atios entendit sa voix :

«C'EST MON STYLE DE COMBAT : SCYTHES OF SAND !»

- Tu m'en vois fort heureux ! lui dit-il en souriant. Elle avait paré cette attaque, mais le compte à rebours avait commencer. Elle allait lentement mais sûrement commencer : Elle utilisait sa magie de façon à le faire ployer rapidement, tout comme lui il avait fait tenter de la faire ployer dès le début. Grâce à son mouvement de rotation elle avait pu trancher le bas de sa chemise. Une chemise neuve ... foutue ... Atios soupira. Il fit tournoyer Excalibur dans sa main et se remit en garde.

«Je ne sais pas comment tu as réussi à te défaire de ma magnifique tempête de sable, mais tu ne pourras rien contre moi au corps-à-corps, bébé ! Je m'entraine depuis des années à combattre de cette manière, vois-tu, ces lames ont tués beaucoup de personnes...»

- Et t'en es fier ? Moi aussi j'ai tuer des tas de gens, des tas de créatures plus hideuses les unes que les autres, je me pavane pas parce que je l'ai fait, gamine ... dit-il, en se tenant le visage. Cette enfant était bel et bien une ... enfant. Et elle méritait une bonne fessée. Une orpheline sûrement. Sûrement une pauvre petite orpheline complètement folle pour des raisons puériles, futiles : enfantines.

«...mais cela ne veut pas dire que, à distance, je ne peux pas combattre. Non, je suis réellement une combattante parfaite. Peut-être la meilleure de Legion...En tout cas, personne n'a voulu tenter de combat amical avec moi, donc... cela prouve bien que tout le monde me considère comme la meilleure!»

- Tu sais quoi ? Il prit une pose provocante. Sûrement la première fois qu'il s'amusait autant dans un combat. Il lui fit un grand sourire et lui dit : Rien à foutre. Pour moi, t'es qu'une gamine qui s'est pas assez pris de clique. Je sais pas qui t'a élevé, mais t'as aucune éducation. En plus, Légion veut purifier Fiore des criminels, mais toi comme moi, tout comme ceux ayant tuer SONT des criminels. Même moi, le sacro-saint porteur d'Excalibur, sous couvert que je porte l'épée sacrée, j'ai tuer des gens. Parce que le conseil l'avait dit. Parce que l'épée l'avait dit. Pour diverses raisons qui ne justifierons jamais le fait que j'ai prises ces vies. Oui, jamais aucune raison ne peut justifier qu'un autre homme décide de la vie d'un autre, peu importe ce que l'autre ai fait. Pas même Excalibur n'était une excuse. Il était prêt à payer sa dette si la société le voulait. Mais il avait décider de tuer ceux dont il croyait la mort nécessaire. Même s'il n'avait pas le droit, il fallait suivre ses codes de vies et s'accrocher à ses objectifs. L'attaque suivante était encore une déception. Atios fit tournoyer plusieurs fois Excalibur dans sa main quand la sphère se forma. Son épée se mit une nouvelle fois à briller.

- Vortigern, hammer of the king ! cria t-il quand la sphère alla vers lui. Atios bloqua la sphère devant lui grâce à son arme et la maintint devant lui grâce à l'épée de lumière géante. Il l'avait bloquer d'un coup vertical vers le bas : de sorte à ce que la sphère empêche la fillette d'avancer. Si Atios réussissait à complètement bloquer l'attaque, il pourrait la renvoyer contre son adversaire et il l'assommerai au sol. Tout à l'heure, il n'avait pas réussi à traverser le sable, mais à présent, il y avait bien plus de chance pour que l'attaque ne passe pas : D'un côté, la force d'Atios et l'épée de lumière poussait contre la sphère et de l'autre côté, c'était cette dernière qui tentait de forcer son passage. Il avait plus de chance de la renvoyer ou de la traverser qu'avant. De plus, dans l'éventualité où son attaque percerai celle de son adversaire, la trajectoire de la lame de lumière géante était sur la jeune fille. Et à partir du moment où elle esquivait... Atios n'avait qu'à faire un tour dans le sens où elle esquiverait pour la faucher. Et elle pourrait sûrement difficilement se protéger dans ce cas .. . vu que sa précédente attaque avait dû occuper pas mal de son sable. Mais il ne pouvait prédire s'il allait réussir à couper la sphère en deux.

«Amateur... Mon Dieu, je contrôle le sable, à quoi cela servait-il de me renvoyer cette attaque ?»

Atios soupira. Les railleries de sont adversaires devenait pesante plus qu'agaçante. Vortigern se dissipa. Le jeune porteur de l'épée sacrée planta Excalibur à la verticale dans le sol en la tenant des deux mains. Il l'avait ranger dans son fourreau. Il concentra ses forces. Il sentait qu'en face, c'était pareil. Elle était toujours sûre de sa victoire. Elle rassemblait une tonne considérable de sable pour en finir avec lui. Mais le plus intéressant suivit.

«C'est vrai, nous sommes tous les deux des criminels. Mais le plan ultime s'accomplira quand, une fois que je t'aurai châtier, il ne restera que les mages de Legion comme étant les seuls criminels du Royaume ! Là, si nous restons sur notre île, loin de la civilisation, il n'y aura plus aucun criminel sur le Royaume. C'est le but ultime de notre guilde, et c'est pour cela que nous cherchons un ancien pouvoir pour terrasser d'un seul coup les criminels qui pullulent dans Fiore. J'ai grandi dans la Royaume, au milieu des fleurs et de la magie, mais un élément perturbait la nature que je m'étais forgée : le crime. Moi, Marre-Chan, a rejoint Legion pour stopper tout ça. En me punissant moi-même comme étant criminelle, je créerais un monde nouveau, où les fleurs ne seraient pas souillées de sang. Et toi, taré à l'épée se croyant omnipotent, tu fais parti de ce genre de personne qui laisse la trace rouge sur leur passage...

Toujours aussi sûre et certaine qu'elle allait en finir, elle se mit à parler. Et pas qu'un peu. Elle se justifiait. Elle n'avait rien compris à ce qu'il avait dit. Elle n'avait juste vu que la façade ses mots. Il sourit. Legion avait toujours un but aussi noble. Des méthodes extrêmes. Mais Atios sentait que cela ne suffirait pas. Ils étaient fou sûrement. Purifier Fiore de tout criminels ? Ils allaient lancer sur Earthland un fléau bien pire que le crime. Un démon si puissant qu'il était retenu par trois stèles grâce à un sceau aussi ancien... Il pouvait le sentir. La stèle sur cette ile était belle et bien présente. Cette clef avait la même odeur que ce qu'elle retenait. S'ils libéraient ça sur Earthland ... Il n'y aurai pas seulement que des criminels parmi les victimes. Toutes vies, végétale, animale, humaine, TOUT serait brûler par les feux de la destruction... Seul un fou oserait croire en un démon. Il avait une folle devant lui. Et il était sur une île qui réunissait des fous, des sots .. Il ria même quand elle l'apostropha d'omnipotent. Qui jouait à Dieu en voulant libérer une créature repu de mal et qui vouait sa vie à détruire celle des autres ? Qui jouer à Dieu, qui voulait s'incarner en tant que justice pour châtier les criminels alors qu'ils n'étaient que des hommes ? Atios s'arrêta de rire et regarda Marre chan avec un regard sérieux. Le premier depuis le début du combat. Il prenait enfin au sérieux l'ampleur de ce qui se jouait ici. Si la coalition perdait ... c'était la fin durable de le paix. Il devait gagner. Pour Earthland au complet.

- Quel beau projet que voilà. S'il était si simple d'instaurer la paix, je me serai volontiers apporter la mort, fillette. Mais déjà, ce pouvoir ancien dont tu parles, est lui-même un criminel. Je ne sais pas si il a était créer ou s'il est un démon qui est née dans les abysses, peu m'importe. Ce que vous allez libérer, c'est un mal bien plus grand que tout le mal que TOUT les criminels de Fiore réunis ont pu faire. Ce démon tuera tout sur son passage et ne fera aucune distinction. Tu me traites de taré omnipotents ; soit. Je vous retourne le compliment, ô mages de Légion. Qu'êtes vous ? Des pauvres humains aux certitudes qui apporteront le chaos, la destruction, la mort. Qui êtes-vous pour juger vos pairs ? Qui suis-je pour vous juger ? Nous autres humains sommes égaux. Au final, tu te complait, toi et ta guilde, dans le mal et la souffrance des autres en t'autojustifiant d'une mission pour prétexter le bien fondé de vos projets. Tu n'es pas mieux que les autres criminels... Même, tu es pires que la plupart de ceux-ci ! Au moins ces derniers sont prêt à mettre leur vie et leur liberté en jeu pour ce qu'ils veulent faire, que ce soit mal ou bien ... Car oui, l'Homme est une créature au libre arbitre ! En somme, si, admettons, vous purgez Fiore de ces satanés criminels, ça n'empêchera JAMAIS le crime de subsister ! Car si le mal existe en ce monde ... il est dans le coeur des hommes !!

Le porteur de l'épée sacrée s'était progressivement énervé face à la bêtise de cele qui lui faisait face. L'aura dorée d'Excalibur répondait à la colère du porteur quand la lumière d'or vint couvrir celui qui tenait l'épée. Cette même aura crépitait furieusement. Il se maitrisait, mais à l'intérieur de lui, les rires furieux et incontrôlés d'une autre personne raisonnait. Il était réellement triste de ne pas être là pour pouvoir rire au nez de la jeune femme.

- De plus ... Vous n'êtes que des lâches... croyez moi que si vous libérer ce démon sur Earthland, même la mort de ne sera pas suffisante pour expier vos pécher .... Car le monde entier vous rejettera et vous haïra et la chaine de la colère reprendra de plus belle. Les pays voisins s'allieront contre Fiore et la guerre ravagera le monde entier. Crédule et stupides indolents ... Vous ne mesurez pas la portée de vos actes et vous avez la prétention de croire que ce que vous faites est bien ... Légion est la preuve incarnée que l'Homme est capable du pire...

«Atios, tu es venu sur cette île, et je me fais un plaisir à creuser ta tombe. Tu ne retourneras pas salir le Royaume avec tes sales pattes. Laisse-moi te purifier de tes crimes en t'envoyant dans l'au-delà. Ton épée dite sacrée ne mérite pas un tel porteur pour guider le peuple vers la lumière. Allez, meurt de ma main justicière ! LANCE !»

Quand les lances de sables s'approchèrent, Atios ferma les yeux, calme malgré sa fureur maitrisée. Du point de vue de Marre chan, l'attaque avait fait mouche. D'ailleurs, l'espace où était Atios était entouré par le sable. Bien sûr, si je continue de vous narrer cette épopée, c'est que notre jeune porteur de l'épée sacrée était sauf ; Ce dernier avait utiliser encore une fois Avalon. Mais ce coup-ci, il avait volontairement attendu le dernier moment. Et encore une fois, il passa au travers de l'attaque pour arriver dans le dos de Marre Chan qui avait vu un flash lumineux passait devant ses yeux. Il était trop tard pour réagir. Depuis le début, Atios avait préparer son assaut. Notamment pendants qu'ils papotaient. L'attaque avait été préparer dans le fourreau, de sorte à ce qu'elle ne puisse pas prévoir l'attaque.

- Il est vrai que je ne suis pas l'idéal de la justice et de la lumière. Mais, qui l'est ? Ex... CALIBUR !!!

Encore une fois, le rayon de lumière, moins puissant que la dernière fois, parta du sol vers le ciel, avec sur sa trajectoire, Marre Chan. La lumière avait tout engloutit devant Atios en une fraction de seconde. Cette fois-ci, elle n'aurai aucun échappatoire.

Quelque part cela le rassura un peu. Elle avait eut l'avantage dès le début à cause de sa coquille. Et il avait gaspiller beaucoup d'énergie à briser celle-ci. C'était la première fois de toute sa vie qu'il avait affronter un adversaire aussi coriace. Atios regarda ses bras. Ses veines étaient bleu et bien visible. Il se sentait pour la première fois vide de magie. Atios tomba au sol et se mit contre un arbre. Pour la première fois de sa vie, il se sentait faible. En mangeant, sûrement. Il repéra un pommier pas loin de là et pris une pomme. Il devait rentrer au campement. Il s'arrêta près d''un point et remplit une gourde de celle-ci après en avoir bu. Il en aurait besoin s'il devait rencontrer une nouvelle fois cet adversaire... Si elle ré-utilisait sa coquille, il lui verserait une bonne douche froide sur la vilaine tête de celle-ci. Mais pour l'heure il fallait se hâter. Il n'avait aucune blessure mais plus de magie ... ses heures d'athlétisme allait sûrement lui être utile. Il grimpa au sommet d'un arbre et se dirigea vers le campement en partant à l'opposé du volcan. Il devait informer ses alliés de la situations.

[départ à 16h50]