16H30 ~ Quelque part dans la forêt de l'île

HRP : Emil, tu as décidément beaucoup d'humour !! xD

La forêt.... l'île de Légion. Tout avait était si brusque. La coalition du conseil pour écraser Légion. Le plan. Les groupes. (Il aurai largement préférer attaquer les quartiers de la guilde et de se battre contre les chefs, mais il s'était fait une raison : plus vite il se débarrasserai du menu fretin, et plus vite il pourrait se débarrasser des organes importants de Légion). L'arrivée. La découverte du chantier d'extraction du nord. Et cette voix robotique. Le fait qu'il ai voler très loin dans la forêt. En même temps qu'un truc informe très lourd. L'honneur au plus bas, quand on s'écrase contre le sol. Atios soupira. Qu'est-ce-qui pouvait faire trembler le sol à ce point ? Un objet très lourd. Un poids imposant. La vision du jeune chevalier à l'épée sacrée fut très fortuitement heurtée par une apparition horrible, une créature informe, entre le balkan et le troll avec un quart de sang d'humain .... Une horrible chose. Quelque chose qui s'approcherait ( de très très loin ... ) du sexe féminin. Attendez ; le quotidien d'Atios, c'est une jeune blonde, fine, aux doux yeux bleu, aux cheveux doux et sentant le parfum, un corps voluptueux et bien proportionnés. Même la jeune Yume no Ai était une référence féminine avec qui il pouvait faire une comparaison avec l'être humanoïde qui se tenait devant lui.

Mais comment ... COMMENT pouvait-on imaginer qu'un être sexué, une femme, puisse avoir un squelette aussi grand ... une carcasse aussi robuste ... autant de chair attaché à une ossature sûrement de pierre ... un visage aussi affreux ... un regard bovin... des yeux peut-être un peu vagues ; une tignasse rouquine plutôt orangée ... non. Non. Décidément non. Si nous étions dans un spectacle comique, des jets ensanglantées auraient exploser près de ses orbites. Atios, pourrait, dans le futur, raconter à ses petits enfants qu'il avait rencontrer des exemples de beauté et de chaleur, de félicité et de candeur .... Mais malheureusement pour eux, il pourrait aussi raconter cette effroyable expérience, à la limite de l'histoire de monstre, sa rencontre avec ... ce truc. Le plus effrayant était sûrement que la créature avait choisi ce qui semblait être une vaine tentative de relever sa féminité ; c'était indescriptible. Un subtil mélange ... quelque chose de plus près de l'irréel. Quel mot pourrait être précis .... ? Ah oui. Le concept littéraire de l'oxymore était parfait.


L'absurdité, l'inconcevable était réuni ici : un manteau cramoisi avec de fines bordures à dentelles blanches difficilement attaché avec des liens prompts à céder, un vêtement qui s'apparentait à un kimono rose MALHEUREUSEMENT moulant, contrastait avec une stature gargantuesque, une taille .... monumentale ( pour comparer, Atios tape presque dans les 1m85 et plus ; Alors concevoir qu'il ressemble à un enfant à côté d'un géant ...) et une musculature tout simplement tellement imposante qu'il était difficile de penser que son adversaire était une femme ... non mais en fait ...

- Ah j'ai compris .... vous êtes un travesti, c'est ça ? dit-il, en tapant du poing droit dans la paume de ouverte de sa main gauche, certain de sa découverte. Mais c'est là que la vérité frappa.

Cet être, vague parodie de lutteuse néo-zélandaise ayant pour seconde vocation d'être participante de l'équipe nationale féminine de rugby et dansant le hakka, était ... enfin, c'était très dur à déterminer, mais normalement, c'était une femme ... donc il s'excusa : Après tout, la politesse était une vertu.

- ... Il semblerait que je me sois tromper ... que j'ai dis une ânerie ; excusez-moi si j'ai pu vous offenser, mon intention n'était que de vous ... qualifier. Pardonnez d'ailleurs mon incorrection, mais avant de nous affronter, j'aime au moins savoir qui je vais devoir attaquer ; les présentations sont importantes. Je suis Atios, chevalier de la mage de Fairy Tail et porteur d'Excalibur. dit-il, en souriant, s'inclinant, le bras gauche sur le ventre, comme l'eut voulu la coutume. En se relevant, il conclut : Si vous vous rendez, vous pourrez survivre. Et si au contraire, vous m'attaquez .. je n'aurai aucune pitié pour vous, même si vous m'avez l'air ... sacrément forte. Sachez tout du moins qu'avec une stature aussi imposante et un physique ... Il prit une pause, le regard soucieux ; les rumeurs était parfois traumatisante ; aussi particulier, le duc Everlue affectionne tout particulièrement avoir des servantes vous ressemblant... Enfin bon. Si vous comptez tout de même défendre le projet de votre guilde, j'aurai le regret de sûrement vous mener de vie à trépas.

Même pour Atios, dire cela sérieusement en regardant de bas ce qui semblait plus proche du taureau bipède (Minotaures), du géant des cavernes, du gorille géant ( King kong ?) ou même d'un monstre d'une bande dessiné qu'il avait entr'aperçu : Godzilla. Pour reprendre ce surnom, Gozilla allait sûrement lui faire passer un sale quart d'heure après ces involontaires (pour la majorité de celle-ci) et Atios, prêt à se battre, posa la main sur le fourreau d'Excalibur, Avalon, qui était attacher à sa ceinture. D'ailleurs ; le narrateur omnicient était tellement occuper à réaliser l'indescriptible description de l'adversaire de notre jeune héros qu'il en eut oublier de décrire les vêtements de celui-ci. Atios portait une longue cape noire recouvrant une partie du torse de celui-ci. Par ailleurs, sous cette longue cape, une chemisette blanche lui servait de haut. La ceinture de cuir servait à tenir divers objets importants, notamment le magnifique fourreau richement décorer de son épée. Le pantalon noir qu'il portait s'accordait lui aussi avec ses chaussures.

Il décida de se mettre en garde. Il dégaina son épée, qui se couvrit d'un manteau de vent. Mais très franchement, Atios doutait de l'utilité de masquer son épée sacrée. Déjà, il doutait FRANCHEMENT que la créature qui lui barrait sa route avait une culture (et peut-être même un cerveau) assez développée pour connaître la légende de son arme ; de plus, il fallait être franc. Face à deux tonnes de muscles, face à cette masse énorme, il doutait franchement que son arme allait pouvoir faire quelque chose. S'il voulait gagner, il allait devoir utiliser les pouvoirs magiques qu'il avait obtenu tel que Vortigen. Sûrement. L'épée déjà pourtant grande et intimidante, ressemblait à un cure dent face à la géante. Il allait devoir être agile et vif, à n'en pas douter. Qui plus est, il doutait qu'un agent de Légion ne soit qu'un tas de muscle. Elle devait avoir une capacité spéciale. Quelque chose qui allait sûrement l'embêter.

En effet. Parmi ses préoccupations, il s'inquiétait pour la sécurité de ses compagnons de groupes dont il avait été séparer. Particulièrement pour la jeune Yume no Ai. Une enfant sur un champ de bataille ... De plus, il voulait aussi mettre la main sur le chef de Légion. Oui, il voulait lui faire part de quelques reproches amicaux ( tel un bon coup de garde d'épée dans la tronche) concernant ses projets. Et surtout : FAIRE VITE. Oui, mine de rien, s'il avait une bonne notion du temps, il devait être aux alentours de 16h35. S'il aidait ses camarades à gagner, ils pourraient faire une jonction jusqu'au manoir ou aider le groupe du sud et mettre un terme définitif à la menace qu'incarner Légion .... en somme ... s'il gagnait vite, il pouvait faire pencher le cours de la bataille contre Légion en la faveur du conseil ; ET en sa faveur, si on considérait ses préoccupations concernant l'invocation d'un puissant démon. Maintenant, il fallait voir comment l'ogresse se battait et comment il allait se débarrasser d'elle ... de façon pacifique ou belliciste. Qui veux la paix prépare la guerre. Atios était venu, il avait vu ( et dans ce cas-ci, c'était ... regrettable) et il comptait inscrire dans la légende qu'il avait vaincu : Veni, vidi, vici.

La parodie de femme se tenant devant lui, avec tout les superlatifs qu'on pouvait lui accrocher, semblait elle aussi prête à en découdre. Elle l'avait jauger de haut en bas, l'avait sûrement insulter/mépriser/rabaisser dans sa tête (se dire que son adversaire est quelque chose proche de la fiente aide à avoir confiance en soi...) et était, Atios pouvait lire dans cette personne, sûre de sa victoire. Grossière erreur. L'épéiste avait déjà affronter une créature (elle était non-humaine, celle-ci) avec un gabarit aussi gros et une force similaire. Il en était sorti vainqueur grâce à sa magie. Eh oui, Excalibur pouvait potentiellement se transformer en cutter géant, ce qui aidait beaucoup pour palier à ce genre de problème de "taille" ; taille ici qualifiant ce qui ressemblait plus ou moins au croisement d'un lutteur fou (sûrement zoophile) avec une femelle gorille. D'ailleurs, après qu'il ai parler, elle lui répondit, contre toute attente d'ailleurs, puisqu'Atios ne songeait pas que cette animal là soit doué de raison. D'ailleurs, ce n'était plus donc un animal, mais un Homme. La nature était vraiment folle, des fois.

«Je suis Marre-Chan, mais tu peux m'appeler ta Mort.»

- Ouh, vous avez la voix qui va avec la taille, semblerait-il ! dit-il, légèrement surpris (mais avec un sourire amusé en coin). Il reprit alors : Eh bien, enchanté, Marre-san. Je compte vraiment sur vous pour vous rendre, mais si vous voulez combattre, ça tombe bien. J'ai déjà souvent danser avec la mort et je compte bien m'éviter une marche funèbre. dit-il, en souriant. Son autre main fit signe à"Marre-chan" de se ramener ; geste provoquant, sourire provocateur, regard amusé. Atios allait lui aussi s'amuser, il le sentait.

Son adversaire ne se fit pas attendre. Sous les yeux non-médusés mais largement amusés de notre jeune compère, la parodie body-buildé de femme se mit à la sombre tâche de le tuer. Elle commença, pour cela, à déraciner une branche d'arbre d'un tronc. Ce truc devait bien faire 15 à 20cm de diamètre, à vue d'oeil. Qu'allait-elle en faire ? S'en servir comme une trique ? Elle décida que sa trique de fortune lui servirait plus comme javelot. Mais Atios, avait des ressources. Il ne bougea pas quand l'objet se mit à avancer vers lui, à grande vitesse. Il bondit, haut, très haut, avant d'être rejoins par son adversaire. Atios retomba sur l'épaule de celle-ci, pour sauter encore plus haut, se mettant dos au soleil couchant. Il fallait en finir. Si elle n'avait que de la force brute, la prochaine attaque allait sûrement lui donner l'avantage si ce n'est pas finir le combat.

- Wind Hammer : dit-il, avant d'arriver au sommet de son saut. Le vent se déchaîna contre la carcasse de Marre-chan, sûrement sans aucun effet mis à part l'occuper quelques précieuse seconde. Mais c'est quand il atteint le sommet qu'il prépara son véritable assaut : Ex ... L'épée se mit à briller, briller, bien plus fort que le soleil mourant au bout de l'horizon dans son dos. A tel point que dans l'île, les gens avaient dû voir Atios et la lumière dorée de son arme. C'est quand l'attaque fut prête, une demi-seconde plus tard, qu'il retomba lourdement sous l'effet la gravité vers Marre-chan. Dans sa chute, il comptait la trancher au passage. Si elle n'esquivait pas, autant dire qu'elle allait prendre cher. Calibur !

- Tchh. dit-il. Il savait ce que cela signifiait. Déjà, le tas de muscle était robuste. Un point commun avec tout les tas de muscle : ils avaient la tête et la peau très dure en règle générale. Secondo, il allait devoir vite reculer car une attaque allait arriver. Avant que le pieds n'arrive, puisqu'il sentit le cachalot se tendre vers lui, il décida donc de se servir de l'épaule intact comme appui avec Excalibur, pour se rabattre devant son adversaire et charger dans une estafilade sur les nerfs de la jambe. Il savait cependant que cela ne servirait à rien. La peau de son adversaire était trop épaisse. Il fallait qu'il trouve un moyen de gagner en servant du poids de la bête. Décidément, sans cerveau, il y à plus de place pour les muscles et la résilience.

- Bah franchement, dans votre cas, les habits font tâche sur le moine hein! dit-il, roulant au sol, en dehors de la portée sûrement conséquente - vous avez vu la longueur des membres de cette horrible ogresse ? - ; Arthuria lui avait expliquer comment Excalibur fonctionnait. La magie qui se rassemble, se transforme en lumière, puis qui convergeait, qui s'accélérait encore et encore, tout en convergeant autour de la lame, créant une épée de lumière sensé (n'oublions pas qu'Atios, bien qu'ayant de bonne aptitudes avec son arme, n'était toujours un maitre total de celle-ci) trancher n'importe quoi. S'il voulait briser l'imposante défense de cette parodie humaine de muscles et de tendon, il allait sûrement devoir mettre en pratique les conseils d'Arthuria. Encore fallait-il créer une ouverture. De plus, il allait avoir besoin de plus de vitesse ; plus de force physique et de résistance. Un coup pourrait lui briser les os. Il décida donc de prendre un peu plus au sérieux miss Héraclès.

Loin dans sa mémoire, il se souvenait de quelques leçons d'art martiaux. Vu que son adversaire se battait à mains nue à priori, il devait attendre une attaque. Une attaque où elle mettrait tout sa force. Et là, il devrait tenter de lui faire perdre l'équilibre ou se servir de la force de son adversaire pour lui décocher un coup à pleine force. De plus, l'horloge tournait. Il n'avait pas le temps à perdre ... Il ne pouvait pas jouer un jeu d'usure même si c'était plus prudent. Atios se jeta à l'assaut du géant. Il tourna autour d'elle dans un premier temps, espérant qu'elle tente une attaque. Un tas de muscle aussi imposant était contraint par la gravité à se mouvoir plus lentement. Esquiver ses coups ne saurait être trop compliqué tant qu'elle n'avait aucun moyen d'égaler sa vitesse. Si elle se retrouvait immobile, il aurait l'ouverture pour préparer une attaque plus puissante que tout à l'heure; Aucun être humain ne pouvait se retrouver pris dans le rayon de lumière complet sans en payer les frais. Il fallait juste une ouverture pour préparer l'attaque .... La provoquer pourrait jouer pour beaucoup ; si elle s'énervait, elle aurai sûrement bien plus de difficulté à ne laisser aucune ouverture :

- Bah alors, on à du mal à m'attraper ? C'est bien beau d'être aussi musclée, mais franchement, déjà au niveau de l'esthétique, ça rend moche, mais en plus, je suis sûr qu'un éléphant serait plus rapide à se mouvoir ! Allez, où est donc passé cette assurance de vaincre par la force ? Venez me chercher, si vous en êtes capable ; à moins que tout ces muscles ne servent qu'à vous enlaidir !

Alors qu'il cherchait à la faire tourner de plus en plus, elle le suivit quelque temps et Atios réfléchissait. Elle ne le suivit pas longtemps ; son adversaire n'était pas quelqu'un qui se laissait provoquer. Elle avait garder son calme. Mais l'erreur allait venir. Quand ? Où et comment ? Atios garda la tête froide. Il réfléchit, se rappelant de ses études sur l'anatomie des êtres humains. Les muscles de cette femme devait être renforcés par magie, les rendant insensible aux attaques tranchantes. Il pouvait toujours perforer la peau sans problème. De plus, elle semblait l'avoir gravement sous-estimer. Il gardait en réserve son augmentation d'aptitudes. Il pouvait peut-être gagner ce combat très rapidement. Ses réflexions furent couronnés de succès. Il allait viser les muscles extenseurs des jambes. Il suffisait qu'elle se tienne droite.... Atios du coin de l'oeil vit qu'elle s'asseyait ...

Quelques minutes plus tard, elle se releva, tentant de l'attraper ; sans succès. Il était largement plus rapide qu'elle ; Elle arracha un autre tronc d'arbre pour commencer une technique de toupie. L'ouverture, l'erreur était là. Elle essaya de l'avoir grâce à sa portée. Atios se courba, posa la main droite au sol. Il examinait Marre chan. Une aura dorée entoura Atios. Elle se mit à entourer Excalibur. Atios était désormais plus fort, rapide et agile. Il augmenta le tranchant de la lame au maximum. Il devait le faire en une minute pour ne pas accuser la fatigue car il se battait au maximum et il devait économiser ses forces. En synchronisant sa vitesse à la perfection avec celle de son adversaire et en tournant en sens inverse, il allait pouvoir arriver dans son dos. A partir de ce moment là, avec Excalibur nimbée de lumière et prête à trancher l'acier trempé, il allait sectionner les muscles extensifs se situant à l'opposé du genou en même temps que les os. Il n'aurai qu'un essai ou son adversaire se méfierai ... Il se synchronisa ...

Il arriva dans son dos ... et faucha avec précision l'endroit : Il avait était si rapide qu'elle ne pourrait sûrement pas avoir vu et suivi l'attaque d'Atios qui se mettait déjà loin d'elle. Il était sûr que l'attaque porterait car ce muscle là n'était pas un muscle voué à être résistant mais un muscle qui était surtout élastique. Même si elle avait une résilience sans faille, ce coup mettrait fin au combat ... et à la mobilité de son adversaire. Elle ne pourrait plus marcher sans réparation chirurgicale. Il prolongea son mouvement d'estafilade pour se retrouver hors de la portée de la femme géante et se remit en garde, dans son dos. Il désactiva ses renforcements magiques et attendit la réaction de son adversaire. Elle allait basculer en avant, incapable de plier ou de mettre droite sa jambe et sentir une affreuse douleur. Il était impossible qu'elle ai pu prévoir ce coup, si sûre de la faiblesse d'Atios et de sa force incontesté.

Quelque part, le résultat ne surpris pas Atios. En définitive, sa protection n'était que du bidon : elle était protégée tant qu'elle avaitde la magie. Et Atios savait pertinemment que le renforcement physique via la magie était coûteux. C'est d'ailleurs pourquoi il se refusait de l'utiliser trop futilement. Il était parcimonieux ; notamment car il aurait besoin de ses forces pour plus tard. Mais il devait se dépêcher et gagner son combat. Elle ne lui laissait pas le choix. Elle croyait sincèrement qu'Atios avait montrer l'étendue de sa magie. Elle se trompait. Si Atios n'utilisait plus Excalibur à pleine puissance, c'était depuis qu'il avait vu les ravages qu'un tel pouvoir pouvait faire dans des mains immature, inexpérimenté. Atios sourit quand elle le railla. Notamment quand elle fit semblant que le coup avait porter. L'épéiste, avait pu identifier que non : l'épée n'était pas tâchée de sang. Tant pis. Il allait arrêter de se soucier de la sécurité de son adversaire. Il ne pouvait plus se le permettre. Il observa son adversaire et ses mimiques.

«Belle offensive, Atios. Comme tu le vois, je n'ai rien sentit. Excuse-moi, jen'ai pas résisté à me faire passer pour la blessée, même si c'était peu crédible, vu que je ne présente ni blessure, ni sang. Et oui, Atios, cene sont pas seuls mes muscles qui sont surpuissants...mais ma peau elle-même est entrainée pour constituer la meilleure carapace possible. C'est pour cela que chacun de tes coups d'épée ne me cause pas la moindre éraflure. Ma peau est aussi résistante que possible. Une réelle carapace...»

- Vous m'en voyez très impressionner. Il semblerait que vous avez poussez le même type de technique que la mienne à un niveau encore plus élevé. Mais dans ce cas, vous devez aussi connaître la limite de celle-ci. lui dit-il, confiant. Oui, un muscle fonctionne avec divers nutriments. La magie de renforcements et ses effets, fonctionnaient de la même façon. Donc .... plus le temps passait et plus sa réserve allait être vide. Et avec ce qu'il avait prévu comme prochain coup, il était sûr de vider la réserve de magie de son adversaire. Il allait être fatiguer lui aussi ... mais il aurait le temps de se récupérer sa magie en cherchant à sortir de cette forêt et en cherchant les autres. Il allait sûrement indiquer sa position durablement à toute personne sur cette île, mais ce n'était pas grave. Qu'ils viennent... Atios se battrait jusqu'au bout. Pour le moment, il fallait faire goûter à la puissance de la lumière à cet impudent adversaire qui ne comprenait pas pourquoi il refusait d'attaquer à pleine puissance. Et par rapport à la dernière fois qu'il avait utiliser cette attaque, il savait continuer de tirer si la cible résistait. Elle voulait quelque chose de puissant ? Il allait lui sortir le grand jeu. Il préférait la réserver à des créatures non-humaine mais il avait assez perdu de temps ; si rien ne fonctionnait, seul cela fonctionnerait.

«Rend-toi à l'évidence. Tu vois bien que ta force est ridicule. Même ta plus puissante attaque ne pourrait me faire fléchir. Alors, je repose ma question : veux-tu, oui ou non, devenir mon esclave ?»

- Non mais honnêtement .... QUI voudrais te servir ma grande ? Réveille-toi, le monde te méprise et dans quelques heure, le conseil va t'atomiser ! Franchement.... j'me demande ce que vous foutez encore là. Enfin bon. Qui à dit que ma plus puissante attaque était là ? Excalibur n'est pas Etherion, mais le principe est le même ; Et comme je suis charitable, je vais te préparer à subir le tir d'Etherion grâce à Excalibur.

Atios, tout en disant cela, avait fait un énorme bond en arrière. A la retombée, l'aura dorée s'activa. Atios écarta bien les deux jambes, comme s'il s'apprêtait à porter quelque chose de lourd. La lumière se mit à converger autour de la lame d'Excalibur. Mais si Marre pouvait quantifier l'énergie magique qu'Atios déployait, cette dernière devait sûrement commencer à courir en sens inverse. Mais Atios ne cherchait pas à comprendre, de toute façon, il ne voyait pas devant lui à cause de a lumière. Il avait réuni la moitiée de son énergie magique totale pour faire un tir à pleine puissance. Pour la première fois, il se préparait à lancer le rayon de lumière. L'intense lumière se mit à bouger quand Atios se prépara pour le tir. N'importe qui à présent pourrait comprendre la puissance qu'il allait déchainer face à lui : Des gantelets étaient apparu sur ses mains ; sinon la chaleur lui aurait brûler les mains. Et le sol sous lui s'affaissait. La lumière s'amassait tout en convergeant et en s'accélérant.

Atios n'était pas fatigué mais le vide qu'il ressentait à cause de l'énergie qu'il avait mis était pesant. Il allait devoir préserver ses forces après ça .... il aurai voulu se préserver un maximum, mais il se consola par le fait que peu importe la résistance de la matière, elle allait être brûlée, calcinée, désintégrée et envoyée dans une vague de lumière.

- Allez, à la prochaine ! Quoi que je doute que quiconque puisse survivre à ça. Ex....

L'énergie se mit à briller violemment. L'énergie accumulée avait atteint une masse critique. Les conseils d'Arthuria avaient été utile. Atios sourit : Il allait continuer l'attaque jusqu'à ce que son adversaire ne soit qu'un tas de cendre, tant pis pour l'économie d'énergie.... Il fallait ce qu'il fallait. Et il ne voulait plus revoir la mine triomphante de cette grande idiote.

- CALIBUR !!

Il relâcha l'énergie vers l'avant, engouffrant dans l'attaque son adversaire et tout ce qui se trouvait dérrière elle dans une ligne droite ( qui devait se prolonger à travers l'île .... histoire de pas être voyant ).

Déjà Atios sentait la fatigue monter. Si elle survivait à ça, il ne chercherait même plus à sa battre. De toute façon, un cachalot pareil était trop lent pour le suivre. Il irait ailleurs, aider quelqu'un d'autre ou il chercherait à rejoindre les quartiers de leur guilde. Un combat aussi futile n'en valait pas la peine de toute façon.